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 Maël Filipoudille - Je vois vos cerveaux. Voilà. [Fini]

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I.R.M sur pattes
Maël Lionwhyte
Maël Lionwhyte

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Masculin Pseudo Hors-RP : Litchi
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• Age : 25
• Pouvoir : Je peux voir votre cerveau.
• AEA : Jack. Mister Jack est un rat blanc, savant, qui aime son petit confort. Voilà.
• Petit(e) ami(e) : Mon reflet dans le miroir. ... Bwahahahaha. *trouveçadrôle*

RP en cours : "Dans les cuisines, même le majordome n'a pas son mot à dire." ft Aarne.

Close the damn door = William

Messages : 35
Inscrit le : 06/08/2012

Maël Filipoudille - Je vois vos cerveaux. Voilà. [Fini] _
MessageSujet: Maël Filipoudille - Je vois vos cerveaux. Voilà. [Fini]   Maël Filipoudille - Je vois vos cerveaux. Voilà. [Fini] Icon_minitimeLun 6 Aoû 2012 - 3:46



* Filipoudille Maël.


*nom –Filipoudille.
*Prénom – Maël
*Âge – 14 ans.
*Née le – 11 août 1864 (Ere Victorienne.)
?

Pouvoir
Maël a la capacité de voir sous votre crâne, et d'observer votre cerveau, en fonction de la zone qu'il cherche à voir. Cela peut-être une vision de "surface"; durant laquelle il peut observer la totalité de votre cerveau, ou alors "en plongée", laquelle lui permet de "fouiller" visuellement votre encéphale.

Alter Ego Astral
Jack. Un rat de laboratoire blanc, animal typique de ces expériences faites sur les animaux. Savant, moqueur, Jack à un comportement plutôt identique à celui de Maël.

Passions
Maël aime observer, et comprendre, quelque soit le domaine. Il aime savoir et maitriser, car tout ce qui lui échappe lui offre une considérable impression d'impuissance, ce qu'il ne supporte pas. Il aime lire, jouer, observer et calculer. Il aime les animaux de laboratoire, car se sent concupiscent à leur égard: il se sait compréhensif par rapport à leurs situations, et se considère comme supérieur à eux.

N'aime pas / Phobies
Il déteste voir les souris de laboratoires tuer leurs petitsà la naissance afin que ces derniers ne souffrent pas les expériences infligées sur leurs parents, car cela lui donne non seulement l'impression d'être un monstre, ce qu'il refuse d'accepter, mais aussi l'idée que l'animal est assez intelligent pour comprendre sa souffrance, ce qui le rend terriblement malheureux et plein de remord.



« Ne cherchez pas à me cacher ce que vous avez dans la tête. Je ne lis pas, non. Je sais parce que je vois. »


Histoire


Supposons.
Vous êtes debout, le dos appuyé contre ce mur peint en blanc, identiques aux cent autres qui forment l'hôpital dans lequel vous vous tenez en ce moment même. Vous tenez à la main un journal anglais, dont le titre n'est inconnu à personne. Sur le papier légèrement froissé, à la première page, s'étalent la date du jour et le scoop. C'est d'ailleurs pour la présence imprimée de ce dernier que vous avez dépensé, quelques heures plus tôt, un peu de livres sterling. Pour pouvoir, à votre tour, lire cet article résumant ces évenements qui troublent Londres depuis quelques temps.
Nous sommes aujourd'hui le 13 février 1888, et le nom d'Annie Milwood est écrit en gras sur la première page du quotidien. C'est d'ailleurs cette raison même qui vous a poussé à vous rendre en cet hôpital.
Car devant vous, couchée dans le lit, encerclée par des médecins affairés et des infirmières tétanisées, Annie Milwood s'apprête à mourir. Vous le savez parfaitement, et pourtant, rien ne s'affiche en particulier sur votre visage. Au contraire, vous contemplez le sien avec l'espoir maigre de la voir ouvrir les yeux, et calmement, vous expliquez qui est celui qui lui a fait cela. Sous les draps blancs, à peines visibles, ses jambes lacérées témoignent de la violence de l'acte l'ayant fait se retrouver ici. Vous savez qu'il vous suffirait de soulever un peu les draps, et d'observer les parties génitales de la femme pour contempler une véritable boucherie. Mais vous êtes inspecteur, et pas reporter. Ce genre de détails, il a suffit que l'on vous les relate pour qu'ils vous satisfassent. Vous n'avez pas besoin de voir. Vous n'avez pas envie de voir.
Toujours est-il que cette Annie Milwood ne sera pas la dernière.
Jack l'Eventreur n'étant pas du genre à s'arrêter là.
Vous en êtes persuadé. Vous avez été réquisitionné par le préfet de police de Scotland Yard, qui vous a supplié de vous joindre vous aussi à l'affaire. Comme vous, de nombreux hommes ont été réquisitionnés afin d'élucider le mystère du criminel charcutant ces prostituées. Ce mystère qui avait plongé sur le quartier de Whitechapel une ambiance de sang et d'effroi.

« Elle ne se réveillera pas ? »
« Son état s'améliore. Nous espérons qu'elle puisse quitter l'hopital. »
« Si c'est le cas, docteur, pensez vous que je puisse un jour la questionner ? »
« Inspecteur... cette femme sera certainement en état de choc. Et même si elle parvient un jour à sortir d'ici... je ne pense pas qu'elle soit capable de survivre à cela. »

Vous ne dites rien et vous laissez l'homme s'éloigner d'un pas raide, rejoint par une infirmière lui présentant le dossier de la patiente. Votre respiration devient sifflante et pendant une seconde, vous laissez cette vague d'irritation profonde envahir puis noyer votre poitrine. Ce médecin à l'air tellement suffisant, tellement arrogant que vous appréçieriez de le voir se faire corriger son ton dans les locaux de police.
Un rire enfantin, sur votre droite, fuse. Vous tournez la tête, et avec une certaine surprise, dévisagez un garçon, pré-pubère, qui vous fixe d'un regard trop perçant pour que vous vous sentiez à l'aise.

« Vous êtes énervé, Monsieur l'Inspecteur. Soyez plus calme, votre travail n'en sera que meilleur. »

Cet enfant est habillé comme un patient. Ses larges yeux sombres sont soulignés par des cernes qui témoignent d'un manque relatif de sommeil, mais le sourire moqueur qui s'étire sur ses lèvres éclaire son visage.

« Cela se voit facilement, à votre attitude. Soyez plus détendu, et les gens vous feront plus confiance : ils seront peut-être plus à même de mieux vous répondre à propos de Jack. »
« Un enfant comme toi ne devrait pas être ici, et encore moins me donner des leçons quant à ma méthodes de procéder. »
« Je ne parle pas de méthodes de procédure... uniquement de comportement, monsieur. »

Un sourire s'étire sur vos lèvres. Vous vous tournez vers lui, et avec un peu plus d'attention, observer ce garçon qui ne doit pas dépasser les treize ans. Des boucles de cheveux à l'étrange nuance blanche retombent tout autour d'un visage mutin, et lui offrent l'air maladif. Il a de grands yeux noirs, semblable à des tâches d'huile, qui ne permettent pas de lire ses sentiments. Il porte des vêtements clairs, semblables (quoiqu'un peu différents, maintenant que vous y regardez de plus près) à ceux que l'on enfile aux patients couchés entre ces murs, et sous les tissus qui le drapent, vous devinez un corps mince, presque maigre. Il est détendu, et ses jambes battent le vide dans une cadence régulière.

« Je suis le fils d'un du médecin que vous venez d'interroger, Inspecteur. Je suis né il y a 14 ans dans le quartier de Whitechapel. Le danger étant centré sur cet endroit là, mon père a décidé que je l'accompagnerais ici aujourd'hui, car sinon, en rentrant de l'école, j'aurais du faire le chemin seul, et cela inquiétait mes parents. Je suis donc ici en « observation ». »
« Je vois. »

Son sourire s'accentue, et il pose un regard sur le lit de Annie Milwood, sans qu'aucun traits de son visage ne viennent perturber l'expression impassible qu'il adopte depuis l'instant où vous avez croisé son regard. Il effleure des yeux le contour des draps reposants sur le presque cadavre, et dit d'une voix atone.

« Je suis sûr qu'elle survivra. J'ai de bons pressentiments par rapport à ces gens là. D'ailleurs, je me trompe rarement. À l'école, j'ai des bonnes notes non pas parce que je m'acharne à réviser, mais parce que je cherche à deviner ce sur quoi vont tomber les interrogations. L'observation est ce qui me permet d'évoluer dans ce monde. Observer les comportements humains est d'ailleurs parfois plus amusant que ceux des animaux, car les humains sont imprévisibles.  »

Vous ne répondez rien, mais avec précision vous notez ce renseignement dans votre mémoire, dans l'espoir que les prévisions de ce garçon se réalisent. Quoique vos lèvres pincées affirment que vous ne parvenez réellement à croire ses dires. Mais vous cherchez à ne rien faire remarquer.


(…)

Le trois mars 1888, Annie Milwood décéda de ses blessures, une semaine après être sortie de l'hôpital.
Silencieux comme un rêve, vous marchiez sur les trottoirs de Londres, veillant à ce que le jeune Maël ne se retourne pas, et ne vous voit pas. Habillé comme lors du premier jour, rencontre entre vous deux, il ressemblait à une petite tâche blanche, absorbée par les pénombres de la nuit londonnienne. Il avait quitté son domicile familiale aux alentours de deux heures du matin ; lui qui semblait avoir une vie modèle du petit garçon bien tranquille.
Vous aviez fouillé sa vie, récemment. Né de deux parents aux descendance aisées, il avait été inexplicable d'expliquer son cas d'albinisme ; quoique cela n'ayant jamais posé réellement de problème. Enfant intéressé par la médecine, son père le laissait souvent participer à la majorité de ses interventions médicales, sauf quand celles ci demandaient une chirurgie. Il n'empêchait le garçon d'avoir apparemment des bases solides en manipulation de l'intérieur du corps. Ses professeurs de physiques l'avaient décris comme « intéressé et intéressant. »
Chez lui, Maël était apparemment quelqu'un de silencieux, prenant très au sérieux le renom, quoique modeste par rapport à certaines autre familles, de son père. Il était convenu qu'il reprendrait le poste de chirurgien de son géniteur, une fois en mesure de, et cela semblait lui plaire. Il était fils unique, et choyé par ses parents, ce depuis 14 ans.
Aussi était-il étrange de le voir quitter la maison familiale en catimini, alors qu'un psychopathe régnait dans les rues de ce quartier.
Votre attention dardée sur le jeune garçon, vous observiez son manège avec une étrange fascination. Il se rendit jusqu'au bout du quartier, et alla à la rencontre d'un homme qui lui présenta des documents que le garçon rangea sous sa chemise, comme dans une tentative de protection. A cet instant là, il sembla ressentir votre regard, car tournant brusquement les yeux vers vous, vous dévisagea. Ses yeux s'étrécirent, et il s'enfuit en courant. Alerté, vous l'imitiez aussitôt, avant de vous stopper à la hauteur de l'homme.

« Qu'y a t-il sur les documents ? »
« Des... des informations sur le cerveau... »

Etonné, vous vous remettiez à courir, pour rattraper le garçon. Il ne fallait pas qu'il s'éloigne : c'était trop dangereux !
Votre course poursuite vous mena jusqu'en dehors du quartier, près de la Tamise. Là, vous assistiez à un étrange spectacle. Maël avait franchi le grillage d'un domaine que vous n'aviez jamais apperçu auparavant, mais qui se dressait en plein milieu de Londres avec une indécente désinvolture. Figé sur place, vous observiez le garçon remonter un sentier, et plaquant ses mains contre la porte d'entrée d'une gigantesque batisse, y pénétrer. Sous vos yeux, la batisse s'effaça. Votre raison cessant de fonctionner, un bégaiement vous prit, et sans chercher à vous retenir, vous tourniez de l'oeil, en vous effondrant, choqué.







Physique


Maël est un enfant qui ne fait pas son âge. Il n'a pas l'air d'avoir 14 ans, et la plupart du temps, ce ne sont que le jeu de ses mimiques qui peuvent vieillir son visage. Petit, frêle, sa carrure envie celles des autres enfants de presque 15 ans, cependant, il ne jalouse pas le corps des autres. Sa stature lui convient, car permet entre autres de tromper les gens peu vigilants à ce qu'il pourrait être. Le fait de passer pour plus jeune, nonobstant, est un fait à double tranchant: autant cela peut servir, autant cela peut jouer en sa défaveur. Le comportement puéril qu'il adopte lui permet d'exagérer cette impression juvénile qui se dégage de lui, et il ne se prive pas pour paraitre moins mature.
Les cheveux de Maël sont blancs. Inexplicablement, mais ils sont blancs. A savoir qu'à l'époque victorienne, les cas d'albinisme sont encore rares, surtout dans des milieu favorisés comme lequel Maël naquit. A noter que la plupart du temps, les grandes prunelles de Maël sont d'un noir huileux, sauf lors de quelques journées ensoleillées, durant lesquelles elles revêtent un éclat violacé.
Maël a des mains arachnéennes. Ce qui lui sied bien.




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Nova Svanadóttir
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Maël Filipoudille - Je vois vos cerveaux. Voilà. [Fini] _
MessageSujet: Re: Maël Filipoudille - Je vois vos cerveaux. Voilà. [Fini]   Maël Filipoudille - Je vois vos cerveaux. Voilà. [Fini] Icon_minitimeLun 6 Aoû 2012 - 12:25

Bonjour bonjouuur !

Avant tout, j'ai pris la liberté d'éditer le titre de ton message - en effet, les fiches doivent obligatoirement commencer par le nom de ton personnage, étant donné qu'elles sont ensuite rangées par ordre alphabétique dans les fiches validées ;]

Alooors, pour ce qui est du physique et de l'histoire, c'est tout bon ! Le caractère, lui, n'est pas écrit dans une catégorie précise comme il serait souvent attendu mais étant donné qu'il est développé tout au long de la fiche, je valide ta fiche quand même.

Bon jeuuu ! ♥
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Maël Filipoudille - Je vois vos cerveaux. Voilà. [Fini]

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