Qu'elle étrange... endroit...

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Rose s'avança à travers cette porte massive, et se retrouva comme... transportée dans un nouveau monde.
La porte claqua, mais Rose n'y pensa pas, elle observait juste avec émerveillement cet endroit. Un long escalier en marbre, un parquet d'un noir sombre si bien que l'on voyait son ombre s'y perdre... des meubles étranges, des tableaux d'une beauté et d'un réalisme que l'on croirait que se sont de vrai personne à l'intérieur, mais ces personnes avait un regard intrigant... tout cela semblait...irréel.
Rose fit un pas, un autre, puis un encore, jusqu'à arriver au bas de l'escalier. Il était imposant, les marches semblaient si hautes que Rose doutait de pouvoir y monter, la fenêtre au vitrail en haut de celui ci répandait une douce lumière orangée, comme si le soleil se couchait loin derrière...
Rose se retourna, il lui semblait avoir entendu du bruit dans un coin...
-Est-ce... une partie de la maison que je n'aurais vu? Cet endroit est magnifique, mais... pourquoi ais-je cette sensation de...
Elle s'arrêta, se retournant, laissant ses cheveux fin virvolter et effleurer sa joue, elle scruta les environs. Elle s'avança et se regarda dans le miroir à gauche de l'escalier. Elle semblait normale toujours ce teint rosée, ces yeux d'un gris pâle., une souris sur son épaule droite, une bouche parée de...Une souris?! Rose hurla de peur, la souris blanche tomba à ses pieds.
*Une souris ?! Ici! Cela ne semble pas être l'endroit pour ce genre de chose! Mais, cette frimousse, elle me rapelle celle de...*
Elle s'acroupi et murmura...
-Tiki?
Elle observa la souris, fine et petite qui, comme pour répondre à son appel, couina, quand une chose détourna le regard de rose de cette chère personne retrouvée... une ombre par terre, en bas de l'escalier alongée comme si il y avait qu'elqu'un en haut de celui ci.
Rose se leva et se retourna vers cet endroit, il y avait...

[ Désolé de l'attente mais il vaut mieux tard que jamais, non ? ]

Pourquoi s'obstinait il à toujours venir ici s'il se fichait complètement de tous ses pensionnaires qui arrivaient ? Il avait beau se faire croire qu'il se trompait toujours de chemin, à force cette excuse ne prenait plus ... Ne peut on donc pas penser qu'en fait Kurogane est un gentil garçon ? Un gentil garçon renfermé, souvent en colère, sadique et j'm'en-foutiste mais gentil quand même ... Rien qu'à voir comme il traite certains de ces amis comme Fay ... à moins que ce drôle de numéro est une chance inouïe avec les samouraïs ténébreux ... Enfin bref, dans tous les cas il était là un point c'est tout.

Aujourd'hui dans l'entrée était arrivé une jeune fille. Elle semblait très jeune et plutôt faible ... Enfin il ne fallait jamais se fier aux apparences ... la plus jolie des femmes peut tout à fait être une espionne voulant vous tuer ou la plus inoffensive des fillettes avoir le don de contrôler les forces du mal. Enfin, ce ne sont que des exemples parmi tant d'autres ! Mais tout semblait dire qu'elle était inoffensive ... c'était avec un regard rêveur qu'elle avait commencé à visiter le charmant petit hall et s'était même mise à hurler à la vue d'une souris. Kurogane l'avait silencieusement observé, la mine blasée -comme à son habitude si je puis dire-. Il se trouvait au juste au sommet des escaliers, c'était lui la grande ombre qui fit à Rose se retourner vers les longues marches. Quand elle le regarda plus ou moins dans les yeux, il prit la parole et la salua en descendant les marches :

« Salut, toi ... »

Sur son dos l'on pouvait voir son sabre, il était propre aujourd'hui ... il a dû le nettoyer hier ou même ce matin. Kurogane se gratta la nuque lorsqu'il s'arrêta à quatre marche de la prisonnière puis rajouta d'un ton las :

« Qu'est-ce qu'une gamine fait ici ? »

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[enfin une réponse! Je vais Rp! Merci!]

Rose s'approcha de l'ombre et vit un homme, l'auteur de celle ci. La chose qu'elle remarqua en premier fut le sabre qu'il avait dans le dos. Cela lui fit penser au livre de chevalerie que sa gouvernante lui lisait dans un lointain passé, quand elle avait 6 ou 7 ans. Elle garda Tiki sur son épaule et salua à son tour l'homme avant de commencer à parler.
"Je... j'avais juste vu cette porte, dit elle en la montrant du doigt, et par curiosité je suis rentrée, je... je suis Rose Mc. Dowell, et j'ai 15 ans. Désolés d'être entrée sans permission."
Elle s'inclina et repensa à son geste, à cette endroit, à cette porte. Elle se demanda si s'était grâve d'être entrée sans permission dans cet... endroit. Elle se dit que se n'était pas polie de rentrer sans permission, mais cette porte était bizarre, intrigante, mais comment expliquer l'envie de vouloir rentrer ici? Elle repensa à la fête qu'il y avait pour son anniversaire, est-ce que l'on s'est rendue compte de son absence? De toute façon, elle passe toujours inaperçue. Elle leva les yeux et regarda son interlocuteur. Etait-il le maitre des lieux? La punirait-elle? Qu'elle est cet endroit?

Lorsque la petite inconnue reprit la parole, Kurogane croisa les bras et fit exprès de montrer à la jeune fille qu'il ne l'écoutait pas vraiment :

« Je... j'avais juste vu cette porte et par curiosité je suis rentrée, je... je suis Rose Mc. Dowell, et j'ai 15 ans. Désolés d'être entrée sans permission. »

D'après quelques grandes personnes, la curiosité était un vilain défaut. Mais qui n'a jamais voulu tendre l'oreille devant une porte close ? Qui n'a jamais ouvert le bocal rose à fleur que Maman ouvre après chaque disputes avec Papa ? Qui n'a jamais eu envie de goûter à l'alcool ? Et donc qui n'a jamais eu envie d'ouvrir la porte du pensionnat interdit ? Ne levez pas le doigt, avec déjà tout le monde qui se trouve ici ce serait faire rire ceux qui ont batît le manoir.

« ... Mais tu ne pourras plus sortir. »

Kurogane regardait la jeune fille droit dans les yeux. Quand quelqu'un disait ce genre de chose à un autre quelqu'un qui entrait pour la première fois, la plupart de ces quelques un criaient au viol et courait dans tous les sens ... d'autres rigolaient avec ironie ... d'autres s'en foutaient ... et encore d'autres devenaient violent. Le samouraï doutait fortement que cette gamine, Rose Mc. Dowell qu'elle disait s'appeler, allait devenir violente mais qui sait ? Avant qu'elle n'ai pu réagir, le jeune homme enchaîna :

« On est dans le " Pensionnat Interdit ", 'fin c'est comme ça qu'on l'appelle. Bizarrement, quand quelqu'un entre plus personne ne sort ... »

Sa mine fut faussement désolée, encore une fois il guetta la réaction de son interlocutrice.

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"On est dans le " Pensionnat Interdit ", 'fin c'est comme ça qu'on l'appelle. Bizarrement, quand quelqu'un entre plus personne ne sort ..."

Ne plus pouvoir... sortir ? Rose souria, cela lui faisait penser à sa situation initial. Après tout, jusqu'a présent, son paysage se limitait à sa maison, le jardin, et la vue que l'on avait à travers la porte. Bien quand son for intérieur une voix cria, elle se retourna et marcha lentement vers la grande porte. Elle la regarda en souriant doucement, la caressa du bout des doigts. Le bois sombre, les creux des arabesques, cela lui faisait penser aux dessins que l'on pouvait voir dans les livres d'architecture de la bibliothèque. Un silence s'installa, Rose se retourna et regarda l'homme au sabre. Lui aussi était prisonnier? Etait-il ici depuis longtemps? Enfin, cela n'avait pas d'importance suposa-t-elle, de toute façon, il ne semblait pas très amicale.

"Et... que doit on faire ici? C'est vous qui vous occupez de cette endroit? Ou vous êtes comme moi?"
demanda-t-elle, en s'approchant de l'homme en regardant le sabre, cela pouvait être indiscret, mais elle n'y fit pas attention. Une raison. Il doit y avoir une raison à cette endroit non? Enfin...

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