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 This cannot be the truth! [Poste unique]

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This cannot be the truth! [Poste unique] _
MessageSujet: This cannot be the truth! [Poste unique]   This cannot be the truth! [Poste unique] Icon_minitimeMer 2 Fév 2011 - 19:29

Soit c’était une auberge extrêmement luxueuse, et pas du tout prisée par les voyageurs, soit Victor était plongé dans une sorte de rêve éveillé, il ne pouvait pas y’avoir d’autre explication.

Se pinçant rapidement la joue pour bien vérifier qu’il ne rêvait pas et que sa situation était bien réelle, Victor fit un pas, puis deux dans ce gigantesque hall qu’était l’intérieur de l’auberge dans laquelle il était censé pénétrer à la base. Si vraiment cette auberge était aussi grande à l’intérieur, il aurait besoin de revoir sa conception pour les manoirs de la famille DeManslen… A l’extérieur du bâtiment, rien n’aurait laissé présager que l’intérieur de la bâtisse serait aussi spacieux. Une petite auberge, de fortune comme on en trouve des dizaines sur les routes menant à la ville. Juste une petite auberge…. Victor tira rapidement la conclusion suivante : si il ne sortait pas très vite de ce hall bizarre, il ne pourrait jamais plus rejoindre la capitale où il avait passé son enfance et où se trouvait son futur avec Marie Colombe. Sans plus réfléchir sur sa mystérieuse situation, le jeune homme fit rapidement volte face, pour se retrouver devant la porte qu’il venait de franchir à l’instant. Elle n’était plus du tout la même qu’auparavant. La porte miteuse de l’auberge était à présent une porte immense et finement ouvragée. Le genre de porte qu’on a aucune envie de franchir, rien que parce qu’elle impose elle-même de rester devant elle, pour la contempler. Mais Victor DeManslen n’était pas un homme à se laisser impressionner par une vulgaire porte. Posant sa main sur la poignée de celle-ci, il tira. Rien ne se produisit. Il poussa. Rien non plus. La porte était bel et bien coincée. Allons bon, voilà que maintenant il se retrouvait bloqué dans un hall gigantesque à cause d’une porte qui ne voulait pas s’ouvrir… Elle marchait pourtant très bien il y’a quelques instants. La cape encore humide de Victor fit tomber quelques gouttelettes d’eau sur le sol, tandis que le jeune aristocrate décida de partir à la recherche d’une autre issue pour parvenir à sortir d’ici. Il ne pouvait pas rester infiniment dans cette auberge. Même si de toute évidence, ça n’en était pas une du tout. Victor ne savait pas où il était arrivé, mais cet endroit n’avait rien de l’auberge qui se trouvait sur la route de la Capitale du royaume. Il n’y était jamais venu, en revanche pour avoir arpenté les couloirs de plusieurs manoirs dans sa vie, il recconaissait l’architecture riche et très certainement fort onéreuse de l’endroit où il se trouvait. Aucun doute, il était dans une sorte de grand manoir, voire un château. Il se demanda briévement la taille de l’endroit, avant de se reposer la question principale : comment diable la petite auberge avait t-elle put se changer ainsi en un château à la porte close ? Le jeune homme songerait à cela après. Pour l’instant, il devait lire ce panneau, il contenait peut être des informations utiles sur…. En fait non, il ne contenait rien d’utile. Le jeune aristocrate continua de le lire, accordant le bénéfice du doute aux écritures présentes sur ce bout de papier, mais il jeta rapidement l’éponge en constatant que ces mots n’étaient que des idioties. Des bêtises d’enfants, sans doute. De la magie ? Un pouvoir spécial ? Impossible de partir ? Ca n’était pas vrai. Ca ne pouvait pas être vrai. Ca ne devait pas être vrai. Victor eu une énorme boule à l’estomac qui se forma alors. Il ne pourrait plus sortir d’ici. Il ne reverrait plus jamais Marie Colombe. Ca n’était pas possible, non. Il devait sortir d’ici, et faire ça le plus vite possible. Et la méthode la plus rapide pour le jeune homme, c’était de ne pas croire à ces bêtises. De vite enfoncer la porte de force pour repartir. De nature calme, Victor était pourtant dans un haut état de stress sur le moment. Il ne voulait pas rester ici, non.

Plongeant sa main dans son sac de voyage, il en sortit l’épée de l’étui dans lequel elle se trouvait. Celle-ci devait sans arrêt être montée et remontée puis démontée, afin de pouvoir conserver un tranchant de la lame optimal, ainsi qu’une adhérence sans pareille au niveau de la poignée. Posant sa main sur cette derniére, Victor entendit soudainement plusieurs murmures dans son dos. Le jeune homme se retourna, sans prendre la peine de fixer la lame sur la poignée où elle aurait dût se trouver. Il fit face à cette chose. Cette chose volante, en forme d’assiette qui parlait ce language si particulier. C’était lui, non ? L’ami de Victor. Le petit Serpent qu’il s’était inventé, plus jeune, pour ne plus être seul dans ce grand manoir familial. Et le revoilà. Doucement, Victor le laissa s’approcher, écoutant ses murmures dans sa langue incompréhensible, mais que lui parvenait à traduire. Il le comprenait. Même si cette langue de murmures et d’onomatopées pouvait sembler totalement illogique, Victor la comprenait. Il laissa le serpent se fixer à sa ceinture avec sa soucoupe, tandis que la tête du reptile de métal sortit de sa taniére pour fixer son propriétaire. Alors c’était vrai. Sagark était parfaitement vrai, Victor en avait la preuve en face. Il était accroché à sa ceinture avec sa soucoupe volante, ça ne pouvait pas être un rêve. Victor renifla. Il ressentait de la tristesse. Une peine horrible. Plus jamais il ne reverrait Marie Colombe. Puis, entendant les encouragements de ce qui s’appelait un AEA selon le panneau, Victor releva la tête. Elle n’aurait pas voulut le voir ainsi. Il se battrait. Il trouverait un moyen de la rejoindre, quoi qu’il lui en coûte. Sagark était avec lui, et ce fameux pouvoir qu’il devait posséder n’était pas quelque chose qui pourrait se réveler inutile. Il s’enfuirait, et retrouverait son adorée. Il en faisait le serment.

Doucement, Victor DeManslen rangea la poignée de son épée dans la poche de sa veste, masqua la soucoupe volante sur sa ceinture en refermant cette derniére, ferma son sac de voyage, secoua rapidement sa cape toujours humidifiée par la pluie, et grimpa les escaliers de ce mystérieux hall. Il s’en irait. Il retrouverait Marie Colombe. D’une manière, où d’une autre.


[Tout le monde s'en fout, mais je le dis quand même: je n'avais pas d'inspiration, alors chut!XD]

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