Constanza regarda autour d’elle un peu apeurée. Que ce passait-il? Elle regarda dans son sac si ce qu’elle avait subtilisé plutôt était toujours en sa possession. Ça l’aurait été le comble de se perdre et en plus de perdre le remarquable butin qu’elle venait d’acquérir. Les bijoux étaient toujours dans le sac, brillant de toute leur splendeur. Rassurée, la jeune fille leva les yeux sur l’endroit ou elle semblait prisonnière désormais. Une grande salle bordée d’escalier se tenait devant elle. Elle avança en direction d’un couloir puisque la sortie était bloquée. C’était la nuit et aucun bruit prouvant que les lieux étaient habités.

Elle s’arrêta de moins en moins certaines de vouloir aller plus loin. Elle n’avait aucune envie de tomber sur des démons ou bien une autre forme de magie. Elle avait entendu des histoires lors de ses voyages, de sorcières qui pouvaient faire d’horribles choses aux personnes qu’elles détestaient, des lutins qui vous ensorcelait et bien d’autres récits aussi invraisemblable les uns que les autres. Elle savait bien que certaine serveuse de la taverne où elle chantait ne l’appréciait pas vraiment, mais j’aurais elle n’aurait cru que certaines d’entre elles pouvaient être sorcières. Pour Constanza, il n’y avait aucune autre explication que la sorcellerie qui expliquait sa captivité. Elle était fatiguée et confuse, aussi.

-Où suis-je…

Elle ne pouvait pas rester la, sans bouger, pour l’éternité, mais le couloir et les escaliers ne la rassurait pas non plus. Pourtant elle savait bien qu’elle en saurait plus en se déplaçant. Elle devait se montrer courageuse et avancer. En observant un peu mieux la salle, la jeune blondinette discerna une enseigne qu’elle n’avait pas vu plus tôt. Quelques message avaient été griffonnés, mais c’est ce que Constanza y lu qu’y la surpris le plus. Elle avait bien remarqué qu’elle ne pouvait pas sortir, mais elle ne s’était pas aperçue d’avoir un pouvoir quelconque. Ne s’attardant pas plus sur le sujet, elle se dirigea vers le couloir. Au moins, maintenant, elle savait qu’elle n’était pas seule dans ce cas et qu’elle pourrait trouver de l’aide à l’intérieur.