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 The handsome, the bad and the evil

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The handsome, the bad and the evil _
MessageSujet: The handsome, the bad and the evil   The handsome, the bad and the evil Icon_minitimeMer 11 Mar 2009 - 22:35

Bam! Bam! BAM!
Tel était le bruit que faisait le portail du pensionnat. Une force essayait de l’ouvrir. Pourquoi n’y arrivait-elle pas ? Car elle n’était pas de la même dimension.
BAM ! HIiiii…… paf !
Le portail ouvert, trois silhouettes étaient présentes dans l’entrée du hall. Deux étaient droites, hautes et menaçantes. La troisième était petites et a leur pied. L’un des trois personnages soupira longuement.

« Oui je sais, c’est pas la mission la plus pasionante qu’on a eux tout les deux ensemble, mais t’étais pas obligée de montrer ton enthousiasme de cette façon Noctim ! »

Pampam bah, pam pam bah ! Le dénommer Noctim ne cessait de remuer de la tête, les yeux clos et un grand sourire a la face. Il avait une figure à plutôt faire peur au début, avec ses cheveux violent en batailles peignées en arrière, et avec les quelques cicatrices présente sur son visage pourtant élégant et jeune. Il portait une chemise blanche mal boutonnée, le col mal mis tout comme sa cravate, un pantalon de costume et une veste sur ses épaules dignes des Hitman d’une Mafia. L’homme a son coter était moins voyant que lui, mais il était quand même remarquable. Grand, très grand et très épais. Il est le genre de personne qu’on jurerait à son ami qu’il prend des stéroïdes pour avoir l’air plus musclé. Seulement ce n’était que du pur 150 kg de muscle. Et son crâne raser lui donne une allure d’autant plus dangereuse. Son habillage était un simple costard noir avec deux gants en cuir cloutés. Le troisième quand a lui était complètement différent.
Lui était petit, très petit même pour un adolescent. Il devait faire quoi ? 1m 62 pour ses 16-18 ans ? Il avait les cheveux longs et plus bordeliques que ceux de Noctim. On pouvait distinguer de graves blessures tout au long de son visage. La moitié était encore fraîche et saignait encore. Il était blessé de partout, ses vêtement déchires en témoignaient. Il semblait tenir ce qui lui servait de prothèse pour son bras droit, et ses deux jambes étaient bioniques aussi, avec à la place de pieds deux roues.

Le grand chauve vit un panneau ou les mots suivants etaient inscrits:
Citation :
Si vous lisez ces lignes déposées sur ce misérable bout de papier, c’est que vous venez de commettre une grossière erreur, certainement la plus grosse de votre vie.

Je vous souhaite la bienvenue, en tant que pensionnaire, dans votre nouvelle et éternelle demeure. Ceci n’est nullement une farce de mauvais goût, je n’ai aucunement le temps de plaisanter, ni l’envie de rire. Vous allez bientôt vous rendre compte que cet endroit maudit vous retient prisonnier. Est –ce de la magie ? La réponse à cette question est oui. Si vous ne me croyez pas, tentez d’ouvrir la porte, n’hésitez pas, j’ai comme vous, désespérément tenté de sortir des centaines de fois, en vain.

Alors ? Convaincu(e) ? Bien…

Pour éviter une perte de temps colossale, je vais retracer pour vous les grandes lignes de votre nouvelle existence. Sachez que ce pensionnait étant magique, il va falloir vous résoudre a croire à tout, même aux faits les plus invraisemblables.
Ne paniquez pas si jamais vous faites vous-même des choses inexplicables : en entrant dans ce pensionnat, vous vous verrez doté(e) d’un pouvoir qui vous sera propre.
De plus, vous allez retrouver dans l’enceinte de cette prison, un ami que vous aurez oublié depuis quelques temps déjà, n’ayez donc aucune crainte si un animal vous parle, cela ne sera que votre alter ego astral.

Je vous souhaite de rester en vie et de toujours garder espoir.

Cordialement,
Periple Skye.

«Ouais avec ca, nos doutes sont... Noctim ? Tu sais quand une personne parle on répond…

- You like to hide behind lies, but we see through your disguise. It's not a threat or a curse just a proper verse…


- Bordel mais c’est que tu écoute de la musique pendant que je te parle ?

-AIE ! Par la peine de m’arrache les écouteurs !

- arrête de flemmasser et finissons-en, j’ai peur que le portail ferme et tu sais ce qui ce passe si il…

- ouais ouais je sais, on ne pourra plus jamais sortir, tel nous avait dit le voyant de mes deux…

- Bon allez. Désoler gamin, mais fallais pas essayer de voler la Davriosia Famiglia »


Le gamin répondit par un petit sourire narquois. Le grand chauve n’aima vraiment pas cette attitude et le prit par les cheveux et le lança à cinq mètres en face, ce qui était même chose aisée pour lui. Le gamin roula a terre, et tacha toute l’entrée du hall de son sang. Il était vraiment faible, vu qu’il toussait de son sang, mais malgré la toux il arriva quand même à rire, et cette fois-ci il fixa le chauve de son seul œil. Il montrait ses dents cachées derrière le liquide gluant rouge. Ses dents étaient comme ceux d’un requin, et son sourire qui tirait sur les joues les montrait bien. L’homme chauve fut déstabiliser pendant un moment, mais en appuyant sur ses lunettes noires et en grattant sa barbe il répit confiance en lui. De sa poche il sortit une petite boite et il fit un pas lent en avant.
Noctim voulut l’arrêter, mais le chauve mis une main en arrière pour lui montrer qu’il savait ce qu’il allait faire.

« Arrête tes conneries Al ! En plus il n’a fait que rire et sourire, certainement qu’il a peter un câble et je ne veux pas risquer que tu te fasses enfermer ici !
- Si tu restes à la porte Noctim, je pourrais toujours rentrer. Je vais juste lui briser les deux jambes avant de partir, sa lui apprendra… »


Le dénomme Al toucha la petite boite du bout de l’index, et une grande lumière jaillit de l’objet. Le moment d’après, Al tenait une terrible masse aussi longue et plus massive que lui-même. Il la tenait avec une seule main, alors qu’il faudrait quatre bras humain pour pouvoir a peine soulever cette arme. A chaque pas qu’Al effectuait, le sol tremblait. Noctim de son coter posa son épaule sur le portail et il avait ranger son outil qui lui permettait d’écouter de la musique. Il fronçait des sourcils, et quand il faisait cela, il avait vraiment l’air d’un dur. Il n’était peut-être pas aussi massif que son ami Al, mais il était quand même bien imposant lui tout seul. Il gardait sa main sur une carte noire avec le même aspect que la boite du chauve qui était fixée sur sa ceinture, on ne savait jamais.

Le gamin ne bougea pas, ne tremblait pas comme le sol. Al était en face de lui. Il leva son arme et, regardant les jambes qu’il voulait écrasés, baissa son bras a toute vitesse en lâchant un petit cri provoquer par l’effort. CRAAAAAAAAAAAAAAAAASH…. Le sol était en miette, et completement retourner jusqu ;’a un mètre du creux former. Mais c’était tout, le gamin n’était plus la. Il était derrière Al, debout sur ses pantins tranchants, et il eut largement le temps de donner deux grands coups de pieds pour tracer un X sur le dos de Al, qui tomba sur ses genoux dut a la puissance du coup.

« AL !

- Putain, ce n’est pas pour rien que ce gamin a été aussi dur à être arrêté, ses coups de pieds sont fata. »


Il n’eut le temps de finir sa phrase qu’il vit la jambe du gamin en face de sa rétine droite. Heureusement qu’il économisa l’effort de parler et l’utilisa pour pencher sa tête pour esquiver le coup. Al, malgré sa masse importante, se releva rapidement et recula aussi vivement. Seulement il était rapide pour un homme de sa carrure, et le gamin était très rapide pour un homme de son poids de plume. Donc le temps que Al prit son équilibre, le fou sur patins eut le temps de glisser jusqu’au plafond, et se laissa tomber dans l’axe perpendiculaire a la tête du chauve. Pour rajouter du tranchant a son attaque, il effectuait une rotation avec l’ensemble de son corps pour avoir l’appui de la force centrifuge, vu que me si ses coups étaient puissants, son poids de plume était un handicap. Seulement Al n’était pas un Hitman pour rien. En contractant ses muscle terriblement et en prenant son arme a deux main, il dirigea une attaque vers les pieds de son adversaire. Mais celui-ci avait un avantage. C’était un ancien joueur du Luta Ball et tous ont des réflexes surhumains. D’un mouvement acrobatique impressionnant, il glissa le long de la boule de la mace et dirigea un coup de pied sur le crâne du chauve, et le percuta avec l’arrière du pied pour bien lui donner une concussion.
Al recula de nouveau, et grâce a sa physionomie importante, il fut moins dans les vapes qu’il aurait du être, seulement le coup était quand même très puissant et il tomba sur ses genoux.

Noctim craqua, et il appuya sur le bouton rouge pressent sur sa carte. Une lumière aveuglante présenta deux superbe revolver noir tout deux orner d’un grand X rouge dessus. Noctim fit deux pas en avant.

« Faite gaffe au portail s’il te plait Noctim, j’ai vraiment pas envie de.
¬
-Ta gueula Al ! Putain faut vraiment que je fasse tout tout seul… »


Noctim resta droit, les sourcils bien froncer, les yeux en train de fixer l’unique œil de Prœmitus. Celui-ci doubla de taille son sourire, qui lui donnait vraiment l’air d’un requin. Prœmitus s’élança tout droit sur Noctim, et celui-ci évita la charge au dernier moment en se baissant, et il se retourna pour tirer une balle sur la jambe de Prœmitus. La balle toucha sa cible, mais au lieu de voir du sang jaillir, il vit un boulon. Il compris rapidement la situation. Prœmitus avait deux prothèses au lieu de deux jambes. Logiquement il faudrait trouver jusqu’ou monte cette prothèse et, surtout, savoir si proemitus peut sentir la douleur. Car en tant qu’ancien joueur de Luta Ball, Noctim savait que L’organisme modifie le système nerveux des joueurs de telle sorte à ce que leur réflexe soit plus rapide et qu’ils ne puissent plus sentir la douleur.

Prœmitus répondit contre le mur, et sauta de nouveau en direction de Noctim, qui préféra cette fois –ci esquiver des le début, et courut vers sa droite. Erreur de sa part, Car Prœmitus eut le temps de changer de direction, et roula sur la jambe droite de Noctim, coupant en une ligne parfaitement droite son pantalon de la cheville jusqu’au genoux. Mais avant que Prœmitus puisse enchaîner, Noctim le prit par la jambe et lui donna un grand coup de poing dans le ventre, et profitant qu’il était sur le point de tomber, il l’agrippa et lui fit sa tête cogner le sol en sautant vers l’arrière (sa s’appelle un germain supplex au catch : O).


Dernière édition par Noctim Davriosia le Sam 14 Mar 2009 - 20:41, édité 2 fois
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The handsome, the bad and the evil _
MessageSujet: Re: The handsome, the bad and the evil   The handsome, the bad and the evil Icon_minitimeMer 11 Mar 2009 - 22:36

Mesure de securite, Noctim recula rapidement et se mis en garde. Il jeta un coup d’œil rapide pour constater qu’Al était de nouveau debout, et qu’il était prêt à l’attaque. Prœmitus se releva doucement de l’attaque, et on voyait très bien sur sa figure qu’il ne souffrait pas. Cependant, on voyait clairement du sang frais couler le long de son cou.

« Je vois, Mr.Noctim était un ancien joueur du Luta Ball. Pourquoi as-tu quitté ce superbe sport ?

- … ça ce ne vois pas sur mon visage ? »


Il faisait allusion aux cicatrices qu’il possédait sur son visage. La majorité étaient produites a cause ce stupide « sport » et l’autre étaient causée grâce a ses fautes de débutants dans la Mafia qui la recueillie après avoir quitter l’organisme. En vérité, son visage était couvert de blessure a un tel point qu’il en était meconaisable, mais pour éviter d’avoir une vraiment sale allure, on avait essayer de reconstruire son visage, seulement les dégâts étaient trop grands donc une partie des blessures demeurent encore.

« Tu as vu le mien ? »

Le gamin écarta ses cheveux. En effet, son visage était pire. A la place d’un œil droit il n’avait qu’une cicatrice en forme de croix qui montait jusqu'à son nez, et le reste n’était que des vagues de blessures. Prœmitus jeta sa veste a terre, et déchira son vêtement supérieur, et on pu mieux voir de quoi il parlait. Plusieurs sortes de blessures régnaient sur ce corps plat et jeune : courte, fine et brèves, celle provoquées par un accident simple. Large mais courte, large et grande, profonde et celle faites sous torture.

Bambambambam ! Al rompu le silence soudain en fonçant tout droit sur Prœmitus, pendant que Noctim recula de quelques pas et essaya de trouver un angle ou il pourrait tirer sur Prœmitus sans toucher Al. Mais Prœmitus glissait sur le corps d’Al, et le blessait grièvement. Mais Al trouva le moyen de donner un coup frontal sur le démon sur patins et le fit voler jusqu'à mur, ou il crasha, laissant une grosse présence de poussière pour couvrir tout le hall. Noctim rangea ses deux armes a feu, et lâcha son air sérieux.

« C’est bon, on peux partir maintenant Al. Il est peut-être insensible à la douleur, mais son corps subit quand même des dégâts.

- …

_qu’est-ce qu’il y a Al ? Ok tu pisse le sang mais t’es habituer a ça non ?

- bien sur que je le suis mais… »

Noctim se rapprocha d’Al et vu quel était le problème : Al avait les genoux en miette, et il ne pouvait plus faire un pas, et ses superbes lunettes noires étaient en miettes et les bouts de verre lui avaient complètement détruit les yeux. Noctim fit un pas en arrière en voyant ce spectacle. Comment Prœmitus put faire autant de dégât sur Al ? Pour les yeux c’était compréhensible, mais l’état des genoux était atroce : ils étaient carrément inversées, c’est pour cela que Al était encore debout. Et son torse, on avait l’impression que si le vent passait, il allait s’ouvrir !

BAAM !

…Bam ? Ce bruit ce n’était pas… MERDE ! LE PORTAIL !
Prœmitus était debout, tout droit et une jambe appuyée sur la porte du Hall. Comment cela ce faisait-il qu’il était encore debout ? Merde ! Merde ! MERDEEEEEEEEEEEEEEEEEEE ! Ce mec, Il allait se le pourrir ! Il allait tellement le saccager, le détruire, le demolire on en jurerait que c’était de la crème de merde !
Noctim était rageux, haineux. Son visage qui pourtant a l’air si sympathique malgré les blessures d’habitude était digne d’un tueur. Son regard a lui tout seul ferait pisser sur place l’homme le plus téméraire de l ; univers (hyperbole, je précise). Il serrait les dents avec une grande force qu’il les entait presque se briser. Sa main, qui était posée sur le torse de Al, commençait à chauffer.

Tel était l’aspect de Noctim lorsqu’il était en colère, et il était très connu pour ce changement au point d’être confondu pour un schizophrène, seulement il ne l’était pas. Vous pensez alors que c’est le genre de mec qui garde sa haine et explose au dernier moment ? Faux encore, il le montre des le début si il est pas content. La réponse st simple : il est très simplement haineux. Des qu’il hait une personne, il la hait de toute son âme, et il ferait tout pour anéantir cette personne.

Noctim lut dans la mine de Prœmitus de la peur et de la surprise ? Il avait raison d’avoir peur ce petit chi*ur de mes deux ! Il allait voir ! Mais pour battre ce genre d’ennemi, il fallait être calme et concentre, mais comment être calme en face de cet @#$%$@@# !!! Mais qu’est-ce qu’il fixait comme sa…

« Noctim ? Noctim qu’est-ce qui se passe ? Je vois rien, et je brûle ! Je brûle mec ! AAAAAAAAAAH !

-Quoi ? Mais que ? »


Noctim remarqua soudain ce qui ce passait. Sa main était brûlante ! Elle était entourée d’une flamme foncée qui avait déjà complètement brûlé tout le corps d’Al. Noctim remarqua que ce n’était pas seulement sa main, main tout corps qui était chaud ! Il était aussi chaud que du feu ! Et d’ailleurs son autre main aussi était en feu ! Et l’air… ce n’était pas une flamme normale ! C’était des radiations ! Des radiations tellement concentrées en un point qu’elles se transformaient en flamme ! Le corps de Al n’était pas seulement en feu a cause de sa, il se désintégrait ! Mais comment cette flamme était la ?

« Comment tu as fait sa !!! C’est… impossible ? Inhumain c’est

- TA GUEULE TOI ! TU VAS CREVER SOUS MERDE ! »

Noctim se sentait plus chaud, et les flammes doublèrent de taille. Donc voila ce qui se passait : Noctim avait développer un pouvoir ! Il prit rapidement de son inventaire le mesurer de radioactivité : Rouge… Ouais, c’était bien sa son pouvoir. Maintenant, il pourra bien pourrir Prœmitus, qui était toujours aussi surpris de voir Noctim provoquer des flammes qui ne le brûlaient pas, mais qui détruisait tout autour.

Noctim fit un pas en avant, et concentra toute son énergie sur ses mains. Il sentit toute la chaleur en lui s’affaiblir, mais sa main était brûlante, mais pourtant il n’avait pas mal, au contraire, et la flamme était encore plus condensée. Pour tester, il envoya la boule de feu de sa main gauche sur la jambe de Prœmitus : cendres. SA jambe c’était transformé en cendres d’un coup ! Parfait ! Maintenant l’autre !

« GUEHAHAHA TU ES FRANCHEMENT QU’UN SALE TAS D’ORDURE ! »


Noctim fonça sur Prœmitus, qui ne pouvait plus bouger, et commença a lui foutre des coup de poing remplis de force et de haine. Le sang de proemitus giclait partout. Son corps cédait sous les coups violents de Noctim. Il décida d’en finir. Il fit dégager encore plus de haine qu’avant, et les flammes étaient prêtes à exploser. C’est ce qui se passa. Tout dans le hall était que cendres. Mais il y avait encore le corps de Al, du moins sa tête…

Noctim remarqua en fait que Al avait le torse complètement ouvert, les boyaux qui coulaient, et l’épaule desintegre, mais sinon son corps était encore la. Il était certainement encore vivant. Il méritait un hommage, une mort digne d’un Hitman. Noctim sortit son arme a feu. Avant de tirer, il pria rapidement en sa langue natale, l’italien. Il ne put s’empêche de se souvenir a quel point cet homme lui a servit. Ces souvenirs le rendirent un peu en colère, mais il essaya de se contrôler, mais les radiations étaient la.

Bizarrement, Noctim eut une idée. Et si il mettait ses flammes dans ses balles ? Quel effet aurait-il ? Autant essayer, toute façon c’était un vieux encore solitaire. Concentrant ses flammes sur le bout des doigts, Noctim réussit à les transférer sur le fer des balles. Il prit du recul, visa le corps d’Alan, et tira.


BAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAM !!!!


Une véritable explosion sortit de son arme a feu. Noctim fut surpris de voir la puissance de coup ! Il ne restait plus rien du corps d’Al ! Avec cette technique il pourrait devenir un Hitman d’élite dans la Davriosia ! Si il arrive à sortir de ce lieu. Noctim se demandait comment les chercheurs eurent l’idée que ce bâtiment fut un bon moyen d’emprisonner les personne pour toujours, mais il espérait qu’ils avaient tort.

Noctim s’assis au milieu du Hall, ou traînait deux corps, du sang sur le sol et le mur, et des cendres dans l’air. Un homme, deux morts, du sang, des cendres….
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The handsome, the bad and the evil _
MessageSujet: Re: The handsome, the bad and the evil   The handsome, the bad and the evil Icon_minitimeDim 15 Mar 2009 - 11:20

Gladys ne s'attarda pas a regarder le pensionnat. L'architecture etait parfaitement inconnue a ses yeux mais elle avait rapidement conclu que cela devait etre l'une de ces constructions pour touristes que le gouvernement achetait au plus haut prix, et sur un soupcon d'agacement, avait ouvert la porte. N'importe qui se serait posé des questions, cependant il n'etait plus temps de s'en poser, le temps etait en route et sa vie en jeu. Ceux qui la suivaient allaient sans doute s'engouffrer dans le batiment a sa suite ou deviner ses intentions et chercher un raccourci pour les toits. Pfeuh, sur ces hautes spheres de la ville que nul ne voulait atteindre, elle etait la reine, et personne ne parviendrait jamais a la rattraper, une fois que ses pieds entreraient en contact avec ces cimes rougeoyantes. Cependant, il fallait d'abord se frayer rapidement un chemin dans la demeure. Rien de plus facile se dit elle en s'engouffrant dans le hall. Elle jeta un dernier coup d'oeil derriere elle.

Le parc etait encore calme, mais elle entendait les exclamations etouffees de ses poursuivants. La jeune femme plissa legerement les yeux. Ils n'etaient pas tres experimentés en tous cas. Elle souhaitait simplement les localiser avant de monter, mais un frisson parcourant les buissons la firent se hater et elle ferma la porte discretement. Elle se focalisa enfin sur l'interieur, chose totalement secondaire de prime abord, mais qui lui souleverent un frisson d'effroi. Tandis que ses yeux cherchaient un escalier sur lequel elle pourrait se hisser pour atteindre le toit du batiment, son regard se heurta a une scene horrifique. Deux corps allonges sur le sol exposaient leurs boyaux a la ronde et les murs venaient d'etre repeints en rouge, si on en jugeait par les goutelettes ruisselant le long des dorures anciennes. Elle haussa les sourcils, decontenancee. Quelle maison de loisirs pour la Gente pourrait accueillir pareil spectacle? Quelque chose clochait, bravo Gladys pour votre perspicacité, vous devez avoir fait 10 ans d'études pour comprendre pareil mystere. Elle analysa la situation en une petite seconde. Okay, donc nous avions trois corps, du sang partout... Ah non, deux corps seulement. Ce qu'elle crut etre un autre cadavre respirait, assis au plein milieu de la salle. Gladys porta l'index a la gachette de son arme. Elle devait avoir fait le mauvais choix.

La jeune femme saisit discretement la poignee de la porte et la tourna lentement, esperant ne pas eveiller la conscience de ce type. La poignée se bloqua. Elle tenta d'appuyer, puis de tirer tres legerement mais n'y parvint pas. En desespoir de cause, nous avions toujours....

Interrompant le fil rapide des pensees de la jeune «reticente» de la société, un vrombissement sourd retentit dans le hall, faisant vibrer les murs ensanglantés et les meubles brisés. Le sang glissa rapidement le long des parois pour s'estomper et disparaitre complètement, tandis que les carcasses miserables des meubles s'animaient lentement pour reprendre leur forme originale. Serait-ce un tour de magie, une simple attraction morbide? Decidement, on ne sait plus quoi inventer pour distraire la Gente, a l'abri dans ses hautes maisons et achevee d'un ennui depravé. Gladys put presque en rire mais les cadavres etaient bien la. Le type aussi. Il valait mieux s'en aller le plus vite possible. La main de la jeune fille arriva a attraper une plinthe faisant office de prise pour ses doigts egratignés et bondit. Sa main mecanique s'arrima au plafond et elle se balança afin d'atteindre le haut d'une armoire, tenant son arme de l'autre main. Si il ne faisait qu'un seul geste, elle tirerait.

Sur l'armoire, Gladys repera les escaliers du hall, mis bien en evidence. Cependant, cette maison ne semblait pas tres innocente et s'aventurer dans les couloirs de cette lugubre masure aux proprietes plus qu'etrange ne pouvait que mettre sa vie en danger. En mesure de repli, Gladys s'affaissa dans un coin mort, ou la silhouette assise dans le hall ne pourrait pas l'atteindre, du moins pas dans sa position. Elle aurait le temps d'agir en consequence si il decidait de se lever. Les cheveux ebouriffés de Gladys lui allaient dans la figure et avec un grognement d'irritation, elle attacha deux barettes a ses meches blondes parcourues de cheveux bleutés. Cela n'etait pas tres esthetique mais ce n'etait ni le lieu ni le moment de se faire belle. Deja qu'en temps normal, elle s'en fichait pas mal... Ses yeux s'egarerent sur le bois de l'armoire sur laquelle elle etait assise. Ce n'etait decidement pas son jour. Elle adapta se respiration afin qu'elle soit quasiment inaudible, et se recroquevilla legerement sur elle meme. Que pouvait-elle faire, maintenant? Elle ne pouvait pas aller au quartier general maintenant, elle avait mis bien trop de temps et les autorites devaient encercler le parc. Il etait d'ailleurs etonnant qu'ils n'aient pas encore investi la maison. Les longs cils de Gladys cillerent. Elle etait assez fatiguee par le combat d'il y a peu et par les evenements. Elle avait perdu son partenaire, et cela causait des problemes techniques, etant donné qu'elle n'avait jamais combattu avec quelqu'un d'autre. Elle devrait s'adapter a une autre personnalité et il fallait dire que c'etait ereintant, surtout etant donné le nombre d'ecentriques eclairés qu'abritait le nid de rebellion. Et puis elle n'avait pas non plus reussi a recuperer son corps, et allait se faire gronder par les superieurs. Elle gromella. Il pouvait pas crever un petit peu plus tard, lui?

Maintenant... que faire? Se reposer? Ce n'etait pas tres recommendé de baisser sa garde avec un type bizarre planté au milieu du hall dans lequel elle etait. Un bruit. Tres bien, cela cloturait sa reflexion, elle savait ce qu'elle devait faire. Gladys appreta les lames de ses doigts et en une demi seconde avait déjà sauté de l'armoire avant de tirer plusieurs fois sur l'epouvantail dressé au milieu de la salle, se jetant ensuite sur lui pour le lacerer de ses doigts. Elle n'avait qu'a l'eliminer lui, apres elle pourrait aviser en toute tranquillité.

Elle ne savait vraiment pas ou elle etait fourrée.

Elle ne savait vraiment pas ce qu'elle faisait.

La mort n'avait pas tellement d'importance.


[Pas aussi long que toi, mais j'avais pas de pnj sous la main moi UoU]
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The handsome, the bad and the evil _
MessageSujet: Re: The handsome, the bad and the evil   The handsome, the bad and the evil Icon_minitimeMar 17 Mar 2009 - 20:43

Pouvoir… oui… un terrible pouvoir. Un pouvoir qui se dégageait lorsqu’il était enragé. Les flammes de la rage alors ? Non ça ne le faisait pas… Flammes of rage ? Pas mal, pas mal, mais ça faisait trop brute pour lui, malgré son aspect… Il fallait un nom qui contenait le mot rage et flammes dedans, il fallait que le nom que Noctim donnerait a son pouvoir soit terrifiant, tout en ayant la classe, un peu comme lui quoi…
Fiama di ira… ouais ! Ça c’est la pure classe ! Fiama di Ira, ouais…

Noctim se concentra. Rage, Rage, rage, rage, rage… Le pouvoir est basé sur une émotion. Les émotions sont provoquées par les pensées. Les pensées sont provoquées par le cerveau. Logiquement, si il se forçait un peu, il pourrait au moins créer une étincelle, voire une flamme, non ? Testons cela :
Noctim se leva, les bras branlant, la tête basse, il se concentra sur des souvenirs certes désagréables. Le seul souvenir de son enfance dans les rues étaient déjà frustrante. Si il y avait une chose que Noctim détestait, c’était sa vie avant de devenir un Hitman. Des que vous posiez des question sur sa vie d’adolescent, ou de joueur de Luta Ball, il utilise la méthode la plus simple pour en finir tout en restant poli. Il sourit, répond en 3 mots et pose une question complètement hors sujet. Ca, c’était surtout ce qu’il faisait en présence des femmes, sinon il répondrait tout simplement aux hommes par son regard d’assassin.

Ça y est, il le sentait. Noctim sentait son corps devenir de plus en plus chaud. Maintenant, il fallait contrôler cette chaleur. Sa main droite ferait l’affaire. Ce qui était impressionnant avec ce pouvoir, c’est que même condensé sous forme de boule de feu, lui il ne brûlait pas. Sa main droite était recouverte d’une boule, une véritable boule, de feu. Noctim sentait que ce qu’il tenait la, matériellement, avait suffisamment de pouvoir de rendre du bois en des cendres instantanément. Et encore, il n’était pas suffisamment enragé, d’ailleurs il s’était déjà un peu calmer. N’empêche, avoir ce pouvoir n’est pas aussi simple que dans les bandes dessinées que Noctim adorait lire. C n’était pas une simple boule de feu qu’on pouvait simplement lancer sur son ennemi. Si on était un tant sois peu intelligent, on pouvait rendre ses coups de poing plus rapide, donc plus puissant, en créant un système de propulsions avec cette flamme.

Un système de propulsion… Voler ? Non, cela est impossible… Mais est-ce déjà pouvoir contrôler le feu impossible ? Et puis, si il avait suffisamment de rage certainement qu’il pourrait créer une flamme suffisamment puissante pour brûler une quantité d’O2 suffisante pour soulever son propre poids. Ce raisonnement mérite donc d’être en note, et donc a vérifier plus tard, car une question, non deux persistaient. Ce lieu, qu’est-il ? Y a-t-il d’autres personnes dedans ? La première question était déjà répondue grâce à la note trouvée par Al. La deuxième aussi d’ailleurs, vu que c’est justement une note, signée en plus.

BAM BAM BAM BAM BAM BAM !

Six tirs, six bruits brutaux et déconcertants. La concentration de Noctim brisee, sa Fiama di Ira réactiona avec l’air, et le poussa de force vers le haut. Noctim put donc éviter la mort par six coups grâce à une rupture de concentration, on voit qu’il est assez chanceux ce mec. Grâce a son adresse, Noctim put se redresser en pleins air, et tomber sur ses pieds pile à l’endroit ou les tirs rencontrèrent le sol. Il entendit des pas. Des pas légers, rapide et presque silencieux, même pour ses oreilles. Seulement, les pas étaient en ligne droite, et même s’il n’avait pas le temps suffisant pour contre-attaquer ou éviter, il avait le temps de parer le coup grâce à sa prévision.

C’est ce qu’il fit. Noctim tourna sur lui-même, et vu se diriger vers ses mains des… lames ? Non, des doigts, des doigts en acier tranchant ! Dangereux ! Noctim adorait ses doigts, et si il devait les perdre, comment ferait-il pour toucher la peau divine des femmes ? Ou bricoler, cuisiner, bref vivre ? Non, personne ne touche aux doigts de Noctim Davriosia. Noctim bascula son corps vers la gauche de son agresseur, et agrippa le bras avec sa forte poigne droite. D’un mouvement souple et digne d’un pratiquant du Jiu-jitsu, il fit tournoyer son adversaire sur lui-même, et le stoppa en posant sa main gauche sur la hanche, et le fit tomber grâce à sa jambe placée derrière. Noctim Plaqua son adversaire a terre, et il lui montrait son encore célèbre regard assassin. Ha ! Son adversaire va encore se pisser dessus Son adversaire… il a plutôt des hanches confortable… Des hanches douces, firmes et joui…BORDEL C’EST UNE FEMME !

Noctim montrait bien sur son visage une expression entre la surprise, et la joie de voire une femme. Oui, Noctim adorait les femmes, et encore le mot est doux. Pour lui, la femme est la race supérieure, rien ne peut égaler leur beauté et leur mystère. Il vivait pratiquement pour elle. Et la, il s’apercoit qu’il venait d’en agresser une !? (Observez la façon qu’il changea son interprétation de la situation.).

Noctim la remis sur ses belles et fines jambes (tout en gardant le plus longtemps sa main sur sa hanche). Il mit son manteau sur les sveltes et sublimes épaules de la femme. Il contempla ses superbes yeux. Ils étaient si...profonds et intense que Noctim pensait qu’il en trouverait jamais la sortie. Mais il la trouva, et elle s’appelait la politesse :

« Je… je suis terriblement et effroyablement désoler, chère belle jeune femme. Je pensait que vous étiez un assassin qui voulait me tuer, et donc je, enfin, je me suis donc défendu, et j’ai si honte d’avoir lever la main sur votre, comment, sur votre corps qui ne le méritait pas. Je me nomme Noctim Davriosia, et pourrais-je être inonder de la divine sapience de connaître le votre ? »


Noctim remarqua une certaine fatigue qui souillait la beauté de la jeune femme. Elle était en plus grièvement blesse (traduction, elle avait des égratignures). Noctim eut pour réflexe d’appuyer sur sa carte-sac, et sortit des bandages en lin. Il couvrit très rapidement, mais avec douceur et élégance, les parties ou la jolie jeune femme était blessée. Il profita pour rester un bon moment en train de glisser sur la peau de la beauté avec ses fins doigts. Aaaah quel extase… Mais il y avait une limite. Il s’arrêta immédiatement, et sourit a la jeune femme, un peu gêné de son attitude.

« J’suis désolé, sa m’arrive souvent en présence de jeunes femmes comme toi. On appelle sa un manque, ou une passion. "
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The handsome, the bad and the evil _
MessageSujet: Re: The handsome, the bad and the evil   The handsome, the bad and the evil Icon_minitimeMer 18 Mar 2009 - 17:37

Gladys avait donc tiré. Plusieurs fois, bien entendu, pour prévenir quel mouvement brusque qui raterait un premier coup de feu. Gladys était encore une bleue, et ne connaissait que peu de choses du véritable combat. Deux années, si complètes soient-elles, ne pouvaient pas parfaire une éducation, et elle avait encore de nombreuses choses à apprendre avec son acolyte, qui n'était plus en état de lui apprendre quoi que ce soit. Quoi qu'il en soit, Gladys avait donc tiré sur ce qui était un ennemi potentiel vu que couvert du sang des autres et visiblement toujours vivant quoiqu'immobile depuis un moment. Cependant, si son coup aurait signé l'arrêt de mort de toute personne prise par surprise, l'étonnement qu'elle provoqua sembla sauver la vie du jeune homme. Et par une explosion démente, il se vit propulser dans les airs en dégageant une sorte d'energie inexplicable. Gladys ne se tint pas sur ses garde spour autant, emportée dans son eélan, et plutôt que de se laisser déséquilibrer ce qui aurait prévalu un aller simple pour le cimetiere, elle reprit appui et s'élança afin de heurter l'énigrmatique personnage qui venait de reposer ses pieds sur le sol. Gladys n'ayant aucune notion en art martiaux, elle se laissa prendre par surprise. Dans son pays, aucune technique comme celles-ci n'existaient... Et elle se retrouva plaquée au sol sans avoir pu mot dire. Cependant, elle réussit à mettre son bras devant ses points vitaux, empêchant ou du moins retardant sa mort. Aurait-elle fait une erreur en attaquant cet énergumène? Quelle erreur? Ce n'était plus le moment de se le demander. Tout ce qui comptait était surv...

La main qui lui tenait fermement la hanche se fit soudainement bien plus attentionée. Elle papillota des yeux qu'elle avait hermétiquement fermés pour encaisser un coup decisif, qui ne vint cependant pas. La main qui lui tenait fermement la hanche se fit soudainement bien plus attentionée. Elle focalisa son regard sur le visage de l'etrange type et en releva les principaux traits en un petit coup d'oeil. Nez droit, yeux vivaces, cheveux noirs aux reflets ambrés, allure debraillée. Elle allait essayer de le frapper lorsqu'elle remarqua son sourire et son regard presqu pernicieux tant ils la détaillait avec une précision presque obscène. Il la remit debout, et des qu'elle retrouva une position d'équilibre, elle se mit en garde, son arme toujours en main, prête a l'emploi.

Le type qui auparavant avait fait démonstration d'une puissante rapidité se mettait presque à s'humilier en récitant des âneries incompréhensibles ! Si elle aurait pu être admirative devant son habilité au combat et sa force liée à une agilité et une dextérité qu'elle n'avait encore jamais rencontré, elel ne pouvait qu'être légèrement déroutée et profondément perplexe à l'écoute de ses discours fleuris de bonnes intentions. Il se foutait d'elle, c'était cela? Il avait connu des enfants meilleurs acteurs que cela. Cette miévrerie charnelle et ces excuses trébuchantes n'allaient pas du tout avec le valeureux guerrier dont elle avait pu apercevoir la force tout à l'heure ! Gladys pencha légèrement la tête sur le côté, en proie à une petite hésitation gênée. Qu'était-elle censée répondre à.. cela? En plus, il se mettait à lui toucher la jambe sans son autorisation ! Certes, il semblait empreint de bonnes intentions en entourant sa jambe egratignée de bandages en lin, cependant elle ne pouvait s'empêcher d'être méfiante (normal) et de se demander ce qu'elle devait faire. La réponse s'imposa d'elle-même à la fin du discours du meurtrier deglingué. Elle ne devait pas attendre plus longtemps. Elle ne devait pas perdre son temps avec un fou, dangereux qui plus est. Tant qu'il faisait son petit jeu, elle n'avait qu'a en profiter. A la fin du mot «Passion», le pied de Gladys fit violemment la connaissance avec la tete de Noctim, qu'il envoya valser en arriere en situant le point d'impact juste sous le menton. Il n'eut meme pas le temps de jeter un regard à la position indécente qu'exigeait ce coup. Elle baissa d'ailleurs assez vite la jambe, qui accompagna d'un coup sec la tete de Noctim qu'elle projeta sur le sol. Gladys lui mit un pied dessus. Finalement, il n'etait pas si fort. elle s'était jsute fait avoir par la surprise de ses prises extravagantes, voila tout. La jeune femme appuya sur la détente de son arme. Adieu.

Clic.

Clic. Clic. Clic.

Et merde.

Arme déchargée.

Gladys acharna son doigt dessus, sachant qu'un dernier coup pouvait rester coincé un moment. Elle finit par jeter rageusement son arme en s'avouant que l'arme etait dechargée. Certes, elle pouvait toujours l'empaler, mais elle n'avait guère envie d'engager un combat au corps à corps avec ce type. Un mauvais pressentiment lui chuchotait qu'elle pourrait perdre. Perdre? Quoi, mais non jamais, voyons. Gladys tendit la main au mystérieux individu, se tenant malgré tout sur ses gardes. Il pourrait toujours s'énerver après le coup en douce qu'elle venait de lui faire. Cependant, elle était encline à oublier ses attouchements typiquement masculins. Elle marmonna, d'assez mauvaise grâce


« Bon, on est quitte. Si telle est ton intention, alors faisons la paix. »

Une fois le type relevé, elle se détourna, avançant à reculons afin de ne jamais faire dos à l'inconnu, ou plutôt... Oui, il avait dit son nom, cependant elle n'y avait pas vraiment prêté attention.. Noctim... Et elle ne se souvenait plus du nom de famille. Prudente, elle se présenta à son tour sans mentionner le patronyme de l'autre.

« Je m'apelle Gladys Bluepath. »

Elle plissa les yeux, avisant les marques qu'avaient fait ses tirs sur le mobilier. Une nouvelle fois, comme le tir était hautement corrosif, il présentait une vision d'apocalypse. Et une nouvelle fois, tout se reconstituait, pour ne laisser aucune trace. Tout était redevenu comme avant. Seuls les corps inanimés et les blessures des deux protagonistes tenaient compte de leur fatigue physique et du combat qu'il semblait y avoir eu. Elle tourna la tête vers celui qui lui avait bandé la jambe, ah son nom lui revenait enfin, c'était Davriosa !, et esquissant un sourire, elle lui dit gentiment

« Merci pour les soins, et désolée d'avoir été brusque. »

Tout ceci n'était que politesses... Elle n'avait aucune affection particulière pour cet homme, certes charismatique, mais bien trop suspect à son goût.

« Cependant... Savez-vous ce qu'il s'est passé ici? Est-ce vous qui avez fait cela? »

Elle avait tout son temps. A vrai dire, elle pensait serieusement à rester ici, si cet homme était sans danger pour elle, pour la nuit. Le temps que les autorités qui la cherchent partent. Elle se demandait d'ailleurs toujours comment il se faisait qu'ils n'avaient pas commencé à inspecter la maison... Gladys préféra se focaliser sur le présent. Le concret. Noctim Davriosa.
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The handsome, the bad and the evil _
MessageSujet: Re: The handsome, the bad and the evil   The handsome, the bad and the evil Icon_minitimeVen 20 Mar 2009 - 8:02

Noctim contemplait la beauté de la jeune femme. Ses yeux étaient l’objet ultime qui recouvrait toute la beauté de son physique. Il ne pouvait comprendre comment une femme aussi belle pouvait tenir une arme a feu. Une arme que Noctim connaisait bien, et savait meme le demonter et le remonter en moins de 5 minutes. Malgre les apparences, Noctim etait un assassin qui utilisait surtout deux Hand guns. Si il a appris a se battre au corps a corps, c’est justement car on recule facilement après avoir vu ses habilitées, et comme sa il pouvait rapidement achever avec ses armes. Le fait d’en manier si souvent lui a permis certainement de savoir sentir la trajectoire d’une balle simple, et grâce a ses nerfs dopés, pouvait les esquiver. Malheureusement cela ne marchait pas avec les balle des sniper, et face contre une mitrailleuse, malheureusement on ne peut jamais toutes les évites.

Le fait que Noctim aime autant les femmes était certainement son plus gros point faible. Même après s’être battu contre pleins d’entre elles, même si la gardienne de son aile dans la mafia était une femme, il ne pouvait imaginer une femme se battre. Ce n’était pas un esprit macho, bien au contraire, c’est juste qu’il a une certaine vision sur la femme qui est… disons, une passion comme il dit.
Et encore une fois, cette passion aurait pu lui être fatal. Noctim reçu un coup de pied en pleins sur son menton, qui avait déjà pas mal souffert durant toute sa vie. Et en plus il reçu un autre coup sur la tête, et la (toujours aussi superbe) jeune femme lui posa le pied dessus. Et la elle dégaina son arme…

Merde…pensa Noctim. Lui et sa passion pour les femmes. Mais attendant, c’est un Hand gun ? Ouais, c’est bon, elle ne pourra pas le toucher… Quoique à cette distance, même ses nerfs ne lui seraient franchement utiles. Merdemerdemerdemerdemerde… Pourquoi est-ce que ce genre de situation lui arrivait tellement ? Pourquoi devaient-on le punir aussi injustement par le simple fait qu’il aime les femmes? Merdemerdemerdemerdemerde….

Clic ! Clic ! Clic ! Clic !

Fiou… amatrice. Noctim savait bien que le bluff d’avoir une arme, même déchargée, marchait bien, mais quand on menace un homme qui est sous sa (belle) jambe, on vérifie quand même qu’on a des balles. Et si on n’en a pas, on doit toujours avoir des magazines en réserve. Mais cette situation ne put que confirmer l’incroyable chance que Noctim avait. Ce genre de situation lui est aussi tellement arriver qu’il finissait par croire qu’il était immortel. Mais en même temps, après avoir eut beaucoup de moments de stress, Noctim avait développer une certaine… rage envers ce genre d’erreur. Mais son adversaire était une femme, donc il fit son maximum pour rester calme.

La jeune femme le redressa. Et merde, sa superbe chemise Rocco Giordiani était foutue… même avec son salaire certes rempli de zéro, il achetait pas souvent ce genre de chemise. C’était bien le moment de la salopier… Woah, hey attend… Elle vient de dire qu’ils étaient quittes après ce coup ? C’est ELLE qui avait attaqué en premier, il n’avait fait se défendre… Les femmes étaient peut être parfaites, mais pas toutes finalement. Enfin elle proposa de faire la paix, autant le faire, même si…
Bon elle le remercia pour ses bandages. Encore heureux, surtout qu’il avait utiliser du lin, sa coûtait plutôt cher, c’était très efficace et très agréable a en avoir. Certain même se faisaient mal exprès pour se faire bander par Noctim !

Mais une chose dérangeait Noctim. La jeune femme lui tendait la main, et elle était toujours aussi tendue. Elle lui demanda si c’était lui qui avait fait ce carnage… On va la laisser attendre un peu la réponse.

« Enchanté belle Gladys. J’aimerais juste préciser que tu m’avais quand tirer dessus avant, donc la, j’ai encore le droit de faire ceci ~ »

Il serra la main de Gladys avec la sienne, et toujours avec son sourire, il se rapprocha brusquement d’elle, et d’un mouvement souple et puissant de la jambe, la fit trébucher, et la plaqua, non pas avec trop de force, sinon il risquerait de lui briser la colonne vertébrale, contre le sol, lui par-dessus elle. Il adorait faire des démonstration de toutes ses prises. Il en connaisait pas mal. Il connaisait le jiu-jitsu, l’aïkido, le command sambo (qui est un art martial russe fait pour les troupes du KGB, qui cible des prise très mortelles) et d’autres.

La, il voulait montrer par ce mouvement qu’il aimait pas se faire attaquer, et qu’il fallait jamais essayer de l’approcher avec l’envie de tuer, ou de rester même sur ses gardes. Mais il continua avec son sourire.

« Ne reste pas autant sur ta garde en face de moi, sa me démange de montrer a quel point cela ne servira a rien… Je suis un Hitman après tout »

Oui, il est un Hitman, ou plutôt il était, vu qu’il ne pourra plus jamais sortir d’ici…

Noctim lâcha la prise de Gladys, et resta assis sur le sol, a ses coter. Il regarda rapidement les deux cadavres, et commença à parler de son cas :

« Bon, j’aimerais me présenter un petit peu plus. Je suis un Hitman, un assassin, au sein de la plus grande mafia de mon monde, la Davriosia. J’ai 22 ans, j’aime bricoler, cuisiner, jouer de la musique et être en compagnie de belle jeune femme comme toi ou de leur rendre service. Effectivement, j’en suis le responsable. La majorité du sang es alentour vient du grand cadavre, qui était mon compagnon. L’autre cadavre était un être qu’on devait laisser emprisonner dans ce lieu, seulement il nous a piégé, et je l’ai tué. Je ne sais comment, mais tu as du le voir, j’ai développer un pouvoir pouvant créer des flammes qui désintègre tout ce qu’elle brûle… Oh s’il te plait, arrête de faire cette tête et de toujours te méfier de moi, souris un peu, souris et rend toi encore plus belle, tu en fera deux heureux »
finit-t-il avec un grand sourire.

Oui, les femmes étaient sans doutes beacoup plus belle en souriant. Et vu qu’ils seront coincés ici pour longtemps, autant pouvoir essayer de se créer une bonne amie.
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The handsome, the bad and the evil _
MessageSujet: Re: The handsome, the bad and the evil   The handsome, the bad and the evil Icon_minitimeMar 24 Mar 2009 - 13:06

Emportee dans son elan, elle avait oublié toutes les regles de securité qu'elle avait pourtant appliquees a la lettre depuis le debut de ce que l'on pourrait qualifier sa carriere. Et voila qu'elle les enchainait sous le coup de la fatigue et de la certaine forme de lassitude que cette journee avait projetee dans sa pauvre tete. Elle avait beau ne pas comprendre certains raisonnements des gens que l'on pourrait qualifier de normaux. elle comprenait plutot bien l'agacement et l'ennui. Le type semblait s'amuser d'elle, ce qui n'etait pas tres engageant. Elle ne connaissait certes sans doute rien du combat par rapport a ce petit rigolo, mais elle n'avait vecu que le quart de ce qu'il avait bien pu vivre aussi, si elle evaluait a peu pres bien son age. Elle ne fut donc presque pas desarconnée lorsqu'elle fut envoyée sur le sol par l'inconnu. Gladys le fixait, ses grands yeux calmes scrutant le visage de l'assaillant. Elle etait un peu fatiguee de se battre. Et il etait vrai qu'elle avait attaqué la premiere. Ce n'etait que sa juste punition, songea-t-elle en bougeant sa colonne vertebrale de telle maniere qu'un craquement sinistre se fasse entendre, signifiant pour elle un retour a la normale apres quelques heures passees le dos en ruine. Elle savait qu'il n'etait pas dans ses intentions de la tuer, ou il n'aurait pas precipité sa chute de maniere si douce. C'est pourquoi elle se complaisait, sur le dos, en ecoutant le type la mettre en garde. Elle ne repondit que par une moue neutre. Il avait certainement raison. Il n'y avait rien d'autre a repondre a cela.

Lorsque l'emprise qu'il avait sur ses poignets se relacha, elle put s'asseoir pres de lui, tentant de se detendre un peu, son inquietude ne venant paradoxalement pas du fou dangereux qui lui tenait lieu de voisin mais plutot de la possibilite pour que d'autres personnes arrivent et l'attrapent en de telles conditions physiques. Elle fit le vide dans son esprit et se plongea dans la presentation que Noctim fit de lui meme, bien differente et bien plus complete que celle qu'elle avait donné d'elle-même. La jeune femme se demanda si il etait inconscient, pour donner de tels details notemment sur son travail. Certes, il ne semblait rien avoir a craindre, et il n'avait certainement rien a craindre de la pauvre Gladys, cependant il fallait etre un peu fou pour donner de tels details. D'ailleurs, un petit detail retint son attention. Plusieurs, en fait. Poliment, Gladys attendit la fin du discours. Elle ne savait pas trop ce qu'il avait, mais il s'entetait a lui faire du charme. Ces aneries etaient bonnes pour les plus demunis d'entre son camp, et voila un grand guerrier qui commencait a debiter ce genre de sornettes. Elle commencait a se poser quelques questions. La demoiselle astiqua l'un des rouages de son bras qui etait taché du sang d'elle ne savait qui entre les cadavres de la piec eou les soldats du dehors. Enfin, pour le remercier de sa peine, et legerement sortie de son las ennui par l'enthousiasme extravagant de "l'Hitman", elle le gratifia d'un petit sourire et se releva. Elle lui demanda, essayant de garder un peu d'animation sur son visage de poupee


« Votre monde ? Vous êtes un original, dites moi. Y en aurait-il plusieurs? »

Contrairement a beaucoup, elle ne semblait pas tres etonnee. Normal, beaucoup des merveilles du monde lui etaient interdites ou encore inaccessible, alors elle faisait de son mieux pour apprendre chaque jour, fusse des imbecilites, fusse des choses semblant completement lofoques. Personne ne lui avait parlé d'autres mondes, auparavant. Bien qu'elle reste legerement sceptique a cause du comportement lunatique de son charmant inconnu, une once de curiosité etreignit son coeur. Neanmoins, il ne fallait pas perdre de vue la realité. Elle avanca calmement vers la porte, tenta d'entrapercevoir quelque chose, tenta d'ouvrir le battant. Comme tout a l'heure, l'entree resta desesperement close. La jeune fille verifia si il n'y avait pas un verrou, mais ne voyant rien de tel enclenché, elle ne put que s'en remettre a son ignorance. La jeune fille revint vers Noctim et se rassit près de lui.

« Je ne serais pas étonnée d'apprendre des choses, ici. Je pense que vous avez remarqué que tous les dégats causés à cette salle disparaissaient comme si on n'y avait jamais touché...»

Gladys laissa sa tete pencher légèrement sur le coté, fatiguée.

« Et puis, si j'admet qu'il y a bien plusieurs mondes, puisque je ne connais aucun... Davriosa, la, d'autres personnes devraient être arrivées ici entre temps, étant donné que j'étais poursuivie. Toutefois, aucun bruit venant de l'extérieur n'est perceptible.»

Son esprit logique raisonnait encore bien, et elle partageait ses reflexions avec un homme dangereux qui aurait tot fait de l'eliminer si il en avait l'occasion.

« Sans compter que nous parlons la meme langue, ce qui pourrait etre une heureuse coindidence, et que vous faites l'experience d'une compétence inconnue. »

Gladys ramassa sa jambe mecanique contre son torse, l'enlacant de sa main de chair.

« Vous parliez d'emprisonner quelqu'un. Serait-ce une prison? Vous parliez de piège... »

La jeune fille regarda de nouveau son interocuteur, sans une once d'emotion, demandant d'un ton posé, sa voix eraillée continuant son raisonnement, imperturbable

« La sortie serait-elle donc interdite a quiconque ferme la porte derriere lui?»

[Un peu plus court, mais tu devrais me couvrir de fleurs rien que pour avoir rep en semaine de bac blanc Cool]
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The handsome, the bad and the evil _
MessageSujet: Re: The handsome, the bad and the evil   The handsome, the bad and the evil Icon_minitimeMer 1 Avr 2009 - 9:11

Effectivement, la jeune femme en face de Noctim marquait plusieurs bon points, même si il avait réponse a beaucoup d’entre elles. Pourquoi personne n’était venu a sa rescousse ? Il ne pouvait peut-être pas ouvrir la porte a lui seul, mais si un de ses compagnons entrent sans fermer le portail, il pourrait en ressortir non ? Non, c’était pas pour rien que les devins de la Davriosia l’on prévenu plusieurs fois avant d’accepter cette mission. Il n’avait jamais compris comment ils faisaient, mais ces personnes avaient le pouvoir de lire le futur comme un livre… En fait, Noctim connaisait beaucoup de personnes au sein de la Davriosia qui avaient des « dons », parfois même des dons qui dépassaient le mot de magie. Il avait déjà vu deux gardien de la famille se battre, et il est pas près d’oublier ce combat : l’un pouvait congeler tout ce qui était de liquide ou l’air, et l’autre pouvait contrôler la pression atmosphérique en une zone donnée. Leur pouvoirs étaient… absurdes, tout comme leur habilitées au combat, et dire qu’ils étaient juste en train de jouer…
Et ce bâtiment, comment se faisait-il qu’il se régnerait ? Le sang d’Al traînait encore dans les parages, mais les dégâts causés par sa Fiama di Ira avaient complètement disparu. La belle Gladys avait essayer une dernière fois d’ouvrir la porte avant de lui poser des question et faire par de ses avis, et ils étaient bel et bien coincer…

« ET bien comment dire… Oui il existe bien d’autres mondes. Je n’ai vécu que dans le mien, mais j’ai pu en voir quelque uns. Voyez-vous… au sein de ma famille, la mafia quoi, certaines personnes avaient des pouvoirs. Ils pouvaient être du simple reflex supérieur jusqu’au voyage entre les monde. Dans la famille, 7 personnes sont au sommet, les chefs quoi. Ils ont des habilitées différentes, mais un seul au commun, c’est de pouvoir voyager entre les mondes. Ils ont un but plutôt simple, c’est d’établir la mafia dans tous les mondes possibles. Ils veulent conquérir tout les mondes quoi. Ok, ça sonne idiot mais quand on voit leur pouvoir absurdes… je pense qu’ils en sont bien capable. Heh… je suis désolé, des que je parle de la Davriosia, je m’emballe et je parle de nos gardiens… enfin je pense que vous comprenez maintenant pourquoi j’ai dit « mon monde » non ? »
Noctim fixait encore les yeux de Gladys, puis enfin il remarqua son bras artificiel. Il eut envie de lui poser des questions dessus, mais il décida de les garder. Si elle n’en a pas parlé, c’est qu’elle n’en a pas envie, et il était impoli de poser beaucoup de question aux femmes, surtout si c’est leur aspect. Le jeune mafieux se releva, et retira sa chemise. Elle était complètement foutue, quel dommage… Bah il fallait donc se changer. Alors… chemise noire, cravate blanche ? Non, allez le classique. Il appuya sur le bouton rouge au milieu de la carte fixée à sa ceinture, et encore une fois une grande lumière émergea de cet objet. Quand la lumière se dissipa, Noctim portait une autre chemise blanche a manche longue, mais repliée. Il portait encore sa cravate noir, mais sans sigle dessus, il n’en avait plus besoin. Au final, il avait juste besoin de changer de chemise. Oui, Noctim portait une grande importance sur son habillement, d’une certaine façon pour oublier son passé dans la rue, et parce qu’il était assez narcissique aussi, et aimait être bien habillé. Il « rangea » la chemise blanche toute sale et déchirée pour la recoudre dans sa carte, et regarda les alentours.

Ils n’allaient pas rester une eternite dans ce hall maudit, il fallait explorer un peu. Un doute heurta Noctim : étaient-il seul ? Il espérait que non. La présence de la jeune femme ne le dérangea pas, bien au contraire, mais si il devait rester coincer ici pour toujours avec seulement elle, il peterait un câble vu qu’il prefere être a plusieurs que seul a seul.

Attendez une minute… elle avait bien dit qu’elle était poursuivie ? Aurait-elle commit un crime ? Une femme ? Criminelle ? (Je précise, Noctim aime les femmes agressives).

« Dites-moi, vous parliez tout a l’heure d’être poursuivie… seriez-vous une assassine ? Je dis ça car selon ce que j’ai pu voir tout a l’heure, vous avez plutôt de bon réflexe et mouvement, juste un peu accompagne d’une trop grande garde qui se brise facilement du a un manque d’expérience, encore une fois je ne fais que déduire, vous étés certainement une assassine qui a du rater un coup et est poursuivie non ? Je dis ça alors que certainement c’est faux, mais vu que vous étiez blessée. »


Noctim s’arrêta un petit moment. Il tourna sa tête vers le couloir du hall. Plusieurs direction a prendre, pas envie de rester la, envie de voire du monde, envie de rester avec la belle Gladys. Que faire ? Ce qu’il va faire :

« Vous voulez pas qu’on bouge un peu ? J’ai envie de visiter ce bâtiment, voir si il y a d’autres personnes, mais je n’ai pas vraiment envie de vous quitter donc, vous me suivez ? On pourra continuer à parler pendant l’exploration. »


\[ te plains pas que c'est court, je devais m'occuper du chaton ><]
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The handsome, the bad and the evil _
MessageSujet: Re: The handsome, the bad and the evil   The handsome, the bad and the evil Icon_minitimeDim 5 Avr 2009 - 13:12

Gladys ne laissa son regard trainer sur le guerrier qu'une poignée de secondes. Elle le detourna des qu'il commenca a parler, comme si elle ne pouvait pas l'ecouter et le regarder à la fois. Peur qu'il dise des stupidites et ternisse l'image du combattant qu'elle s'etait faite lorsqu'il l'avait si facilement maitrisee. Elle commencait a saturer un petit peu des discours incoherents qu'il semblait capable de proferer. Cependant, il lui semblait egalement qu'il ne disait pas de betises pour une fois, mais expliquait sérieusement le développement de son monde. Il existait des connexions entre les differents univers dont il parlait ? Elle n'avait jamais entendu parler d'un quelconque truc comme cela. Si ce qu'il disait etait vrai, alors personne n'avait a sa connaissance etabli de lienavec le sien pour le moment. Elle finit par croiser de nouveau son regard vers la fin de son discours. Des pouvoirs, des trucs machins, des conquetes des mondes? C'etait digne d'un mauvais film de science-fiction, ces choses là. Cependant, ila vait fait preuve d'une abilité dont elle n'avait jamais entendu parler, et dont l'existence meme lui aurait semblé improbable si on lui en avait parlé. Les grands yeux de Gladys clignèrent, assimilant les informations qu'on lui donnait. Elle finit par hocher la tête en répondant

« Je comprend. N'ayant jamais entendu parler de cela, mon monde doit etre encore coupé de votre réseau. »

Elle repéra le regard insistant qu'opérait Noctim sur son bras mais n'allait pas pour le moment s'abaisser à devoir développer des informations aussi personelles à un inconnu, c'est pourquoi elle ignora complètement le mafieux qui se releva et se changea en un quart de seconde, ce qui ne l'étonna pas grandement, la technologie ayant permis des choses similaires là où elle était, meme si elle n'avait pas l'argent pour en etre equipée, ni l'envie car la plupart de ces petites choses étaient équipées pour la surveillance de l'individu. Bien entendu, elle désirait parfois en avoir sous la main, surtout vu l'état pitoyable de ses vêtements, qui n'étaient pas non plus en tissu ultra resistant ou en fibre reconstructrice qui évitait les déchirures, pour la même raison qu'au dessus. Tous les rebelles ne sont pas des mines à argent, et les détails aussi superficiels n'encombraient pas les têtes de la plupart des manifestants.

Elle se releva et attrapa son arme. Elle n'avait pas l'intention de lui tirer dessus, et n'avait aucune posture agressive. Elle le mit simplement en recharge et le glissa à sa ceinture avec negligence. On ne savait jamais, elle aurait peut-etre à s'en resservir, et il vaudrait mieux qu'il soit réellement chargé cette fois-ci. Elle espousseta d'un doigt le cadran de charge qui avait faussé son jugement tout à l'heure et tourna le regard vers l'homme, qui venait de reprendre son petit discours. Bavard, hein? Beaucoup de femmes aimaient bavarder dans la Gente, cela devenait un ballet de cacophonies inutiles et bruyantes. Cependant, des que les hommes etaient un peu plus libres, qu'est ce que ca bavassait ! Elle sourit legerement, repensant au camp et a ses chers males qui exhibaient leurs exploits tant amoureux que guerriers, amusée. Il lui posait des questions, cette fois. Assassine? Elle leva les sourcils, légèrement surprise du terme. Elle ne s'était jamais vraiment consideree comme telle, mais lorsqu'on lui demandait de tuer telle ou telle personne...

Gladys écouta la petite interprétation qu'avait faite Noctim de ses mouvements, et avec son flegme habituel, ne cilla presque pas. Elle laissa planer un petit silence à la fin, ne sachant pas si elle devait ignorer sa requête. Cependant, elle consentit à lui donner une réponse, claire mais peut-être un peu sèche.


«Je ne suis pas assassin. »

Elle n'avait pas envie d'en dire plus pour le moment. Il avait ajouté à la fin de son discours qu'il avait envie de visiter? Eh bien soit. Gladys fit quelques pas en avant, ne l'attendant pas, il serait bien assez grand pour la rejoindre de lui même. Elle fit en fronçant les sourcils, méfiante quant à l'endroit où elle se trouvait, se demandant si il y avait d'autres cas comme lui

« Il faut repérer où pourraient se trouver des réserves de vivres. Et éventuellement chercher une sortie secondaire, la nourriture ne doit pas être inépuisable. »

Gladys s'engagea dans un couloir. Elle ouvrit la première porte qui lui tomba sous le nez, prenant toutes les précautions nécessaires en cas de piège. La jeune femme finit par conclure

« Une... infirmerie? Qu'est ce que ce genre de choses fait dans une maison comme celle-là ?...»

Gladys plissa les yeux et s'empara d'une fiole, la regardant en détail, puis d'une autre.

« Je ne connais rien de cela, ce ne doit pas être de mon monde... Pourtant, si je suis ici...»

Elle balança la tête sur le côté

« Cet endroit pourrait être une sorte de nœud entre les mondes... Mais comment cela marcherait? Cela devient casse-tête, je n'y connais pas grand chose. Tu sembles plus informé que moi sur l'endroit...»

Elle lui jeta un regard interrogateur. Ses connaissances seraient précieuses.
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The handsome, the bad and the evil _
MessageSujet: Re: The handsome, the bad and the evil   The handsome, the bad and the evil Icon_minitimeMer 22 Avr 2009 - 13:46

[ okay okay y'a trop d'action, mais je sentais comme quoi ca ramollisait aussi donc bon ...']


Alors comme ca ce n’était pas un assassin? Et bien en tout cas, elle avait un sacrée potentiel, et surtout grâce a son coter acrobatique, quoique ca pourrait server aussi pour d’autre fins… Hey elle a un sacre tempérament, elle s’y croit ou la ? Et avec qui ? On aurait trop dit une vétérane de l’armée en un nouveau village pour un siège. Mais elle était la, dans ce bâtiment, et pas avec n’importe qui, mais le (grand) Noctim Davriosia.

Il la suivit en marchant comme un jeune adolescent, d’ailleurs il n’avait pas vraiment quitté cet esprit. Il marchait les mains dans les poches, le corps pencher vers l’arrière, sans franchement regarder les alentour, mais deux grands objets divins qui mènent au paradis, qui gigotaient, la, juste en face de lui. Décidément, elle n’était pas seulement jolie, mais aussi tout à fait attirante physiquement, et ce n’était pas pour le déplaire.

Lorsqu’elle remarqua qu’elle avait ouvert une porte donnant à une infirmerie, Noctim se détacha enfin de ses fantaisies et jeta un petit coup d’œil à la salle. Il se promena un peu à l’intérieur. Au moins, il y avait du bon matos pour faire des premiers soins. Il ouvrit un tiroir qui contenait plusieurs seringues. Des anesthésiant, des sédatifs, des seringues vides et surtout des seringue pour injection. Parfais, comme ca il pourrait continuer à prendre ses médocs sans pour autant devoir tout le temps bruler l’aiguille, chose qu’il avait horreur de faire. Il en prit quelque unes, les aligna et prit son SAC en main. Il pointa toutes les seringues et les prit.

« Hé mate-ca. Je ne sais pas qui vit ici, mais il est prêt pour une bonne opération au cas où avec tout ca »

Elle semblait observer attentivement une fiole sans trop savoir ce que c’était. D’un petit coup d’œil, cela semblait être une liqueur de Fehling, de quoi savoir s’il y a présence de glucose ou pas sur une substance. Ils ont peur d’être diabétique ou quoi ici ?
Elle fit une remarque intéressante cependant. Elle était rentrée par le portail naturellement, et tout ce qui était présent ici lui était étranger… Cet établissement était bien étrange :

« Un nœud entre les mondes, un carrefour, une fin commune. Ce monde m’a l’air bien étrange. Personnellement je n’ai jamais bien compris le système de connexion entre les mondes. Il y avait une option sur cela la ou j’ai été formé, mais c’était trop… « Magique » pour moi, je dois avouer que je le regrette seulement… »


Il marqua une pause. Il allait venir en un point qu’il ne voulait pas admettre, mais avec tous ces détails étranges, cette lettre, ces avertissements… cela ne pouvait être que ca.

« Je crois que ce monde est une prison. La seule chose que je comprenais dans les CIS (connexion inter spaciaux), c’est que des qu’on entre dans un monde, le seul moyen d’en ré-sortir, c’est ou d’avoir une connexion stable avec le monde d’origine, ou alors savoir en faire un soi même. Or vu la note de tout a l’heure… je pense sérieusement qu’on est coincer ici, et que surtout on n’est pas seul. »


Alors qu’y avait-il d’autre… Scalpel, gaz, coton, masques, alcool, cordon en silicone et surtout des tonnes et des tonnes de bandages. Et ben, Il ne savait qui vivait ici, mais une chose était sur, c’est qu’ils ne devaient pas manquer de matériel…
Manquer de matériel, manquer de vivre… les meubles et le sol qui se reparait comme par magie… et si ?
Noctim ré-ouvrit le tiroir, et le fit tomber sans le faire exprès. C’était bien ce qu’il pensait. Il y avait le meme nombre de seringue qu’il y avait avant qu’il en prenne. Si des éléments de survie sont illimites comme cela, cela confirmerait la prison :

« Gladys ? Je crois avoir trouve un détail qui va confirmer notre théorie »


Il prit son sac, appuya sur le bouton central, et sortit la dizaine de seringue qu’il avait prises. Il les lui montra clairement avant de les ranger. 10 seringues dans son sac, environ 20 dans le tiroir. Il en prit encor une dizaine, cette fois-ci au hasard, et ferma son sac et le tiroir. Il ouvra encore une fois son sac, et sortit les outils un par un. 20 seringues dans son sac. Il ouvrit le tiroir, et la tout était confirmer.

« 20 seringues. Si c’est ce que je pense, cet endroit fait tout pour que nous ne manquions pas d’outil utile à notre survie. S’il y a une cuisine, a mon avis il y aura aussi des vivres a l’infini. Cela veut certainement dire qu’on est coincé… Merde faut absolument qu’on trouve quelqu’un... »

Ca commençait à l’énerver cette situation. Mais bordel c’était quoi ca ? Il avait vu des trucs étrange dans sa vie, après tout des qu’on a servit la Davriosia, on a tout vu enfin presque, mais la c’était juste… incroyable. Au début Noctim prenait ce sujet a la légère, mais si il était vraiment coincer ici, que va-t-il se passer dans les autres mondes ? Merde… Ca…commence...vraiment a lui Peter les burn*s…

Noctim se sentit un peu chaud. Par mesure de précaution, il s’éloigna un peu de Gladys. Il ne contrôlait pas son pouvoir, et ca pourrait exploser à tout moment. Mais cette fois c’était assez bizarre. Il n’était pas vraiment rageux, car après tout, meme si il serait emprisonné ici, il serait en bonne compagnie. Et c’était bien le genre de Noctim de favoriser les bon cotes. Mais la, son pouvoir coulait… Une fumée blanche commença a dégage du corps de Noctim. Cette fumée commença à devenir une véritable purée de pois. Elle semblait se diriger vers le coin opposé d’où était Gladys. Une silhouette commença à être visible. D’où venait-elle ? Et c’était quoi ce grand…truc… Grand… Très grand… avec de jolies…dents ?

Un ours, un vrai, sur ses deux pattes arrière, avait apparut s. Il était très menaçant. Très était même faible comme terme. Il était presque aussi grand que large, et il faisait au moins deux mètres et demi. Il ouvrit sa grande gueule et rugit un grand coup. Une flamme orange apparut sur son front, et elle était plutôt…bestiale.

Noctim tomba sur ses fesses, el dos coller au mur. Il se sentait faible, et il avait soudainement une sacrée migraine. Merde ! C’tait quoi ce bordel ? Un ours comme ca ? Paf ? Mais putain c’était quoi cet endroit ? Noctim essaya de faire quand même un effort. Il se concentra, et plaça une bonne partie de sa chaleur sur ses mains pour l’aider à se soulever. Il arriva à former deux flammes, faibles mais suffisantes. Il était debout, mais il avait encore cette migraine. Bon dieu qu’elle tait horrible, elle lui taillait pratiquement la tête, et son corps devenait vraiment de plus en plus chaud. Merde, c’était un danger ca. Ces cellules allaient se dégénérer, et ca, c’est un cancer. Merdemerdemerdemerde…

Allez…concentration, zen, et pense. Heureusement que l’ours ne bougeait pas… D’ailleurs, il faisait un drôle de gueule. Il avait une patte en face de sa face, et il pointait quelque chose en ma direction avec l’autre. Quoi, c’était Noctim qu’il pointait ? Noctim se regarda. Ah bah… il avait raison de « rire ». La chemise de Noctim était en cendre, et bizarrement seule sa cravate était en place. Bon, on s’occupera de ca plus tard. Noctim mit bien dans sa tête que ce qu’il voulait, c’était éclater cet ours !... qui était a terre en riant. Sérieux… c’est quoi cette histoire. Dites moi que je suis encore au bar avec mes compagnons, que j’ai trop fumé, trop bu et que j’ai fait une overdose et que je rêve car la…
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The handsome, the bad and the evil _
MessageSujet: Re: The handsome, the bad and the evil   The handsome, the bad and the evil Icon_minitimeDim 10 Mai 2009 - 20:50

Gladys prit une boître qui contenait des choses qui lui étaient déjà un peu plus familières, de petits comprimés emballés de manière fort etrange dans des emballage de plastique et de papier alluminium. Elle les secoua, finit par percer l'emballage d'un des comprimés du bout de l'un de ses ongles sagement coupés et regarda de plus près la petite chose. Elle ne l'avalerait certainement pas, mais il lui semblait que c'était des médicaments pour le mal de crâne, du genre universels et que l'on trouvait un peu partout, même chez le dealer du coin pour ceux qui y finissaient accros. Elle avait toujours trouvé un peu pitoyables les pauvres drogués ne pouvant plus se passer de pastilles pour la toux ou de leur petit médicament quotidien, les yeux vides, les cernes gigantesques.... tout cela à cause de pauvres médicaments.

La jeune fille finit par laisser les pauvre comprimés à leur place et continuait de fouiller distraitement en écoutant Noctim. Après que celui-ci lui aie en effet montré le bric à brac relativement sophistiqué de l'infirmerie, elle marmonna que tout ce matériel lui semblait un peu vétuste mais qu'au moins on pourrait certainement faire assez proprement les opérations les plus sommaires et les plus indispensables. Si l'on en possédait le savoir, bien évidemment. La jeune fille ne savait procurer que des soins assez légers, laissant les divers infirmiers et médecins du camp intervenir lorsque besoin était. La jeune fille regarda les seringues étalées devant Tenpa et lui fit part de l'hypothèse comme quoi les propriétaires pourraient être médecins.Elle prit entre les mains l'une des seringues. Propreté impeccable, pointe aux normes... Toute cette infirmerie était bien trop asceptisée et bien trop complète pour être celle d'un simple particulier. Elle ajouta à son hypothèse que ces gens pouvaient tout aussi bien être des chercheurs, ou tout simplement des nobliaux de la Gente avec leurs médecins personnels.

« Il est certain que tout cela est si fantasmagorique que je reste sceptique, ce qui est une attitude relativement normale lorsqu'on parle à quelqu'un de maison qui enferme des gens et de nœuds entre de différents mondes. »

La voix calme de Gladys fit légèrement tinter certaines fioles en équilibre précaire sur une armoire, et elle préféra s'en détourner un peu afin d'éviter un accident qui pourrait leur être dangereux en cas de gaz volatils et nocifs pour l'organisme humain. Noctim parlait de prison. Il était sûr que peut-être qu'on l'avait amenée là intentionellement mais... Ce n'était tellement pas le style des agents de police, ils auraient nettement préféré descendre une criminelle de bas étage comme elle plutôt que de lui accorder quelque sursis dans une quelconque prison. Elle haussa donc légèrement les épaules

« Comment voudriez-vous que l'on se mette en phase avec un quelconque monde avec une technologie aussi sous-évoluée, de toutes manières... ? Si c'est une prison, alors j'estime qu'il est grégaire d'incarcérer quelqu'un sans procès préalable, quelque futile soit-il. Mais à quoi bon se poser des questions comme cela, pour le moment, cela ne nous fera pas avancer davantage. Allez, cherchons ce qui pourrait nous être utile en nourri... Hm ? »

Gladys se retourna au moment où elle allait passer le cadran de la porte. Noctim venait de l'apeller. Le jeune homme semblait légèrement préoccupé. Gladys ne fit que le regarder un instant, se demandant ce qu'il avait trouvé de si important. Elle observa son petit manège en comprenant peu à peu où il venait en venir. Elle murmura en même temps que lui le nombre de seringues qu'il y avait dans le tiroir. Tout se reconstituait. Tout était parfaitement logique. Et tout restait en abondance, pour un séjour... éternel. Elle n'éprouva pas le besoin d'ajouter quoi que ce soit aux paroles de l'Hitman, et le tira dans le couloir. Cependant, quelque chose d'anormal commençait à se produire, et cela ressemblait à la chose extraordinaire qu'avait fait le mafieux dans le hall il y avait quelques instants. Le garçon enfumait l'endroit, et Gladys s'éloinga par reflèxe, reflèxe qu'eut également Noctim. Il ne semblait pas si mal intentionné qu'il n'y paraissait au premier abord... A moins que cela ne fut que pour avoir une présence humaine et féminine à ses côtés pour se réconforter, mais l'heure n'était pas vraiment à la reflexion. L'ombre qui se dégagea progressivement de la fumée fit frémir Gladys. Qu'est ce que c'était que cette biete là? Elle écarquilla les yeux, complètement déboussolée vis à vis d'un animal qu'elle n'avait jamais vu et dont elle n'avait jamais entendu parler. Un museau menaçant agrémenté de bonnes dents, de grosses pattes pataudes, un poil rêche et crépu... Elle recula d'un pas, puis de deux. Elle regarda le signe de la recharge de son arme. Pas assez, bien evidémment, vu qu'elle avait forcé un peu l'arme, elle mettrait un peu plus longtemps à recharger.

« ... C'est.. quoi... ce truc ? »

La jeune femme se ressaisit et tenta d'apercevoir Tenpa, Tenpa qui avait l'air de souffrir, dégageant de plus en plus de chaleur, assez pour qu'elle la ressente d'ici. Il lui fallait de la fraîcheur, de la fraîcheur, à elle qui n'avait jamais supporté le soleil sur sa peau, pour elle qui avait vécu dans un cocon climatisé les quelques années de sa vie... Elle s'affala contre le murs, la chaleur l'engourdissant. Cela avait quelque chose d'anormal, cette vapeur... Du froid, juste un peu de froid, qu'elle parvienne à respirer... Le liquide dans les bouteilles commença à se cristalliser, et quelques unes éclatèrent sous la pression du liquide devenu glace, tandis que d'autres restaient bien au calme, en un étonnant paradoxe. Le gel s'etendit progressivement avant de tenter une mystérieuse acrobatie dans le vide, mince sculpture de glace, qui se solidifia vite à ses pieds. Gladys avait a moitié fermé les yeux et ne comprenait pas bien ce qu'il se passait, mais la fraîcheur lui fit reprendre ses esprits, et lorsqu'elle tenta de bouger, ses pas crissèrent sur une fine couche de verglas. Elle leva les yeux, interloquée, et aperçut l'animal étrange bloqué dans une glace qui ne venait de nulle part.

« Quoi? Je ne comprend.. rien. »

Elle plissa les yeux, regarda Noctim. Autour de lui, la glace accumulée fondait. Gladys recula, se retrouvant de nouveau dans l'infirmerie. Sous son pied, elle ressentit une brisure. Une fiole tombée sous le choc des explosions de certains bocaux miraculeusement rescapée venait de se briser sous son talon. Elle tomba, prenant une grande inhalation involontaire du liquide volatil, et n'eut le temps que de tendre une main impuissante vers Noctim avant de s'enfoncer dans l'inconscience la plus totale au milieux des débris de verre.

« Vraiment.. rien... »

[Court et confus sur la fin mais tu pourras decrire plein de tucs, genre une quete de chambre et de lit pour l'allonger etc 8D (ou un viol, tant qu'a faire autant profiter *sbaf*)]
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The handsome, the bad and the evil _
MessageSujet: Re: The handsome, the bad and the evil   The handsome, the bad and the evil Icon_minitimeVen 15 Mai 2009 - 18:07

De… De la Glace? Oulah, hé, Noctim devrait arrêter de consumer ce qu’il exhort… recevait des dealeurs la veille d’une mission. Il cligna des yeux plusieurs fois d’affilée pour essayer de bien voir cette vision certes peu… Récapitulons un peu : Lui, feu, Ours, infirmerie, brouillard, jeune jolie fille, glace. Euh, ouais, mais What the heck quoi. D’ailleurs l’ours fixait le verglas présent sur tout le sol. Il y en avait partout, sauf autour de Noctim qui dégageait de la chaleur sur tout le long de son corps. Allez, ce n’est pas le moment de glander, l’ours se matte pas, la physique est moi !

Noctim utilisa ses flammes pour se propulser du mur, et utilisa le verglas pour tourner autour de l’ours le plus rapidement possible. Le verglas l’entrainait, et même si il n’avait pas suffisamment de force pour soulever cet ours, la glace l’aiderait. Il agrippa l’ours autour de ses bras de toute ses forces, et en donnait un petit coup de pied sur le talon de la bête, le fit glisser vers l’arriere, comme si il allait écraser Noctim. Seulement Noctim savait pratiquer du catch, et plia son dos pour faire cogner le crane de l’ours contre le sol, et le lâcha pour éviter qu’il se fasse écraser.

Il atterrit juste au coter de Gladys, qui était tombée dans les pommes. Oh lala, mais dans quel merdier il était. Elle était couverte de glace. Mais d’où venait-elle justement cette glace ? Elle ne peut pas avoir apparut comme ca, pouff… Et si c’était le Pouvoir de Gladys ? Venait-elle de le réveiller ? L’air dans l’infirmerie était lourd, lourde et humide. Avait-elle fait une crise ? Merde merde merde…

Noctim sentit la présence de l’ours élever derrière lui. Par pur reflexe, il se retourna à moitie, tenant son arme à feu dans la main droite. Il était assez en rage, et l’arme était chargee.il ne réfléchit pas deux seconde qu’il tira. Cependant, au lieu de voir l’ours Désintégrer, il le vit arrêter la balle en donnant un coup de patte très rapide dessus.

« Arrête, utilise ton pouvoir pour défaire la glace dans cette pièce et soigne-la »

Attend, l’ours venait de parler ? Il venait de parler la, non ? Noctim changea de son regard spécial assassin a un regard du genre « plus jamais ca »… Il se releva, et essaya de se calmer. Il avait toujours ses boules de feu, mais il préférait éviter qu’elles explosent sur Gladys. Il rapprocha sa main du corps de la belle fille et resta immobile pendant un moment. La glace avait recouvert le corps de celle qui était prisonnière comme lui. C’est un pouvoir terrible la glace, d’ailleurs rien que de penser que cette fille avait le même pouvoir qu’un certain démon dans la Davros, Noctim avait des frissons. Si ce n’était pas une assassine, elle n’aura quand même aucun problème pour tuer quelqu’un avec ce pouvoir.

La glace avait fondue, et Noctim n’arrêtait pas de surveiller l’ours qui s’était installé dans un coin de l’infirmerie. Cela le dérangeait car c’était quand même un ours, une bête, et que des qu’ils ont envie d’attaquer, généralement on est pris par surprises et on y succombe. Mais cet ours la était différent, il était soudainement…paisible. Il ne ressemblait plus tellement à une bête, mais a une créature domestique.

Noctim prit Gladys dans ses bras. Si elle était en pleine forme, il en aurait profité pour la complimenter sur la douceur de sa peau et sur la superbe vue qu’elle lui offrait, mais il n’était pas d’humeur à ca. Il la posa sur un lit et décida de stériliser la salle. Mais comment le faire ? Il chercha partout, et trouva des bouteilles d’O2. Cela l’évitera de bruler tout l’air aux alentour au risque de bruler même l’02. Il plaça un masque sur la bouche de la malade et réfléchit a quoi faire. De quoi pouvait-elle souffrir…
En regardant un peu partout, il vit la fiole brisée. Il put reconnaitre le symbole Radioactive sur le verre. C’était donc ca, pollution de l’oxygène. Donc son traitement ne devrait pas tarder à faire effet. Noctim profita donc de lui masser le corps. Il a toujours été de ceux qui pensent qu’on guérit plus vite lorsque notre corps se sent bien et relaxer, en même temps il dorait être le « Buddy-massage » car un massage ne termine jamais comme un vrai massage dans ces cas la.

Mais quel merdier. C’était quoi cet endroit ? Il avait déjà vécu des moments loufoques, mais la c’était un peu trop, et en plus ce n’était plus marrant. Noctim garda une bouteille d’O2 pour purifier l’air ambiante de l’infirmerie, car après tout il risquait lui aussi d’être intoxiquer.

« Ne t’inquiète pas, avec ton pouvoir, tu es devenu insensible aux effets néfaste des radiations

- de quoi tu parle ?

-Ce que je veux dire, c’est que ton propre corps devient une source de radioactivité, c serait illogique que tu sois sensible a toi-même non ? »


Décidément cet Ours était bizarre, non seulement il parlait, mais en plu il connaissait les propriétés de la radioactivité. ‘Était bizarre à entendre. Noctim Remarqua qu’il était encore une fois torse poil. Bah, tant pis, toute façon Gladys était dans les pommes. Mais que faire pendant qu’elle récupérait…

Une si jolie femme, inconsciente, a sa Mercie… Non ! Le viol est un acte horrible ! Certes beaucoup dans son boulot le pratiquaient lors des missions ou des soldats de la Davros évident raser une ville, mais Noctim condamnais cet acte. Cela signifierait que le genre féminin n’est un objet qui sert à se faire prendre par derrière, une espèce de seau a sperme si on voulait être vulgaire. Comme vous le savez, lui il considère la gente féminine divine, et la drague c’est un moyen honnête de s’approcher d’elles. Il se retient donc d’empointer de la situation.

Mais elle est la, prête, dans ses vêtement trempe de la glace fondue… attend. Ses vetement sont mouilles ? Mais elle va attraper un rhume ! Quel con ! Noctim se leva brusquement d sa chaise et retira brutalement, mais efficacement et sans déchirer, les vêtements de Gladys, même sous vêtements. Une couverture ne suffirait pas pour la réchauffer, il lui fallait un truc chaud, de température humaine… Oh, non…
Noctim réalisa que le seul moyen c’était qu’il reste en contact avec. Mais non ! Il ne pouvait pas faire ca ! En plus il l’avait déjà déshabillée complètement sans sa permission ! Il avait mis ses (très belles) formes à l’air ! D’ailleurs, il remit rapidement la couverture en place car il pouvait encore les voir, et si il les regardait quelques moments de plus, c’est clair, quelque chose en lui en bas allais se réveiller.

L’ours pencha sa tête un peu vers le coter, et parla a Noctim d’un air Interrogateur :

« Qu’est-ce qui va pas ?

-MAIS BORDEL, ELLE EST LA, NUE, INCONCIENTE, BELLE, BONNE, J’AI UNE BON EXCUSE DE RESTER EN CONTACT AVEC ELLE, MAIS C’EST CONTRE MES PRINCIPES, ET JE SUIS LA A BANDER COMME UN CON !

- Hey du calme, essaye de te calme, tu y verras plus clair


- … … … AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !

- Ca va mieux ?

-Je crois…

- Tu ne peux pas faire quelque chose pour t’occuper en restant a ses coter ? Je ne sais pas moi, tu dessine, tu fume, tu te casse le crane contre le mur…

- Putain t’es zarb’ comme ours, tu ferais quoi a ma place ?

- bah, moi je n’aurais pas hésité, j’l’aurais violée sur place, mais vu que c’est contre tes principes…

- … Je vois »

Si jamais Noctim réussirait à sortir d’ici, il est certain qu’il évitera de parler d’un ours gigantesque qui peut avoir une flamme sur la tête qui peux réagir plus vite qu’une balle, qui connaît des lois physique et sait c’est quoi la drogue et le viol…

Mais il n’avait pas tord. Il pourrait dessiner, même si il n’a jamais les matériaux pour ca sur lui, mais il pouvait jouer de la musique. Il évitera de faire sortit ses platines ici vu que c’est une infirmerie, et que ce n’est pas le moment d’attirer l’attention ni de faire la fête. Il opta donc pour un instrument classique : la guitare. Et oui, il avait même de la place pour une guitare dans son S.A.C, ce n’est pas pour rien que c’est devenu l’objet le plus cher de toute la terre, c’est que c’est hyper pratique et c’est très demander. Il sortit donc son bel Instrument, une superbe Les Paul G édition 3566, un modèle Epic dont il était tombé amoureux, et qu’il l’avait surnommé Cagna, car il en avait mit du temps pour mettre la main dessus. Et en plus il avait un superbe empli’. C’était ca de travailler dans la plus grande mafia, et il en était fier.

IL craqua, il commença à jouer son morceau favori du moment, une très vielle musique qu’il trouvait génial. Il posa sa main sur le manche, ses doigt sur les cordes et c’était partit. La musique commençait par quelques notes qui se ressemblaient, avec un même rythme, et au bout de quelques secondes il accéléra doucement, mais avec un accord assez différent. C’était un rythme lent, fluide et paisible. Il avait apprit à chanter cette musique avec un mercenaire, qui se faisait surnommer l’Artiste, une personne incroyable. Il parlait toute sorte de langues, pratiquait toute sorte d’art et d’instrument, et avait une de ses voix. Noctim se considérait son apprenti, et au bout de plusieurs entrainement arrivait a bien chanter cette musique en langue plutôt inconnue, la langue de la zone 05 (le Brésil). C’était une musique assez simple en fait, le chateur est un fou qui ne fait que citer des noms de suicider ou de fou et dire qu’il ne va pas bien. Mais cette musique était très envoutante.

« Sangue sangue… Sangue… Chatterton ? Suicido. Kurt Cobain ? Suicido. Vargas ? Suicido… Vitch enlouqueceu, e eu ? nao vou nada bem… nao vou anda beeem. »


Et il continua ansi a jouer cette musique douce pendant un bon moment, dans une infirmerie accompagner par une malade (nue ) et un ours…
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MessageSujet: Re: The handsome, the bad and the evil   The handsome, the bad and the evil Icon_minitimeSam 23 Mai 2009 - 7:34

Sa respiration paisible ponctua son sommeil. Elle ne savait pas vraiment ce qu'elle avait ainsi respiré... Elle n'avait pas eu le temps de se poser la question, a vrai dire. Son esprit n'avait pu qu'évoquer l'hypothèse d'un narcotique avant de sombrer dans l'inconscient, mais on pouvait fort bien se demander si ce genre de produit étaient censés se trouver dans une infirmerie d'un manoir, si grand et si étrange soit-il. Quoi qu'il en était, si il s'agissait d'un quelconque anesthésiant ou somnifère, Noctim avait eu raison : il y avait l'équipement nécessaire pour faire n'importe quelle opération, pour peu que l'on aie les connaissances pratiques qui allaient avec. Elle ignorait si il y avait un chirurgien dans ce bâtiment. En vérité, elle ignorait tout simplement si il y avait quelqu'un d'autre qu'eux. La jeune fille n'avait pour le moment pas entendu le moindre soupçon de vie dans le manoir, hormis les leurs. Mais tout cela, elle ne pouvait pas le vérifier maintenant, elle dormait, ou plutôt, elle flottait complètement, un soupçon de conscience parvenant encore à s'immiscer dans son cerveau déconnecté.

« ... »

Elle n'arrivait pas à parler, en tous cas. Elle n'arrivait pas non plus à ouvrir les yeux. Et elle n'entendait de l'exterieur que des exclamations étouffés dont toutes les paroles étaient étouffés, ce n'était qu'un large amas de bruits, et Gladys fut bientôt fatiguée d'essayer de comprendre ce qui se disait. Tout ce qu'elle savait, c'est qu'elle avait un peu froid, tout d'un cou, et que le liquide froid parsemant son corps n'avait rien d'agréable non plus. Tiens, sa mémoire intacte lui rapella que cela ressemblait un peu à sa naissance, tout cela. Il manquait plus que les voies de respiration artificielles et les divers fils qui lui prodiguaient ce dont elle avait besoin. Le sentiment de flottement était en tous cas à peu près le même, et elle se persuada même un moment que les bruits étouffés était la voix des médecins qui tergiversaient sur son état. Ce n'était pas si éloigné de la vérité, étant donné que c'était Noctim qui parlait avec l'ours de ce qu'il fallait faire alors qu'elle était dans cet état de sommeil presque complet. Elle ne put même pas entendre clairement, et c'était peut-être tant mieux, les qualificatifs qu'il lui donna en parlant à l'ours. Belle... Il fallait bien qu'elle le soit. Elle qui aurait éternellement 20 ans, il fallait bien qu'elle soit parfaite, au moins pour sa cliente, c'était ce pour quoi elle était faite, non ? Bien que Noctim ignorât tout de sa provenance et de son caractère artificiel, la jeune fille se crispa légèrement, dans un sursaut de conscience qui ne dura pas longtemps. Les plans de sa cliente avaient dû être légèrement modifiés, pensa-t-elle en se rapellant des évènements qui avaient suivi sa fuite désordonnée et sanglante de l'endroit où elle était détenue.

Cependant, il resta à Gladys également de sa conscience cette simple évidence : elle n'était plus dans son monde, de toutes manières. Elle était enfermée avec une sorte de mercenaire qui n'arrêtait pas de jongler entre vaudeville et combattant hors-pair. Si il lui paraissait parfois très intelligent et capable de faire des raisonnements très justes... D'autres fois ce n'était qu'un pervers en manque comme tous les autres, et il lui était complètement indifférent, plus encore que son compagnon de route qu'elle avait dû achever moins d'une heure auparavant.


L'air semblait peu à peu moins lourd pour la malade qui ignorait encore tout des réactions de l'homme en question sur sa personne. Il y avait de bons côtés à ne pas entendre ce qu'il disait, même si elle ne se doutait pas un instant qu'il venait d'avor une discussion sur le viol avec un ours pervers connaissant les lois physiques de la radioactivité. En même temps, à moins d'avoir pris un bon rail de saloperie avant, on ne pouvait pas imaginer pareille conversation. Cependant, plus que des bribes, ce sont des voix qui lui parvinrent. Enfin, une seule voix, et elle se modulait de manière plutôt mélodieuse. La jeune fille parvint à bouger légerement un bras, expirant un souffle un peu plus prononcé que les autres, s'apparantant a un murmure encore étouffé. Elle ne comprenait toujours rien à ce qu'il disait, et pourtant cette fois, il lui semblait qu'elle saisissait les syllabes prononcées. Ses cils s'ouvrirent lègérement sur des yeux fatigués qui ne comprenaient toujours pas grand chose à ce qu'il se passait. Qu'est ce qu'il racontait, celui-là, encore ? Il n'était jamais à court de trucs étranges, ce type... Gladys se demanda avec un certain effroi si auparavant ils se comprenaient grâce à un traducteur et que celui-ci s'était désactivé, la langue de l'autre n'étant plus qu'un large charabia pour chacun d'entre eux. Elle tourna la tête vers l'origine du son, découvrant Noctim tenant une guitare à la main. Ah, ca, au moins, c'était quelque chose qui lui était familier, même si la musique commercialisée était composée de manière electronique, il y avait toujours les sympathiques clochards la guitare à la main et la clope au bec qui détenaient de précieux renseignements, faute de détenir autre chose que des vêtements rapiecés et un instrument démodés sortant des sons vigoureux mais pas assez dans l'air du temps. La jeune femme trouvait qu'il jouait bien, on aurait presque dit une synthèse artificielle des studios de production, si il n'y avait pas le timbre etrange et imparfait de l'instrument, le bruit des doigts pinçant les cordes et quelques rares désaccords souvent rattrapés par la pratique habile du joueur. Elle aimait bien les artistes, du moins ceux qui restaient. C'était peut-être l'une des rares choses qu'elle pouvait apprécier en son monde, le reste de système étant trop pourri de l'intérieur pour qu'on puisse s'y intéresser plus de quelques secondes. Elle écouta donc, immobile, jusqu'à la fin de la chanson. Mais son sens pratique primait sur le sens artistique, et la première chose qu'elle demanda en se relevant fut

« Me comprenez-vous toujours ? »

Dire autre chose serait stupide, si il ne la comprenait pas, de toutes manières. Elle finit par ajouter, comme forcée de l'avouer, en posant ses mains sur ses genoux

« Ce morceau était agréable à entendre. Quoique, je n'y connais rien, et il m'est certainement impossible de reconnaître un bon d'un mauvais morceau. C'est juste que j'aime entendre la guitare, sans doute. »

Gladys se leva et s'étira. Peu à peu, elle retrouvait ses forces... Elle se demandait bien ce qui pouvait lui être arrivé pour que son sommeil semble être de si courte durée... Mais avant qu'elle ne puisse poser la question, elle avisa une autre forme qu'elle était loin d'attendre dans les parages. L'animal était là, rigolard, et la regardait d'un oeil interessé. Ce qui était etrange avec cette chose, outre le fait qu'il soit dans une maison malgré da taille gigantesque, c'était qu'il avait des réactions et des manières de bouger un peu trop humaines pour que cela paraisse naturel. Dans son monde, il n'y avait presque plus d'animaux de ce genre, et n'ayant jamais vu ce genre de choses, elle regardait avec méfiance l'animal, comme si il était l'un de ces extra terrestres dont les humains de la Gente avaient toujours irrationellement peur, juste parce qu'ils osaient se balader dans l'espace. Ils pensaient toujours qu'en allant de plus en plus loin dans l'espace, ils risquaient de se frotter à une espèce inconnue qui pourrait faire comme dans les films de science fiction.. Sans héros pour sauver le monde. Glays avait toujours trouvé cela parfaitement stupide, mais maintenant qu'elle était face à un organisme complètement inconnu, et l'hypothèse de plusieurs mondes parallèles lui étant à présent possible... Mais elle aimerait surtout savoir ce qu'il reluquait comme ça, cet animal, on aurait dit qu'il bavait littéralement sur elle, et ce n'était pas chose des plus agréables. Elle finit par suivre les yeux ronds tout noirs de la créature et finit par comprendre d'ou venait cette sensation de froid, depuis tout à l'heure.

« Oh, je suis nue. »

Il y avait des filles aux réactions bien plus violentes, quand même. Gladys trouva ses vêtements déchiquetés par terre. Il ne lui restait plus rien, hormis ses chaussures. Elle jugea que déchirer des vêtements sans la blesser devait être au delà des aptitudes de l'ours aux pattes pataudes et armées de griffes. La jeune fille regarda donc Noctim, avec un haussement de sourcil. Ce type était-il un pervers, finalement? Il ne faisait que jouer au yo yo, entre son comportement stupide et son attitude décontractée de guerrier paisible. La jeune fille, plutôt que je chercher à se vêtir, chercha d'abord son arme. Elle la trouva près de ses vêtements inutilisables. Elle regarda le chargeur et tira vers Noctim, prenant soin de ne viser qu'a un centimètre de sa tête. L'étagère qui se reçut le tir vola en éclats carbonisés.

« Vous n'avez pas interêt à prendre mon arme, la prochaine fois. »

Bon, elle avait gâché un peu d'énergie de son arme, mais celle-ci était presque chargée. Autant joindre le geste à la parole, dans l'hypothèse où il ne la comprenait pas. Finalement, elle se dit qu'elle avait un peu froid tout de même. Elle prit entre ses mains un des rideaux blancs qui entouraient certains des lits de l'infirmerie et tira sèchement pour le déchirer. Elle noua le rideau sous ses aisselles afin de se faire une robe de fortune, même si celle-ci n'était pas très solide, tenait mal et s'arrêtait à mi-cuisse. Voire lègerement plus haut. Sa jambe et son bras mécaniques étaient à la vue de tous, ce qui la gênait un peu. Elle n'aimait pas se donner en spectacle... Mais c'était lui qui l'avait voulu, après tout. Offrant un magnifique décolleté à Noctim, elle se pencha pour prendre un éclat de fiole entre ses mains.

« C'est ce qui m'a fait perdre conscience ? Bon, ce n'est pas prioritaire.... »

La jeune fille n'attendit pas la réponse, prit le poignet de Noctim et sortit de l'infirmerie. Elle fit attention à ce que l'animal ne les suive pas, et une fois entrés dans une nouvelle salle, dont elle ne regarda pas le contenu, elle lui demanda, les sourcils froncés, le tenant par l'épaule, qu'il avait nue également, d'ailleurs, même si lui avait gardé quelque chose à se mettre en bas.

« N'avez vous pas tué cet animal ? De plus... Peut-être était-ce un délire dû au produit qui m'a fait perdre connaissance, mais... De la glace n'a-t-elle pas surgi de nulle part ? Je... Je ne comprend plus grand chose. Tout cela devient un peu trop compliqué et étrange pour moi... Je commence à décrocher un peu. De plus, malgré tout le vacarme qu'on a fait, il ne semble y avoir perso...»

Elle avisa une horloge, qui donnait une heure qui lui était familière. Au moins la mesure du temps lui semblait la même que la sienne, ce qui la rassura un peu.

« Ah. Il est 4.00 a.m. dans ce monde. C'est un peu plus normal. »

Elle se retourna complètement pour aviser la salle. C'était probablement la salle à manger, au vu du frigo antique qui siègeait dans un coin de la pièce et des multiples placards renfermant sans doute les denrées nécessaires à la survie. Ce qui capta son attention, c'était la machine à laver. Elle était en route. Elle marchait.... Et il y avait encore quelques miettes de pain sur la table... Elle en conclut, avec un petit sourire à moitié soulagé, à moitié méfiant

« Il y a quelqu'un d'autre ici... »
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The handsome, the bad and the evil _
MessageSujet: Re: The handsome, the bad and the evil   The handsome, the bad and the evil Icon_minitimeMar 26 Mai 2009 - 23:04

La, Noctim ne voulait plus rien faire. Ce qui venait d se passer était… pour tout simplement dire, Gladys, qui venait de se réveiller, même si elle était toute nue, même si elle n’était pas au courant que Noctim lui avait sauver la vie ( après tout, en étant inconsciente, elle n’aurait pas pu elle-même se mettre le masque pour aspirer de l’O2 pur, non? ), elle n’aurais pas du faire sa maligne et faire ce qu’il ne faut jamais faire a une personne qui a vécu dans des situation horrible tels que la guerre. La sensation d’avoir une balle passer juste a coté de sa vie, savoir que pour un certain nombre de millimètres, notre vie aurait eut une fin, c’était une chose que même si on a vécu toute sa vie dans cela est qu’un est habituer, on ne laisse pas passer.

Gladys s’était lever, et semblait lui parler, mais Noctim n’arrivait pas à distinguer ce qu’elle disait. Il faisait un maximum pour se retenir. Il avait beau être un jeune Hitman, il a souvent du passer par ce genre de situation, et a chaque fois il explosait, lui intérieurement et le tireur aussi explosait. Il arriva quand même à distinguer une phrase de Gladys, elle lui avait demandé s’il la comprenait toujours. Non attend c’était ce qu’elle avait demandé encore allongée sur le lit, non ? Bah, dans tout les cas, Noctim lui répondit sans la regarder dans ses yeux, il tourna même sa tète vers le coter.

« Oui je te comprends… »

Avait-elle posé cette question a cause de sa musique de toute a l’heure ? Il avait certes chanté dans une langue étrangère, mais elle n’a pas été traduite ? Cela voulait donc dire que dans ce monde, la langue la plus pratiquée par la personne était traduite. Un mystère sur je-ne-sais-combien-de-bordel-de-millions mystères de résolut. C’était déjà ca.

Gladys lui tenait le poignet, et marchait plutôt rapidement. Elle tenait ses vêtements en lambeaux pour couvrir ses parties les plus intimes. Bizarrement, Noctim n’essaya même pas de les lui enlever. Normal, il était vraiment, vraiment … enrager.

Il pouvait mieux examiner les membres mécaniques de Gladys. Ce n’était pas de la camelote, mais ce n’était pas de la meilleure qualité non plus. Cela devait être un modèle des alentours de… XXIIème siècle ? Ils en ont fait des largement meilleurs depuis, mais c’était déjà pas mal, âpres tout la première prothèse venait du temps de l’Egypte ancienne, il est logique qu’elles étaient même plutôt bonnes. En fait, elles étaient même des vraies prothèses car dans les jours de Noctim, c’était plutôt des mélanges de prothèse et d’exosquelette, c'est-à-dire que la puissance du membre était plus puissante que l’original.

Mais la n’était pas le sujet. Ils étaient arrivés à une salle. Gladys lui tenait toujours la main. Elle parlait, parlait et parlait a Noctim comme si de rien était. Noctim s’énervait de plus en plus, en essayant de se retenir, mais en vain. Il retira sa main de celle de Gladys, après tout il était mieux pour elle, sinon elle allait avoir le membre fondu. Noctim lâcha un son pour attirer l’attention de Gladys, et il la prit violement par les poignets. Il la plaqua contre le mur avec rage.
Son regard était au niveau supérieur du meurtre. Il était habituer à tuer, donc son regard de tueur était différent de ceux qui n’avaient pas l’habitude de tuer. Mais la, son regard était celui qu’il réservait a ceux qu’il haïssait, qu’il voulait pourrir lentement, violement, durement, douloureusement… Ses yeux étaient pratiquement en contact avec ceux de la jeune femme bloquée. Il appuyait avec force, et il la poussait encore contre le mur.

Mais pour éviter toute violence inutile, Noctim décida de lui expliquer, en lui prenant son revolver. Il la lâcha, recula de quelques pas. Il soupira un grand coup. Ce n’était pas bien, il était vraiment enrager, et son corps était vraiment brulant. Il concentra donc toute son énergie sur ses mains, qui émirent une flamme trois fois plus grande qu’a l’entrée. Il fixa Gladys de son regard, cette fois-ci à cinq mètres de distance.

« Pourquoi… Pourquoi avoir tiré ? Même si c’est un avertissement, même si c’est une plaisanterie, il ne faut PAS, ABSOLUMENT PAS QUE TU ME TIRE DESSUS ! Comment dire… Moi j’ai vécu dans la guerre. Mon enfance était dans les rues, en guerre de gangs des l’âge de 12 ans. Apres quoi ? Je suis devenu une espèce de gladiateur. Apres ? Un Hitman. Et dans chaque époque, j’avais toujours vécu cette sensation horrible de savoir que ma vie pouvait finir à quelques millimètres. Je sais a quel point cette sensation est horrible, a tel point que des que je t’ai vu, j’ai préférer ranger mon arme, en pensant comme un putain de con que tu savais c’était quoi. Mais non, t’es une bleue qui essaye de jouer les dure, ou alors qui est innocente. Mais putain ! On t’a déjà tiré dessus pour m’avoir fait ca ? Est-ce que j’ai l’air si menaçant ? Je suis resté a tes coter alors qu’on était dans perdu dans cette bâtisse, alors que j’aurais pu partir en solo. Je t’ai sauvé la vie dans l’infirmerie ! Tu t’étais gelée avec l’air autour de toi contenant un produit chimique radioactif ! SI moi, non L’ours n’était pas la, tu serais morte ! Et j’ai fais ca pour quoi ? Pour avoir une putain de balle a coque des mes oreilles, alors que je jouais de la musique pour essayer de t’apaiser ! »

Il marqua une pause. C’était la première fois qu’il parlait autant en un coup avec Gladys, et c’était pour l’engueler. Et encore, il avait calmé sa voix, sauf aux moments des injures ou le ton montait drastiquement. Elle ne pouvait pas savoir certes qu’il lui avait sauvé la vie, mais cette sensation était trop horrible… ET MERDE ALORS !

A la fin de cette pensée, Noctim lâcha un énorme cri, relâchant toute la chaleur présente et émise par son corps en une énorme flamme, qui carbonisa toute la salle presente, mais qui évidement, redevint normal après cela. Mais crier et relâcher toute cette pression le relaxa. Il soupira un grand coup. Non, il n’aurait pas du, il n’aurait pas du lui cirer dessus, il n’aurait pas du la frapper contre le mur, c’était… pas comme lui.

« Ecoute… je suis désoler, je n’aurais pas du m’emporter. Tu étais inconsciente et donc tu ne pouvais savoir de quel danger tu courais. Je… je suis vraiment desoler, mais je te le demande, de toute mon âme… ne refait-plus jamais ca. Pointer une arme est déjà une chose, mais l’utiliser, même pour la menace, s’en est une autre… Je ne veux pas m’embrouiller avec toi…»

Et la, Noctim se rapprocha de nouveau de Gladys, avec un regard vraiment triste, qui bizarrement rendait bien avec son visage scarifier. Mais il était honnête, il voulait vraiment rester avec Gladys. Pas par le simple fait que c’était une femme, même si ca en fait partie, il voulait seulement rester avec Gladys. Ce n’était pas de l’amour, mais une certaine attirance. Ce moment dans l’infirmerie, lorsqu’elle était inconsciente, elle avait l’air tellement innocente, et pour cela, Noctim s’avança vers Gladys, et sortant une chemise noire moulante en soie (même si elle devait être quelque taille au dessus de celle de Gladys, cela devrait bien lui aller) et lui pausa sur les épaules. Il lui balança un petit sourire assez niais et gêné.

« Tu accepte mon pardon ? Je suis prêt a oublier la petite bêtise que tu as faite tout a l’heure, même si tu pense que tu as bien agit. »
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The handsome, the bad and the evil _
MessageSujet: Re: The handsome, the bad and the evil   The handsome, the bad and the evil Icon_minitimeMer 27 Mai 2009 - 16:22

Gladys ne s'attendait a vrai dire pas vraiment à cela. Après avoir prononcé la dernière phrase concernant leur solitude, plutôt que d'enrichir le débat comme il le faisait actuellement, il la prit par le poignet à son tour et la plaqua contre le mur. La jeune fille cligna des yeux, légèrement abasourdie par le choc. Elle allait articuler une question, mais la rencontre avec le regard noir de Noctim la fit taire. Elle savait que lorsque des gens étaient dans un pareil état de rage, il valait mieux ne pas parler, et les laisser décharger leur colère d'une manière ou d'une autre. Elle lui faisait suffisament confiance pour penser qu'il ne la tuerait pas, ayant remarqué qu'il semblait souhaiter de la compagnie. Cependant, pareil état de colère l'étonna un peu. Dans son pays, le seul qui arrive à cette colère, c'était peut-être leur chef, après une attaque ratée ou lorsqu'il savait qu'une affaire aurait pu mal tourner pour l'un ou l'autre de ses combattants. Mine de rien, il les aimait beaucoup, ceux qui le suivaient, et il ne voulait surement pas qu'ils meurent de manière stupide, les effectifs étant déjà assez réduits. Gladys ferma hermétiquement la bouche, prête à encaisser le choc. Il pouvait la frapper, si il le voulait, elle était déjà affaiblie, un coup de plus, un coup de moins... En réflechissant, elle se dit qu'il n'y avait pas que le chef, qui avait ses eclats de rage. Il y avait aussi son coéquipier, qui était dans un sens semblable à Noctim par son côté impulsif. Et lui, quand il s'énervait, elle se taisait, l'écoutait hurler ou frapper des objets pour passer sa colère, puis essayait de calmer les restes rougeoyants de sa rage, tentant de se corriger pour ne plus le décevoir.

Noctim appuya d'autant plus, et Gladys frissonna. Il ne blaguait pas, celui-ci, et commençait à lui faire un peu trop mal à son goût. Mais que faire, elle était faible, bloquée, et il commençait à l'étouffer un peu, de part la chaleur inexplicable qu'il dégageait et ses gestes mesurés qui l'etranglaient graduellement. Il reprit ses esprits et la lâcha en lui prenant son arme. Gladys eu le reflexe de tendre légèrement la main pour ssayer de le lui reprendre, mais se ravisa, et se laissa faire, comme une enfant prise en faute. Si la peur n'etreignait que peu son coeur, un petit sentiment de culpabilité se glissa en elle, et elle baissa un instant les yeux en voyant la flamme. Mais lorsqu'il se mit à parler, la jeune femme préfèra affronter son regard. Ses grands yeux calmes ne bronchèrent pas lorsqu'elle reçut les cris de Noctim mais son sentiment coupable grandissait un peu plus à chaque mot martelé par le guerrier. Elle se mordilla la lèvre, ne sachant que faire pour l'apaiser. A chaque mot qu'il prononçait, c'était une flèche honteuse qui s'enfonçait dans son coeur. Elle n'avait pas l'air très affectée par ce qu'il se disait, mais ce petit tic trahissait son trouble intérieur. La flamme qui semblait dévorer ses poignets carbonisa toute la salle. La puissance de ce pouvoir qu'il semblait ne pas controler entièrement la fit frémir. Si il apprenait à comprendre et à manier ce pouvoir... Le silence se fit. Elle n'osa pas le rompre.

Elle le regarda, adossée contre le mur, une petite portion de celui-ci n'ayant pas été brulée, comme si il n'avait pas voulu la toucher, mais simplement se maîtriser. Elle le fixait, pensant à de multiples choses, se repassant d'abord le film de ce qui s'était passé depuis son réveil, se traitant d'idiote dès qu'elle se revoyait avec l'arme qu'elle avait braqué sur lui. Sa confiance en lui monta d'un cran, ce qui n'était peut-être pas le reflexe habituel qu'aurait eu d'autres gens.... Mais pour l'avoir engueulée, plutôt que frappée, blessée, voire tuée, pour ne pas avoir fait tout ce que ses yeux trahissaient l'envie de faire tout à l'heure, il fallait quand même avoir une certaine forme de volonté. Elle ignorait ce qu'il se passait dans le monde de Noctim, mais il n'avait pas l'air plus joyeux que le sien. Il lui avait peut-être donné des détails qu'il ne voulait pas donner, sous le coup de la colère... Les enfants de rue qui finissent par se verser dans la violence, il y en avait tant... Toujours les mêmes histoires, des histoires de vengeance, voire de destinées, diraient certains supersticieux de son camp. Elle n'avait pas connu la violence de ces enfants, elle n'avait jamais été enfant, de toutes manières.

Elle n'avait que cinq ans d'existence, après tout.

Après le silence, vint d'autres paroles de Noctim. Mais celui-ci s'étant déjà bien acharné sur la salle, il semblait bien plus calme qu'il ne l'avait été jusqu'à maintenant. Gladys l'écouta sans mot dire, une nouvelle fois. Il s'approcha. Un reflexe lui fit ramener ses jambes contre elle, mais lorsqu'elle croisa de nouveau son regard, elle y perçut une toute autre émotion que de la tristesse. La cyborg ouvrit de grands yeux, ne comprenant toujours pas les aléas d'humeur de certaines personnes. C'était parfois si brusque que c'en était déconcertant. Gladys avait un rideau noué en dessous des aisselles mais cela ne lui suffisait pas pour ne pas commencer à grelotter, l'effet du froid qu'elle avait déployé sans le savoir tout à l'heure l'engourdissant encore un peu. Alors qu'il lui sourit, lui mettant une veste sur les épaules, semblant lui pardonner, elle murmura tout de même, baissant légèrement le regard


« Bien sûr que j'accepte. C'est à moi de présenter mes excuses... »

Gladys se leva pour boutonner la chemise sur le devant. En effet, la chemise était un peu trop grande pour la menue jeune fille, mais la couvrait assez pour que ses formes ne soient plus aussi à découvert qu'avant. Elle noua le rideau qu'elle avait déchiré à l'infirmerie autour de ses hanches pour se couvrir le bas, jugeant qu'elle n'aurait certainement plus à se battre cela ne serait pas un si grand handicap que ça.

« Je ne le ferai plus, ne vous inquiétez pas. En gage de ma bonne volonté... »

Gladys prit son arme, puis la main de Noctim, sans le brusquer. Elle tapota sur le clavier integré à la crosse et fit poser le doigt de l'homme sur l'écran quelques secondes, le lâchant ensuite. Elle lui expliqua avec un petit sourire

« Comme je l'utilisais pour faire le plus de ravages possible avant mon arrivée, mon arme est reglée sur le mode ruine, elle appuya sur quelques boutons et un voyant rouge s'adoucit en orangé, qui détruit la plupart des obstacles, hormis certains métaux étudiés pour. Je l'utilise néanmoins, pour être plus discrète, surtout en mode organique, d'une part pour ne pas faire trop de dégats pouvant être préjudiciables si l'on veut être discret, l'arme ne détruisant alors que les êtres vivants, d'autre part pour ne pas avoir le malheur de toucher l'un de nos alliés, grâce à un système de reconnaissance, meme si je n'ai pas l'expérience technologique assez élevée pour le comprendre. Le système a certainement du griller quelques cellules de votre peau pour achever la reconnaissance, mais maintenant, vous n'avez plus rien à craindre de ce pistolet... Que je ne braquerai certainement pas sur vous. Mais si quelqu'un le récupérait, je gage qu'il n'en comprendra pas le fonctionnement pour désactiver le mode organique, de ce fait nous n'en craindrons rien. »

Elle parlait de choses futiles, comme pour effacer sa faute, gardant au fond des yeux l'amertume dûe à sa déception vis-à-vis d'elle même, et de la honte concernant ce qu'il s'était passé. Elle était encore passée pour une demeurée, en plus de blesser intérieurement son compagnon. Elle sourit encore, son rictus pâle ne ressemblant pas à grand chose de sincère, avisant les assiettes

« En tous cas, si une chose est restée grillée, c'est bien ces pains... Ils doivent être immangeables. »

Elle se retourna et dit

« Bon, voyons un peu les autres salles, profitons du potentiel sommeil des tout aussi potentiels habitants de ce lieu pour prendre nos marques. Peut-être trouverons nous quelque chose pour nous sortir de là, avec un peu de chance.»

La jeune fille s'engagea dans le couloir. De nouveau, le silence s'installa. En entendant au fil des couloirs, des portes qu'ils ouvraient, les pas de Noctim derrière elle, son souffle près d'elle, elle dût se traiter d'idiote une bonne dizaine de fois. Elle finit par s'arrêter au beau milieu d'un des couloirs et prit la parole

« Je suis encore désolée pour ce qu'il s'est passé. Je ne n'imagine sans doute pas le passé que vous pouvez avoir vécu. Et dans mon monde, on ne peut compter sur personne, alors ces blagues vaseuses deviennent quotidiennes. »

Elle inspira une longue tirée d'air, un peu tremblante.

« ... »

Elle tapota de son pied nu contre le sol. Cling, cling, fit la feraille, comme si elle voulait prendre la parole.

« Ma jambe, et mon bras, c'est à cause de deux tirs du même genre que mon arme. Mais je crains ne pas avoir été assez touchée pour comprendre qu'il ne faut pas jouer avec le feu. Peut-être n'ai-je pas eu assez mal... Même si tous les jours, les douloureuses connexions avec les nerfs me lancent, me rapellent ces jours... Je crains ne pas être assez intelligente pour comprendre. Trop innocente, si je reprend vos mots. »

Sa voix calme ne trahissait aucune émotion, mais une larme s'échappa de son œil, larme qu'elle essuya d'un geste de la main comme on balaie des idées noires. Elle n'en montra évidemment rien à Noctim. En plus d'être stupide, elle paraîtrait faible. Lorsqu'elle se retourna, sa joue était sèche et son visage de nouveau impassible.

« D'ailleurs, j'ai oublié de vous dire ce que j'ai à vous dire... Quel était cet ours... ? Il doit toujours être là bas, mais si vous dites qu'il m'a sauvé... Et puis, pourquoi avez vous dit que j'ai ... fait glacer quelque chose? Je ne possède pas pareille aptitude. »

Elle sourit légèrement et fit un pas vers Noctim

« En tous cas, je vous remercie de m'avoir sauvée, si cette phrase ne fait pas trop princesse en detresse. Et... Vous jouez vraiment bien. Ce fut un doux réveil que vous m'avez offert, même si cela ressemble bien trop à la Belle au bois dormant.»
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The handsome, the bad and the evil _
MessageSujet: Re: The handsome, the bad and the evil   The handsome, the bad and the evil Icon_minitimeDim 6 Sep 2009 - 21:40

Wow ! Putain, ça y est, elle parlait, et sur un ton complètement différent que d’habitude, enfin habitude… c’est vite dit, ils se connaissent depuis quelques heures. D’ailleurs elle lui parla même de son bras, chose que Noctim avait remarquer depuis le début mais n’osait vraiment insister sur la raison. Au début elle était toute froide, et la voilà qui s’ouvre, assez rapidement d’ailleurs, comparé a son attitude générale. Alors comme ça, ce n’était pas vraiment une cyborg ? Juste des prothèses ? C’est dommage, mais l’instinct de Noctim lui jurait qu’elle n’était pas humaine, malgré le fait qu’elle possède des hanches aussi orgasmiques et firmes que des femmes normales. Bah, ptet qu’il se trompait, et il espérait vraiment, en imaginant que si elle était une cyborg, si un jour sa virilité rentrerait dans son puits du paradis, qu’il tombe sur de l’huile ou ce genre de trucs…

Oula, pas le moment de penser a ça ! Ils étaient toujours dans cette sale a manger, qu’il avait complètement brûler, mais qui, comme tout a l’heure, les dégâts ont disparut, et elle lui avait poser des question, dont il connaisait pas vraiment la réponse. Rah lala, quelles merdes… Dire qu’il y a un jour exactement, il était tranquillement en boite, avec de la musique bien dansante, avec deux femmes ( il essayait d’avoir « the belt », nom de code pour dire threesome, mais avec deux femmes ) en pensant que la mission du lendemain serait simple comme liquider une petite gangue de crétins… mais il était la, avec une femme complètement dérangée ( mais ça il avait l’habitude dans son milieu de travail ), coincé dans ce bâtiment étrange, avec ce nouveau pouvoir… c’était vraiment bizarre quoi.

Urgh, il avait beau avoir tout mis dans ses flammes pour pouvoir se calmer un peu, son cops était encore chaud. Finalement ressentir la rage était plutôt simple, suffisait qu’une chose le dérangeait que cela pouvait devenir le catalyseur… Une émotion… une émotion qui déclenché le pouvoir, voilà ! Son pouvoir dépendait de son émotion, or cela venait du cerveau… Mais pour le cas de gladys c’était différent, elle tombait dans les pommes… Sorte de réflexe myotatique ? Ou simple geste involontaire qu’elle pourra répéter pour rappeler son pouvoir… Voilà donc la source des pouvoirs !

A ce moment la, Noctim se sentit vraiment con de ne pas avoir voulut suivre des cours sur les pouvoirs lorsqu’il était dans la Davros. C’était des connaisances en plus, et ça Noctim en raffole…du moment que cela ne l’empêche de ne pas avoir du plaisir, et c’était le cas. Noctim ressentait ce que beaucoup d’étudiant normaux ressentent de regretter de ne pas avoir prit une telle matière en plus dans leur programme, mais hélas, life’s a bitch, and she owns your sorry ass.

Noctim regarda son corps. Il était toujours torse poil, et son superbe pantalon était en sale état. Bah, tant pis pour les fringues, il avait déjà changer plusieurs fois le jour même, et il allais pas recommencer pour risquer de les salopier. Et puis, a par les cicatrices il avait plutôt un bon corps non ? Ok, les cicatrices gâchent le tout, ‘est clair que c’est pas tout le monde qui se promène avec une cinquantaine de blessure sur son corps mais bon. Il se rapprocha de gladys, mais vraiment, il était à 10 cm d’elle.

« Je suis ravi que ma musique t’as plus. ‘C’était Chatterton, écrit par deux artistes brésiliennes du XXI siècle de monde, Seu jorge et Ana carolina. Et bon… je ne suis pas trop sur concernant ton pouvoir mais je pense avoir une idée »

Il prit la main de gladys, celle dont il était sur qui était organique, et la plaça sur son torse, plutôt chaud mais pas brûlant. Son corps suait, mais pas endormement.

« Vois-tu, mon pouvoir n’est pas simplement avoir du feu, mais la chaleur de mon corps augmente en fonction de la rage que je possède. Je suppose que mon métabolisme s’y est habitué à une élévation élevée, mais mon corps est comme la Terre, elle contient des radiations, et qui a force de s’élever, augmente la chaleur de sa couverture. Je suppose que comme la terre fait avec les volcans pour rejeter cette chaleur, je le fais avec mes flammes. Mais mon point n’est pas vraiment sur la fonction de mon pouvoir, mais de ce qui me permet de l‘avoir, les émotions. Les émotions surgissent de notre cerveau, donc en toute logique, tu as un pouvoir qui dormait en toi, comme moi, mais qui ne s’est pas réveiller avant un élément déclencheur, qui était la menace sur ton corps de toute a l’heure, enfin tu vois le topo ? »


… Pourquoi est-ce qu’il avait prit la main de Gwladys Il n’en pas obligé, après tout, tout-a-l’heure quand il l’avait plaquée contre le mur ses mains étaient plus que brûlante. Mouvement incontrôlé de sa part, il allait encore passer pour un pervers. Ah quel con… bon oublions ça, Noctim lâcha la main de gladys et se retourna. C’était bien lui ça des qu’il y a une belle jeune femme, il ne sait plus ou donner de la tête. Quel remède pour cela ? Ce qu’il prenait toujours.

Noctim sortit de son SAC, de la même manière qu’il avait rangé et sortit ses deux flingues et sa guitare, un émetteur de son et une seringue avec un certain liquide dedans. Il s’assis, le dos collé au mur, et alluma sa machine. Une musique d’un très très très vieux groupe du XX-XXIeme siècle du type dance fut jouée. Noctim avait vraiment un amour pour les musiques de ce siècle, il trouvait qu’elles avaient un certain esprit particulier, contrairement à celle de son époque qui est plus vide, bonne mais vide. Le nom du groupe ? Eifel 65, encore un nom bien étrange typique de ces époques mais c’en un plus a leur charme. La musique avait un beat qui frappait bien, la sonorité de la voix et le rythme était bien synchro, ça méritait son titre, Move your body.

Le sale mafieux sortit un câble en silicone qu’il attacha juste au dessus de son biceps gauche, et il serra fort. Ce qu’il prenait était une drogue qui avait pour effet d’accélérer son rythme cardiaque, et il devait le rendre quelques moments après son autre médoc contre ses soucis nerveux. Généralement, il les prenait chez lui, car dieux sait que ce petit junkie ne peut se contrôler quand il prit du speed version shoot.

<< Je suis désolé, mais je dois prendre ça. Bon, écoute si jamais je deviens violent ou fou, n’hésite pas a prendre la fuite ou a te défendre, car c’est un coté négatif de ces médicaments, je me contrôle plus… je t’autorise a salopier mon corps e entier si tu veux, après tout, du moment que tu ne me tue pas >>

Dit-il avec un certain ton humoristique. Mais il était sérieux, il ne doit jamais en prendre en public, car les premières minutes sont très puissantes sur son organisme, ensuite cela devient du speed normal, ou il pourra même sortir dans un club sans problème.

Sans faire de chichi ou de drame, il planta l’aiguille de la seringue sur une de ses veines visibles, et relâcha le produit. Il sentit le liquide fluide se glisser dans son sang, les molécules de la solution se renforçatrice avec les petites boules que sot ses cellules rouges. C’est assez dérangeant, surtout quand on a un système nerveux comme celui de Noctim qui est extrêmement sensible. C’était pour ça qu’il avait besoin de cette substance, son système nerveux. Depuis qu’il avait été modifié, il ne pouvait plus sentir la douleur. M’enfin, Noctim doit avouer qu’il prenait aussi ses médocs par plaisirs…

Seulement voila, les effets nefatse commençaient a faire surface. Ses sens changèrent, son touché n’en plus le même l’odorat était délicieux et sa vue, il voyait carrément un autre monde. Le malade se leva en sautant, pleins d’énergie. Il touchait les murs, et cela était un véritable délice ! Les yeux complètement écarquillé et gesticula a vive allure partout, on pourrait facilement le prendre pour un fou. Attendez que je me rectifie… il était fou. Il se sentait chaud. Chaudchaudchaudchaud! Il suait mille gouttes, il allait exploser, mais ce sentiment était fabuleux. Ses mains se collèrent sur son front, est glissèrent le longs de son visage. Il affichait un énorme sourire, qui aurait pu être confondu par celui d’un niais si il avait pas ce visage complètement bousillé et ce regard pénétrant. Et le son alors, était une véritable source de jouissance. Noctim commença à toucher tout et tout, les meubles, les pierres, tout. De son regard il cherchait d’autre chose à toucher. Son corps allait exploser de chaleur ! Il était tellement brûlant que sa sueur, a peine en contact avec sa peau extérieure s’évaporait.

Sleep

Brusquement, Noctim tourna sa tête avec ses yeux vide en direction de ce petit bruit. Et la, il vit ce qu’il avait oublier depuis un tout petit moment. Gladys.

Pauvre fille

Libérant sans conscience une bonne quantité de flamme, Noctim se rua sur elle comme une bête, et visant bien les jambes, la fit tomber sur son dos, lui par-dessus elle. Son corps n’en plus aussi brûlant, mais il était certainement très chaud.
Ce toucher, ce goût ! Quelle extase ! Et l’odeur de la femme, e n’en plus la même chose ! Rien qu’en reniflant la gorge de la pauvre victime qu’il tenait de sa main gauche, il eut comme un soulagement ! C’était un extrême plaisir !


HOT!HOTHOTHOTHOT!

Plus !


Il en voulait plus ! Il fourra sa tête sur le ventre de gladys, et gardant sa position dominante, glissait le long de son corps avec son crâne. Ses pieds bloquaient les jambes de gladys, son épaule gauche le bras droit, et sa main droite la main gauche. Il était vraiment… en besoin de toucher
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The handsome, the bad and the evil _
MessageSujet: Re: The handsome, the bad and the evil   The handsome, the bad and the evil Icon_minitimeMer 30 Sep 2009 - 15:40

Gladys ne s'attendait pas vraiment à une réponse de la part de Noctim, et elle eut raison, étant donné qu'il ne rebondit que sur la musique sur laquelle elle l'avait félicitée. Mais elle s'attendait un peu moins à ce qu'il prenne sa main pour illustrer ses hypothèses. Elle se laissa faire sans broncher, la jeune fille commençant à avoir l'habitude du comportement illogique du mafieux. Néanmoins, dès que ses doigts frolèrent sa peau, elle ne put réprimer un mouvement de recul. Elle se risqua une nouvelle fois, plus prudente. Sa peau était brûlante ! Une telle température dans un corps humain était particulièrement dangereux ! Il devrait même être mort, estima-t-elle, n'arrivant pas à se figurer que sa température soit inférieure à 40 degrés. Il devait être bien au dessus... Et il semblait plutôt bien portant. Gladys, un peu refractaire à cette idée de pouvoirs, ne pouvait qu'admettre que ce qu'il se passait dépassait les limites de la logique. Noctim semblait avoir à peu près compris le fonctionnement de son aptitude. Elle l'écouta, tout en observant les cicatrices qui striaient son torse. Il devait être passé par de bien mauvaises périodes. Et des combats qui ne devaient pas tous être en sa faveur. Elle ne fit aucune remarque. Le simple fait qu'il soit ce qu'il est était expliqué silencieusement par les imperfections de son corps. Noctim avait sans doute remarqué également que son épiderme était loin de ressembler à la peau parfaite des mannequins de son monde. Mais son bras et sa jambe témoignaient déjà bien assez comme cela. Il lâcha sa main. Elle acquiesça à ses explications. Il fallait un élément déclencheur, et ce serait le danger pour son pouvoir. Elle regarda ses mains, encore sceptique. Après tout elle s'était évanouie, après avoir utilisé son pouvoir, à cause du gaz de l'infirmerie. Peut-être n'était-ce qu'une longue hallucination... Mais Noctim possédait soudain une aptitude spéciale. Le fait qu'elle en aie aussi ne serait pas forcément très étonnant.

« Le premier élément déclencheur... C'est cet endroit.»

Elle fit un petit geste circulaire. Après tout, c'était après qu'ils soient rentrés que leurs pouvoirs s'étaient éveillés.

« Vous comme moi avions connu des agressions physiques pouvant être dangereuses pour notre vie auparavant... Mais en quoi rentrer ici pourrait... Serait-ce parce que c'est un endroit hors du temps et de l'espace, un noeud dimensionnel ?»

Les questions commençaient à affluer, et elle savait que Noctim n'était finalement pas plus avancée qu'elle sur le sujet... Elle finit par se dire, assez bas pour qu'elle seule l'entende

« Pourquoi ce manoir s'est-il trouvé hors du temps...? »

Elle finit par laisser tomber. Ces questions étaient stériles. Il leur faudrait plutôt attendre le jour, que les habitants de l'endroit les renseignent davantage. Et Noctim ne l'avait pas écoutée, fouillant dans ses affaires pour en sortir des armes, une seringue, sa guitare et un objet dont elle ne comprit l'utilité que lorsqu'il l'alluma. Une sorte de radio... Ca servait à passer de la musique, là où il habitait ? Enfin, chez la Gente de son monde aussi... Chez eux, ca leur permettait surtout de savoir les nouvelles, et à communiquer. Il n'utilisa pas la guitare, et elle put écouter le son original de la musique, très etrange, pas si désagréable que ça. C'était énergique... La musique de son monde n'était pas aussi vivante que ça. Elle était plutôt ennuyeuse, même, jugeait Gladys qui n'avait pas beaucoup de sens de l'esthétique musicale. Et elle racontait des choses ennuyeuses, aussi. Bien sûr, elle ne comprenait pas vraiment ce que disait la mélodie de Noctim. Peut-être était-ce aussi stupide que les gémissements des chanteuses en mal d'amour, mais au moins, elle ne le savait pas. Interessée par la musique, elle ne se rendit compte de ce que faisait son compagnon d'infortune qu'un petit moment après qu'il aie noué un cable autour de son bras. Cette technique, elle la connaissait par contre. Que comptait-il faire, comme piqure ? Elle hasarda un

« Que faites vous ? »

Question a laqulle Noctim daigna répondre, cette fois. Un médicament ? Elle plissa légèrement les yeux, méfiante. Violent ? Fou ? Fuir ? Mais quel était ce liquide pour donner des réactions aussi violentes chez quelqu'un ? Une drogue, conclut-elle, même si les drogues de son monde endormaient plus les gens qu'ils ne les rendaient fous. Les seuls comportements violents qu'ils pouvaient avoir étaient désamorcés par leur maladresse et leurs gestes patauds étaient plus comiques que dangereux... Noctim devait avoir eborgné un type un soir de fête, ou quelque chose comme ça. Ne connaissant pas assez Noctim et son monde pour l'affirmer, elle amorça donc un ou deux pas de recul, par simple sécurité, se tenant sur ses gardes. Son pistolet ne lui était plus d'aucune utilité si elle le gardait en mode organique, et de toutes manières elle n'avait pas l'intention de l'utiliser contre un Noctim shooté aux médicaments. C'est pourquoi ce fut avec une certaine appréhension qu'elle regarda le mafieux s'injecter son médicament.

En un premier temps, il ne se passa pas grand chose. Elle ne lui adressa pas la parole, sentant tout de même que son regard était vide, sans doute plongé dans l'autre monde qu'était le paradis artificiel, même si elle n'avait jamais bien compris comment une simple substance pouvait autant changer les hommes. Mais elle revint bien vite sur TOUT ce qu'elle avait appris sur les drogues. Celles du monde de Noctim semblaient avoir le pouvoir de rendre complètement malade. Avec un empressement nevrotique, il se mit à toucher les murs, les objets, comme si le simple fait de toucher quelque chose le rendait fou de plaisir. C'était assez effrayant. On aurait dit un chien avec qui on jouait et qui se mettait soudain a faire des embardées de vitesse, complètement ivre de joie. En pire. Toute la chaleur de sa peau semblait encore avoir monté d'un cran, et son corps semblait le supporter avec moins de résistance qu'avant. Sa peau était rouge. Comme si il allait exploser. Il fallait agir. Gladys remarqua l'evier et une cruche d'eau. Dans le refrigérateur, il devait y avoir quelques glaçons. Lui jeter une eau glacée lui ferait certainement le plus grand bien. Elle n'eut pas le temps de faire un pas que le regard fou de Noctim se braqua sur elle. Malgré son impassibilité, elle ne put reprimer un désagréable frisson le long de ses spondyles lorsque ses pupilles croisèrent les siennes. Elle esquissa un pas en arrière. Non, en fait, elle allait fuir, et fermer la porte de la salle à manger. Il se défoulerait sur la pauvre pièce, qui de toutes manières devait être aussi solide que le reste du bâtiment, et lorsqu'elle sentirait qu'il se serait calmé, alors...

Trop tard.

Premièrement, il libéra des flammes, explosant littéralement sous la chaleur accumulée, comme le volcan qu'il avait évoqué lors de son discours. Elle n'eut pas le temps de se réfugier derrière la porte. Il l'attrapa, lui bloquant les hanches. Rien que sa proximité la faisait suffoquer. L'air était irrespirable, tant il réchauffait l'atmosphère par sa simple présence. Malgré son état second, il gardait les reflexes du guerrier, et arrivait à la bloquer suffisament pour qu'elle ne puisse pas glisser par un quelconque interstice qu'il aurait laissé. Chaud. Elle avait chaud, et les attouchements qu'il posaient sur les objets tout à l'heure prenaient une connotation bien plus louche sur un être vivant. Comment s'en sortir ? Et puis, qu'est ce qu'il allait lui faire, comme ça ? Gladys arriva à dégager suffisament son coude pour lui donner un coup, libérant une petite seconde son bras humain. Elle agrippa son poignet. Reflechit, Gladys, reflchis, qu'est ce que tu pourrais ien faire dans cette situation, tu n'arriveras pas longtemps à garder cet avantage ! Si seulement il pouvait refroidir, elle aurait les idées plus claires. Juste refroidir un peu ! Mais si il dégageait ses flammes maintenant, elle n'osait pas penser à ce qu'il lui arriverait. Le refroidir, lui faire retrouver au moins ses esprits. Son regard fou la détaillait avec une insistance malsaine, et le moindre de ses mouvements semblait empreint d'un plaisir morbide. Juste. Refroidir.


Alors qu'il allait récupérer l'entier avantage sur elle, une fine couche de givre parcourut le poignet de Noctim. C'est ça ! Elle ne connaissait pas vraiment le déclencheur de ce pouvoir, mais si... Elle se figura avec desespoir l'image du gel, du givre, du froid, espérant que cela aiderait sa capacité à croitre. Elle ne le savait pas encore, mais son pouvoir de geler l'eau était particulièrement pratique contre un ennemi tout de sueur recouvert, et elle ne tarda pas à le comprendre, bien qu'elle ne sache pas encore dans quelles conditions exactes cette etrange capacité était utilisable. Le givre recouvrit de ses cristaux blancs la peau de Noctim, fondant parfois un peu, avant de se reconstituer plus solide encore, pour finir par immobiliser entièrement le bras de Noctim, se propageant sur le torse de Noctim avec une rapidité et une efficactié grandissante. Elle profita de sa surprise pour se dégager, haletante. Lorsqu'elle vit les doigts du jeune homme, elle en conclut que la glace commencait à infiltrer son organisme, et que pour éviter toute lésion sur les bras du mafieux, il valait mieux arrêter maintenant. Elle n'eut qu'a penser à l'arrêt de cette floraison de glace pour que son pouvoir lui obéisse, une demi douzaine de secondes plus tard. Puis commença à s'égoutter, vaincue par la chaleur constante de Noctim, même si elle était consciente d'avoir fait chuter sa température.

« Noctim... ? »

Etait-il toujours sous l'emprise de sa drogue, où ce coup l'avait-il réveillé un minimum, comme un alcoolique plongé dans l'eau froide ? Prête à réagir cette fois, elle se tenait légèrement en flexion afin de parer toute éventualité et pouvoir bondir d'un côté ou de l'autre en cas de violente ruée. Et si il arrivait à l'attraper, elle avait toujours la manière forte... Sa manière forte. Bien qu'elle lui échappe encore un peu....
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The handsome, the bad and the evil _
MessageSujet: Re: The handsome, the bad and the evil   The handsome, the bad and the evil Icon_minitimeSam 31 Oct 2009 - 20:19

Besoin de toucher, besoin de toucher, besoin de toucher ! Lejeune homme n’en pouvait plus ! Il voulait que ça, cette sensation de bien suprême. Après tout, quand on peut être heureux, pourquoi s’en privé ? Surtout que la sa se limitait pas seulement au bonheur, mais aussi a une certaine extase, une jouissance des sens. Noctim lâcha ces grands fou rire que l’on émet souvent en mode « don’ t worry be happy », et qui combiné au pétage complet qu’il ressentait avec sa douleur qui remontait en lui, cela faisait CE genre de rire… vus savez, ce qu’on appelle les rire de psychopathe.

Comment cela se fait-il qu’il ait mal ? Tout simplement que lorsqu’il prend ses médicaments, toutes les petites douleurs qu’il n’a pas sentirent depuis son dernier traitement remontent d’un coup dans son cerveau. Malheureusement pour Gladys, Noctim s’était battu il y a pas longtemps, contre Proemitus, et la douleur était encore la a ce moment la, mais réduite… donc tout remontait d’un coup. Ces médicaments auraient était bien si la douleur venait au moment de l’injection, mais ce n’en malheureusement pas le cas, et elle grandissait.

VLAM

Et toc, dans ta putain de gueule Noctim ! Gladys eut l’habilitée de lui planqué un sacré coup de coude dans la face, le faisant légèrement lâcher prise. Oooh pas content, il est pas content du tout le vilain garçon mais malheureusement pour lui, Gladys commençait a apprendre a utiliser son pouvoir, et comme il suait (avec odeur sponsorisée par niveau, parce que vous puez) de plus belle, son corps commençait a se geler plutôt rapidement. Furieux il essayait de se débattre il gesticulait, mais son corps ne répondait presque plus face a ce froid intense. Rapidement il ne pouvait plus bouger son bras, et son torse était complètement gelé aussi. Cela l’énervait, mais de plus belle ! Il tombe de rage de ne pas pouvoir se contrôler. La température de son corps montait, montait ! Mais cela ne faisait que le faire sueur encore plus, et cela allait accélérer la cryogénisation. Ce n’en pas bon, c’en un étain de cercle vicieux !

Cependant, le froid se rapprochait de son cou, zone de chaire et de muscle particulièrement faible, et la ou passe toute les artères Le froid montait donc plus facilement a sa tête sans pour autant la geler. Ça, c’était un bon moyen pour ne serait ralentir les effets de la drogue sur Noctim, du moins la partie qui le rendait fou. Sa lucidité n’était pas entièrement revenue, mais suffisamment pour se rendre légèrement compte de ce qui se passait autour de lui. Il était allongé sur le sol, et la glace commençait à fondre doucement sous la chaleur de son corps, qui commençait à lui faire sérieusement mal a cause de sa puissance. Le sol autour de Noctim n’était qu’une grosse flaque tiède et il ne restait qu’une petite couche de glace. D’un geste lent et maladroit, Noctim se releva à l’aide de sa main non affectée. Il était encore bien défoncé mais au moins il savait (grosso modo) ce qui se passait. Toute façon faut pas être Einstein ou La Gardienne du brouillard pour comprendre ce qui s’en déroulé

Cette glace, ou plutôt givre vu a quel point elle était fine maintenant, l’immobilisait encore le bras. C’était énervant a force, mais pas de quoi péter un câble. Seulement Noctim etait déjà bien chaud, et sentait que son sang avait une température plutôt élevée. En jetant un petit coup d’œil sur son corps, il remarquait que vu de dehors, ses veines étaient plus sombres que d’habitudes et ses cicatrices aussi. C’était pas bon, si elles se rouvraient il risquait perdre trop de sang. IL n’hésita pas donc, il relâcha toute cette pression non en un point fixe, mais tout autour de son corps. C’était moins impressionnant que lorsqu’il faisait des flammes autour de ses poing, mais cette libération brutale d’en e provoqua un bon BOUM qui se répandit dans la pièce. La Glace avait fondu d’un coup, et Noctim pouvait de nouveau bouger. Seulement, son corps, lui n’en pouvait plus. C’était un sacré menu aujourd’hui quand même, et son pouvoir semblait lui prendre pas mal d’énergie. C’était dur de se retenir de ne pas tomber a terre, mais pourtant…

« Noctim ? »

Ah, ouais, elle deviens bien s’inquiéter elle. La pauvre, elle en as du voir des choses avec lui aujourd’hui. On avait souvent dit qu’avec Noctim on ne s’ennuyait jamais, et a mon avis Gladys ferait partie des gens à le confirmer.

Noctim essaya de se tenir droit, et malgré le fait qu’il était encore shooté, il arrivait à regarder Gladys droit dans les yeux, et de lui montrer un petit sourire:

« Tu vois que finalement, tu l’as maîtrisé ton pouvoir »

A la fin de ces mots, paf, batterie morte, et il tomba sur son dos dans la grande flaque d’eau présente dans cette salle, le regard vide vers le plafond :

« C’est vachement beau quand même, on dirait le ciel de siberie ! »

…il est encore putain de perché en fait
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The handsome, the bad and the evil _
MessageSujet: Re: The handsome, the bad and the evil   The handsome, the bad and the evil Icon_minitimeSam 14 Nov 2009 - 13:58

Visiblement, Noctim n'avait pas complètement perdu la tête, et avait eu la lucidité de faire appel à son pouvoir pour relâcher toute la pression contenue en lui avant que l'on ne passe le cap des blessures ouvertes. La jeune fille recula d'un pas sous le souffle de son explosion, protégeant son visage par reflexe. Rester avec lui, et s'exposer continuellement à ses radiations était-il une bonne idée pour sa propre santé ? Gladys remettait en question cette situation depuis un moment, et la pulsion incontrolable qui avait animé Noctim risquait de mettre sa vie en péril plus que de la sauver, si elle se reproduisait ! Elle ne savait pas si elle voulait être constamment en train de devoir épier aussi bien les mouvements de cette maison, et des possibles ennmis qu'elle renfermait, ainsi que son équipier. Mais pour le moment, elle lui devait quand même de l'avoir sauvée, tout à l'heure, et ne pouvait tout simplement pas le laisser à son sort. Le jeune fille esquissa un geste vers lui, le sentant proche de l'effondrement, mais son petit sourire caustique l'arrêta. Il saurait se débrouiller comme un grand. Elle hocha la tête, ne pouvant s'empêcher d'esquisser un sourire.

« Qu'est ce qu'on ferait pas pour refroidir des ardeurs... » siffla-t-elle.

Mais a peine commenca-t-elle ces mots qu'il tomba dans la flaque recouvrant la moitié de la salle. Ils n'étaient pas les plus discrets, tout de même. Et visiblement, Noctim n'était pas complètement revenu à ses esprits. Gladys haussa un sourcil, et jeta un petit coup d'oeil au plafond. Il n'y avait strictement aucun rapport, il ne fallait pas chercher, il était juste pété.


« Si vous le dites, Noctim, si vous le dites. » fit-elle en s'approchant à grands pas. Elle l'observa un instant, remarquant ses yeux encore un peu vitreux dans lequel se reflétaient la folie de ses médicaments. D'ailleurs, à ce propos, elle ne comprenait pas tout. A supposer qu'il l'entende, elle lui demandant, en lui prenant le bras pour l'enrouler autour de son épaule, le soutenant comme elle pouvait

« D'ailleurs, ce que vous avez pris, était-ce des médicaments, ou plutôt une sorte de.. drogue ? »

La jeune fille lui lança un regard un peu méfiant. Les drogués étaient imprévisibles, et surtout prêts à tout pour obtenir leurs produits, et prêts à n'importe quoi une fois qu'ils les avaient pris. La jeune fille cala Noctim sur son épaule robotisée, bien plus forte que l'autre, et entreprit de le trainer plus que de le faire avancer, le mafieux n'ayant plus assez d'energie pour mettre un pas devant l'autre. Il lui fallait trouver un endroit, outre l'infirmerie, ou elle pourrait lefaire dormir. Un endroit plus paisible, disons, et ou il ne serait peut etre pas tenté d'essayer ce qu'il y avait dans els autres tiroirs. Ce fut donc à grand peine que Gladys le fit monter les escaliers qui se présentèrent à elle, se disant que dans les grandes maisons comme celles-ci, les chambres devaient être en haut. Elle apprêta son arme, certaine que ce ne serait pas aussi désert que cela pouvait l'être au rez de chaussée. La cyborg penetra dans le couloir sombre, lentement, passant devant des salles qu'elle préféra ne pas ouvrir. Mais bientôt, une présence humaine se fit remarquer, et elle leva son arme, menaçante. La silhouette leva les mains tout de suite, et s'ecria

« Non, n-ne tirez pas ! Je n'ai rien, je ne veux pas vous faire de...
- Identité ?
- Euh... Sven, je suis prisonnier ici, comme v... !
- Avez vous des informations sur... »
Elle se tut. Le blondinet apeurée qu'elle tenait en joue semblait totalement inoffensif, mais surtout inapte à répondre à ses questions. De plus, elle avait d'autres priorités, qui appuyaient sur son épaule. Elle fit un petit geste sur son arme, qui fit frémir le blond. Pas de doute, il ne devait rien connaître aux armes, pour croire que ce qu'elle faisait était potentiellement dangereux. « Indiquez moi la position de lieux de repos.
- Euh... Quels sont vos noms ?
- Quelle importance ?
- Si vous êtes pensionnaires, le manoir a dû marquer vos noms sur l'une des portes de chambres, enfin.. c'est comme ça que ca marche.
- Le manoir...
- Ouais, ou.. je sais pas, les proprios, p'tet. Mais on les voit jamais, alors...
- ... »


Elle fronça les sourcils, un peu méfiante. Que voulaient dire ces informations... ? En tous cas, elle n'avait pas vraiment le temps et l'envie de cogiter sur la question pour le moment, son propre esprit commençant à être engourdi.

« Gladys Bluepath. Noctim Davriosa.
- D'accord... Dites, c'est vous qui avez fait tout ce bruit ? Votre ami n'est pas blessé, au m...
- Non, guidez nous.
- ... Bon, bon, d'accord... »


Le blondinet se mit en marche, et ils arpentèrent les couloirs. Leur guide alluma la lumière de l'un des couloirs, donnant sur une multiptude de portes. Il expliqua

« Les chambres sont organisées par quatre, et dès qu'un pensionnaire arrive, une chambre lui est attitrée, sans meme qu'il aie à dire son nom... Alors... Ah, visiblement, c'est ici, pour votre ami.
- Merci. Restez ici. »


Gladys entra dans la chambre. Visiblement, des gens y dormaient. Elle déposa le mafieux sur les draps d'un lit inoccupé, et inspecta la chambre d'un coup d'oeil. Aucun piège ne semblait y ietre installé,à vu d'oeil, aucun mécanisme ne trahissait la présence de caméras, mais il fallait rester prudant.

« Bon. Je vous laisse ici.. ? Cela ne semble pas dangereux. A moins que vous ne vous sentiez encore d'humeur à faire exploser quelques trucs ? »

[ bon j'ai fait vaguement apparaitre un autre perso, c'est plus logique etant donné le vacarme qu'ils ont du faire 8D ]
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MessageSujet: Re: The handsome, the bad and the evil   The handsome, the bad and the evil Icon_minitime

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