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 Comment aurais-je pus le savoir ? [PV 1er personne]

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Comment aurais-je pus le savoir ? [PV 1er personne] _
MessageSujet: Comment aurais-je pus le savoir ? [PV 1er personne]   Comment aurais-je pus le savoir ? [PV 1er personne] Icon_minitimeSam 15 Nov 2008 - 16:00

Le bâtiment, le vieux. Le vieux bâtiment. En tous cas, c'est ce qu'on pourrait croire en voyant la grille à moitié rouillé, la peinture bleu foncé qui s'enlève et la pancarte qui ne laisse plus apparaître le nom de ce pensionnat. Mais l'habit ne fait pas le moine comme on dit. Il n'y avait aucune sonnette, et en cette nuit froide d'automne, Aaron, le prochain pensionnaire de cet établissement sans nom, ne voulait pas rester couché sur sa mince valise ne comprenant que quelques affaires et son skateboard. Le grand blond poussa l'immense grille, elle n'était même pas fermée, et un grincement effroyable dans ce silence se fit entendre. Assez désagréable d'ailleurs. Aaron eut le mal heure de découvrir une grande étendue d'herbe sans rien sauf un petit sentier en gravier fin remontant jusqu'à un magnifique manoir, pour ne pas dire château. Il semblait neuf, mais d'une architecture de plusieurs cinquantaines d'années. Mais ça avait beaucoup de charme. Le jeune homme marcha jusqu'à la grande porte du manoir, valise à la main, l'autre dans la poche. Un vent froid sifflant dans les oreilles arriva. Aaron pressa le pas. Arrivé devant la grande porte, il ne pensa pas à frapper, et entra directement. La porte se referma aussitôt fans un grand claquement. Un grand hall s'offrait au nouveau pensionnaire. Il était grand, mais assez vide. Il faisait sombre dedans, seule une faible lumière permettait de voir un minimum dans cette pièce. Elle était décorée d'un sol en carrelage carrelé de forme carrés bege et marron rouge. Le reste était dans un bois de même couleur. Il y avait aussi une grande affiche. Il alla la lire.

Après sa lecture, il fit un soupir. Qu'est-ce que ses gens racontaient ? Quoi qu'il en soit, le "pris-au-piège" n'avait croisé personne. Cela devint assez inquiétant. Un bon début de scénario pour un film d'épouvante n'est-ce pas ? Un décor qui colle, une ambiance qui allait bien pour ce genre de film, et tout. Lorsque Aaron y pensa, il fit un petit rire. Il alla vers la porte, et l'ouvrit. Ou pas. Impossible de faire bouger cette satané porte ! L'estomac du maintenant prisonnier fit un tour, et il eut un frisson dans le dos. Mauvaise blague ou magie ? Il ne le savait pas, et pour l'instant il voulait sortir de ce cauchemar. La seule chose qui fallait faire, c'était avancer dans le couloir derrière lui. Mais qu'est-ce qui l'attendait plus loin ? Aaron fut comme paralysé, il ne savait que faire. Mais rester planté ici ne servirait à rien. Il reprit son calme peu à peu, et sa paralysie fut terminée. La seule chose à faire, c'était d'avancer. Et maintenant qu'il y pensait, il n'avait rien à craindre, apparemment il avait des pouvoirs ! Et même un animal de compagnie. Il n'y croyait pas trop, mais bon. Alors qu'il reprit sa valise, il entendit dans l'ombre du bruit. Aaron commença à paniquer. Il vit alors une petite bête à quatre pattes toute mignonne s'approcher de lui. Etait-ce un piège ? Probablement, car les apparences sont parfois trompeuse. Cette petite bête s'approcha de plus en plus à la lumière, et Aaron eut la surprise que ce n'était qu'un petit lionceau. La bête dit alors, par la grande surprise de l'humain :


- Salut Aaron ! Cela faisait si longtemps ! Tu te souviens de moi ? Je suis Léo, ton alter ego astral, autrement dis ton animal de compagnie. -

Comment Aaron avait pus oublier cette voix d'enfant, son ancien animal imaginaire ? Avec l'âge sans doutes. Tout le monde grandit un jour où un autre de toute façon. Mais là maintenant, le jeune homme retomba dans l'enfance et il tendit ses bras vers son ami avec un grand sourire. Léo y courra dedans, puis son ancien maître lui dit tout plein de joie :

- Oh Léo ! Je suis tellement content de te revoir, et en plus ici ! Ce qui est encore mieux, c'est que tu sois réel ! Mais j'aimerais te faire des excuses, je te demande pardon de t'avoir oublié. -

- Ce n'est pas grave, tu avait grandi, c'est normal d'abandonner certaines choses en grandissant. Je ne t'en veut pas, et le principal, c'est qu'on soit réunis tout les deux. -

- Oui, tu as raison. -

Aaron s'assit part terre à côté de sa valise en s'adossant au mur derrière lui, et posa Léo sur ses genoux. Il regarda autour de lui. Il n'y avait rien d'anormal. Il caressait le petit lion quand des bruits de pas se fit entendre. Aaron ne bougea pas, et attendit (presque) calmement une arrivée quelconque.
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MessageSujet: Re: Comment aurais-je pus le savoir ? [PV 1er personne]   Comment aurais-je pus le savoir ? [PV 1er personne] Icon_minitimeJeu 20 Nov 2008 - 20:52

[Désolé pour ce post lamentable...Neutral ]


Le soleil battait sur les paupières du jeune Edward. Allongé, inerte au sol tel un lamentable cadavre s'étant laissé porté au gré d'un fleuve intrépide et sauvage. La puissance et la chaleur de cette boule de feu ne tarda pas à réveiller notre enfant et de le tirer d'un rêve incroyablement terrifiant, pourtant, tout n'avait été que réel. Il fut trahit par ses amis les plus proches, par les gens qu'il croyait être sa famille, mais la honte vérité éclata, révélant qu'il n'était qu'un bâtard orphelin.

Si il avait bien prit cette afflux de nouvelles il n'aurait pas tardé à devenir le roi des terres qui l'entourait. Pourtant rien n'y fit, il se sentait blessé, abandonné, trahit, et honteusement seul. Si seulement il y avait quelqu'un pour lui tenir compagnie et lui faire comprendre qu'il ne sera jamais seul. Pour une fois il avait envie d'entendre ces phrases clichées que tout le monde déteste mais qui ont cependant un effet, même infime, sur la personne. Lentement, il ouvrit ses yeux, brulant rapidement sous la lumière pure de ce jour. Il tenta, en premier lieu, de se cacher le visage avec ses mains, mais, les blessures de ses bras lui faisait un mal fou, l'entièreté de son corps semblait tétaniser. Était-ce de la peur ? De la fatigue ? Ou le manque de nourriture qui le mettait dans l'état si déplorable que celui dans lequel il était. Après avoir fait d'impressionnants efforts, il parvint à se lever, titubant et souffrant. Son visage était sale, ses yeux gonflés de larmes. Il était perdu et avait comme seule compagnie, une vieille machine à écrire donc il n'était pas prêt à utiliser pour le moment. Non par désintéressement mais plutôt par manque de temps. Une grande plaine s'étendait à perte de vue. Le jeune Edward n'avait jamais vu une contré comme celle-ci, pourtant il avait de nombreuses escales dans le pays. Pendant une demie-seconde il cru avoir changé de pays, d'univers. Il se sentait totalement dépaysés mais il trouva un certain apaisement à cette situation.

Il scruta longuement l'horizon, admirant ce doux paysage parfumé par les fleurs de printemps donc les pétales dansaient avec le vent, ferma ses yeux quelques secondes avant de prendre une grande inspiration et de dire:

"Liberté"



Son voix suave ajoutait à ce terme une telle intensité qu'il en fut presque délicieux.
Ses vêtements étaient en lambeaux, tout en retirant son haut déchirer pour laisser place à une chemise, qui semblait couteuse, blanche, il tomba nez-à-nez sur une porte aussi imposante que celle de son royaume. Elle semblait être usée mais n'en ayant point perdu sa valeur, bien au contraire. Il posa sa main sur le bois, l'ensemble de ses sens étaient réunis dans ses doigts fins. Voulant à tout prix rencontrer le seigneur de se château si imposant, il poussa la grande porte, qui était beaucoup plus légère qu'il n'y parut à première vue. Un grincement se fit entendre, provoquant un frisson qui parcourut l'aine du jeune homme.

Après être rentré, un vent violent souffla dans le hall de la demeure, faisant claquer la porte derrière lui. Suite à cet événement l'atmosphère était lourd et effrayant. Edward avait peur:


"Il y a quelqu'un"



dit-il dans un murmure presque inaudible. Un nouveau frisson le traversa. Rien ne semblait effrayant, l'escalier ressemblait à celui de sa demeure et tout paraissait d'être d'une richesse unique. Un tableau était entreposé sur la droite. Il s'approcha et commença à lire. Des instructions, des instructions...pour vivre. Prit de terreur il courut vers la porte et tenta de l'ouvrir avec une frénésie presque surnaturelle. Fermée. Il allait mourir dans un lieu qui où il n'était pas chez lui, il allait disparaitre sans avoir reparler à Ian, sans avoir dit qu'il aimait sa tante, sans avoir vécu. Les jambes tremblantes, il s'adossa contre la porte et se recroquevilla, menton dans les genoux. Plusieurs sanglots se firent entendre, mais rien, personne ne vint le voir. Il était seul...
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MessageSujet: Re: Comment aurais-je pus le savoir ? [PV 1er personne]   Comment aurais-je pus le savoir ? [PV 1er personne] Icon_minitimeJeu 20 Nov 2008 - 23:27

Attendre une arrivée quelconque... Je vous en ficherais des arrivées quelconques ! Aaron avait passé plus de dix minutes sur un des murs de ce grand hall, et personne n'était venu, pas même un chat. Enfin, il y avait tout de même un félin, mais c'était seulement Léo le lionceau, accompagné de son ami le "seul-au-château-qui-fait-peur"; quoique l'ennui tuait la peur. Mais c'était quand même bizarre que âme qui vie dans cet endroit n'avait pas fait un tour dans cette pièce. Peut-être que la château était en fait inhabité, et que cette pancarte est été faite il y longtemps, et que les anciens pensionnaires avait réussis à s'échapper. Ou pas, Aaron ne le savait pas, et il voulait une réponse. Que faire à pars bouger son derrière du sol, placer un pied devant l'autre, et aller jusqu'à une rencontre ? Alors il s'exécuta. Le seul endroit où il pouvait aller pour espérer une rencontre était ce couloir plongé dans l'ombre. Il y alla, fit quelques pas, et à une dizaines de mètres, il entendit la porte s'ouvrir puis se refermer aussitôt. Son estomac fit un bond. Que fallait-il faire ? Courir plus loin, loin où on ne sais pas ce qui nous attends, ou revenir sur ses pas pour voir un nouvel arrivant et à la place pourquoi pas martien... (pourquoi pas !?) ? Aaron opta pour la deuxième option, là-bas il y avait à peu près de la lumière, et la chance de tomber nez-à-nez devant une créature inconnue était peu probable. Il reprit le chemin en sens inverse, avec des pas assez lent, mais aussi très prudent. Aaron entendit après un jeune homme, environ du même âge du grand blond, en train de sangloter doucement. Qu'est-ce que cela signifiait ? Un piège ? C'était probable, le genre de chose qui arrive dans les films d'horreurs, quand une petite fille fait semblant d'être en détresse, alors que c'est un horrible démon. Aaron chassa cette idée tout de suite de ça tête. Mais n'importe quoi quand même ! La peur subsistait en lui, mais pas à croire que tout était dangereux. Le monde est aussi pacifique tout de même (comment ça un tout petit peu ?) ! Le skateur blond (oui je sais, j'insiste beaucoup sur ses cheveux, mais je vais pas ire "le porteur de Vans" quand même !) vit un garçon replié sur lui même, auprès de la grande porte. En effet, il avait l'air d'avoir le même âge qu'Aaron. Il marcha près du jeune homme prudemment, sans faire de bruit non plus, et puis alors posa sa main sur l'épaule du garçon en faisant "Hey, ça va aller ?". Il ce sentait d'ailleurs un peu gêné de venir quelqu'un qui avait peut-être besoin d'être pour le moment seul. Avait-il lu la lettre laissé par ces pensionnaires ? Sûrement que oui, sinon ce garçon ne serait pas dans cet état. Aaron fit d'un air assez triste :

- Tu... tu as lu la lettre, c'est ça ?... -

Aaron comprenait ce que ressentait le jeune homme par terre. C'était vraiment triste quand même...
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MessageSujet: Re: Comment aurais-je pus le savoir ? [PV 1er personne]   Comment aurais-je pus le savoir ? [PV 1er personne] Icon_minitimeSam 6 Déc 2008 - 10:00

*Je veux rentrer au château...*. Cette phrase tournait inlassablement dans sa tête. On aurait dit un gamin faisant un caprice, c'était le cas. Le jeune avait tellement été dépendant des biens de son ancienne famille, qu'une fois seul il ne savait quoi faire. Il passa ses bras derrière ses cuisses afin de se resserrer dans son étreinte. Il se sentait si seul et si petit dans cette demeure.
Il serra ses poings tellement fort que ses ongles en charcutaient la peau au point d'en saigner. Il tremblait de tout son être et il savait que rien n'allait redevenir comme avant. Pourquoi se morfondre alors ? Il n'en savait rien, c'était trop brutal pour lui.

Il prit une grande inspiration et passa machinalement sa main sur ses yeux pour en retirer les dernières gouttes. Ses yeux étaient gonflés, il le sentait, mais tant pis. Il n’avait pas à pleurer comme une fillette.
Sa main gauche, poing contre le sol, se délestait d’un filet pourpre faisait un petit disque autour de celle-ci.

Une présence s’approcha. Il l’avait sentit alors qu’elle était loin de lui et tout était silencieux. Qu’est-ce que ça allait être ? Un monstre ? La mort ? Quoique sa puisse être Edward était prêt à l’affronter. Ian lui avait enseigner l’art du combat et c’était spécialisé dans les prises de soumissions.
Tout le monde lui disait que c'était pour les filles ce genre de choses, mais lui, il trouvait quelque chose de fascinant et d'artistique. Il avait vu quelqu'un pratiquer un des techniques en combat réel, c'était époustouflant. Il laissa ses mains tomber au sol, reniflant une dernière fois. Il se jura que c'était les dernières larmes qui couleraient de ses yeux, les dernières gouttes de sentiments et de peine qui se déverseraient de son âme. La personne était à présent a quelques centimètres de lui, un homme, qui avait l'air, à toute évidence, calme. Son sang bouillonnait dans l'entièreté de son être. Son plan de défense était parfait, il était sûr que celui-ci tenterait un contact physique et c'est à ce moment qu'il ripostera.

Silence...

L'homme à présent agenouillé posa sa main sur l'épaule d'Edward, qui esquissa un sourire victorieux. Il n'allait pas évidemment endormir son adversaire ou encore le tuer, l'affaiblir était une solution adéquate à la situation. Il posa sa main sur celle de l'homme la serrant et avec sa main de libre, il lui mit une simple mais puissante pression au niveau du muscle de l'épaule, affaiblissant considérablement l'attaquant. ("Shoulder Claw")
Il se leva et regarda cet homme, maintenant qu'il pouvait le voir, il n'avait pas bien l'air méchant, mais tant pis, on ne prend pas les gens par surprise, surtout lui.
Il passa machinalement une main dans sa crinière d'ébène, son sourire se souligna à nouveau sur son visage angélique. Il s'accroupit devant le jeune adversaire et dit avec une expression sévère:


"Que me veux-tu ? Qui t'as envoyé ? Réponds où je te brise soigneusement la nuque*


Ses yeux n'était plus victorieux, mais tachés d'un sadisme qu'il croyait avoir refoulé depuis longtemps. Il ne croyait pas en l'humain, c'est pour cela qu'il n'éprouvait pas de sentiments touchant la tristesse quand il se retrouver devant un cadavre ou quelqu'un de mourant. Pour lui, la personne avait fait son temps, ou pis encore, elle avait commit un acte seulement pardonnable par la vente de son âme au diable. Il soupira avant de poser son pied sur la main de l'inconnu:

"Devrais-je me répéter ? De quoi parlais-tu tout à l'heure ?"

Plus il posait des questions, plus le ton de sa voix était las. Il aurait voulu en finir rapidement et chercher une réponse à ses questions plus rapidement, mais le monde semblait être contre lui. Edward jeta un regard à sa machine à écrire, elle était intacte. Tant mieux...
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MessageSujet: Re: Comment aurais-je pus le savoir ? [PV 1er personne]   Comment aurais-je pus le savoir ? [PV 1er personne] Icon_minitimeLun 8 Déc 2008 - 18:03

La vie n'est pas rose. Et ce "pensionnat", si on peut dire, nous le confirme. Quels cauchemars avaient pus avoir droit les personnes de cet endroit ? Sûrement des choses horribles. Aaron ne pensait pas qu'il passerait ses meilleurs années de sa vie ici. Sûrement les pires. Si ce manoir ne permettait pas de s'ouvrir, alors il devait aussi renfermer d'autres pièges. Cela était bien possible. Peut-être aussi que les gens ici étaient devenus... sauvages, mangés par la soif de pouvoir survivre. Il est vrai qu'Aaron s'inventait sûrement des films, mais pourquoi pas ? L'humain est quelque chose d'imprévisible, disons. L'humain est aussi odieux, ne pense qu'à lui-même. Aaron détestait cette vision des choses, mais c'était, pour la plupart des cas, la triste vérité(i. En parlant de tous ça, de la crainte et de la peur, Aaron eut un exemple : lorsqu'il avait vu un garçon pleurer dans le hall d'entrée. Naturellement Aaron était aller voir, et sans faire attention il avait toucher l'épaule du garçon. Un geste sans signification particulière, enfin c'était normal, anodin. Mais juste après, le garçon part terre prit la main d'Aaron, et exerça avec l'autre main une pression sur le muscle du jeune blond. Tout deux était à genoux, mais un souffrait. Aaron avait eut sur le coup mal, mais le jeune homme devant lui n'était pas bien gros, alors qu'Aaron était, si puis-je dire, taillé comme une armoire. Il n'avait pas si mal que ça. Il cherchait un moyen de ne pas créer d'autres conflit, pendant ce temps il faisait (presque) semblant d'avoir mal.

"Que me veux-tu ? Qui t'as envoyé ? Réponds où je te brise soigneusement la nuque", fit l'inconnu. Ce dernier soupira après un instant et posa brutalement son pied sur la main d'Aaron. Il n'avait pas vraiment mal, on pouvait vraiment dire que le garçon faisait faible pression sur le grand blond."Devrais-je me répéter ? De quoi parlais-tu tout à l'heure ?", redit le garçon. Aaron voulait mettre fin à cette scène stupide en collant un coup de point rapidement sur l'homme qui l'avait mit à genoux, mais la violence n'était pas une bonne idée. Il se dit que la plus sage décision était de se soumettre aux questions posées.

- Je ne te veux rien, je t'ai simplement vus part terre en train de pleurer, je voulais voir si tu allais bien. Et personne ne m'as envoyé, je viens d'arriver il y a une demi-heure environ. Ma valise est là-bas plus loin Dit-il en montrant avec sa main libre la valise sur le murs d'à côté. Tu peux me relâcher maintenant ? Je ne veux pas d'ennuis... -

Sa voix était parfaitement calme et détendue, Aaron ne pensait pas qu'il avait du soucis à se faire. Pour le moment en tous cas. Il espérait seulement ne pas aggraver la situation.

[HJ : Je trouve que tu es aller un peu fort dans ton poste... Sinon tu peux remarquer que mon poste-là est moi grand que celui d'avant, c'est parce que ce d'avant je devais être dopé, je sais pas. En tous cas mon niveau est faible d'habitude (15-20 lignes).]
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MessageSujet: Re: Comment aurais-je pus le savoir ? [PV 1er personne]   Comment aurais-je pus le savoir ? [PV 1er personne] Icon_minitime

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