Ce soir là j'étais dans le couloirs en train de regarder par la fenètre le désert qui se trouvait derrière le portail du manoir quand un petit garçon s'approcha du grillage, il m'y un moment, hésitant à rentré ou pas et les nages s'amoncelèrent avant d'éclater, j'avais envie de lui hurler de ne pas rentrée mais mon corps ne réagit pas, il y eu seulement mon coeur qui crié. Après tout, tout était dans les règles à la bibliothèque, je savais qu'il m'était impossible de prévenir qui que ce soit. Même le Dieu des Dieux le plus puissant ne devait surement pas être conscient de l'existance d'un tel lieu.
Le garçon au pied du manoir s'emblait jouer, le mauvais temps se calma, les nuages se disipèrent. En bas les deux grandes porte s'ouvèrent puis se refermèrent dans un grand bruit. Et j'entendis crier. Il cherchait donc simplement où dormir. Le pauvre... Je ne savais pas comment lui anoncé mais puisque j'étais dans les parages il fallait bien que je l'acceuil. Je me rappelle le jour ou l'on m'a acceuillit. C'était une soeur. Soeur Emanuelle, elle m'avait elle aussi parlé des I. Tiens, je ne m'en souvenait même pas... Alors les I je ne les ai pas vu seulement dans ce livre... Zut... Bon, elle m'avait tout expliqué très calmement, moi, c'était la première fois que je devais annoncé un chose aussi horrible à quelqu'un. Et qui plus est "petit"...
Je souffla et déscendit lentement les escaliers, l'esprit préocupé. Arrivé au pied de l'escalier, je contempla un moment le hall, qui m'était maintenant familier, mais je ne voyait personne... Alors doucement je m'approcha de la porte et un gros vase m'adressa la parole. Aillant comprit je souris gentillement, sortit une cigarette, la planta entre mes lèvres, prête à décliner mon identité.

- Je suis Léonie, et toi, tu es un nouveau venu à qui il faut que j'explique tout... Sors, je vais pas te manger. Et sinon tu t'appelles comment ?

Malgrè moi je ne réussit pas à le prendre autrement que de haut, après tout c'était un gamin et un ignorant -même si il ne le resterait pas longtemps-.

Théo, derrière son vase sentit que quelqu'un se trouvait à côté de lui mais sans le regarder. D'après le vois, c'était une fille, âgé mais pas non plus une femme (ni une grand-mère), il ressentit dans sa vois un mélange d'autorité, d'anxiété et de compassion. Il fut très vexé par le ton avec lequel elle lui parlait, mais il essaya néanmois de resté calme. Le garçon se releva doucement et se plaça face à son interlucutrice. Elle était plus grande que lui, environ quinze-seize ans. Les cheveux chatains, un visage simple et agréable, elle resemblait beaucoup à la soeur de Clashy... Cette pensée, l'attendrit quelque peut mais il resta tout de même énervé contre elle, lui lancant un regard noir.
Il remarqua alors quelque chose qui faisait de la fumée entre ses lèvres, une cigarette ! Oui, il l'avait édutié en histoire... C'était cette chose qui avait tué un million et demi de personne en France après la troisème guerre mondial... Les cigarettes avait explosés car elle avait mal était dosées, puis les français très malins, oui, Théo était fier, les français c'étaient servit de ces choses pour faire explosé les banques de leur ennemis... Whaou...

Timide envers les étrangers Théo ne savait pas comment réagir, la traiter comme une domestique..? Après tout, ce devait être son grade vu qu'elle était venu l'accueillir de nuit dans la demeur... Mais le ton avec lequel elle s'adressait à lui indiquer qu'elle était plutot fière d'elle. Finalement, il resta mitigé et décida de la prendre un peu pout une "bonniche" mais pas autant des sa nourrice et ses parents.

- Je m'appelle Théophile Lévèque, je fait partie des derniers descendant de la Royautée Française, et je veux dormir dans un lit confortable !

Voilà, c'était un ordre digne donné par quelqu'un de digne puisqu'il avait cité son rang, elle n'avait plus qu'à s'exécuté, et pourquoi pas, s'agenouiller à ses pieds même si Théo douter fortemment qu'elle se réduise à ça. Il la regardait sans cillé, pensant qu'il aurait peut-être du évité le ton de l'ordre.

Le garçon, et même le petit garçon sortit de sa cachette. Il avait l'air un peu vexé par ma façon de parler et ça me mit mal à l'aise, en plus quand il se planta devant moi il me ragarda un moment et son regard se porta aussi sur ma clope qui se consumait lentement, il avait laissé ses jolis yeux vert vagabondé dans sa mémoire. Aparemment il cherchait comment me répondre car il mit un moment avant d'y parvenir. Quand enfin, il lacha ses mots je fut complétement indignée, très véxés... Il me prenait pour une femme de chambre ou je ne sais quoi. Si il avait était mon frêre, la giffle serait partit mais là, je me retint péniblement, de toute manière ce que j'allais lui apprendre risqué d'être plus fort douloureux qu'une giffle. C'est vrai ça... Pauvre gosse, un des dernier descendant en plus... La France ne devait peut-être plus en avoir maintenant... Il ne devait avoir qu'une dixaine d'année... Pauvre gamin... Sans vraiment le vouloir ma main se posa sur son épaule. Il fallait maintenant lui expliquer. Et ma voix trahit sans peine les émotions qui me torturer, compation, regret et nostalgie.

- Viens, on va s'assoir.

Je partis m'assoire sur les marches de ces magnifiques escaliers de marbres puis sans l'attendre entamma mon "récits", les revelations. Remodelant sans peine ce que l'on m'avait appris à mon arriver.

- Bon... Alors... Je passa ma main dans mes cheveux. Théo... Ici c'est en quelque sorte un penssionnat, seulement tu ne peux pas en sortir... C'est compliqué à expliquer. De quelque manière que ce soit, tu restes ici de ton plein grès ou non. Tu ne peux pas sortir, c'est un fait indéniable. Je tira longtemps sur ma cigarette presque jusqu'à l'étouffement, et je laissa un silence plané pour que tout s'incriste doucement dans sa mémoire, puis je reprit. Ce manoir et tout le terrain appartient à la famille I. C'est tout ce que je sais, et des choses magiques plus ou moins mauvaise se passe constemment ici... Voilà, le reste à toi de le découvrir.

Et maintenant, comment allait-il réagir ? Arf... C'est qu'un gosse, j'aurais pu lui mentir... Je suis débile...

Tout d'abord, Théophile ne parut pas du tout triste, plutot joyeux, le voir comme ça m'affligea un peu en réalité car je savais qu'il n'avait pas encore pensé à ses proches et tout ce qu'il laissait derrière lui... Après tout il n'était pas le seul à s'être régouit de se trouver dans un endroit magique. Le pauvre laissa même une expression joyeuse lui échappé.
Comme je m'y attendais la prise de conscience vint peu après, Théo se calma rapidement et son sourir rétrécit tout doucement jusqu'au stade de grimace. Patiente, je le regardais évoluer car il n'y avait rien à faire. Il fallait attendre et surtout ne pas intérompre la personne en face, ce devait-être assez dure pour lui. Il s'assit à côté de moi, triste. Gentillement, comme si il avait été mon petit frêre je mis main sur sa tête et caressa doucement ses cheveux décolorés, comme pour calmer un bébé. Mais Théo n'était pas du tout un bébé, et là il m'avait flanqué un truc bizarre sous le nez, si bien de je lachat ma cigarette qui s'écrasa sur la marche en marbre.
J'allais lui demandais ce que c'était quand tout heureux il me m'annonça tout ce qui se trouvait à l'intérieur, dont un objet qui s'appellait mobile, ça ressemblait à portable... Il sortit son fameux mobile qu'il colla sur sa joue, je souris, il commença à parler à une certaine Ernestine, mais je ne l'avais pas prévenu qu'il ne pouvait parler à personne du pensionnat, mon sourir retomba.
Je le vit, de rage écrasé son apareil. Je soupira, quel violence, on aurait dit un garçon gâté qui allait de toute manière en avoir un nouveau, mais après tout ce devait-être sa situation puisqu'il était un descendant du Roi... Pfff...
Un long silence suivit son petit exès de rage, je tournais et retournais dans ma tête ce que je pouvais dire pour réchauffer l'athmosphère. D'ailleurs, j'avais oublier de lui mentionner la présence de l'alter ego. J'avais besoin de marcher maintenant, alors je fit le tour de la salle en réfléchissant comment lui dire, moi on m'avait simplement dit, je cite :"votre Alter Ego Astral. C'est un ami imaginaire que vous avez imaginé quand vous étiez toute petite, et que vous avez oublié depuis". Mais moi, j'avais remarqué Juno avant, et la il n'y avait pas de trace animal. Finalement, j'allais lui dire comme si c'était une évidence...

- Et, oui, puisque la magie et partout ici, j'avais oublier de te dire qu'il y a des Alter Ego Astral... Pour résumé, c'est un animal que tu as imaginé quand tu étais petit, pour ma part je l'ai rencontré dans le manoir avant qu'on ne m'explique qui il était mais toi... Je n'ai pas vu d'animal. En parlant de magie, je me rappella très vite que j'avais même oublier de lui anoncé qu'il devait avoir un pouvoir caché. Et tu as aussi un pouvoir, mais en général on ne le connait pas dès le départ on le trouve sans faire exprès mais peut-être que tu connais déjà le tien...

Voilà, je pensais avoir tout dis et malgrè moi mieux que je ne pensais car le fait d'avoir terminer par le pouvoir aller surement lui remonter le moral. De toute façon j'étais sur qu'il allait accepté la situation, il avait l'aire d'aimé l'aventure et ici elle lui était servit sur un plateau doré.

Théo regardait son mobile en miette au sol, qu'avait-il fait ! Il aurait très biens put le réparer... Tant pis, de toute façon il ne devait être très utile dans cet antique endroit... D'un seul coup Léonie se leva, supris le garçon eut un geste de recul. Peut-être était-elle une magnifique sorcière là pour inventé des histoires abarcadabrantes et endormir grace à ça sa victime puis la manger ou lui boire le sang ou bien encore lui prelever les oreilles pour sa potion. Mais au fond, Théo savait très bien que rien de tout cela n'était vrai mais cette idée lui plaisait énormément, imaginer cette grande brune en sorcière maléfique. Il trouvait ça très drôle même.
Tout content de sa trouvaille Théo sourier et Léonie reprenait la parole. Des pouvoirs ? Un animal magique ? Whaou... Incroyable, tout devenait de plus en plus merveilleux, peut-être que son pouvoir était de contrôler des gens ? D'arrêter le temps ? De lire dans les pensées ? Que de choses à imaginer et Théo bouche-bée ne répondait pas, il se contentait de faire la liste des pouvoirs qu'il pouvait avoir. Son sourir s'élargit.

- Trop... cool ..!

Mais l'animal n'était pas là, était-ce le perroquet qu'il avait apercut tout à l'heure ? Oui, peut-être, il pensait même qu'il s'appellait Maurice. Léo, oui, Léo c'est plus court que Léonie, lui avait dit qu'il venait de son enfance, mais pourtant malgrè les efforts de mémoires Théo n'avait aucun souvenir d'un quelconque animal et encore moins d'un perroquet nommé Maurice ou pas... Il fallait donc qu'il le retrouve se perroquet.
Théo ramassa le mobile écrabouillé. Il aurait bien fait un calin à Léonie histoire de lui dire merci un peu comme a une grande soeur mais il ne se connaissait pas assez pour ça, alors il posa sa main sur son épaule, la regarda droit dans les yeux et partit part les escaliers les montant quatres à quatres tout joyeux.
Maintenant, par où aller ? Chercher un endroit ou dormir serait une bonne idée. Cherche, Ernestine ne chercherait pas pour lui, il ne pouvait même pas lui hurler de se depecher...