Comment une jeune fille peut se retrouver devant cette tour sans n'avoir rien demandée. Naomi se trouvait devant une tour, encore un endroit inconnu qu'elle allait avoir l'occasion de visiter. Ce n'est pas pour le plaisir car cette endroit parait sombre. De toute façon qu'est qui n'est pas sombre ici. La porte fait un grincement atroce, elle est dur à ouvrir et quand la mini rebelle fait une ouverture assez grande pour passer son papillon d'alter ego astral fait son apparition. C'est elle qui travaille et l'alter ego passe tranquillement. Avec cindelle son papillon elle monte les marches de cette tour immense et sans fin. Il faut dire que l'adolescente est tombée plusieurs fois, les marches sont soit plus petites soit plus grandes que la précédente. Aucune ne se ressemble vraiment. La mur est humide et l'endroit et étroit. L'odeur est nauséabonde dans ce genre d'endroit. Par contre lui, ce papillon ne lui dirait rien, lui qui sait où il va. Naomi s'assoie pour reprendre sa respiration, il n'y a pas de fenêtre, il n'y a rien de rien. Si seulement une brise d'air pouvait faire son apparition, la jeune fille lève la tête et reçoit une goutte d'eau sur le front. Elle touche la marche au dessus d'elle, ce qu'elle pet être humide. On ne trouve pas ce genre de tour partout, celle-ci doit être ancienne. Personne ne s'occuper vraiment de l'ancienneté de cette planète car personne ne voudrait y laisser les pieds pour des recherches car de toute manière les informations ne pourraient pas être transmise.

Naomi marchait comme un chien pour ne pas tomber. Sa doit faire des heures qu'elle se prend des murs avec la tête quand les marches tournent en rond. La pensionnaire n'en peut plu. Fatiguée, essoufflée, enfermée, prisonnière... Elle se couche sur une marche, ferme sa veste jusqu'en haut, il commence à faire froid, le temps avance à une lenteur impressionnante. Où est le soleil ? La lumière ? La jeune fille se sent perdu, la voila qui croit entendre une voix de femme. Courageusement Naomi se relève elle monte encore et encore... Quand elle aperçoit avec peu de précision, dans le flou total, une ombre.

- Qui est tu ?

Ame à l'impression d'être en mode somnambule. La lumière, une lueur l'amène vers la silhouette. Sa façon de marcher est bizarre. Une fille comme elle admire l'extérieur, le passé revient dans la tête de la pensionnaire...

[ Post court, mais tu écrit avec un langage totalement différent du mien ce qui n'est pas facile à décrire. ]

[ Pardon de mon énorme retard !!! ]

Une fille, c’est simple pour dire, décrire la personne en face de soit. Que dire d’autre quand on ne la connait pas ? En tout cas, il fait froid et les jambes de la jeune pensionnaire tremble de plus en plus. Elle a parcourue le parcours des combattants. D’habitude une tour ne demande pas autant d’effort, si elle pouvait elle y serait allée à dos d’oiseau. Mais il n’y a qu’un papillon qui puisse l’accompagner pendant son long voyage vers les hauteurs d’une tour.

- On dirait que je suis quelqu'un de spécial, quand tu dis ça, commencé-je d'un ton léger et sans sourire, je ne suis qu'une fille de-

De ? Comme si cet endroit n’avait pas assez de mystères. Naomi pencha sa tête à gauche, la fille en face d’elle avait arrêtée de parler d’un trait. Avait elle rajoutée se ‘ de ‘ sans y faire attention ? Non. Il avait un sens, sinon elle se serait rectifiée. Enfin, cela ne regardait pas la fillette qui s’étirait pour décontracté ses membres antérieurs. Un léger craquement résonna dans la tour, Naomi baissa ses bras et lança un sourire. Rien de spécial. L’atmosphère était pesante ici, un peu trop même d’ailleurs.

- Je m'appelle Charlie-Shanon. Miles. Mais née Scaglia, déclaré-je, avant d'enchaîner, puisque constatant que tels mots puissent porter à confusion : je suis une enfant naturelle.

C’est un nom que l’adolescente n’avait jamais entendue auparavant. Le nom dans les deux sens de sa phrase. Son nom Charlie-Shanon Miles et le nom de la ville ou elle était née. Apparemment elle ne voulait pas continuer sur sa première phrase, ‘ fille naturelle ‘ c’est suffisant. Ame lui rendit le sourire, son papillon au couleur orangé faisait lumière dans ce lieu sombre, il se plaça proche du visage de la jeune fille pour qu’elle puisse apercevoir une partie de son regard.

- Et toi, tu es... ?

C’est vrai. Elle n’avait rien dit sur sa propre personne. Alors elle prit une petite inspiration, elle expira. Croisant ses mains dans son dos et en approchant d’un pas en avant elle entama ainsi :

- Moi c’est Naomi Ame. Je suis née à Picasa, j’aime bien tout ce qui vole et ca c’est mon alter ego Cindelle. Euh… Je crois que c’est tout.

Naomi, depuis sa tendre enfance avait du mal à dire ce qu’elle pensait, sa présentation est si vaste dans sa tête mais quand il s’agit de faire simple à l’oral, c’est dûr.

Elle entend un petit mot, rien de sûr dans cette espace où tout devrait résonner sans fin. Mais quel est ce mot, Naomi croit avoir entendu ‘ nop ‘ mais, que répondre à un mot sans définition ? Se taire peut être ou relancée le tout sur une inspiration soudaine. En posant son regard encore une fois autour d’elle rien ne l’inspire. Comment Charlie a-t-elle pu avoir l’envie de venir poser son regard dans un endroit tel que celui-ci ? n’y a-t-il pas plus joyeux, avec un minimum de bonheur ? Non. Et pourtant il semble que mademoiselle, en face d’elle pense du côté positif de la chose. Naomi lui sourit étrangement en essayant de la faire revenir sur la réalité, la vrai. Elle est là et observe le monde persistant sans le vouloir, demoiselle Ame la trouve marrante. Puis, elle arrête et lui demande si c’est tout. Ben euh… Que dire d’autre ? Tel est la question, qu’importe qu’elle soit peu bavarde il n’était pas l’heure de raconter sa vie.

'Si cela peu t'aider à être plus prosaïque, je peu te demander quelque chose? Enfin, autre que cette question-ci, bien sûr, ce qui ferait deux questions! Aurais-tu vu, au passage, un chien? Gros comme ça!'

Un chien gros comme ça. En voila une bonne question. Depuis la première marche escalader avec douleur, en passant entre deux murs, c’est un voyage qui avait touché à sa fin et pour l’instant sans retour et pendant ce trajet en animal, Naomi n’avait croisée que son papillon répondant au nom de cindelle. Et ce papillon est pointé du doigt, ce n’est rien pense la jeune fille elle comprend seulement que celle en face d’elle a comme alter ego astral un toutou comme elle le décrit si bien.

- Je n’ai pas vu de chien comme tu le décris. Je suis désolée… Et aussi je n’ai pas de question spécial à te poser. Je suis navrée dans tout les sens du terme.

Point final. Les mains dans les poches l’inspiration est partie aussi vite qu’une goutte d’eau tombant du plafond. La pensionnaire regarde Charlie.

[ Comme toujours me voila super en retard. Pardon ]