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 Lazar M. des Ursulines

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Lazar M. des Ursulines _
MessageSujet: Lazar M. des Ursulines   Lazar M. des Ursulines Icon_minitimeSam 24 Avr 2010 - 22:00

~ Lazar Marechal des Ursulines ~



Nom : Marechal des Ursulines
Prénom : Lazar
Age : 21 ans
Date de naissance : 1er Janvier 1989


~ Physique
Lazar accepte de prendre la parole.

Les apparences de nos jours comptent tellement. Lorsque l’on est beau, on a des amis, on est le bienvenue aux soirées, en somme, on est aimé. Par contre, le laid, lui à moins de chance, il est rejeté, il n’est pas le bienvenue, en somme, il est mal-aimé. Par chance, je fais partis de la première catégorie, j’ai certes des défauts, comme ce nez que je trouve étrangement déplacé, mais on ne peut pas dire que je sois laid ; mais non, mais non, je ne suis pas si narcissique que ça, d’ailleurs, quand on me fait des compliments sur mon physique, je ne suis pas vraiment le genre de personnes, à en rajouter, ou à plus apprécier la personne après cela, non, je ne ferais qu’afficher un sourire entendu.

J’en ai marre que l’on me demande si je suis mannequin.

Non, je ne suis pas mannequin, certes j’ai un corps de rêve (oui oui), mais je ne suis pas à la hauteur. Je n’ai pas cette apparence d’homme parfait, sans défauts, non, moi j’ai plutôt l’apparence, de quelqu’un qui profite un peu trop de la vie, trop de cigarettes, qui font que mon haleine ressemble à l’odeur d’un cendrier froid. Cela dit, je n’ai pas une voix horrible, elle est certes légèrement éraillé, mais ça donne un petit charme. Mais il y a aussi trop d’alcool, qui fait que les traits de mon visage paraissent peu trop vieux pour moi. Vous l’aurez compris, mon visage est loin d’avoir un air candide. D’ailleurs contrairement à ce qu’on pourrait croire, j’ai une grande facilité à exprimer mes émotions avec de simples expressions du visage. Je ne suis pas un sumo, je ne suis pas un cure dent, j’ai une morphologie plutôt mince mais avec les nombreux exercices physique, ma silhouette s’est formé en muscles, sans trop en faire non plus. La dernière fois la balance indiquait 70 kilogrammes, pour un peu plus d’un mètre soixante-dix, ce n’est pas énorme.

Mes cheveux d’un noir encrés, se remettent toujours dans la même position, même au réveil, quelques mèches balayent mon visage, cachant presque mes yeux d’un noir peut être trop noir et descendant jusqu’à ma nuque. En fait, vous me verrez tout le temps avec la même coiffure.
Pour en revenir à mes yeux, je les trouve en effet trop noirs, c’est tellement banal, enfin, comme des personnes m’ont déjà dit qu’ils aimaient beaucoup, je ne sais pas trop pourquoi, mais après tout, tant mieux. Dessous, se trouve mon nez, qui bien heureusement est présent, mon nez, fin, sans aucune bosse, mais que je trouve tout de même bizarre, peut être légèrement tordu, enfin, je n’en suis même pas certain, oui, bon, vous l’avez compris je ne l’aime pas. Encore en dessous ma bouche, bien dessiné, mais surement un peu trop petite à mon gout, enfin, des gouts et des couleurs. Elle est souvent entrouverte, laissant apercevoir des dents bien soignés.

Mes épaules sont plutôt larges grâce au sport que je pratique, elles portent des bras, bien proportionnés, qui portent eux-mêmes des mains plutôt fortes. J’ai des jambes tout à fait ordinaire, je ne pense que ça vous intéresse que l’on reste sur ce sujet, elles sont proportionnelles à ma taille et à ma morphologie, pas la peine donc d’en faire un plat.

Puis parlons d’un sujet qui peut fâcher, et qui est bien trop souvent oublié alors qu’il est tout de même très important. Je parle bien sûr de : la pilosité ! Comme tout le monde, j’en ai à droite et à gauche… Inutile de vous le cacher plus longtemps, je m’en débarrasse ! Il n’en reste donc qu’aux jambes et très légèrement sur le torse et le bas-ventre.

Pour finir, passons à mon style vestimentaire, mon placard n’est composé que de vêtements classe. Enfin, il y a classe, et classe, je vais vous expliquer. Je mets bien souvent des chemises blanches légèrement entrouverte, avec un gilet noir sans manche, très décontracté. Je mets ça avec un jean noir basique, c'est-à-dire sans être trop serré, on ne peut pas dire qu’il est large. Puis des chaussures pointues pour combler le tout. Mais il m’arrive aussi de mettre un t-shirt assez échancré avec un jean bien déchiré. Je trouve ça classe, moi. Enfin, comme j’ai déjà dis, ce ne sont que des gouts et des couleurs. Etant d’une grande famille, je porte souvent des marques, ne me rendant pas forcément compte de la valeur de l’argent.

Mon parfum dégage une fragrance plutôt douce et agréable, tout en attaquant tout de même un peu par sa puissance.


~ Caractère
Lazar refuse de parler, c’est un proche qui répond à la question.

Ce que l’on peut dire, c’est que Lazar est quelqu’un de gentil, c’est une qualité qu’on oublie souvent de préciser, et pourtant elle est importante, surtout chez lui. En effet, c’est un très bon confident, je sais de quoi je parle, et on peut lui demander beaucoup de choses, il fera beaucoup pour les réaliser. Mais il n’a pas beaucoup de patience, donc attention à ne pas trop en demander non plus, on ne peut pas dire qu’il se laisse marcher sur les pieds, car quand on dépasse la limite, on le sent passer, il est vraiment très direct et quand quelque chose ne va pas, on le sait. Bien que physiquement, il donne l’impression d’être une boite à mystère, ce n’est pas vraiment le cas, il a ses secrets plus ou moins importants, comme tout le monde, mais ce n’est pas un personnage mystérieux qui ne parle jamais. Bien au contraire, enfin, il écoute beaucoup, et c’est sur, il comprend beaucoup de choses, il a de l’humour, même si par certains moments, on ne peut pas le cerner facilement, il parle beaucoup, parfois trop pour dire n’importe quoi. Il vient d’un milieu très aisé mais avec lui, il n’existe aucune barrière sociale il n’en tient pas compte. Je pense qu’on peut dire de Lazar qu’il est ouvert d’esprit, qu’il est très intelligent avec une grande culture et peu parler de tout et de rien.

Bon, c’est bien joli tout ça, mais Lazar n’a pas non plus que des qualités, il a aussi un grand défaut il est assez calculateur, assez manipulateur et en plus très rancunier et déjà, vous avez pu le remarquer, il est assez narcissique. Il pense aux autres, mais surtout quand ça l’arrange ou quand c’est une personne spécial pour lui. Le pire, c’est qu’il ne l’admettra que très rarement. Oui, il faut dire que Lazar a une fierté mal placé, et une sacrée encore. Il ne reconnaît que très rarement avoir tort quitte même à donner des arguments aussi ridicule les uns que les autres mais quand il est partit sur le fait qu’il a raison, il ne changera pas d’avis, enfin c’est toujours pareil ça dépend des personnes avec qui il discute.

C’est quelqu’un de très impulsif, ce qui en rajoute à son coté trop directe, il change de comportement trop souvent, il est en fait très lunatique, ce qui est très dérangeant étant donné qu’il peut aller très loin lorsqu’il est énervé.

Par ailleurs, Lazar adore tout ce qui est jeux de cartes et jeux de hasards, depuis son enfance il a grandit dans le hasard et c’est quelque chose qui a un grand rôle dans sa vie. La chance, peut être même le destin, il en joue beaucoup, c’est sans doute ce coté là qui fait de lui un bon manipulateur et calculateur, voir même narcissique. Cela dit, il déteste perdre et s’énerve assez facilement lorsque cela arrive, mais il est, cela dit très rarement le perdant.
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Lazar M. des Ursulines _
MessageSujet: Re: Lazar M. des Ursulines   Lazar M. des Ursulines Icon_minitimeSam 24 Avr 2010 - 22:07

~ Le jeu du hasard

01 janvier 1989.

Au dehors, la neige ne cessait de tomber en ce premier jour de cette nouvelle année, tout était blanc et la plupart des maisons semblait regrouper des habitants heureux d’être là. Tout était tranquille, quelques ivrognes seulement se baladaient en bas du château, titubant. C’était un réveillon paisible, comme on les aimait dans cette ville.

Un cri déchira la tranquillité de la ville, ce n’était pas le même cri de peur que l’on entendait quelque fois quand une souris passait dans le manoir, non, c’était celui d’une femme souffrante. Un autre hurlement se fit entendre et les habitants comprirent ce qu’ils se passaient. Tous se rassemblèrent devant la chambre de Madame en courant. Un homme en sueur en sortit, ne sachant pas où donner de la tête, il avait peur. L’accouchement de sa femme ne se passait pas vraiment bien. Tout le monde le regardait l’air grave, il prit son courage à deux mains et rentra de nouveau dans la pièce qui l’angoissait tant. Encore un autre hurlement, encore plus puissant que ceux d’avants qui trahissait la quiétude du manoir, puis un autre, mais tout petit, puis rien. Quelques secondes après, des pleurs se firent entendre. Les habitants entrèrent en trombe dans l’appartement de Madame tous autour du nouveau né, qui paraissait très en forme avec ses cris à vous percer les tympans. Personne ne remarqua que sa mère ne disait mot. C’est seulement au bout de quelques minutes que son père le prenant dans ses bras, le montra à sa mère, étendu sur son lit, endormie. Les habitants se figèrent. Laissant place seulement aux hurlements du petit garçon du nom de Lazar, Lazar Maréchal des Ursulines, qui venait de naître.

Oui, c’est dans ces cris affreux que je suis né. Tout n’était que désordres dans cette chambre, tous fêterent ma propre naissance alors qu’eux-mêmes ne savaient pas pourquoie, étaient-ils au moins sincère ? Qui pouvait le savoir ? Pathétique. On me posa ensuite dans ma propre chambre, tout était calme, seul la lune éclairait partiellement cette salle qui me rassurait déjà bien que beaucoup trop grande pour moi. Mais j’étais trop jeune pour penser à ce genre de choses. Et c’est de cette façon que notre monde compta un habitant de plus.


Assis sur son trône, dans une pièce éclairé seulement par une bougie qui maintenait au chaud Kiko, un furet, l’Homme, qui portait un tatouage en forme de trèfle sur la joue, manipulait un paquet de cartes, sur la table devant lui, se tenait un roi et une reine de cœur. Il mélangea le tout et retourna la première du paquet, un as de pique, il sourit légèrement et dit entre ses dents :

« La vie n’est qu’une longue perte de tout ce qu’on aime. »


01 janvier 1999.

C’était mon dixième anniversaire, comme chaque année, la neige ne cessait de tomber, en cette période, toutes les rues étaient vides et chaque maison avait encore les décorations de Noël. Je sortis de mon lit en vitesse ayant hâte d’ouvrir mes nouveaux cadeaux. Je m’approchai de la chambre de mes parents et ouvrit discrètement la porte, il n’y avait personne. Je courrai presque jusqu’au séjour ou je ne trouvai personne non plus. Je commençai à paniquer qu’en ma mère claqua la porte du hall d’entrée, enragée, et surtout, sans papa. Elle était très énervé, je n’osai pas aller la voir, elle criait, une fois de plus dans sa chambre. Maman criait beaucoup, toute la journée en faite, et parfois même la nuit ! Mais cette fois-ci, c’était plus puissant et de ce que je compris de ses hurlements c’est que papa était partit définitivement. Des larmes me piquaient les yeux, en plus de cette terrible nouvelle, ils avaient tous oublié mon anniversaire. J’étai seul.

Je n’arrivai pas à y croire, tout se passait tellement vite. Je m’isolai dans ma chambre, commençant désespérément à m’imaginer je ne sais quoi avec des dés.

« Si je tombe sur 6, papa va revenir. Si c’est le 1, il ne reviendra jamais. »

Le six ne fut bien évidemment pas son apparition, contrairement au un. Je n’osai pas sortir de ma chambre, maman avait arrêté de crier, elle n’était même pas allé me voir. Pourtant, elle m’aimait, je le savais, elle ne faisait que me le répéter, peut être ne savait-elle pas que j’étais déjà au courant, elle ne voulait peut être pas me faire peur, pourtant, j’avais bel et bien peur. Si papa n’était plus là, qui allait donc me protéger ? Maman, me donne tout le temps tout, y compris ses peurs qui ne m’appartiennent pas.


Assis sur son trône, l’Homme regardait les trois cartes posés sur sa table, étudiant longuement le roi de cœur se consumer. Une fois que la carte fut disparue. Il en tira une autre qu’il posa en dessous de l’as de pique. Un dix de pique. Puis une autre à mettre à la place du roi de cœur, il en sortit un roi de pique. L’Homme eu d’abord l’air étonné puis se ressaisit, il se souvenait parfaitement du père de Lazar, et dit calmement.

« Tu as les peurs de ton père. »


21 janvier 2005.

Je m’étais remis du départ de mon père il y a peu, ma mère m’avait expliqué ce qui c’était passé, et je la comprenais, ce n’était qu’un lâche et malgré que tout le monde me répétai que c’était mal sain, je le haïssais chaque jour un peu plus, il ne me manquait même pas. Mais je m’étais rapproché du furet, Kiko, qu’il m’avait acheté peu avant son départ, peut être étais-ce une façon de me rapprocher de lui inconsciemment, aller savoir. Je m’étais fais de nombreux amis, surtout un, Edric, avec lequel je passais toutes mes soirées. Maman ne l’aimait pas beaucoup, voir pas du tout, à force de sortir ensemble, elle m’avait dit que c’était soit lui, soit elle. Au fond de moi, je savais que c’était elle que je voulais, mais, j’avais envie pour rigoler de lui faire un peu peur, et j’ai fais semblant d’hésiter, enfin, peut être pas si semblant que ça finalement car je finis par choisir Edric. C’est ainsi que ma mère préféra encore me dire au revoir plutôt que d’assister à ma soi-disant descente aux enfers.

De ce jour, je n’allai plus en cours, mes journées et soirées, se résumait à boire avec Edric, encore, tout le temps, toujours plus. Nous n’avions aucune notion des limites de l’argent. Nous dépensions sans compter, dans des habits et dans des verres, bouteilles et autres sources d’ennuis. J’estimai malgré tout avoir une vie heureuse, mais je ne savais pas encore si j’avais fais le bon choix avec ma mère, je m’étais dis que si j’avais dis ca, c’est que au fond de moi, je le voulais, et que cette hésitation m’avait en faite valu beaucoup.


Assis sur son trône, l’Homme contemplait son jeu qui se tenait devant lui. Il retira une carte, un valet de carreau, il ria et le plaça sur la dame de cœur et dit d’un air moqueur.

« Choisir, c’est l’éclair de l’intelligence. Hésiter, c’est se tromper. »


19 mai 2009.

J’étai toujours aussi proche d’Edric, et nos occupations n’avaient pas changé, enfin, depuis ma majorité, je passais mes journées et nuits à jouer aux cartes et à toute sorte de jeux de hasards d’ailleurs, c’était devenu ma grande passion. J’amenai tout le temps mon meilleur ami, car depuis le départ de ma mère, nous sommes devenus vraiment inespérable. Nous nous ne quittions jamais, nous partagions tout, et j’avais en lui une entière confiance. J’avais laissé depuis un bon moment mon furet, à contre cœur, mais il ne pouvait pas vraiment nous suivre toute la nuit, cela dit, je l’avais déjà presque oublié. Mais ce que je n’avais pas oublié par contre, c’est le chantage que m’avais fais ma mère, je ne savais toujours pas si j’avais fais la bonne décision, ce qui est fait est fait certes, mais, quelque chose n’allait pas. Elle me manquait peut être, j’espérai d’ailleurs sincèrement qu’il en était de même pour elle.

Puis, en ce jour de mai, je n’eu plus de nouvelles d’Edric, de toute la journée, je commençai à m’inquiéter, il n’avait pas pour habitude de faire ce genre de chose, et je savais qu’il ne lui était rien arrivé la veille. A force de téléphoner, j’entendis enfin sa voix me demandant de l’oublier, définitivement. J’étais réellement perdu, nous avions tant rit ensemble, je le faisais tant rire surtout. Tout était brisé en quelques secondes. Et le pire, c’est que ce n’était pas de la rage ou de la haine que je sentais, non, c’était un manque, le manque de cet ami.

Par chance, mon furet réapparut de nulle part, c’était en faite triste à dire, mais c’était bel et bien mon seul ami ici. Je mis tout mes espoirs en lui.


Assis sur son trône, l’Homme reprit de nouveau une carte de la pioche qu’il avait en main, il tira un joker, son rire résonna dans toute la pénombre de la salle. Il le posa à cheval sur le valet de carreau et l’as de pique et dit tout en essayant péniblement de retenir son rire.

« De ton hésitation, tu garderas un remord impérissable. »


1 janvier 2010.

C’était mes vingt-et-un ans, et pourtant, Edric me manquait chaque jour de plus en plus, Kiko, était toujours, là, plus bizarre que jamais, mais le principal était que je n’étais pas seul. Je continuai de boire chez moi, essayant vainement d’oublier, d’oublier les erreurs du passé. Je n’avais vraiment plus aucune nouvelle de lui.

Un soir, je m’aventurai à mettre le nez dehors avec Kiko, il ne faisait que me suivre, comme si depuis mon retour il avait quelque chose à me dire, mais qui n’était bien évidemment pas possible de faire. Quoiqu’il sen soit, nous arrivâmes dans un endroit ou je n’avais encore jamais mis les pieds, ni même vu. Un grand manoir se tenait là, pas très loin de chez moi, étais-ce car je n’étai pas sortis depuis vraiment longtemps, étais-ce le verre que j’avais bu ou tout simplement mon imagination qui me jouait des tours ? Je ne sais pas, mais en attendant, je voyais bel et bien cet immense château. Je mis un pied dans le jardin, et entendit mon nom, je me retournai, personne. Je commençai à paniquer malgré moi, d’autant plus que l’appel de mon identité, venait apparemment de Kiko. J’étais sur de ne pas dormir, ca ne pouvait pas être un rêve, et chose étrange, ca m’amusait, je me sentais bien, et malgré l’idiotie de la chose, je rentrai dans ce jeu là, après tout, je n’avais encore jamais été perdant.

D’après ce que je comprenais, Kiko me disait qu’Edric se trouvait à l’intérieur, que je pouvais y aller, mais que je ne pourrai pas en ressortir, comme tout le monde, mais que le furet m’accompagnerai. Cela pouvait paraître dur à avaler, pourtant, et pour une raison inconnue, j’y croyais. Peut être étais-ce que je n’avais pas eu d’enfance pour comprendre plus jeune que tout cela n’était que dans les contes…

Je voulais tellement revoir Edric que j’aurai été prêt à faire n’importe quoi, et puis il fallait que change de vie, après tout, cela paraissait être une bonne occasion. Je me risquai donc à m’approcher de la demeure. Ouvrit ma lourde porte d’entrée, laissa entrer Kiko, la renferma derrière moi sans même hésiter, je ne voulais plus hésiter. Seulement, chose que je n’avais pas pensé, c’est qu’Edric c’était lassé de moi, et qu’il ne tiendrait surement pas à me revoir et encore moins pour toujours. C’était trop tard, la porte était déjà fermé, impossible de la rouvrir, j’aurai peut être mieux fais d’hésiter… Je voulais simplement qu’Edric ne sois pas seul. Je m’écroulai sur le seuil, lançant un dé que j’avais gardé dans ma poche, priant pour que celui-ci tombe sur le six pour que je puisse sortir, mais non, celui-ci préféra le un.


Assis sur son trône, l’Homme admira les trois cartes apparentes sur sa table, il piocha une nouvelle fois une carte de son paquet, l’a regarda un moment et éclata de rire. Il regroupa en un tas les cartes visibles sur la table et posa par-dessus l’as de trèfle qu’il venait de tirer. Il lança, l’air victorieux.

« De ta damnation inutile, tu tireras ta haine irréversible. Les jeux sont faits ! »


Dernière édition par Lazar M. des Ursulines le Sam 24 Avr 2010 - 22:34, édité 2 fois
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Lazar M. des Ursulines _
MessageSujet: Re: Lazar M. des Ursulines   Lazar M. des Ursulines Icon_minitimeSam 24 Avr 2010 - 22:14

~ Alter Ego Astral
Kiko, un furet noir et blanc.

~ Pouvoir
Savoir ce qu'une personne va faire en la regardant droit dans les yeux.

~ Passion
Les jeux de hasards.


~ Pour avoir le personnage ~

~ Avez-vous bien lu les règles ?
[ANGIE]

~ Où avez-vous trouvé ce forum ?
Grâce à un Top-Site de RP.

~ Est-ce votre premier perso ?
Non

~ … Dans un forum RP ?
Non

~ … Dans ce forum ?
Non
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Hybride rancunière.
Emily Johanson S.
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Féminin Pseudo Hors-RP : Angie
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Lazar M. des Ursulines _
MessageSujet: Re: Lazar M. des Ursulines   Lazar M. des Ursulines Icon_minitimeDim 25 Avr 2010 - 12:49

Holaaaa
J'ai rien à redire, elle est très bien ♥ Validééé ~
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Lazar M. des Ursulines _
MessageSujet: Re: Lazar M. des Ursulines   Lazar M. des Ursulines Icon_minitime

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Lazar M. des Ursulines

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