Non-rencontre avec mon supérieur [poste unique]

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J'ignore encore pourquoi j'ai attendu si longtemps... Je n'étais pas stressée, ni anxieuse. En fait, je me sentais très à l'aise vis-à-vis de cette rencontre. Alors je me demande encore qu'est-ce que j'ai bien put redouter pour reste rprès de quinze minutes au bout du couloir. Encore, si j'avais fait les cent pas devant la porte, j'aurais compris, mais là... Pourtant, je savais bien que je ne devais pas perdre de temps si je voulais aller me baigner ensuite. Heureusement, je portais déjà mon maillot à ce moment là. Il faut avouer que je suis très prévoyante et aussi que...L'ensemble que j'avais choisi m'allait plutôt bien. Je faisais un peu ''petite écolière'' malgré mon âge, mais bon! Un chemisier noir, un débardeur blanc cadrillé de noir, l'opposé exacte de la jupe que j'avais choisie. Allez savoir pourquoi, mais j'affectionne beaucoup ces vêtements de ''l'avant cataclysme'', tout comme plusieurs habitant de la zone où je vis. En faite, je me souviens que lorsque je me suis regardée dans le miroir ce matin là, j'ai eu la désagréable impression de faire un voyage temporel de plus de 700 ans. Plus tôt mourire! Ah oui! La porte....

Une fois je ne sais quelle anguoisse passée, je m'étais mise à marcher d'un pas presque pressé vers le bureau du responsable m'ayant convoquée. Les chaussures que je portais couinaient sur ce plancher récemment ciré. C,est ce qui arrive quand on n'écoute pas les conseils des autres et que l'on s'obstine à ne pas vouloir user des roues intégrées dans la semelle de nos chausures à l'allure si vingt-et-unième siècle... Oui oui, vingt-et-unième. Je me souviens d'avoir préféré mes répliquent de convers noires (c'est ça?...Euh, oui c'est ce qui est écris) à mes bottes hyper tendances parce qu'elles allaient mieux avec ma tenues. Bref.

Lorsque je suis arrivée près de la porte, celle-ci c'est évidemment ouverte seule et je me suis engagée dans le bureau de mon supérieur. J'avais à peine fais quelque pas que la porte c'était brusquement refermée. Quelqu'un devait s'être lever du pied gauche! Quoi qu'il en soit je m'étais immédiatement apperçue que quelque chose clochait... Que j'étais sotte! J'étais entrée avec mon capteur d,image sur le nez! Franchement! Je les avais donc aussi tôt ranger dans leur étuis pour ensuite me rendre compte de certaines choses.
1) Le bureau était hideux!
Non mais qui pouvait bien aimé cette décoration!? Elle était tellement...Tellement...Vieillot! À croire que mon supérieur était archéologe!
2) Ce bureau était définitivement le plus grand de la ville!
Il n'avait vraiment pas l'aire de ça vue de l'extérieur...
3) Il y avait un panneau d'annonces.
Géniale, encore d'autres messages ''d'intérêt publique'' qu'elle serait forcée de lire. Non mais! Tant qu'à faire lire des trucs aussi inutiles, faites-les transmettres par messagerie vocale!
Exaspérée, j'avais entreprit une fouille du contenue de mon énorme sac à main noir. Ne jamais sous-estimer le contenue du sac à main d'une femme. Jamais! J'y ai évidemment vu une serviette et des sous-vêtements que m'auraient été utiles après ma baignade. Ma trousse d'hygiène bucale, l'étuis de mon capteur d'images que je venais tout juste de ranger ainsi que plusieurs objets ayant pour but d'améliorer mon confort. Mais ce n'était pas ce que je cherchais! Il me fallut au moins trois minutes pour mettre la main sur mon agenda personnel. Je l'ai alors sorti de sa cachette et je me suis approchée du panneau d'affichage, mais juste assez pour que je puisse enclancher la fonction ''scan''. Ainsi je pourrais lire tous ces mots ''Oh! Combien intréssants'' après ma rencontre avec mon superviseur. Je me suis ensuite dirigée vers les escaliers. À ma grande surprise, ceux-ci restèrent immobile.

-Y en a un qui fait mal son job! Lancais-je à voix haute avant d'entreprendre l'ascension primitive de ces marches.

Voilà comment je me suis retrouvée ici. Debout dans l'un des couloirs les plus affreux que j'ai jamais vu. Mais qu'est-ce qu'il à ce patron à aimer autant le monde des années hum...Je dirais entre 1980 et 2003. Tout au plus. Ça doit faire quoi...presque une demi-heure que je marche et tout se ressemble. J'ai horreur de ça! Il n'y a même pas de blanc ne plus! Eh puis! Il attend quoi ce supérieur pour venir me voir!? J'ai pas que ça à faire moi! Je veux pouvoir aller me baigner avant le boulot moi!

Une porte, une fenêtre, un cadre, un meuble, un cadre, un autre cadre, encore un autre cadre, une fenêtre... C'est que ça devient redondant là! Qu,est-ce que je dois faire pour retrouver la prte de sortie!? Et pourquoi les employés ne font-ils pas leur travail!? D'abord l'escalier qui reffuse de bouger, maintenant la température qui continue de monter et qui doit avoir dépasser les vingt degrés depuis un bon moment, ce sera quoi après? Je vais devoir règle rla température de ma douche toute seule!? Bon! Là, y en a marre de marcher! Sur ce, j'arrête! Ah, non... À la prochaine fenêtre, comme ça je pourrai au moins profiter de la vue.

Hourra!!!! Au moment où je commence à déprimer, je choisis une fenêtre au hasard et qu'est-ce que je vois? UN LAC!!!!! Tant pis pour monsieur le superviseur qui ne connait pas la ponctualité, moi, je vais me baigner! Mais euh...Je fais comment pour sortir?Après un long soupire qui en dit long sur mon état, je choisi de regarder dans les environs. Deux fenêtres plus loin, il y a un arbre...

-Quand il faut y aller...Faut y aller!

Prenant sur moi, je m'éloigne de la fenêtre et me déplace en direction de la fenêtre denant sur l'arbre. Seulement, lorsque j'arrive, ce n'est pas une fenêtre, mais une porte. Sans doute cette porte donnait-elle sur un pièce à partir de laquelle je pourrai trouver la fenêtre et donc l'arbre. Je m'avance vers la porte, mais au moment de la traverser, elle reste fermée et je m'y heurte violemment. S'en est trop! Je serre les dents et je commence à respirer bruyamment. Décidément, l'employé responsable de l'étage à une dent contre moi! Non! Deux dents! Avec un certain agacement, je pose ma main sur la poignée et ouvre moi-même cette fichue porte!

-Quelle horeur....

Je n'ai pas réussi à contenir ce commentaire...Mais je ne m'en excuse pas! Parce que c'est vrai! J'ai presque envie de fermer les yeux pour me rendre jusqu'à la fenêtre, mais je sais que tout ce que je risque c'est de me heurter contre un des meubles de cet hideux endroit. Sans doute un salon. Secouant la tête, je me dirige rapidement vers la fenêtre qui me laisse voir cet arbre apperçu plus tôt. Je l'ouvre et jette mon sac à main en suivant sa chute et atterissage du regard. Je passe ensuite une jambe à l'extérieur, pis l'autre, m'asseyai sur le rebord et m'aggripe à la première branche à ma porté.

[suite au ''parc et lac'']