Si vous avez ouvert ce journal par erreur, ou en espérant tomber sur l'histoire d'un fier petit lutin au pays des merveilles et bien vous vous êtes trompé. Il est encore temps de refermer ce livre et, de le redéposer sur l'étagère où vous l'avez trouvé, de vous dégoter ce fameux conte de fée et d'oublier Jonathan Waylon. Mais si la curiosité vous ronge et bien, plonger. Sans hésiter. Mais garder à l'esprit que ce sera à vos risques et périls

Nous savons que Jonathan Waylon est né le 21 juin 1989, alors que le printemps touchait à sa fin, laissant place docilement à l'été. Ce garçon est né dans la célèbre ville de New-York, la Big Apple, alors que ses parents déterminaient les finitions de leur nouveau chez eux. En effet, le père de Jace avait gagné une place dans une agence biologiste assez célèbre et en pleine ascension. Et son emploi l'appelait à New-York, tandis que sa mère, une secrétaire, était en congé maternité depuis presque deux mois. Jace naquit de manière prématurée, ce qui ne fut pas pour plaire à ses géniteurs, obligés de revoir tout leurs plans. Vous l'aurez compris, ce n'étaient pas vraiment des personnes ... sympathiques. D'ailleurs, cet enfant, n'était pas réellement prémédité et Mme Waylon avait appris sa grossesse bien trop tard pour requérir à l'avortement. Cet enfant, leurs fermaient des portes dans leurs avenirs communs. Ils étaient déjà bien assez satisfaits de la présence de leur aîné, Joshua. Ils allaient devoir faire avec. Ils ne désiraient pas avoir deux enfants. Richard et Sonia voulaient un unique enfant. Pas deux. C'était une question de choix et de mode de vie. Déjà qu'ils avaient mis un temps évolué pour leur premier. Un c'était bien, deux c'était trop.

Quelqu'un à dit un jour, si tu aimes ton enfant, tu seras dur avec lui pour qu'il soit fort. Pour le cas de Jonathan, on ne peut pas vraiment affirmer que ses parents l'ait réellement aimé, toutefois, ils furent durs avec lui. Très dur. Alors que ses parents auraient du s'extasier à le voir marcher, insatisfaits, ils auraient voulu le voir courir. Lorsqu'il commença tout juste à parler, ils réclamèrent son silence. Durant toute son enfance, Jace dû garder le silence, aux dîners familiaux, aux réunions ' familiales' et celles professionnelles de ses parents. Le jeune homme, se refermait sur lui-même. Là où un garçon commun aurait pu rire aux éclats, il se contentait de tourner la tête vers sa mère, presque pour lui demander la permission. Ce ne fut même pas ce qu'on pourrait appeler une enfance. Le jeune garçon passait ses journées dans sa chambre, seul. Il jouait avec ses petites figurines de militaires, en imaginant des histoires complètement loufoques, où ils iraient sauver une demoiselle en détresse. À l'école, on s'inquiétait souvent de ce comportement si peu ouvert envers les autres. Ses instituteurs, voulurent même en parler avec ses géniteurs. Autant dire qu'ils auraient très bien pu s'adresser à un mur et que leurs paroles n'eurent aucun effet sur les idéologies d'éducations.

C'était un garçon de six ans qui se tenait dans cette pièce. Pour son anniversaire son père lui avait offert un faucon. « Les faucons sont des rapaces, ils tuent d'autres oiseaux » lui avait expliqué son père. L'enfant et l'oiseau ne s'aimait pas. Son bec tranchant faisait peur à l'enfant et il avait l'impression d'être constamment observer par ses yeux perçants. L'oiseau lui donnait des coups de becs, de griffes, dès qu'il s'approchait. Pendant des semaines, ses mains et poignets furent couverts d'égratignures. Il ignorait que son père avait choisi un rapace qui avait vécu à l'état sauvage pendant plus d'une année ; et par conséquent, il était presque impossible de l'apprivoiser. Mais ce garçon persévérait parce que son père lui avait demandé de se faire obéir de l'oiseau et qu'il voulait lui faire plaisir. Il restait constamment près du faucon, le tenait éveillé en lui parlant, ou en lui jouant de la musique, car il avait entendu dire qu'un oiseau fatigué était plus facile à dresser. Il appris à utiliser son équipement : les jets qui lui permettaient d'attacher l'oiseau au poignet, le chaperon, la longe, la filière. Il était censé cacher la vue du rapace, mais ne pouvait se résoudre à le faire. Aussi, il restait dans son champ de vision lorsqu'il le caressait pour gagner sa confiance. Il lui présentait la nourriture dans sa main et au début l'oiseau refusait de s'alimenter. Par la suite, il mangea avec tant de férocité qu'il lui planta son bec dans la paume.Pourtant, le garçon était heureux parce qu'il progressait. Il souhaitait que l'oiseau s'habitue à sa présence, même s'il fallait saigner pour en arriver là. Il découvrit toutes les belles qualités de son faucon, ses ailes gracieuses, sa vitesse, sa puissance. Il était fou de joie lorsque l'oiseau faisait des cercles dans le ciel avant de venir se poser sur son épaule et nicher son bec dans ses cheveux. À présent, tout deux s'aimait. Quand il sut que l'animal était parfaitement apprivoisé et seulement à cet instant, il alla trouver son père pour lui montrer ses prouesses, s'attendant à susciter sa fierté. Mais son père, lui avait pris l'oiseau des mains, l'oiseau totalement apprivoisé et si confiant... Son père lui brisa le cou et jeta au sol son corps sans vie. « Je t'avais dit de te faire obéir. Au lieu de quoi, tu lui as appris à t'aimer. Les faucons ne sont pas des animaux de compagnie : ils sont farouches sauvages et cruels. Cet oiseau n'était pas apprivoisé, il était vaincu.». Une fois seul, l'enfant pleura son oiseau jusqu'à ce que son père envoie un serviteur l'enterrer. À partir de ce moment, il ne pleura plus jamais et n'oublia pas ce qu'il en avait appris, à savoir qu'aimer c'est détruire, et qu'être aimé c'est aller vers sa propre destruction.

Lorsqu'il passa aux grandes classes de l'école primaire, sa famille était toujours aussi aisée au niveau de l'argent. Et si certains se rapprochaient de lui pour faire connaissance, sans aucune mauvaise intention, d'autres enfants de riches, n'aimaient pas trop l'avoir dans le coin. Dans son caractère grincheux et peu sociable, beaucoup se lassèrent du manque de conversation de Jace et, il finit par devenir le centre d'un disque de vide. Et ce disque de vide s'agrandit lorsque le frère de Jace mourut. Ce dernier était mort en mer, alors que le bateau sur lequel il se trouvait coulait.Les circonstances du naufrage n'ont jamais été vraiment claires et les parents du jeune homme n'en ont jamais parlés. Et de ce fait, Jace n'avait jamais eu le droit de poser des questions sur ça. Juste, de regretter son aîné, en silence.

Ses principales occupations consistaient à travailler, travailler et, travailler, encore et encore. Il faut que vous sachiez que Jonathan Waylon n'était pas une paresseux et que le travail, n'était pas un obstacle qui lui faisait peur. Au contraire, il l'accueillait souvent bien volontiers, pour tuer le temps et, perfectionner ses aptitudes. Ce n'était pas l'ambition qui le poussait à combler ses lacunes, mais un instinct de perfectionnisme avancé. Bâcler ses devoirs, c'était en revenir à faire le moindre, ce qui ne lui convenait pas. Il souhaitait en quelques sortes, être meilleur que lui-même. Faire du mieux qu'il pouvait et plus encore. Si possible. Autant que lui-même, son père ne pouvait pas supporter que son fils soit relégué au rang de second de la classe. Il fallait qu’il soit le meilleur. Il s’en avérait parfois de lourdes punitions, parfois corporelles, lorsqu’il échouait dans certains domaines. D’ailleurs, son père veillait à ce qu’il pratique de nombreuses activités. Aussi s’investi t’il dans des sports tel que des arts martiaux, l’escrime également. Il fit de l’informatique et ont peut dire qu’il est devenu un sacré petit génie dans cette dernière matière.
Lorsqu'il eut atteint un certain âge, il y eut des trous noirs dans son existence. Son père l'avait emmené à son boulot. En tout cas, quand il en était ressortit quelques temps après ; il était différent. Il n'était pas resté là-bas quelques heures... plutôt quelques semaines. Quelques temps après, il s'est découvert la possibilité de muter de l'état d'humain, à celle d'un loup. Sa première transformation fut très perturbante. Elle changea littéralement sa vie. C'Est-ce qui lui permit de quitter l'entrave de ses parents. La prison. C'était sa liberté. Toutefois, lorsque ses parents s'en aperçurent, en découvrant un canidé dans le lit de leurs fils, sa mère lui prêta un sentiment de répulsion, au contraire de son mari qui sembla s'intéresser particulièrement à cette capacité.

À partir de ce jour, la famille Waylon ne cessa de bouger. De déménager. À travers le globe. Dès que l'on prêtait une attention trop fixative au jeune homme, ou que ce dernier s'attachait à l'endroit. Il s'accoutuma à cette vie nomade. De ce fait, il appris plusieurs langues, qu'il parle couramment, l'anglais, le français, l'espagnol le portugais. Un jour, son père l'envoya dans un pensionnat, dans une ville où la famille avait un manoir luxueux et source de mystère. Il n'avait pas compris pourquoi il n'avait pas été autorisé à vivre avec eux, mais les questions de ce type filaient à travers son esprit. Il s'en fichait. S'il pouvait être encore plus autonome qu'il ne l'était déjà, pourquoi pas. Là-bas il fit la rencontre d'un garçon à la peau verte, pour laquelle une aversion réciproque se plaça instantanément. Ils découvrirent plus tard que cela était dû aux parties animales de leurs êtres. Il rencontra également Cythilla Callaghan et Reika Naburame. Quelques mois après son arrivée au pensionnat, si étrange, il eut une confrontation entre Beast et lui, au gymnase. Puis, ce même soir, alors qu'ils rentraient au pensionnat, ils passèrent devant le manoir des Waylon, qui avait explosé. Ils furent touchés l'onde et projeté en arrière, avant de s'élancer à l'intérieur. Ce jour-là Beast lui sauva plus ou moins la vie, en mettant la sienne en danger. Lorsque Jace était revenu au manoir en cendres le lendemain, il n'avait pu qu'assister à l'évacuation d'un garçon à la peau verte, ensanglanté, sans pouvoir réagir.

Deux. C'est le nombre d'années que Beast passa entre la vie et la mort, plongé dans un coma qui semblait irréversible. Jace passait le voir, le plus souvent possible. Il espérait le voir se réveiller. Malgré leurs mauvaises ententes, Jace s'était d'une manière lier à Beast. Leurs sangs s'étaient mêlés volontairement, il était devenu comme un frère de sang pour lui, en un sens. Aimer c'est détruire. Il se détruisait en allant voir chaque jour le comateux, mais il savait qu'il serait tout autant brisé s'il ne le faisait pas. Jace avait renoncé à ses transformations en loup depuis le jour de l'explosion. C'était dur, mais il ne supportait plus l'idée de muter. Il ne le ferait pas, il le savait, tant que Beast ne serait pas debout. Il dû s'absenter quelques jours et lorsqu'il revint, on lui apprit que le patient Beast, n'était pu là, qu'il s'était réveillé et était tout simplement parti. La question restait muette. Où ?

Jonathan avait mené de longues recherches, suivi les indices au fur et à mesure. Il avait quitté le pensionnat depuis deux ans et vivait dans une chambre d'hôtel qu'il avait simplement quitté pour poursuivre ses recherches. Il avait découvert la trace de Beast quelques parts, un nouveau pensionnant semblait-il. Et Jace était bien décidé à l'y rejoindre...

Comment pourrai-je vous décrire la façon de penser de Jonathan ? C'est vraiment difficile de se mettre à sa place. Et il cache très bien son jeu. Pour commencer, Jace a une très bonne maîtrise de son esprit et de ses émotions. Et pour cause, il a toujours vécu en devant enterrer ses véritables ressentis. Ses pensées, il les trie avec une aisance déconcertante. Sa tête est un grand meuble de rangement. Il est difficile toutefois, de ne pas céder, de relâcher les barrières.

Jonathan est une personne lunatique. Difficile à cernée à cause de ses constantes sautes d'humeurs. Il passe d'un état à un autre, sans prendre la peine de prévenir par un passage progressif par des moues susceptibles d'indiquer qu'il allait peut-être vous envoyez sur les roses. Le jeune homme est aussi un très fin manipulateur. Il est très facile pour lui d'influencer tel ou telle personne. Les inciter à dire tel ou telle chose. Il n'hésite jamais à user de tous les moyens pour parvenir à ses fins. Il est aussi très attentif sur les relations qui unissent les gens. Tous ces liens... parfois il ne comprend pas. Enfin, cela c'était avant, maintenant il sait d'où vient l'attachement d'une personne pour une autre. L'amour l'amitié. Tout cela il l'a découvert au contact des gens. Le jeune homme sait bien en profiter. Après tout, rendre un petit ami jaloux n'est jamais bien difficile. Suffit d'avoir les gestes qui énervent. Jace possède aussi un tempérament calculateur. Il sait anticiper. Aime avoir un coup ou deux d'avance sur les autres. C''est toujours cela d'utile.

Ce jeune homme répondant au nom de Waylon est aussi d'un...énervant. Quand il s'y met, on résiste difficilement à lui écraser quelque chose sur la figure. Mais ce serait abîmer un si beau visage. Il pousse les gens dans ses retranchements et se fiche éperdument des conséquences. Jace est une personne qui possède généralement un bon sang-froid. Mais lors des atteintes personnelles, il peut devenir ...impulsif. Colérique. Et par Dieu ! Mieux vaut que vous ne vous trouviez pas dans les parages au moment de l'éclatement, vous risqueriez d'y laissez vos têtes ! ^^ Jace est un solitaire. Mais vous ne pouvez pas savoir à quel point sa plus grande peur est la solitude. Pas celle qui est seulement passagère. Elle il l'apprécie assez. Il craint celle qui s'étend sur une éternité. Toute une vie. Un monde...vide. C'est un froid qui parcoure son échine lorsque les mauvais rêves du genre encombre son esprit.

Encore, deux trois autres points, résultats de son enfance. Le jeune homme à acquiert la capacité d'envoyer quiconque sur les roses, lorsque la personne en question, venait lui chercher des noises. Non, bien sur que non, qu'il n'utilisa pas ses poings. Une bagarre lui aurait valu, non seulement des heures de colles et un rapport disciplinaire dans son dossier scolaire, mais également une sévère punition de la part de ses parents. Vous me direz, de quoi pourrait-il bien être privé, lui qui a déjà si peu. Ses géniteurs pourraient très bien lui enlever, consoles, téléphones, PC. Il s'en ficherait comme de l'an quarante. Une console. Pour s'abrutir le cerveau ? De toute manière, ces jeux ne datent pas des dernières sorties. Un téléphone ? Pour appeler qui ? Un PC ? C'était surement ce qui l'agacerait le plus. Sans ordinateur, il n'accédait pas à internet et sans accéder à internet, il n'accédait pas à l'information. À la culture. Pour en revenir au sujet, Jace renvoie les importuns, en se servant de son incroyable cynisme, son ironie et son sens aigu de la réplique ainsi que de la rhétorie. Il est parfois bien dur d'avoir le dernier mot et certains, perderaient bien patience à essayer de lui clouer le bec. Certains l'ont perdue d'ailleurs et ont jugés que quelques coups dans la figure calmerait la langue de ce crétin. Mais Ulric avait bien trop de feeling pour éviter ce genre de situations. C'est également une personne extrêmement grincheuse. Il est souvent d'humeur maussade et on s'estimerait surement heureux qu'il n'est personne sur qui passer ses états. Il lui arrive de se plaindre sans arrêt. Mais bon, qui ne le fait pas ? Il le fait seulement plus souvent que les autres, c'est tout.

Jace est également très méfiant envers les autres. Il a des difficultés à s'attacher aux gens, certainement parce qu'il n'a jamais réellement réussit cet exploit. Depuis l'explosion, qui en a résulter le coma de Beast, Jace a eut d'énormes difficultés à se réorienter. À savoir quoi faire. Ses parents l'avait informer qu'ils étaient parti en voyage et qu'ils avaient appris récemment la destruction de leur manoir. Le geste de sauvetage de Beast a été une nouveauté pour Jace. Lui qui ne connaissait pas vraiment la solidarité, ou l'amitié, l'acte du sacrifice. Ils avaient mélangés leurs sangs, en sachant que le jeune homme à la peau verte perdrait certainement le contrôle à l'odeur de celui de Jonathan. Si ont devait attribué un mot pour qualifier Jace, ce serait certainement Imprévisible.

L'apparence physique ? Compte t'-elle vraiment aux yeux du monde ? Apparemment oui, puisque vous la réclamée ici et, pas ailleurs. Alors, pour vous décrire Jonathan, je pourrai y passer un bon moment. Mais ne fragilisons pas mes pauvres doigts qui ont encore beaucoup à taper. Jace possède un visage aux traits angulaires. Ce qui signifie qu'il possède des traits plutôt droit et réguliers. Sa peau à des allures très douce. À croire que chaque impureté qui aurait pu s'incruster à son épiderme, n'avait jamais eue le temps de se sédentarisé chez lui. Le jeune homme ne possède pas une forte pilosité, pour cause, il prend souvent soin de se raser proprement aux rasoirs. Jace possède un nez droit, de taille satisfaisante. Pas une grosse patate qui se voit à trois kilomètres à la ronde, cela va de soit. Le jeune homme possède des yeux très profonds. Deux grands puits creusés, sans fonds discernables. Il est très facile de se perdre dans ces profondeurs... très dur d'en ressortir aussi. C'est l'un de ses premiers atouts de charme. Jace possède un teint poudreux, d‘ivoire, et ses expressions faciales sont souvent impassibles. Les cheveux du jeune homme sont d'une couleur cuivrée. Il les portent courts, souvent dans tous les sens, sans que cela ne paraisse trop négligée.

Outre son magnifique visage, Jace possède aussi un corps de Dieu de la Grèce Antique. Son torse est l'un des plus beaux de toute l'histoire des torses. Pas du tout pileux de ce côté-là, il possède des muscles très bien dessiné. Ses épaules sont solides, les tendons de son corps affermi par les heures passées à son activité sportive régulière. Ses pectoraux sont d'autant bien formés que ses biceps. Ses abdominaux semblent taillés comme dans la pierre, même si leurs teint et leurs touchés est bien plus agréable que le marbre. Jonathan est une personne plutôt grande. Aussi dépassera t-'il ses camarades d'une tête, voir d'une et demie. Il n'est pas vraiment lourd. Soixante-cinq kilos, tout au plus. Et ce qui est tout au mieux ? C'est que ce n'est que du muscles ! Sa carrure n'est toutefois pas celle d'un tas de muscles prétentieux au contraire. Le rôle du jeune homme ne le permettrait pas. Il s'est tailler une musculature fine, non pas moins efficaces, qui lui permet de se faire discret.

Le jeune homme ne possède pas vraiment un style vestimentaire particulier. Les vêtements ont tendances à prendre de nouvelles allures sur sa silhouette merveilleusement bien proportionnée. Il porte des jeans, aux tons délavés ou bien foncé. Il aime les tee shirt à manches courtes, assez proches au corps, facilitant ses mouvements. Autrefois, cela était plus une condition pour ne pas être gêné lors des transformation précipitée. Il porte également des chemises parfois. Et les il aime particulièrement les vestes en cuir.