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 William Mary Hufflestring « Tea and crumpets for the Fairytale Queen. » [ 100%]

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This Mother-Infected Fairytale
William Mary Hufflestring
William Mary Hufflestring

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• Pouvoir : Je suis une ombre.
• AEA : Alfred, le rat perspicace au mutisme éternel.
• Petit(e) ami(e) : Nous sommes tous enfermés ici et vous trouvez le moyen de penser à copuler ? Je rêve.

RP en cours :
Bless the Spawn of Hell | Mahaut de Clairlac.
Pourquoi un corbeau ressemble à un bureau ? | Alea Miller.
Those Things are so Boring ~ | Halloween.
Smuggling of Vodka in the Room of a Reader | Holly Addison.
Squirrel Fray. EVENT. Corpse Party.
Mesmerizing Hues. Marie-Colombe Mazarin.
L'heure du thé, c'est sacré. | Alexandra Blackwood.
« Close the damn door ! » | Maël Filipoudille

Messages : 297
Inscrit le : 07/08/2011

William Mary Hufflestring « Tea and crumpets for the Fairytale Queen.  » [ 100%]  _
MessageSujet: William Mary Hufflestring « Tea and crumpets for the Fairytale Queen. » [ 100%]    William Mary Hufflestring « Tea and crumpets for the Fairytale Queen.  » [ 100%]  Icon_minitimeDim 7 Aoû 2011 - 5:38



*William Mary


Hufflestring


*nom – Hufflestring
*prénom – William Mary
*age – 18 ans
*né(e) le – 28 Janvier 1993

Pouvoir
Je suis une ombre. Il ne s’agit pas d’évoluer dans les ombres environnantes ou de les manier à ma guise. Voyez-vous, je deviens moi-même une forme floue et indiscernable lorsque je le souhaite. Ou lorsque mes émotions prennent le dessus sur ma raison. Un peu comme un spectre. Je suppose que c’est une séquelle dût à mon puissant désir d’être invisible par moments. Vous remarquerez, peut-être, si votre œil s’y prête, que mon état est ironique. Bien que je puisse devenir une silhouette effacée et me déplacer sous cette forme, lorsque coloré et solide, je suis dépourvu d’ombre. Une chimère sans rêves . . .

Alter Ego Astral
Un rat. En effet, l’illumination qui m’a guidé dans ma petite enfance n’est nul autre qu’un rongeur putride fouinant dans les égouts. Sympathique, ne croyez-vous pas ? Lorsqu’on sautille par-dessus les apparences et les clichés sociaux, ces bestioles s’avèrent très attachante. Étant jeune, j’appelais ma compagnie de petite taille par le nom affreux de Vermicelle. Aujourd’hui, je préfère le nommé Alfred. Cela lui sied mieux et convient mieux à l’apparence sophistiquée qu’il mérite tant de posséder. Alfred est un charmeur, taquin et parfait pour n’importe quel bambin, il n’échoue jamais à glisser un sourire sur mes lèvres. De plus, vêtu de charbon, il s’avère être un excellent espion et accepte de m’amener des messages m’étant destiné. D’aussi loin que je me rappelle, il n’a jamais prononcé une ligne.

Passions
Les mots et la lecture m’entraînent dans un monde singulier. Je ne suis chez moi que lorsque je glisse mes prunelles sur les lettres finement calligraphiées d’un parchemin, sur la dactylo bien proportionnée d’un ordinateur, sur l’écriture artistique d’une lettre d’adieu, sur les vers d’un poème décadent. Sans mes yeux, sans ma capacité à m’emplir l’esprit de termes, de lexiques et d’histoires, je me suiciderais. Ce qui nous amène à notre second point, je suis friand de poésie, de tragédies, de contes, de romans et de nouvelles, cela doit vous être évident. Toutefois, vous doutiez vous que j’adorais le théâtre, que de glissé mon corps dans la personnalité d’un autre me procurait un sentiment de bien être sans pareil ? Je consacrerais ma vie à revêtir le masque de l’éploré Othello, du transit Lysandre. Lorsque j’assume le rôle tout tracé d’un personnage fictif ou historique remanié, mon désir d’anonymat s’envole et le monde peut enfin me regarder.

De plus, j’ai un respect prononcé pour les arts en tout genre. L’expression et l’émotion que reflète un portrait disproportionné ou une pièce de piano doucereuse ne se comparent qu’à très peu de choses. J’ai souvent rêvé jouer du piano, mais le rythme ne s’est pas vu ancré dans ma cervelle. Par conséquent, je me rabats sur la musique classique pour étancher ma soif de notes résonnantes. Aussi, j’apprécie les levés de soleil, les conversations profondes, les cookies tout droit sortis du four et les pluies d’étoiles filantes. Voilà et j’en oublie beaucoup.


N'aime pas / Phobies
Au même titre que j’apprécie certaines choses de l’existence, d’autres m’horripile au plus haut point. J’exècre les gens mal élevés, les sports en général, mais surtout ceux ce jouant en équipe. À l’école l’éducation physique indiquait mon plus mauvais résultat. Je déteste ceux qui utilisent des manières crues dénigrant l’acte sexuel. Il me semble que cela est un aspect privé de la vie. On ne devrait pas le piétiné. Je ne supporte pas les petits pois. Oui, oui, aucun lien avec précédemment, mais ces boulettes verdâtres me dégoutent. Ew.

Aussi, la peur représente une faiblesse et je crains d’être faible. Perdre le contrôle de mes actions m’entraine dans la panique. Donc, il n’y a rien de surprenant au fait que je sois claustrophobe. Soit, pas exactement. Je supporte les endroits de tailles restreintes, aussi longtemps que je ne m’y trouve pas contre mon gré. Enfermez-moi à double tour dans un congélateur ou un placard et, garanti, je vous pète une crise d’hystérie pimentée d’hyperventilation.




« Man is least himself when he talks in his own person. Give him a mask, and he will tell you the truth. »

Histoire


Prologue
- to cut the the chase –




Caractère

Certains me dirons antisocial, moi, je considère préférer être seul qu’en mauvaise compagnie. J’apprécie la tranquillité. Voyez-vous, je supporte très peu les gens vulgaires et exubérants, je dédaigne le mauvais vocabulaire. Les grossièretés, je m’en passe volontiers. Issu d’une famille bien nantie, j’ai été élevé telle une poupée dans une cage de verre, un pur race suffisant et maniéré. On se tient bien droit et on ne met pas ses coudes sur la table. Réfléchi et d’une discrétion ahurissante, mes méninges tournent en permanence. J’envisage plusieurs possibilités avant d’agir et mes actions sont généralement droites au but. Vous croyez peut-être percevoir de la gêne dans mon attitude, croyez que vous m’intimidez, mais vous ne pourriez pas être plus loin de la vérité. Si j’ai quelque chose à dire que je juge pertinent et utile à vos oreilles, les mots n’hésiteront pas à se faufiler hors de ma bouche. Parfois sarcastique, à d’autres instants, ironique, je présente surtout mon point de vue de façon cordiale. Pas de places pour les niaiseries superflues. Pas que je n’aie pas d’humour, au contraire. Vous ne me ferez simplement pas rigoler en pointant une dame obèse du doigt. Lorsque je ne joue pas le dramaturge, je n’apprécie pas particulièrement être le centre de l’attention. Je ne doute pas que d’autres excentriques prouvent être plus intéressant à observer que moi. Ne me scrutez pas. Vous m’énerverez. Malgré mes émotions demeurant normalement assez stables, je ne les contrôle pas totalement. Lorsque j’explose ; c’est Hiroshima qui vous tombe dessus, lorsque je panique ; c’est l’hystérie d’Hitler qui me dévore, lorsque je jubile ; Amon Göth danse avec des macchabés. En gros, aussitôt que mes sentiments atteignent un décibel trop élevé, je me mets à les vivre inconditionnellement, puissamment. Vous direz que c’est de ce trait de caractère que me provient mon talent pour le théâtre, je vous répondrai que cet aspect de moi-même sert uniquement à me dénaturer. Il s’oppose à chacune des bases qui me fondent, ne s’agence pas avec ma démarche sophistiquée, ni avec mon éloquence partielle. Me fait paraitre bouillant, alors que je présente communément un front gourmé aux intonations frigorifiées ou tempérées. Disons que j’évite de jouer dans les extrêmes. J’aime être en contrôle et le perdre est un élément que je crains tout particulièrement. Je suppose que mon manque de relations profondes est dû à cela. J’évite de forger de trop puissantes amitiés, d’accorder trop d’attention aux troubles-paix et de laisser mon cœur observer les candidats s’offrant à lui. Effectivement, j’ignore tout de l’amour, si ce n’est ce que j’en ai lu. J’ignore si je préfère les femmes ou les hommes. Quoique, au final, ça m’est égal. Je ne tomberai pas, car je ne le désir pas. La maitrise et la tranquillité valent plus que la cacophonie exponentielle des relations sociales. Je préfère m’adonner à des activités me plaisant en tout point, me cultiver et boire les connaissances que renferment les livres que de m’égosiller à me joindre à un bal auquel je n’ai aucune envie de participer. Détrompez-vous, j’apprécie les conversations mondaines, m’amuse à côtoyer tel ou telle citadin(e), je ne suis pas exclusivement un reclus s’accrochant à son antre paradisiaque. Je savoure les contacts humains. À petites doses, pas exhaustivement poussées.


Physique

Je crois que vous êtes capable de m’observer et juger de votre propre initiative, mais, soit, j’accepte de vous offrir une description sommaire de ma personne. Dans une foule, jamais vous ne me remarquerez le premier, je maitrise, depuis tout jeune, l’art de passé inaperçu. Pourtant, lorsqu’on me remarque, mon physique à l’art de m’attirer des commentaires. Autant positifs que négatifs. On s’attarde d’abord sur le nid d’oiseaux infâme qui me sert de chevelure. J’aurai beau tenter de les coiffer, mes mèches hirsutes d’un brun profond tirant sur l’onyx n’obéiront jamais. Alors, j’ai choisi de les laisser vivre leur vie en paix. Tant qu’il n’y a pas d’affreux nœuds qui coincent lorsque je glisse mes doigts dedans, ça me va. Bref, ensuite, après s’être gentiment moqué de mon épaisse tignasse, on remarque mes lunettes. De grosses lentilles brouillant mon regard. Elles ne me sont pas nécessaires et leurs vitres ne possèdent aucune propriété particulière, je les garde perchées sur mon nez, car elles me séparent du reste du monde. Derrière ses hublots inutile à ma vue, on remarque le détail le plus saisissant de ma personne, c’est-à-dire, mes yeux. Profonds, scrutateur, insondable et soutenu d’une masse de cils sombre. Certains les disent violets, d’autres améthystes ou encore prunes. À vous de voir. Personnellement, je trouve flatteur de comparer mes iris à une pierre précieuse. Le reste de mon visage, en comparaison, on me l’a déjà dit, est assez banal. Un nez fin et légèrement retrousser et des lèvres pêches qui gercent facilement. Le tout entassé sur la surface d’un visage rond, presqu’enfantin. On me compare parfois à une peluche. Inutile de vous dire que je suis loin de faire mes dix-huit ans. Suite à l’inspection détaillée de ma tronche, on ricane et me rappelle que je suis minuscule. Tout petit. Rikiki. Infime. Après dix-huit bougies, je connais la chanson par cœur. Ma petite sature ne me déplait pas, elle m’empêche de dépassé qui que ce soit dans les foules et me permet de me faufiler dans des endroits inaccessibles aux plus hauts que moi. Leurs remarques bêtes renferment de la jalousie, je n’en démords pas. Qui souhaiterait être un palmier ? Quoique, au fond, chacun ses opinions. Vu ma taille, personne ne s’étonne d’apprendre que je possède des proportions conséquentes. Mes os sont proéminents contre ma peau et plusieurs désapprouvent de mon allure fragile. Je suis mince, svelte et incroyablement pâle. Le soleil ne compte pas parmi mes plus proches amis. J’en conviens. Les muscles non plus d’ailleurs. Ne me demandez pas de soulever des poids, je vais assurément m’étrangler avec. Heureusement pour moi, je ne vois nullement l’intérêt de participer à des activités sportives m’apparaissant plutôt stupides. Voilà mon corps dans toute sa gloire désenchantée. On se doute bien que je ne me tiens pas debout dans ma tenue d’Adam, à la vue de tous. J’aime décrire mes vêtements à l’aide de termes éloquents tels que ; raffinés, agencés, luxueux et détaillés. En effet, je me vêtis d’habits aux motifs précis, aux textures veloutées et satinées, à l’aspect noble et rehaussés d’accessoires semblant davantage dater d’il y a quelques siècles que de notre ère. À vrai dire, mes tenues semblent toutes provenir tout droit d’une époque victorienne légèrement modernisée. Mes lobes sont dénués d’affront à leur surface, mais je conserve le souvenir d’une folie adolescent gravé à jamais dans la chair de mon mollet. Un tatouage aux couleurs diffuses représentant un ange aux ailes de fée entouré d’une floraison magnifique.



Informations Hors-RP
Avez-vous bien lu les règles ? Ok ! [Mif]
Où avez vous trouvé ce forum ? Parmi les partenariats de Keimoo Academy ~
Est ce votre premier perso...
♦ ...Dans un forum RP ? Nan’ mi señor ~
♦ ...Dans ce forum ? Yup' mi amigo ~








Race
Hybride Humain/Fée


Histoire


Prologue
“ To Cut the Chase “


Le petit doigt levé, je dois conserver les apparences. L’homme à ma droite sourit perfidement, persuadé de saisir l’offre du siècle. Il ne se doute pas une seconde que mon paternel planifie déjà dévorée sa compagnie toute crue. Pauvre naïf. Je sirote mon thé tel l’adolescent riche et modèle typique que je prétend être. Je joue un rôle. Ce qui se passe dans cette pièce m’intéresse à peu près autant que le crottin d’une vache. Si mon père n’avait pas insisté à ce que je me cultive un peu, je serais dans le grenier en train de réellement apporter quelque chose de concret à mon intellect. Il ne faut pas que je proteste, que j’insinue une émotion autre que la complaisance. Il ne le tolérerait pas. Quelque part dans son esprit de fonctionnaire, il est convaincu que je prendrai la relève lors de sa retraite. Il s’agit d’une vérité que lui seul veut bien croire. Je n’ai pas la moindre intention de m’égarer dans le domaine impitoyable des transactions monétaires. S’il me force, je disparaitrai sous terre. Dans les égouts. Ou ailleurs. Qui sait ? Mon père éclate d’un rire poli, fixant l’homme avec l’une de ses nombreuses moues charmeuses. Il tortille sa bague de mariage autour d’un annuaire ganté. C’est le signal m’indiquant de quitter la pièce, je m’éclipse, sans demander mon reste. Il ne précise jamais pourquoi il m’est nécessaire de quitter la salle de conférence, alors inutile de préciser que plusieurs hypothèses silencieuses on germées dans ma tête. Je le soupçonne, entre autres, de prendre part ;a des actes sexuels suite à mon départ. Libre à lui. Si mon hypothèse s’avère exacte, je m’estime heureux qu’il ne m’en ait pas parler. Je trottine gracieusement jusqu’aux escaliers, puis les descend à la volées, la ferme intention de rentrer chez moi, pour farfouiller dans les vieux tomes de ma mère. Mes jambes repassent par le chemin qu’elles ont parcourues un nombre incalculable de fois, pourtant le paysage me devient graduellement inconnu. Je ne suis pas chez moi, ni dans la bonne direction, ni dans la bonne ville. Où suis-je alors ?
Vous répondre gâcherait la suite de l’histoire, puisque j’ai débuté par la fin. Mes pauvres agneaux, vous ne devez rien y comprendre. Rassurez vous, je suis, similairement, complètement largué. Commençons par le commencement, voulez vous bien ?


I
The Headless Fearless Queen of Monotony

Mon enfance en Angleterre peut se décrire en quelques lignes. J’ai grandi dans une banlieue bourgeoise, tout ce qu’il y a de plus normale. Le travail de mon géniteur, nous forçait à nous installé non-loin du centre-ville, toutefois, mon père refusait catégoriquement de s’installer au cœur de la conurbation. Quelque chose à cacher ? Évidemment. Alors que j’ai hérité d’une apparence normale, d’une personnalité classique sans trop d’anicroches, ce n’était pas le cas de ma mère. Je ne l’ai appris qu’à sa mort, malgré des doutes perlant aux bords de mon esprit. Ma maman, si douce et bienveillante, si mystérieuse et cultivée, constamment malade, était une fée à laquelle on avait arraché les ailes. Elle demeurait en permanence dans le solarium de notre jardin, bercée par les ombres crées par le soleil. Je l’observais souvent en silence, de longues minutes consternées, avant de me manifester, mes mains potelées s’accrochant aux replis de sa robe.

« Mama ! »

Cette dame m’a tout appris de mes intérêts, appuyant gracieusement sur les touches laiteuses du piano décorant le mur droit de la pièce, récitant les vers de Baudelaire avec fascination. C’est à travers les poèmes qu’elle affectionnait tant que je découvris Shakespeare et la littérature.

« Oui, mon criquet ? »

Son regard tendre n’était destiné qu’à moi. Peu importe ce que je faisais, elle semblait toujours en être fière. Son trésor. Son criquet. Son chaton. L’amour de sa vie. Sa raison d’être. Ouais, j’en étais des trucs pour ma mère. Mon idole. Ma reine.

« Tu viens dehors avec moi ? Helen a vu des crapauds ! Il faut les attraper ! »

Ses prunelles s’attristaient toujours lors de propositions du genre. Elle s’en voulait de ne pouvoir m’accompagner et je ne comprenais pas la puissance du mal qui la rongeait. J’ai grandi avec la notion que ma génitrice était malade. Ses longues mèches lilas n’arboraient rien d’habituel, tout comme les petites feuilles accrochées à sa peau. Pour moi. C’était cela l’aspect d’une personne malade. J’étais jeune. Et puis, Helen, la servante remplaçait généralement ma mère lors de mes escapades en pleine nature.

Mama me contemplait constamment de la fenêtre bordée d’arbres de son solarium. Me surveillant. Me couvant du regard. Éternellement mystérieuse et dévorée par un mal inconnu.

Encore aujourd’hui, j’ignore d’où elle venait et quel virus la rongeait.


II
Interlude to Seclusion

Mes rêves ont souvent pris l’apparence d’une boîte plongée dans la pénombre. Encore aujourd’hui, j’affronte quotidiennement ce genre de songe flou où la peur m’attaque de plein fouet. Le cubicule n’est jamais grand, me laissant tout juste assez d’espace pour me recroqueviller en petit boule compacte.

Où suis-je ?

Mes méandres ne comportent pas de fortes doses d’actions, si ce n’est que de déroutantes conversations avec moi-même. Enfin, je suppose qu’il s’agit de moi-même considérant que la totalité des événements se déroulent dans mon cortex. Toutefois, la voix qui me répond est toujours celle d’une femme, suave, essoufflée et distante résonnant dans mon cube de manière inquiétante.

Dans ma réalité, jeune enfant.

Dans ma jeunesse, ses intonations à elles seules suffisaient à me faire paniquer, à me réveiller brusquement. Plus les années avancent, plus je reste enfermer longtemps dans cette boîte sombre dans laquelle aucune lumière ne filtre, où l’air est chaud et rempli de CO2.

Votre réalité ?

Plus je pose des questions, plus le la boîte se referme sur moi. Ses parois me forçant à me resserrer sur ma personne davantage.C’est un peu comme si chacune de mes interrogations me rapprochaient d’une vérité qu’il ne m’était pas permis de découvrir. Mes os craquent, mon crane se fissure, ma respiration s’éteint.

Oui, tu y es piégé, jeune enfant.

Je meurs.

Encore maintenant, je me réveille en sueurs, un hurlement pendu au bout des lèvres et m’empresse de me débarrasser de mes couvertures. Elles me rappellent trop la prison mentale dont je viens de m’extirper.



III
Sewer Boy of Reclusion

Il y a bien longtemps, je découvris un endroit magique. Pour plusieurs cet emplacement aurait été une découverte putride et totalement repoussante. Pour moi, elle représentait certitude qu’ici on ne m’embêterait pas. Je pourrais embrasser la solitude à pleine bouche. Lire paisiblement les jours où Mama se voyait trop faible pour me rencontrer. Lorsqu’on s’enfonçait légèrement dans le bois bordant notre immense cours, ce petit boisée où j’avais l’habitude de pourchasser des bestioles avec Helen, on trouvait une fosse sceptique. Une bouche d’égout béante qui déversait nos déchets dans une crique situé plus loin. J’imaginais la vermine qui devait y vivre. Des rats, des coquerelles. Des créatures incitant la peur chez l’humain moyen. Du haut de mes sept ans, je me foutais royalement de ses trivialités et, armé d’une lampe de poche, avait entrepris d’explorer le gros trou. Comme prévu, ça puait les toilettes sales, la moisissure collait au mur et en sommes le tout respirait la crasse. Je ne m’y sentais pas tout à fait à l’aise, mais je préférais nettement cette ambiance anti sanitaire aux cours d’entreprenariat de mon père. Quel genre d'homme tentait d’expliquer à un gamin de sept ans comment manipuler le petit peuple ?

Bref, à peine deux minutes passées à m’enfoncer dans le tunnel, que je découvris une alcôve simple où gisaient tranquillement des débris non-identifié. Me rappelant les avertissements de Mama, je les ignorai et dénichai un coin plus où moins affectés par la saleté ambiante. Bon, oui, c’est clair, j’allais être sale et puant à mon retour, mais quel gamin ne l’a jamais été ? Assis sur mon podium surélevé—quand j’y repense, je me demande de quoi il était constitué… —, j’observais les environs, les saletés flottées paresseusement jusqu’à l’extérieur plus précisément. J’avais piétiné ces trucs ? Ew.

Je m’imagine les rats, qui doivent considérés un tel endroit comme une piscine cinq étoiles. J’en imagine un plus particulièrement, tout de gris vêtu, qui sautille et se baigne joyeusement. Son pelage ne se salit pas, comme imperméable face aux intempéries visqueuses. Je souris et m’amuse à l’observer, portant le faisceau de ma lampe sur lui. Ses mouvements sont précis, trop humains pour s’apparenté à un réel rongeur, pourtant il couine adorablement comme une souris le ferait. Sa queue est longue, disparaissant dans l’eau. Vermicelle.

Chaque fois que je me réfugie dans l’ouverture nauséabonde, mon rat imaginaire m’accueille de ses pirouettes. Lorsque je lis, il se pose sur mes genoux et tourne mes pages avec sa queue. C’est mon meilleur ami. Jamais nous ne seront séparés.

Du moins, c’est ce que j’ai prétendu toute mon enfance. L’image de mon vieil ami se fait maintenant très floue. Un vieux souvenir mis au placard quelques part durant mon adolescence. J’ai grandi. J’ai oublié mes égouts et Alfred du même coup.



IV
London Bridge Has Fallen Down

Je hais les funérailles et j’emmerde le soleil. Le ciel devrait pleurer, comme moi j’ai chialé le jour de sa mort. Ce jour me hantera toute ma vie, car une femme si parfaite n’aurais pas dû périr si vite. Fée ou pas. Ma mère a toujours été le centre de mon univers.

Tout vêtu de noir, comme il se doit de l’être lors d’événements mortuaires, je restai tapi dans l’ombre la durée de l’exposition. Filasse, cette tignasse mauve sans éclat, terne ses lèvres opaques qui n’esquisseraient plus jamais de sourire. Je refusais d’entendre la moindre condoléance faussée, d’écouter les mièvreries de demoiselles affirmant la connaître depuis toujours. L’avaient-elles seulement déjà entrevue avant aujourd’hui ? Non. Certainement pas.

J’entendais des connaissances s’enquérir de ma présence. Ils ne me voyaient pas, je voulais me fondre dans le mur. Cesser d’exister. Sans ma maman, plus rien n’avait de sens. Échec et mat.

Cet après-midi ensoleillé est flou et noyé de larmes. Je me rappelle vaguement mon père qui m’interpellait doucement avec l’intention de m’avouer quelque chose. Sa bouche formant des mots à demi insensé. Inhumaine. Fée. Séparée de la nature trop longtemps. Venant d’ailleurs. Ex-cobaye scientifique.

J’ai arrêté de me torturer avec sa tirade. Encore maintenant, je n’apprécie pas y penser. Si ma génitrice était une fée, que suis-je exactement moi ? Je m’éclipsai, au beau milieu de son discours mielleux et prudent. Sous le choc de tout ce qui m’arrivait, du mal qui m’assaillait. Je voulais le frapper, leur démolir le visage. Tout détruire. Plus que tout, je voulais ressentir l’étreinte maternelle de la défunte qui reposait à quelque mètre.

Dehors. Je payai un passant pour qu’il m’achète de l’alcool. Suffisamment pour assommé un cheval. Ma richesse avait finit par me servir d’abus. Je calai diverse bouteille coloré, le monde se déformant davantage, mais m’apparaissant plus léger.

Notez, que lorsque j’arpente le monde avec mes facultés affaiblies à ce point, je fais preuve d’une lucidité et créativité étonnante. Combinées avec le manque de retenu caractéristique de l’alcool, il ne surprend personne, qu’à mon réveil, le lendemain matin, la fresque médusante d’un ange féérique recouvrant mon mollet. La chair enflée me parut plus satisfaisante que jamais. Mon argent m’avais probablement permis de convaincre le tatoueur d’ignorer mon âge. 17 ans, c’est encore un âge illégal pour se faire tatouer sans le consentement d’un tuteur.

Oh Mama.



Epilogue
As I Lay Dying in my Rebirth
[/center]

Voilà, c’est assez sommaire, mais ma vie n’a jamais brillée de ses rebondissements, donc il m’est très peu nécessaire de vous relater ma vie, mon adolescence en long et en large. J’ai fait des conneries, joué dans les pièces de théâtre scolaires, récolté des bonnes notes toute ma vie et m’apprêtais à être forcer à poursuivre des études supérieur que je n’avais pas choisi. Au fond, me retrouver ici, m’être égaré d’une façon obscure dans cette dimension alliénée, n’est peut-être pas si mal. Je ne possède plus la moindre obligation, personne ne peut m’empêcher de faire mon deuil comme il se doit. La tranquilité à laquelle j’aspire me sera surement plus accessible. L’endroit semble vieux, presque en accord avec mes vêtements. Je souris. Une aventure ? Un cauchemar ? Un havre de paix ? Au final, tout serais mieux que l’existence morne et forcée que je m’égosillait à vivre. Je mentirais si je vous disais que la peur ne m’atteint pas. Elle est frénétique, glissant dans mes veines telle une couleuvre, mais accompagné d’une anticipation toute spéciale que je ne ressens que très rarement. C’est avec des doigts tremblants que je saisi la poignée du manoir. Limite, si toute l’atmosphère irréelle se trouve dans ma tête, je demanderai mon chemin et tenterai de comprendre comment j’ai pu m’égarer sur le chemin familier de ma demeure. Dans le pire des cas, j’utiliserai mon portable pour appeler un taxi ou peu importe.
Je tourne la poignée doucement.

Une part de moi sait parfaitement que mon existence se verra désormais altéré. Je la fait taire, la fraction de seconde qu’il me faut pour ouvrir la porte.

Et puis . . .


Petit Ajout
J’aimerais demander aux chers administrateurs s’il serait possible, au fil de mes RPs, de faire découvrir à Will que sa mère féérique était en fait une ancienne prisonnière du pensionnat qui se serait échappée. On ignore comment elle aurait accompli son évasion, naturellement, mais cela pourrait apporter de la profondeur à mon personnage. J’imagine qu’à partir du moment où il apprendrait cette information, il tenterait tout pour en apprendre sur sa défunte mère pour en finir par, peut-être, probablement jamais, tenter sa propre évasion ou, plus plausiblement, tenter de donner l'opportunité à ceux qui veulent fuir, de décamper pour de bon.
Merci.


Dernière édition par William Mary Hufflestring le Lun 15 Avr 2013 - 21:34, édité 11 fois
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• Age : 31
• Pouvoir : Annuler celui des autres par sa présence.
• Petit(e) ami(e) : Disparu o/

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- Parce que se jeter du haut d'une tour, c'est romantique !... (Volke)
- Des camélias rouges (Alea Miller)
- Souvenirs indésirables (EVENT - Corpse Party)


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MessageSujet: Re: William Mary Hufflestring « Tea and crumpets for the Fairytale Queen. » [ 100%]    William Mary Hufflestring « Tea and crumpets for the Fairytale Queen.  » [ 100%]  Icon_minitimeDim 14 Aoû 2011 - 12:05

Hello ! Je valide le code, ce sera déjà une chose de faite.


Pour ta question, eh bien... Je pense qu'on peut te l'accorder, en effet il va bientôt y avoir une intrigue qui se rapporte un peu à ce sujet. Par contre, je vais te demander de ne rien imaginer davantage sur le passé de la mère pour l'instant (comment elle est entrée, comment elle est sortie, ce qu'il se passait au Pensionnat à cette époque), car cela risquerait ensuite d'entrer en contradiction avec l'histoire que nous vous préparons ! Si tu as des questions là-dessus, tu peux évidemment m'envoyer un MP car je préfèrerai ne pas dévoiler d'avantage d'infos sur la prochaine intrigue ici.

N'hésite pas à nous prévenir en postant à la suite de mon message lorsque tu auras terminé ta fiche ! Bon courage :D
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MessageSujet: Re: William Mary Hufflestring « Tea and crumpets for the Fairytale Queen. » [ 100%]    William Mary Hufflestring « Tea and crumpets for the Fairytale Queen.  » [ 100%]  Icon_minitimeLun 15 Aoû 2011 - 3:49

Valà. Enfin terminée.

Puisque j'avais passablement hâte de RP, j'ai légèrement baclée mon histoire. Attendez-vous à réentendre parler de moi pour une éventuelle modification/amélioration.

Sinon, je vais probablement t'envoyer un MP pour pouvoir me faire une idée de ce que je pourrais m'imaginer. Pour l'instant, je laisse tout ce qui concerne la mère planer dans l'ombre.

~ J'attendrai patiemment votre verdict.

Merci :3
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Miss Machiav(i)élique
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MessageSujet: Re: William Mary Hufflestring « Tea and crumpets for the Fairytale Queen. » [ 100%]    William Mary Hufflestring « Tea and crumpets for the Fairytale Queen.  » [ 100%]  Icon_minitimeLun 15 Aoû 2011 - 15:56

Voilà ! J'ai lu le tout, et ça me parait globalement parfait ! J'ai juste trouvé un peu rapide le passage sur la mère, quand il apprend qu'elle est une fée (Euh... Personnellement, on me dirait ça, je le croirai pas), mais on peut supposer que ce sont les funérailles qui ont rendu l'instant plus solennel et donc plus crédible... Bref.

En revanche, j'admet avoir un peu buté sur la fin : ton perso connaissait déjà le Pensionnat Interdit et ses caractéristiques en y entrant ? Ou bien est-ce simplement une impression générale, un pressentiment, ou bien une illusion plaisante qu'il s'est imaginé ? Je ne pense pas que cela influe beaucoup sur le reste, mais normalement, le manoir n'est pas censé être connu des gens avant qu'ils n'y entrent.

Il y a quelques erreurs d'inattention dans ta fiche, mais rien de grave dans l'ensemble. Je pense que tu aurais pu les éliminer avec une simple relecture, mais bon, je ne vais pas t'infliger davantage de temps d'attendre puisque tu as l'air impatient(e) de RPer !

Je valide donc ton perso ; tu peux désormais aller poster dans le RP (à commencer par le Hall), ainsi que dans le Hors-Jeu (en passant par la case Présentation ! ;D). En tout cas, bienvenue parmi nous et amuse-toi bien ! (Je laisse ta fiche non verrouillée afin que tu puisses répondre à mon interrogation précédente sur la fin de ton histoire :D)
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This Mother-Infected Fairytale
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MessageSujet: Re: William Mary Hufflestring « Tea and crumpets for the Fairytale Queen. » [ 100%]    William Mary Hufflestring « Tea and crumpets for the Fairytale Queen.  » [ 100%]  Icon_minitimeLun 15 Aoû 2011 - 16:07

Hahah. Je vais modifier l'épisose de la mère dans pas trop long, lorsque ma rage de Rp se sera calmée et en profiter pour m'adonner à une palpitante relecture.

Sinan en ce qui concerne la fin de l'histoire, je vois que c'est un préssentiment. Considérant qu'il est venu à pied, il comprend immédiatement que quelque chose cloche, mais décide de poursuivre sa route. Il ignore tout du pensionnat, mais entrevoit quand même la possibilité de fuir sa vie à travers l'endroit qui ne peut en aucun cas être réaliste. Il sait qu'il est face à quelque chose de mille fois plus grand que lui, mais ignore totalement de quoi il s'agit. Plus clair ? Je modiefierai ça en même temps que le reste.

Je poste dans 'Mise à jour des fiches' lorsque je souhaite améliorer ma paperasse, c'est bien cela ?
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MessageSujet: Re: William Mary Hufflestring « Tea and crumpets for the Fairytale Queen. » [ 100%]    William Mary Hufflestring « Tea and crumpets for the Fairytale Queen.  » [ 100%]  Icon_minitimeLun 15 Aoû 2011 - 16:20

Exactement !

Tout est en règle désormais, je déplace donc ta fiche. Bon RP !
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MessageSujet: Re: William Mary Hufflestring « Tea and crumpets for the Fairytale Queen. » [ 100%]    William Mary Hufflestring « Tea and crumpets for the Fairytale Queen.  » [ 100%]  Icon_minitime

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