Il courra très vite, en fuyant une horde d'énemis. Il rentra et ferma brusquement la porte et se mit devant pour la coincé. Il regarda autour de lui.
Tout était poussièreux et très vieux. Sa vaudrait des millions maintenants. Tous ses meubles anciens, sa intérresse des colectionnaires. Une maison abandonné même par Dieu?
"Il y a un quelqu'un, dans cette maison aussi vielle que ma grand mère?" Et oui, l'espèrance de vie a monté de beaucoup... Vive les progrès de la médecine, hein? Il sorta son épée, comme si le danger aller arrivé... Une embuscade, peut être. Il regarda par le trou de la serrure: Personne. Sa y est , il peut sortir. Il éssaya d'ouvrir la porte. Bloqué, impossible !
" Dégagé de la porte, ou vous allez mourir !"
Il réassayera d'ouvrir, toujours coincé. Il donna des coups d'épée sur la porte. Cela ne fit même pas une petite entaille.
" Nouvelle prison? C'est ça? Tout est en fait que des meubles maquillés... La porte est certainement faite en un matériau trés dur. Plus dur que le bois usé..."
Se déplaça, et regarda partout et vit un escalier. Mais il n'osa pas monté, il n'avait pas peur de mourir, certe... Il attend donc un garde. Bien sûr, sa ne sera pas un garde...

[Fais attention, tu fais beaucoup de fautes d'orthographes, certainement dut à un problème de relecture!^^]

…Mais une personne qui semblait totalement dépassée dans ce genre d’univers, et qu’on ne s’attendrait pas à voir dans un manoir aussi chic et mystérieux que le Pensionnat Interdit !

Emanuelle marchait. Comme tout être humain capable de ce déplacer, d'ailleurs, ou qui possédait des capacités motrices en bon état.

Le Hall. Elle y était passée souvent ses derniers temps. Son entrée, où elle avait rencontré le jeune Solon, pauvre ange échoué et perdu dans les ténèbres. Elle s'était prise malgré elle d'affection pour lui, car il lui ressemblait, quand elle était jeune, au même age.

Elle avait aussi rencontré une certaine Seles, étrange jeune fille toute vétut de noir, et dégoulinante, apparut d'on ne sait où. Seles l'avait conduit jusqu'à une certaine Lizbeth, âme en peine perdu dans cette grande bâtisse qui semblait avoir traversé les ages. Cette dernière c'était précipitée sur Seles, et avait fondu en larme dans ses bras. Touchant.

Ou encore cette Léonie, fumeuse de service, ainsi que Uta, jeune fille d’une extrême politesse à son égard. Ce n’était pas comme cette Yachiru, ou Rayna, qui avaient tenté de l’envoyer saluer le Seigneur.

Il en fallait beaucoup pour émouvoir Ema. Responsable de l'accident qui avait tué sa soeur, elle en avait vu dans sa vie. Elle n'était pas une mauviette. Elle savait comment le monde fonctionnait, et comment le contrôler. Elle aimait tout contrôler.

Pourtant, aussi étrange soit-il, elle aimait l'idée que, quelque part dans le ciel, Dieu les observe, comme un père veillant sur ses enfants en train de jouer. Aussi irrationnelle soit-elle, cette idée lui plaisait. Sans doute la devait-elle à son éducation, une éducation religieuse plus poussée que celle que l'on donne aux enfants « normaux », élevés avec une mère, un père, et parfois même, des frères et sœurs. De enfants qui avaient des amis.

Emanuelle Logan était soeur.

- Bonjour, mon fils.

Dit-elle de sa voix calme et sereine à la personne qui se tenait devant elle dans le vestibule, non loin de la porte, situation qui ne laissait pas place aux conjectures. Un nouveau prisonnier. Prisonnier de ce tombeau. Car c’était un tombeau. Ils ne pouvaient techniquement pas en réchapper. Evidement, N’Ema était persuadée du contraire, on ne la ferait pas changer d’avis. Dieu ne la laisserait pas mourir ici, du moins pas sans explication. Si ce lieu devait être sa sépulture, elle en saurait la raison. A coup sur. Mais pour le moment, elle était seule dans un vestibule avec une nouvelle victime des I. Plus le temps de s’apitoyer sur son sort.