Il sourit, ça m’inquiétait, mais vraiment.

-Les clefs ? non je ne veut pas que tu partes... au contraire ! -j'ai envie que tu restes prêt de moi !

Ma respiration s’accéléra. Il s’approcha de moi et reprit mon visage entre ses mains et approcha son visage du mien.

-Excuse moi, je ne sais pas ce qu'il me prend... je ne suis pas... comme ça d'habitude... je croit que... Désoler...

J’entre ouvris légèrement la bouche à moitié moi-même. Je tremblais un peu j’étais vraiment stressée, sans savoir vraiment pourquoi. Il recula lentement son visage, je plaçais mes mains derrière sa tête pour le retenir. Non, il avait voulu –apparemment- un baiser, eh bien qu’il assume. J’approchai son visage du mien et pressai mes lèvres contre les siens, et l’embrasser tendrement. Mais il fut court. Je retirai mes lèvres des siennes, sans oser aller plus loin. Je le dévisageais de haut en bas. De nouveau j’humais son corps. J’avais besoin d’aller plus loin, et maintenant. Je fit passer mes mains devant et caressai son torse. Cette attirance était horrible, je ne pouvais pas résister. Je l’embrassai dans le cou et passai mes mains sous son tee-shirt. Je m’éloignait un peu, retirai mes mains. Ma respiration ne daignait pas se calmer.
Il fallait que je me calme, je me retournai et avançai près du lavabo, appuyai mes mains dessus en tentant de me « déstressée »

« Désolé, tu changes mes habitudes. Tu ne veux toujours pas me donner ces fichues clefs ? »

Je lui lançai un regard désespéré. Oui mais voilà, j’étais folle de désire. J’avais envie de revenir dans ses bras, de sentir de nouveau ses lèvres contre les miennes. Je voulais, et j’exigeais que ça aille plus loin.

Et c'était partie, Alice et Mark avait cédé tout deux a la tentation, au désir, et au plaisir qui les hantait depuis leurs arriver dans cette infirmerie... Voir même depuis le halles... il était tout les deux l'un contre l'autre, ce caressant, s'embrassant, ce touchant dans des mouvement fougueux et sensuel. La nudité ne gêné pas du tout Mark, lui qui était pourtant quelque peu pudique, cependant, il était concentré sur Alice, et son magnifique corps en mouvement sur le sienne. Mark caressé, toucher, embrasser tout ce qui pouvait être caressable, touchable et embrassable.

Après quelque instant de chevauché sauvage, mark réalisa qu'il ne c'était munit d'aucun moyen de contraception mais le plaisir était trop intense, Mark ne réfléchie pas plus loin au conséquence que cela pourrait avoir...

De longues minutes plus tard, la jouissance final atteins le jeune homme dans un râle sensuel et Masculin peu après celui d'Alice, beaucoup plus aigu et doux que celui de Mark.

Ce dernier ce laissa tomber sur le côté après avoir Embrasser Alice entre deux inspiration.

Ils étaient essoufflé et pour Mark, ce fut une vrai révélation, il n'aurait jamais cru qu'une chose si banal, a ce qu'il pensait, pouvait lui procuré autant de plaisir. Il tourna sa tête en direction d'Alice, il l'admira avant de lâcher un simple :

-Merci...

Puis il saisit la main de la jeune fille tout en continuant de regarder son doux visage.

Il me tendit les clefs, visiblement réfractaire à l’idée que je parte. Quelque part, moi aussi je l’étais. Je prit les clefs et effleurait sa main. De toute évidence j’aurais du tout faire pour éviter ce contact. J’avais la main sur les clefs, mais ma peau frôler la sienne, je lâchai la clef et pris sa main pour la coller contre ma joue, je m’avançais lentement vers lui pour me coller contre son cœur. Finalement, il était hors de question que je le quitte. Je plaçai ma tête contre son épaule, lui embrassant le cou tendrement. J’humais son délectable parfum. Je laissai mes mains vadrouiller sur son visage, je m’éloignai un peu, je n’avais plus qu’une envie, l’embrasser encore, et je cédai à cette tentation. Je laissai mon tendre baiser se transformer en baiser vraiment fougueux :

« Serre moi fort ! S’il te plaît, serre moi fort ! »

Je repris mon baiser fougueux, laissant mes mains courir sur son torse, son dos. Je ne voulais, non, je ne pouvais pas le quitter.

Avant il m’était arrivée de lire plusieurs romans à la suite, et je savais que quand un être ne pouvait pas se passer d’un autre, cette alchimie était en vérité un sentiment, et ce sentiment s’appelais : Amour. Je savais au fond de moi que j’étais amoureuse, mais je ne voulais pas me rendre à l’évidence. Pour moi il y avait forcément une autre explication. Je n’étais pas du genre à être amoureuse, pas moi. Et pourtant… J’avais l’impression d’avoir terriblement de lui.

Je cessai de l’embrasser, et le serrai très fort.

« M’en voudrais-tu si je te disais que je ne veux plus partir pour rester avec toi ? »

« Non. »
Je souris et laissai ma tête se loger dans le creux de son épaule, je passai mes bras autour de son cou et restai là, sans bouger, calme déposant parfois un léger baiser sur son cou. Je divaguais comme ça un instant avant de me ressaisir. Je pris les clef set ouvrit la porte, je m’avançais un peu dans le couloir. Je regardai à droite à gauche, mais je sentais déjà le manque de sa présence. Je me retournai lentement avec un air catastrophé sur la figure. Je tendis ma main vers lui

« Tu viens avec moi ? Hein tu viens ? »

Je me sentais bizarre de faire une requête à un garçon, mais je voulais être avec lui. Je l’aimais vraiment, même si ce sentiment me faisait terriblement peu, l’inconnu oblige.
J’étais fatiguée, il fallait que je dorme, et je ne savais pas où aller.

« Il faut que je trouve une chambre… Un endroit pour dormir je suis fatiguée. »

Je commençai vaguement à réaliser à quoi j’avais passer ma dernière nuit.

Il y avait d’abord eut le major d’homme. Un type grand, et trop mince, aux traits tirés, au teint cireux, habillé tout en noir. Puis la bonne, alertée par les cris du pauvre. Une femme petite et grasse. Alice n’était par certaine de l’avoir tuée, parce qu’elle l’avais juste frappé violemment à la tête, la femme ne s’était pas relevée, peut être seulement assommé. Mais ce n’était réellement important. Ensuite le bébé. Un petit garçon apparemment. La mère. Alice avait eut du mal à la tuer, parce qu’elle ressemblait à Lilith, c’était sûrement sa sœur. Cette garce avait osée renier sa propre sœur. Mais elle se ressembler tellement !. Et enfin le père et l’adolescente.
Rapidement je tracer les liens qui m’unissait à cette famille. J’avais donc tué ma tante, mon oncle, mes cousins. J’ouvris des yeux horrifiés ! Ma lèvre inférieure se mit à trembler. Je n’avais pas tué les parents. Ceux qui étaient entièrement responsable, pas comme la sœur. Ma vengeance n’était pas terminée et j’étais coincé dans cet internat !
Je revins à la réalité, en regardant de nouveau autour de moi, prenant doucement conscience à quel point ces murs étaient oppressants. J’eus envie de hurler. Je n’avais pas terminé ma tâche ! Il fallait que je sorte, et maintenant ! Mais c’était impossible, et ça aussi je le savais. Je me ressaisis. Il fallait que je reste neutre. Je chercherais une solution plus tard.