Souvenir mal soigner (libre)

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Le jeune homme, marchait sans aucun interet particulier, il n'aimait juste, pas etre enfermer dans sa chambre, a ne rien faire, cela l'ennuyait affreusement, alors, les mains dans les poches de son grand jeans, qui malgré la grande taille du jeune homme, trainnait par terre, une grand T-shirt noir, comme l'était ses baskets, il laissait trainnait ses yeux bicolors, sur les murs, objets, meubles....Personnes aussi, qu'il croisait, derrière ses cheveux en bataille bleu roi...
Puis, Tiphaine, dans ce grand manoir finit par se perdre, certainement par son inatention, il se mit, alors, par curiositer, a ouvrire toute les portes, qu'il voyait, puis, cette porte, n'échappa pas a la regle, il l'ouvrit doucement pousser par sa curiositer, il fut surprit de voir la piece, mais tout l'étonnait ici...Son alter Ego, etait certainement l'une des choses qu'il le surprenait le plus, car, il l'avait creer inconsiament, et ne pensait pas, du tout, le revoir un jour...
Bref, malgré leur retrouvaille, il laissait se dernier de coter, pour visiter, et vivre seul, car il n'aimait plus etre entourer, et se fut en voyant, la decoration de la piece, qu'il se remomera le pourquoi du comment il etait devenu si distant avec le monde, lui qui aimait voir les enfants rire, ses amis jouer, et s'amuser avec les personnes de toute age...
Tiphaine, fit quelques pas, alla vers un des nombreuse vase, laissant entendre des grincements plastiques, il prit une des rose en main, respira son ordeur, mais il la reposa vite, commencant a avoir mal a la tete, ne s'achant pourquoi,il commencait a se sentir mal, puis se retourna, les souvenir de sa soeur morte commenca a lui torturer l'esprit, alors il ferma les yeux, pour se laisser par la suite tomber au sol...Plus les jours passait...Plus il se rendait compte qu'il detestait cette endroit...

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Léonie se baladait dans les couloirs avec la ferme intention de rencontrer quelqu'un car elle se sentait extrêmement seule après cette année difficile passé dans sa prison qu'était le manoir. Elle laissait doucement divaguer ses pensées qui se dirigèrent automatiquement vers son père, ses derniers instants qu'elle avait passés à son chevet. Ces souvenirs déclenchèrent chez elle une certaine mélancolie qui calma son envie de boire pour oublier pourquoi elle était là. Léonie trébucha sur un tapis et s'affala de tout son long. En marmonnant le plus du juron possible elle se releva et décida de partir à la bibliothèque pour se calmer. Elle continua de marcher et de divaguait. Elle pensa au fait qu'elle était coincée ici et que vu le nombre de personne qu'elle croisait elle ne risquait pas de trouver le grand amour ce qui la désolait. Aujourd'hui elle avait 16 ans, combien de temps vivra-t-elle dans cette austère endroit ?

Soudain elle sentit un liquide chaud dégoulinant sur sa jambe. Léonie baissa la tête et vit une longue égratignure lui barrant le tibia. Elle grimaça, la vu du sang lui était particulièrement désagréable surtout dans cette étrange manoir. Elle pensa alors aux bêtes que le sang attirait qui pouvait se trouver dans lieux mauvais. Elle frissonna et changea de direction, maintenant vers l'infirmerie.

Léonie passa en courant devant une porte qui la stoppa, voilà un an qu'elle arpentait les lieux, jamais elle n'avait remarquée cette porte. Une grande porte très bien entretenu en noyer se dressait face à elle. Doucement elle entra, l'endroit était sombre et Léonie sentit un long frisson lui parcourir le dos, sa mélancolie précédente l'assailli, elle pensait de nouveau à son père. Mais cette fois ses pensées étaient plus intenses, comme si son père pouvait l'entendre. Elle secoua la tête pour chasser ses pensées et vit alors, en face d'elle un garçon, assit au sol contre le mur qui semblait perdu dans ses pensées, plutôt triste apparemment. Léonie glissa du lit et s'approcha du garçon.

- Euh... Tu vas bien ?

Elle approcha son visage du sien en attendant une réaction quelconque et en espérant ne pas l'effrayait, car même si elle ne parlait à personne elle savait à peu près qui "habitait" dans le manoir et lui semblait plutôt nouveau.

[Voila j'ai édité parce que dans mon post je croyais qu'on était dans l'infirmerie, il me manque une case, je sais *se jete du pomier*]

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(lol aucun soucis)

Le jeune homme voyait les souvenirs des plus soulagant au plus maltraitant lui traverser l'esprit, plier en deux au sol, les yeux fermer, mais il finit par entendre une voix le sortir un petit peu de ces penser...Tiphaine hochat un peu de la tete, laissant une voix affaiblie raisonner dans la piece...

"Ou...oui..oui oui..."

L'étudiant, ouvrit doucement les yeux, regardant le sol, tacheter de goute saler, qui avait au paravent couler sur ses joue brulante, a l'aide de la manche de son bras droit, il s'assuya le visage, puis redressa la tete, pour regarder la jeune fille, le visage rouge, comme son oeil...Et son yeux bleu ciel etait aussi un peu rouge, mais l'obscurité le masquait un peu, mais laissait sa tristesse s'afficher, voyant le regard de sa camarade, il eu un mal de ventre, il serra les poings, puis baissa la tete, croisant les bras, les serrant contre son estomac...

"C'est quoi cette endroit de torture ?....."

Il commenca a trembler, il n'allais vraiment pas bien...

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Léonie obtint enfin une réponse, mais c'était évidemment un mensonge, il n'allait pas bien du tout. Elle s'approcha de lui et sans vraiment le distinguer elle croisa son regard dans l'ombre. Alors elle eu une brusque envie de pleurer, elle devint mélancolique sans aucune raison aparente. Léonie chancela et manqua de tomber sur le garçon. Mais elle se resaisit quand son interlocuteur fut prit d'un spasme qui lui fit bloque ses bras sur son ventre. Il bredouilla quelque chose que Léonie ne saisit pas vraiment. Puis il se mit à trembler violemment. Léonie ne se contrôlant plus vraiment lâcha une grossièreté. Puis réfléchit, elle réfléchit un moment qui lui semblait une éternité. Après une année passée dans les livres elle devait avoir lu quelque chose sur cet endroit. Il y eu comme un déclic et tout lui revint, la salle des esprits, on peut invoquer les morts, mais cette salle renferme toute la tristesse. Malgres tout ça, elle ne se souvint pas qu'elle pouvait produire autant d'effets. Mais dans tous les cas il valait mieux sortir et aller dans un endroit plus calme.
Soudain, elle eu envie de pleurer, pleurer pour tout ce qui lui était arrivé, tout ce qui ne lui arriverait jamais. Léonie sentit comme un énorme poids s'abattre sur ses épaules et manqua de tomber. Finalement, à la vu du garçon elle se ressaisit, elle l'attrapa par les épaules et le secoua.

- Viens, on sort, c'est mauvais comme endroit !

Elle resta à côté de lui, se demandant s'il comptait marcher tout seul ou si elle allait devoir l'aider. L'idée de venir en aide à quelqu'un lui fit des picotements au coeur, elle sentit alors l'allégresse prendre le dessus sur la tristesse. Elle lui tendit sans même s'en rendre compte la main.

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Le jeune homme, tremblant de malaise et de mauvais souvenir, sentit des mains sur les épaules, Tiphaine releva alors le visage vers la jeune fille, puis hochat doucement la tete de haut en bas, puis, a l'aide de ses main stremblante l'étudiant se redressa un peu, puis a peu pres droit, ce dirigea doucement vers la sortit, ignornt la jeune fille...Pourquoi ?Parce qu'elle l'avait vu dans un si mauvaise état !Il etait devenu un grand oslitaire un peu trop beaucoup fiere, tenue contre les murs, Tiphaine, finit enfin avec difficulter a sortir de la piece sombre, il laissa la porte ouverte pour sa camarade, puis dehors, il se mur contre le mur, se laissa glisser, fermant les yeux, tremblent toujorus autant...Serrant ses bras contre son ventre, car il avait une envie de vomir atroce...
Le jeune homme repliat ses jambes contre lui, posa sa tete sur les genoux, puis dit doucment d'une vois trembelante, et enrouher...

"Dans quoi je me suis encore foutu...j'en est marre..."

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Finalement Léonie se retrouva dans le couloir, appuyée sur le mur opposé à lui. Elle ne savait pas vraiment quoi faire, la situation était presque gênante. D'ailleurs le garçon, affichait clairement qu'il ne la voulait pas en face de lui. Il y eu un long silence pendant lequel elle l'observa sans bouger. Il restait toujours aussi tremblant, les mains plaquées sur le ventre et la mine défaite. Un détoure par l'infirmerie sans infirmière semblait obligatoire. Mais elle préférait le regardait encore un peu, il avait l'air tellement faible... Puis il mâchonna des mots qui arrachèrent un rire bref et idiot à Léonie. Une fois de plus elle s'accroupit devant lui, une main sur chaque épaule, avec un sourire étrangement tordu. Léonie se demanda il allait rester encore longtemps à se toiser de loin, ou s'il allait accepter qu'elle l'aide à allait mieux. Finalement, elle souffla puis lâcha :

- Aller, bouge toi le cul, il y a une infirmerie ici ! Je t'accompagne ?

Elle prononça ces paroles comme si tout allait de sois mais, en faite, vu les grimaces qu'il avait fait auparavant et la position dans laquelle il se tenait il n'allait vraiment pas bien. Alors, pouvait-il marcher dans cet immence couloir jusqu'à l'infirmerie. Les pensées de Léonie commençaient à s'embrouillées, mais la question restait la même. Pouvait-il bougeait ou pas ? Elle voulait bien lui poser la question mais, elle avait peur de blesser son ego. Finalement elle se résigna.

- Tu... tu te sens de marcher ..?

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Le jeune homme malgré son envie d'etre seul, sa tritesse debordante, ne poussa pas la jeune fille lorsqu'il sentit les mains de cette dernière sur ses épaules, mais, il n'apreciait guère la sensation, surtout, lorsqu'il entendit les paroles qui vienrent se presenter, alors, il essaya de se calmer, puis sessuya de nouveau le visage, retenant ses larmes, et, etrangement arreta ses tremblement, la peur des infirmier fut plus forte que son envie de pleurer, il se redressa alors un peu...Puis se remit debout...Et la regarda...

"Oui..Mais certainement pas pour aller a l'infirmerie..."

Il s'inclina un peu de politesse...

"Au revoir mademoiselle..."

Depuis que la jeune fille lui avait dit d'aller a l'infirmerie le jeune homme avait totalement changer...Etrange d'ailleur...

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Léonie comptait bien l'aider jusqu'au bout avait l'impression de s'être pris une grosse gifle. Elle resta stupéfaite par la force avec laquelle il s'était relevé. Elle en arriva même à se demander s'il s'était vraiment sentit mal. Au lieu de partir, elle resta face à lui, le regard noir. La jeune fille était effectivement très vexée par son attitude. Elle s'approcha très près, de lui et lui plaqua une main sur le torse, car elle avait compris qu'il se sentait gêner par sa présence. Décidément, il était bizarre et surtout asociale. Elle resta un moment comme ça, sans bouger histoire du lui faire comprendre qu'elle avait compris puis laissant un par de sa colère éclatée elle lui dit :

- Je sais pas si tu comptes resté longtemps en vie mais la solitude n'est pas un bon moyen pour survivre.

Elle lui lançant encore son regard noir avec un sourire mauvais puis disparut dans les couloirs.
Mais elle revint quelques minutes plus tard. Elle resta cette fois si, un peu plus distante et avec un mouvement de la tête elle lui annonça son prénom.

- Je m'appelle Léonie. Et c'est quoi ton probleme ?

Elle s'assit contre le mur plus loin dans le couloir, environ 3 mètres devaient les séparer.

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Le jeune homme la regarda, surprit, mais ne le montrant pas, puis lui lancant un regarda indifferent et vide d'attention, puis soupira tristement, la vie lui avait apris, qu'il fallai mieu etre seul, car le jourou l'on partait, ainsi, personne n'avait mal...Et puis...Il ne s'attachait plus a personne ainsi...Il c'était en faite, creer un bouclier pour echapper, au dur lois de la vie ? Oui certianmeent, il avait eut du mal depuis quelques années a accepter toute ses douleurs, qui le faisait tent soufrire juste, au coeur...
Il finti par la voir revenir, il la regarda dans les yeux, mit ses maisn dans les poches...

"Mon probleme...Tu ne peux pas comprendre...Personne ne le peux..."

Il se remit a marcher doucement, laissant le doux grincement de sa prothese cacher se faire entendre...Ne voulant guère rencontrer cette fille, enfin rencontrer, discuter, pour la connaitre plus, car, il n'en avait tout bone ment pa envie...

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"Le garçon" comme elle l'appellait se releva apres lui avoir brievement répondu se leva et arpenta le couloir, laissant entendre un léger grincement. Léonie ne réussi pas à trouver d'ou venait se sinistre bruit, alors elle se releva à son tour, le regarda vite et partit en le sens inverse, tout simplement. A vrai dire elle en avait assez de cet espece de coquille stupide qu'il se faisait, ca lui donnait un air orgeuilleux. Sa conduite ne le menerait pas loin de toute façon, sans alliés il risquait de se retrouver très vite parmis les tombes du cimetiere que possédait le manoir. A l'autre bout du couloir, Léonie étouffa un rire sadique mais au fond elle esperait bien qu'il viendrait lui confié ses secrets. Elle savait par expérience que malgrè tout il vallait mieux attendre aussi grande soit la curiosité.
Elle disparu au premier angle.

[Je voulais te dire un truc, je sais que c'est pas trop à moi de m'en occupé mais tu devrais te relire parce que parfois c'est pas facile de lire tes posts, tu inverses des lettres et fais pas mal de fautes d'orthographe. Sinon désolée pour ce post un peu court...]

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