« Mais quant au fruit de l'arbre qui est au milieu du jardin, Dieu a dit : Vous n'en mangerez point et vous n'y toucherez point, de peur que vous ne mouriez. »
La Genèse

Personnage:

Nom :

Logan

Prénom :

Emanuelle

Age :

18 ans

Histoire :

Carpe Diem

Prologue

Depuis que je suis toute petite, je m’interroge sur les notions du « bien » et du « mal ». Mais qu’en est-il vraiment ? Dieu nous punira-t-il vraiment pour nos péchés ? Qu’y a-t-il vraiment après la mort ? De mes actes dépend mon sort futur ? Est-ce un péché de se venger du mal que l’on nous a infligé ? Je crois que je n’aurais jamais la solution…Je m’en remets donc à Dieu. Lui seul connaît la réponse aux questions que je me pose.

15 Avril 2000

- Les filles, à table !
- Oui, maman, j’arrive ! Répondit une voix, lointaine, telle un écho. Ema soupira, et baissa les yeux, résignée. Elle se leva de son lit en maugréant. Si il y avait un moment de la journée qu’elle haïssait plus que tout, c’était bien les moments des repas. Car dans ses moments-là, toute la famille Logan se retrouvait autours de la table familiale. Et c’était dans ses moments-là qu’Ema était le plus rabaissée, critiquée, et comparée à sa sœur si parfaite, si géniale, si incroyable. Dans ses moments-là, sa haine envers cette dernière était à son paroxysme. Emanuelle Logan détestait Elisabeth Logan. La réciproque était d’ailleurs vrai : jumelles, elles avaient été depuis leur plus tendre enfance en compétition permanente. Leurs parents ne semblaient avoir qu’une loi : que la meilleure gagne. Elisabeth, avec ses cheveux bouclés, ses grand yeux sombres, son profile parfait, avait toujours écrasée sa cadette aux cheveux noirs, lisse et terne, et aux petits scrutant plus que ne regardant son entourage. Son effroyable maigreur, sa maladresse, et son air chétif n’avaient rien arrangés. Elle était complètement écrasée par sa si parfaite sœur. La fierté de la famille. Le cygne. Et elle, le vilain petit canard, qui, malgré tout ses efforts, se refusait à devenir cygne. Le monde était mal fait. Trop, même. Dans une famille de mineurs, au milieu d’un petit village de mineurs, on a que faire des êtres faibles. Elle descendit en traînant des pieds, sous le regard désapprobateur de son père qui était déjà à table. Elle s’assit à sa place sans rien ajouter, comme d’habitude. Ses parents étaient de la vieille école : pas de plaintes, ni jérémiades, pas de pleures et de cris dans la maison. La parole à table était un luxe pour les enfants. Leurs parents se contentaient de regarder les infos en les commentant, et d’adresser à leurs filles compliments et sous-entendus blessant, quand ils ne la critiquaient pas ouvertement. Après le repas, leur d’aller au lit. Puis venait de nouveau le matin, avec la même scène au petit déjeuner. La journée, qui passait vitesse grand V. La fin d’après-midi, qu’elle passait bouclée dans sa chambre. Et de nouveau l’heure du dîner. L’incessante routine.

22 Avril 2000

- Dis-moi, Ema, c’est vrai que tu aime Guillaume ? Lui demanda Elisabeth, un jour qu’elles rentraient ensemble de l’école, situé dans le village d’à côté, séparer du leur part un bois. Ema s’arrêta, interdite, se contentant de regarder les arbres qui bordait se chemin de forêt. Sa sœur la regarda un instant, et partit dans un grand éclat de rire en continuant son chemin. Elle avait obtenus l’information qu’elle voulait.

23 Avril 2000

- Pou…Pourquoi « non » ? Je…Je ne comprends pas…Je croyais que tu m’aimais bien…
- Oui. Je…Je t’aime bien. T’es sympa, t’es mon amie…Mais c’est tout. T’es juste mon amie. J’aime mieux Eli…Désolé. Répondit gêné Guillaume en tournant les tallons dans la cour, sous le regard d’une Ema effondrée.

***

Elle rentra chez elle, seule, le cœur en morceaux. Elle se précipita dan sa chambre où elle s’enferma. Sa sœur était allée trop loin, et surtout, elle l’avait prise de vitesse. Elle lui avait comme plantée un pieu dans le cœur, l’avait anéantit. Le coup de grâce. Sa mère appela la famille à table. Elle se leva, mais au lieux de se diriger vers la porte, et de sortir dîner, elle s’assit à son bureau, et sortit de son cartable un cahier rose bonbon criard. Son cahier de Math. Elle commença à écrire. Pas des Maths. Elle commençait à écrire ce qui, au début, ne lui avait que traverser l’esprit, et qui, au file des heures, c’était sournoisement frayé un chemin jusqu’à l’étage « Elaboration » de son cerveau. Elle tenait sa vengeance. Un plan parfait. Le crime "farpait", comme dirait l’autre. Elle allait se débrouiller pour la faire souffrir autant qu’elle l’avait fait souffrir. Pourquoi sa sœur ? Comment sa propre sœur, et en plus jumelle, avait-elle osé lui faire ça?! Ema pouvait tout supporter. Tout sauf cette trahison. Elisabeth était…Elle était toujours plus parfaite qu’elle ! Toujours plus ceci, toujours plus cela. Mais ce temps était révolu, définitivement.

Son plan allait fonctionner, il devait fonctionner. Ema avait déjà fait une petite liste dans son cahier de ceux du village que sa sœur avait martyrisé. Le major parti des gamines et seulement trois des garçons. Elle savait qu'après l'humiliation que sa sœur leur avait infligé, ils se rangeraient de son côté, aussi timide, maladroit, gauche, et fragile qu'ils fussent les uns et les autres. Ils seraient dix si jamais son plan fonctionnait. Un bruit dans le lointain la fit sursauter et sortir de ses songes. Minuit. Elle avait mit beaucoup de temps dans ce plan. Maintenant, elle savait exactement comment procéder. Comment effectuer son plan machiavélique à souhait pour infliger une correction amplement méritée à sa sœur. Elle se frotta les yeux, et bailla. Il fallait qu'elle dorme. La première phase du plan était d'attirer sa sœur loin de tous secours avec les autres. Dans un lieu où elle aurait la frousse de sa vie.

24 Avril 2000

Elisabeth courait. En larmes. Son cartable la gênait dans sa course. Mais elle n'avait pas le temps de s'en débarrasser. Elle avait beau tourner et retourner, dans ce petit village, surtout à cette heure de la journée, dans les bois, il n'y avait personne. Où qu'elle aille dans ses bois, il y avait toujours l'un deux. Impasse. Telle était la situation d'Elisabeth Logan en se jour de printemps. Elle ne voyait qu'une seule option. Un bande de gamins de mineurs du village était venu la trouvée alors qu'elle rentrait d'école, par le chemin habituel, le bois passant devant la mine. Armés de bâtons, ils la poursuivaient, en hurlant "Vengeance!". A bout de force, elle tenta de réfléchir. Il restait un seul endroit. Dans un village de mineurs, on le défendait expressément aux enfants. La mine. Elisabeth prit un croisement, et aperçut bientôt le trou béant dans la montagne. A cette heure, les mineurs avaient déjà finit leur travaille, et était rentré au village. Elle s’engouffra dans l’antre sombre, déserte. Elle se cacha dans une des galeries non loin de l'entrée. D'ici, elle pouvait voir si quelqu'un passait devant la Mine. Elle s'appuya contre le mur de terre en reprenant son souffle. Un bruit. Elle se retourna soudain. Quelqu’un l’attendait. Piégée, telle était le mot pour décrire la situation de la jeune Elisabeth. Une expression de soulagement et de crainte envie son visage. La jeune Emanuelle. Tenant un bâton de dynamite à la main. Le visage d'Elisabeth se défigura en voyant dans l'autre main un briquet. Sa sœur, qui jusque-là avait la tête baissée, leva des yeux empreints de fureur vers elle.
– Comment as-tu pus? Toi, ma propre sœur! Ma sœur jumelle, qui plus est! Comment as-tu pus me faire?
- Voyons, Ema…Sois rationnelle! Il y a des tas de garçons dans notre école! Tout ce cirque pour Guillaume, c'est un peu exagéré!
-Tais-toi !
-Non je ne me tairais pas ! Tu es une idiote! Je dirais à maman que c'est toi qui as forcé les autres à me poursuivre ! Et Guillaume, il jouera plus avec to…
-TAIS-TOI !!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Elisabeth regarda les mains de sa sœur, qui, bougeait comme au ralentit. Ema recula, craqua une allumette, et alluma la mèche du bâton.
- Non…Implora Eli.
- J’ai trop d’ego pour supporter ça. Lâcha Emanuelle.
Mais il était trop tard. Aveugler par son chagrin, sa colère et sa rancœur, la frousse qu'Ema voulait donner à Eli dépassait les limites. Son plan avait tourné au cauchemar. Elle enfonça le bâton dans un des nombreux trous du mur, et sortit. Elle se précipita vers la sortit, en larmes. Ce ne fut qu'à la lumière du jour qu'elle comprit qu'elle était allée trop loin. Qu'il était trop tard.
-Oh mon dieu… Murmura-t-elle, horrifier, en entendant le "boom" si caractéristique de la dynamite. Effarée, elle regarda l'entrée de la mine–la tombe de sa sœur. Sa vengeance accomplit, elle se sentait affreusement mal. Coupable. Mais au fond, elle ne put s'empêcher d'entendre sa conscience crier victoire.

7 Mai 2000

Ema regarda la lumière qui filtrait au travers des vitraux. Elle baissa la tête, et entendit ses parents revenirent. Elle capta des parcelles de leur conversation :

« Ne vous en faites pas, notre couvent éduque ses jeunes pensionnaires dans les règles de l’art. Nous nous occuperons de redresser Ema, car vous vous êtes montré trop faible pour le faire. Mais partez sans crainte, dans la maison de Dieu, rien ne peut lui arriver. Et si elle se repente de ses actions passées, Dieu saurait se montrer magnanime, car nous sommes tous ses enfants, et que nous commettons tous des erreurs. Partez en paix. Que Dieu vous bénisse. »

Ses parents passèrent devant elle, sans même un regard. Ils fuyaient, trop heureux de s’être débarrassés de la honte de la famille.

15 Mars 2008

Lors du week-end, soeur Juliette, une gamine blonde aux yeux bleus et chétifs de 11 ans avait exprimait au prêt de la Mère Supérieur de sortir se promener dans les bois aux alentours du couvent. Emanuelle, était donné qu’elle était la plus âgée, la plus calme, et la plus responsable des sœurs cadettes, avait reçut l’ordre de l’emmenez en balade durant une demi-heure. Une fois en foret, alors que Juliette s’amusait à cueillir des fleurs, elles entendirent un miaulement venant d’un buisson tout proche. Juliette si précipita, suivit d’Emanuelle, pour y découvrir un petit chaton au pelage noir. Juliette craqua instantanément.
- Sœur N’Ema, regardait comme il est mignon ! Dit-elle, toute rouge de plaisir. Et si on l’emmenait avec nous ?
- Sœur Juliette, êtes-vous inconsciente, ou bien ? La Mère Supérieur déteste les animaux ! Si elle le voyait, elle le ferait noyé sur le champ !
- Oh…S’il vous plait, ma sœur…J’en prendrais toute la responsabilité.
- Bien, mais tenez votre promesse, ma sœur ! Lui répondit Ema avec un faux air moriginateur.
Au bout du temps impartit, les deux sœurs retournèrent au couvent, Juliette derrière Emanuelle, pour éviter que l’on ne voit le chaton. Après être passé avec succès devant sœur Clotilde, sœur Loris et sœurs Adèle et Delphine, elles montèrent au dortoir.
- Merci, sœur N’Ema ! Lui chuchota Juliette, ravit.

16 Mars 2008

- Sœur N’Ema !! Cria sœur Juliette, en larmes, dans la bibliothèque, le lendemain. Sœur N’Ema, c’est horrible !!!
- Qui a-t-il, sœur Juliette ? Pourquoi ces cris dans la maison du seigneur ? Demanda Ema en levant les yeux de sa Bible.
- Le chaton…Ce matin, il c’est enfuie…Articula Juliette à travers ses larmes. Et…Il est tombé sur la Mère Supérieur !!! C’est horrible ! Sœur Clotilde s’en ai chargé, mais c’est comme si je l’avais tué !! Je ne sais que faire !! Notre père va me détester…
- Oh, Oh ! Juliette, calmez-vous ! La rassura Ema. Calmez-vous…Là. Sachez que notre Seigneur se montre toujours généreux envers ceux qui respect et honore Son nom. Nous allons donc prier pour qu’il vous pardonne votre péché…Dit Ema en se mettant à genoux parterre, les mains jointent, les yeux fermé, prête à prier. Juliette l’imita, et Ema commença.
- Notre Père, qui êtes aux cieux, pardonnez sœur Juliette car elle n’avait pas conscience de ses actes. Soyez miséricordieux. Epargnez sa vie, bien qu’elle, dans son insouciance, n’ai épargné celle du petit chat. Et pendant son sommeil, cette nuit, ne venez pas lui arracher le souffle de la vie…
Juliette s’exécuta en pleurant, remerciant Emanuelle d’avoir prier pour son âme indigne, et sortit de la pièce, terrorisée par cette prière, sous le regard rieur d’Ema.

31 Mars 2008

- N’Ema ? Loris ? Demanda une voix inquiète.
- Amainte ! C’est bon ! Personne en vue !
Que peut-on faire dans un couvent ? Question idiote : on prie. Mais quand on ne prit pas ?

La Mère Supérieur avait finit, contre son grès, par acheter un ordinateur pour le couvent. Cet achat avait été motivé par Sœur Claire, qui avait affirmé qu’un ordinateur, si on l’utilisait à bon escient, ne pouvait être que bénéfique. Bien entendu, les sœurs cadettes ne pouvaient l’utiliser qu’avec la permission de la mère supérieur, et sous la surveillance de sœur Claire ou de Sœur Clotilde.

Il était évident que jamais une bande d’adolescente, aussi pieuses qu’elles soient, résistent à l’envie de savoir pourquoi la Mère supérieur leur en refusait l’accès. C’est ainsi que, de minuit à trois heure du matin tout les jours, les douze filles du couvent Sainte Marie De PI se rendaient par groupe de trois explorer la Toile. (Par exemple, quand soeur Gabrielle avait découvert les sites de jeux, cela avait provoqué une véritable ruée. les soeurs passaient leur temps à dénicher de nouveaux sites de jeux en ligne, notant les adresses dans les pages blanches de leur Bible)
C’est ainsi que, durant leur soir de la semaine, les soeurs Emanuelle, Amainte et Loris se glissèrent en douce dans la bibliothèque. La première heure de garde était pour Ema. Du couvent, c’était elle, dans les sœurs cadettes, la plus âgée, avec 18 ans. La plus vieille après elle n’avait que 14 ans, et en plus, il s’agissait de sœur Lucie, une pauvre créature qui passait son temps à pleurer et à se répandre en excuses, donc inutile de chercher à comprendre pourquoi Ema avait prit la tête de ses 11 consoeurs. Considérée par la Mère Supérieur comme un modèle, admirée des plus jeunes, elle n’avait aucun mal à étendre son influence sur le couvent.

Loris vient le secoué au bout d’une heure. C’était le tour d’Amainte d’allé sur l’ordinateur, mais Ema, elle, pouvait en attendant profiter de la Bibliothèque. Elle se contenta de relire des passages de sa Bible, quand Loris émit un sifflement paniqué.
- Sœur Clotilde en vue ! On file !
Amainte regarda l’ordinateur, paniquée, ne sachant que faire.
- Vas-y ! J’m’en charge !
Souffla Ema, en poussant sa cadette de l’ordi. Cette dernière lui jeta un bref regard d’effroi, et s’enfuit. Ema se jeta sur l’unité centrale. L’écran redevint noir, elle attrapa sa Bible, prit son air le plus calme et le plus serein, et sortit de la pièce normalement, pour se retrouver nez à nez avec une sœur Clotilde en chemise de nuit mauve, un filet à cheveux et des bigoudi sur la tête.
- Sœur Ema ! Dit-elle choquée, Que diable faites-vous ici ?
Ema prit un air calme et posé, et se répandit en explications. « Veillez me pardonnez, ma sœur, mais, ne trouvant pas le sommeil, je m’en suis remis à notre Saint père, car un grand dilemme me déchirais. Ne souhaitant pas troubler le repos de mes sœurs, je suis venu ici afin de trouver la paix que recherchait mon esprit. » Sœur Clotilde la regarda un instant hébété. Une telle innocence suintait de ses paroles que l’on ne pouvait que la croire. Pour achever sa résistance, N'Ema lui adressa un sourire tout bonnement angélique, avant de lui souhaiter bonne nuit, et de prendre congé. La sœur la regarda partir, toujours hébétée, avant de lui souhaiter bonne nuit, et de repartir en direction de sa chambre. Telle était le quotidien d’Emanuelle Logan, en cette année 2008.

11 Avril 2008

- Bien, mes sœurs, aujourd’hui, nous allons en promenade, mais ne commettez pas de fautes ou d’imprudence ! Le Seigneur nous regarde !
Ema eu un sourire. Après les pathétiques des sœurs Claire et Clotilde de faire preuve d’un peu d’autorité, la voix sèche et dure de la Mère supérieure cassait l’ambiance. Elle les regarda avec un air suspicieux sur le visage, et se détourna pour sermonner sœur Juliette qui venait de se prendre un arbre. Ema soupira, et commença à scruter les alentours. Elle s’arrêta brusquement, fixant un point dans cet océan de verdure. Sœur Gabrielle, une gamine chétive de 10 ans, la regarda, inquiète.
-Que ce passe-t-il, sœur N’Ema ? Avez-vous quelque chose ?
Ema lui sourit en lui ébouriffant les cheveux. « Je reviens tout de suite, d’accord ? » Gabrielle hocha la tête. Ema se dirigea vers le point. Elle avait crut voir des reflets, des reflets que seul peux avoir le soleil sur le métal. Elle s’en approcha, et finit pas distinguer une grille, et un manoir. Les lieux semblaient pour le moins désert. Comme attirer par une force, elle s’approcha de la grille. Posa sa main sur le métal froid des barreaux. La poussa légèrement. Serra sa croix. Se signa. Et sans un regard derrière elle, entra dans la cour.

Caractère :

- Au premier abord : Elle parait très calme, posé, réfléchit, tolérante, sage, ouverte aux idées nouvelles, que se soit en religion ou pour autre chose. Elle semble être une personne à qui on peut faire vraiment confiance, à qui on peut tout dire, une personne en qui on trouvera une oreille attentive, avec des mots réconfortants, semblable à une icône de vertu.

- Au fond : C’est une vraie petite peste, qui passe son temps à manipuler et monter les gens entre eux. Elle s’amuse de voir le résultat de ses interventions, et à quel point les gens se sont fait avoir. Elle se moque pas mal des autres, et, comme elle l’avoue elle-même « J’ai trop d’ego ».

Pouvoir :

Peut inciter les gens à avoir le même point de vue qu’elle

Alter Ego Astral :

Une pie couleur or nommée Superbe

Physique :

Elle est brune, avec des cheveux noirs court, de petits yeux perçant aussi noir que ses cheveux, noyés dans un visage aimable, souriant et ouvert, semble toujours prête à rire. Elle a de longs doigts et se tient très droite, ce qui estompe sa petite taille. Elle est très maigre (ben, on mange pas beaucoup au couvent ! le temps que l’on termine la prière, le plat est déjà froid…Ca refroidit els ardeurs…) mais le nombre incalculable d’épaisseurs qu’elle porte dissimule cette aspect physique qu’elle déteste. Elle porte un pendentif avec une croix bien en vue sur ses vêtements, et porte rarement le voile. Sa robe est bleue nuit, mais peut parfois être noir.

Passion :

Elle prie aussi souvent que possible, tachant d’être un exemple de croyante pour la société (aussi bien la sienne que celle en général) et aime manipuler les autres en les entraînants dans des quiproquos pas possibles.

Pour avoir le personnage :
Avez-vous bien lu les règles ? Tralalalalalaaaa ♪
Où avez vous trouvé ce forum ? Dans mes favoris
Est ce votre premier perso...
♦ ...Dans un forum RP ?
♦ ...Dans ce forum ?

Remerciements:

Je tiens juste à remercier Amy Tsumuko pour toute l’aide, le soutient et l’énergie qu’elle m’a apporter dans la réalisation de ce personnage, ainsi que pour toutes ses idées et ses critiques constructives. Je tiens à remercier également Skye Periple, car c’est son avatar qui m’a inspirée une none… (ne chercher pas à comprendre, je ne le comprends pas moi-même

PS:

Encore une dernière chose : Je souhaite que se soit Skye (Baka-Purple!!!) qui vienne critiquer ma fiche, et personne d’autres…Si c’est possible ! n_n