Sarah est née dans une petite ville de banlieue. Elle était la cadette d'une famille de trois enfants. Elle avait deux grands-frères qui s'occupaient toujours d'elle. Elle n'était jamais seule. Les frères de la gamines lui racontaient pleins d'histoires. Ils lui lisaient de contes de fées. En grandissant, Sarah n'avait que les contes de fées en tête. Tout irait toujours bien, après tout, dans les contes de fées, la fin est toujours heureuse !
Une fois, pour rigoler, le frère aîné des McWiller fit croire à sa petite soeur qu'un gros chien avait tenter de le tuer. Depuis cette journée-là, Sarah se tient loin des gros chiens.
Sarah devait avoir sept ans lorsqu'elle vit pour la première fois un serpent. Avant, elle n'avait même pas vu ne serai-ce qu'une petite couleuvre. Au départ, la cadette des McWiller les avait trouver répugnant. Ensuite, lorsque le serpent avait ouvert sa grande gueule devant elle, Sarah n'avait pas pu s'empêcher de frissonner d'horreur. Elle s'était jurée de ne jamais se retrouver seule dans la même pièce qu'un serpent ou qu'une couleuvre.
Mais, alors que Sarah n'avait que huit ans, durant une nuit noire, sa mère est morte dans un accident de voiture. Depuis l'accident la jeune fille avait peur du noir. À ses yeux le noir était devenu synonyme de mort. Un peu plus tard, ses deux grands-frère ont commencé à l'ignorer et à ne plus se préoccuper d'elle comme ils le faisaient avant. L'aîné avait une petite-amie et il préférait lui consacrer du temps plus que de s'occuper de sa petite sœur. Le second frère n'avait pas décidé de l'ignorer, mais il était partit pour faire des études collégiales. La gamine avait été affectée par l'absence de ses deux frère et elle avait commencé à s'isoler. Elle se répétait qu'à la fin de l'histoire elle aurait sa fin heureuse avec son prince charmant. La blondinette se sentit rapidement seule. Elle finit par s'imaginer un koala comme ami imaginaire. Elle l'avait appelé Anastasia. Aussitôt qu'elle était seule, la jeune McWiller racontait des contes de fées à Anastasia. La jeune fille avait manifester 'envie d'apprendre à joué du piano. Son père n'avait pas offert de résistance.
Avec son caractère un peu étrange et ses convictions qui sortes de l'ordinaire, les élèves de sa classe avaient commencé à l'éviter. Les enfants peuvent se montrer cruel dans les écoles primaires. Les brutes de la classe venait la voir et lui demandaient son argent de poche, l'insultaient et l'humiliaient. En gros, Sarah n'aimait pas trop aller à l'école. Elle devait se concentrer sur ses études si elle voulait pouvoir être avocate, comme sa mère. La cadette des McWiller n'avait pas beaucoup d'amis à cause de la réputation qu'elle avait dans l'école et son caractère ne l'aidait pas beaucoup.
Quatre ans plus tard, lorsque Sarah était âgée de douze ans, elle avait oubliée Anastasia. Pourtant, la jeune fille s'imaginait encore que la vie était comme un conte de fées. Elle s'imaginait que bientôt, un prince d'une contrée quelconque viendrais lui demander sa main et qu'elle vivrait heureuse pour le restant de ses jours. Plus le temps passait, plus la la jeune McWiller s'accrochait à cette idée.
Lorsque Sarah eut seize ans, son père l'envoya voir son second fils. Elle avait prit l'avion seule. Son frère devait la prendre à l’aéroport et la rapporter chez lui. Sarah s'était dit que peut-être que son voyage lui ferait rencontrer son prince charmant. L'avion se posa, la blondinette en sortit en trombe. Personne n'eut le temps de la voir partir. Elle n'avait pas laissé la chance à son frère de la trouver et elle était sorti de l'aéroport. Une fois qu'elle réussit à avoir un taxi elle sauta dedans et demanda d'aller au centre-ville. Une fois qu'elle fut arrivé, elle paya le chauffeur et sortit du Taxi. Elle déambulait dans les rues et les ruelles de la ville.La blondinette c'était demander ce que lui dirait son frère : rien de bien, surtout après lui avoir posé un lapin à l'aéroport. La blondinette commençait à se décourager, lorsqu'elle aperçut le pensionnat interdit. Sans prendre garde, elle pénétra dans le terrain du pensionnat.

Sarah est une jeune fille qui ne rêve que d'une chose : trouver son prince charmant.La jeune fille aime s'isoler dans son petit monde. Elle est de nature souriante, même lorsqu'elle est triste.Elle n'aime pas voir les gens qui l'entoure affiché une mine triste. La jeune McWiller est prête à tout pour rendre le sourire à quelqu'un qui l'a perdu.
La blondinette est fière et orgueilleuse, il est donc beaucoup lui demander de montrer ses faiblesse ou de pleurer en publique.Elle n'est pas spécialement colérique, mais elle s'emporte facilement, surtout lorsqu'il s'agit de personnes auxquelles elle tient. La jeune demoiselle est toujours à gigoter. Elle ne tient pas en place plus de quelques secondes. Elle n'est pas sportive, malgré toute l'énergie qu'elle a à revendre, elle est bien trop maladroite pour cela.
La jeune fille est d'une naïveté incomparable. Elle pourrait croire tout ce qu'on lui dirait. La demoiselle a tendance à toujours tout ramené au compte de fées. Il existe, dons son monde à elle que les gentils et les méchants. Elle semble parfois plus que stupide, mais c'est son habitude à tout simplifier qui donne cet impression. il faut noter qu'elle a de plutôt bonne notes à l'école, enfin, lorsqu'elle s'en donne la peine. La jeune québecoise à la fâcheuse habitude de rendre tout trop simple. Elle ne raisonne pas beaucoup et ne se méfie pas vraiment. Elle n'est pas du genre à philosopher et à se questionner su l’existence. Elle est convaincue d'être née pour trouvé le parfait prince charmant et de vivre heureuse avec lui dans son château.
Sarah est loin d'être patiente. Attendre est une chose qu'elle déteste faire. Elle est également plutôt possessive envers ses amis. La jeune Sarah est très collante. De plus, elle adore aider les autres. Si elle peut faire quelque chose, pourquoi hésiter alors ?

Sarah est petite, vraiment petite. Sa très longue chevelure blonde qui descend bien plus bas que le creux de ses hanches qui, en fait, descend jusqu'au pli de ses genou accentue cet effet de petitesse. La jeune fille ne mesure pas plus de cent-quarante-cinq centimètres. La jeune fille fait certainement parti des de la catégorie d'être vivant que l'on pourrait craindre de briser en deux en les étreignant. En plus d'être minuscule, la jeune demoiselle est mince, presque maigre. Ses cheveux sont d'un beau blond cendré et sont onduler. Donc, si la demoiselle décidait de les passer au fer plat un jour, peut-être balaient-ils le sol ? Quoi qu'il en soit, passer un coup de brosser dans cette épaisse tignasse aux milles et un noeuds relève de l'exploit. La jeune demoiselle demande donc souvent de l'aider pour les coiffer ou tout simplement les démêler. Pourtant il n'est pas question de les couper plus court. Sarah a de beau yeux bleus, un peu comme des lapis-lazuli. Son visage est encore un peu rond, comme celui des enfant. En fait, il est très facile de confondre la demoiselle avec un enfant d'environ dix ans et ça, ça la trouble.