Tout a commencé le jour de la mort de ma grand-mère, ma mère, Louise, avait alors huit ans. Elle ne vivait pas dans une famille possédant de grands biens, ils étaient même assez pauvres. Son père était parti faire son service militaire quand sa mère mourut. Louise se retrouvait alors seule et commençait à errer dans les rues dans l'attente du retour de son père - qui ne reviendrait jamais et mourra dans un incendie - et de chercher de la nourriture. Un jour alors qu'elle était seule, Louise se fit aborder par un homme riche, de la très haute société, bien vêtu parlant un langage très évolué, il était accompagné d'une jolie femme, elle avait les cheveux d'un noir profond et portait une robe faite sur mesure existant probablement qu'en un seul exemplaire. Ce couple avait l'air fort charmant, poli agréable et généreux. Les deux personnes s'approchèrent de la mère qui était assise au sol quémandant de l'argent et lui tendirent un papier et un crayon. Louise eut beaucoup de mal à lire ce qu'il y avait été écrit car après la mort de sa mère, elle avait arrêté l'école. Elle se servit de ses quelques bases pour lire à peu près le papier. C'était un contrat de travail pour travailler en tant que domestique pour eux, pour toute la vie bien évidemment. Louise fut heureuse qu'on lui propose un tel pose, de plus ce couple avait l'air si charmant. Ce fut ainsi qu'elle les suit jusque dans leur humble demeure, où elle put se laver, dormir se changer et puis commencer sa nouvelle vie de domestique au service du Comte de Valois.
Les premières semaines furent merveilleuse pour Louise, mais il fallut qu'un jour elle commette une erreur pour voir le vrai visage de ce Comte et de cette Comtesse. Il devait être 8 h 30 du matin et comme à son habitude Louise allait changer les draps des Comtes, mais cette fois si, elle mit des draps, dont l'un d'entre eux possédait un trou. Lorsque la Comtesse vit cela, elle convoqua toutes ses domestiques ainsi que son Mari dans une salle que Louise n'avait jamais vue. C'était une Salle sombre avec un sorte de cadre en bois d'où tombait du deux lanières en haut à gauche et à droite, ainsi que des marques rouges au sol. Louise était une demoiselle forte innocente et elle ne comprit la peur de toutes les autres domestiques lorsqu'elles entrèrent dans la salle. Elles furent alignées devant le cadre en bois, la Comtesse avec un fouet à la main et le Comte, avec une dague. Les deux marchaient, se croisant et se recroisant laissant envahir l'angoisse de toutes les domestiques, puis le silence se brisa par la toux d'une jeune domestique, cela dura quelque temps, était-se des secondes qui passaient ou des minutes, personne ne le savait mais, tout ceci se stoppa lorsque la Comtesse hurla de sa voix stridente

« Assez ! Que l'on fasse sortir cette domestique d'ici ! »

Et la domestique en question sortie, puis la Comtesse recommença de croiser son mari, jusqu'à ce que ceux-ci se stoppe au centre de la salle l'un a côté de l'autre et que l'homme commença

« Aujourd'hui une erreur a été commis et la personne qui l'a commise sera châtié comme il le faudra - Voilà l'erreur qui a été commise » continua le Comtesse d'un ton méchant« Nos draps ont été changé mais, ceux qui ont été mis possédait un trou ! Ce qui est intolérable ! - Je veux savoir qui était responsable du changement des draps ce jour ?! »Louise prit peur, c'était elle qui avait commis la faute, toutes les autres avaient la tête baissée légèrement tournée en sa direction, alors elle se dénonça ne sachant pas ce qu'il l'attendait... Le Comte la prit par le bras de force, en la traînant jusqu'au cadre en bois, puis l'attacha les poignets à l'aide des sangle et une fois placé dos aux domestiques il lui fit une longue entaille dans le dos, indiquant qu'elle avait fauté, puis fit mise de nouveau, face aux autres filles et la Comtesse commença de la fouetter, sans relâche, en disant que c'était le prix a payé quand on était pas capable de faire son travail, elle reçut peut-être une cinquantaine de coup puis s'évanouit, puis toutes les domestiques partirent retourner a leur activités et la Comtesse sortit, laissant ainsi le Comte et Louise seul dans la pièce.

Lorsque Louise se réveilla, elle était toujours attachée au poignet sur le cadre en bois et elle vit son sang sur le sol. L'homme s'approchait d'elle puis lui murmura quelques mots, qui valurent au comte un coup de genoux dans le ventre, mais celui-ci répliqua par une violente baffe. Puis il la décrocha et la laissé s'écrouler au sol

Louise le regarda s'enfuir et se mit a pleurer de souffrance, et de peur, elle qui avait pensé être heureuse mais elle était seule, et elle allait souffrir...

Les années passèrent, Louise vivait dans la peur de faire une erreur, chaque instant chaque minute, chaque jour était un enfer dirigé par deux personnages infâmes, qui leur faisait enduré toute sorte de souffrance physique ou moral. Le jour de sa seconde erreur Louise avait 18 ans ...

La Comtesse était enceinte de maintenant neufs mois et elle allait accouché, aujourd'hui, oui aujourd'hui elle accouchait, tout le monde se pressait s'affairait autour de la femme, tout le monde était stressé. Louise elle devait s'occuper d'amener de l'eau chaude a la comtesse. Louise était descendu aux cuisines pour faire chauffer l'eau puis l'avait monté et l'avait déposé a côté du lit de la Comtesse. Mais avait maladroitement échapper la gamelle et l'eau bouillante c'était déverser sur le bras de la Comtesse, ce qui avait engendré beaucoup d'affolement. Mais quand tout c'était finis le Comte avait retrouvé Louise, il l'avait fait fouetter de nouveau, marquant son dos de sa dague une deuxième fois, mais cette fois-ci il l'a viola, par envie de la voir souffrir et par envie de sa part. Quelques mois plus tard elle se rendit compte qu'elle allait engendrer le fils ou a fille de son maitre, cela la démoralisa, elle devenait dépressive et accumulait erreur sur erreur coup de fouet sur coup de fouet... et un jour la fille de Louise Naquit. Louise la nomma Amaélys, puis Mourut a la suite de l'accouchement.
Quand a cette Amaélys, elle fut élevée avec les domestiques, qui prirent soin d'elle jusqu'à l'âge de5 ans ensuite ils furent obligé de la laisser travailler, elle n'était pas très adroite et assez tête en l'air ce qui lui coûta unnombre de punition pour des erreurs. Mais malgré ça ils se rendirent compte qu'elle était dotée d'un certaine intelligence et qu'elle était assez charmante pour servir de fille, mais pas la leur surement pas. Alors, ils décidèrent de la vendre, mais seulement au plus offrants. Au final cette Amaélys fut vendue pou l'équivalent un quart de la fortune de ses maîtres, ce qui représentait beaucoup d'argent, vraiment beaucoup. Elle arriva dans cette famille a l'age de 9 ans, et fut renommé Anaëlle De LaRoselière. Voilà ou débuta ma vraie histoire ... Je me souviens de l'arrivée dans ma nouvelle famille, je pensais qu'ici je ne serais plus punie et que j'aurais des vrais parents qui m'aimeraient comme leur fille, mais je me trompais ... j'avais tord. C'était le jour de mon anniversaire de mes neufs ans le 25 juin, il y avait un magnifique soleil dehors, le Comte et la Comtesse était allée m'acheter une magnifique tenue et m'avait faite lavée, coiffée puis habillé de cette tenue. Je ne savais pas et ne comprenait pas les raisons de tout ceci. Ensuite il m'avait emmené dans une demeure immense et blanche, le jardin était immense et fleuris,, cela était comparable à un paradis qui s'ouvrait à moi.
J'étais rentrée dans la maison accompagnée de la Comtesse et j'avais vu une jeune femme habillée de la même faon que moi de longs cheveux blonds remontés en chignon. Elle m'embrassa puis m'examina, j'étais mal à l'aise car pour la première fois je portais une très granderobe et un corset qui n'étais pas très facile à porter, et pas très confortable. Mais elle semblait satisfaite. Elles commencèrent de discuter d'argent je ne comprenais d'abord pas tout mais très vite j'eus un tilt, ce Comte m'avait vendue et pour apparemment beaucoup d'argent, j'étais bouleversée, et je ne savais pas quoi faire ni dire, je me mis à trembler a oublié où j'étais jusqu'à ce qu'un petit garçon arrive et me tire sur le bras, il était vraiment trop adorable mais la femme, qui semblait être sa mère le rembarra

« Enfin laisse donc la tranquille ! Anaëlle, enfin Amaélys voici ton nouveau petit frère, tu fais à présent parti de la famille, aller, dit au revoir à la Comtesse de Valois »

Je m'inclinai et la salua d'un minuscule voix. Puis elle partit sans dire un mot de plus.. j'étais à présent dans une nouvelle famille, elle avait l'air si bien et puis j'avais un petit frère. Les premiers mois je grandis avec lui, et nous jouions beaucoup ensemble, nous étions très proches. Mais un jour alors que je le tenais dans mes bras, il me murmura à l'oreille de lui regarder le dos, alors je soulevais son Tee-shirt pour regarder son dos et je fis surprise, je le serai dans mes bras ensuite il m'expliqua ce qu'il lui faisait ... Mais notre mère apparut a ce moment là et elle nous hurla dessus sur mon petit frère en particulier ... et dans un élans de colère elle le frappa et il retomba au sol, inerte ... puis me cria dessus me disant que dès demain je devrais commencer mes cours ... pour devenir une vraie fille ... Elle sortit et me laissa seule avec mon petit frère Edouard. Il était toujours au sol et ne bougeai plus, je me précipitai vers lui pour essayerde le réveiller mais je me rendis compte qu'il avait perdu la vie ... sa mère l'avait tué ...A partir du lendemain je vécus un enfer sans nom ... j'étais élevée aux bonnes manière a coup de fouet et de baffes, je vécue ainsi pendant près de 8 ans ... mais un jour je décidais qu'il fallait que je parte, j'étais bien trop fatigué, j'étais seule je m'étais même inventé un animal pour me tenir compagnie qui disparue car les quelque temps de répits que j'avais je les passais à dormir ... Alors, un jour je fis ma valise, et avec ma ruse je réussir à sortir d'ici ce ne fut pas une mince à faire et je dus m'y reprendre a plusieurs fois avant de sortir mais une fois que ce fut fais, je goutais à la liberté pour la première fois mais aussi a l'inconnue ...
Un jour alors que je marchais sous la fatigue je vis une porte, je ne savais pas quoi faire mais quelque chose me disait que je devais y entrer … alors j'entrai …

Mes qualités souvent cachés

Je suis très amicale, et je n'aime pas voir les gens souffrir, je suis assez protectrice. Je suis une fille raisonnée et assez intelligente quelque peu tête en l'air. Je suis souvent souriante, et je cache ma peur devant un visage souriant ou neutre, je n'aie pas inquiéter les autres, mais je m'inquiète souvent pour eux.
J'aide comme je peux les gens et je fais toujours de mon mieux. J'ai pris l'habitude de m'excuser a chaque erreur que je commet.
Je suis quelqu'un de très organisé et rangée, je n'aime pas le désordre, enfaite j'aime mis retrouver.
Mes défauts

Je suis assez timides, mais je suis aussi très insolentes, et assez remontés contre les adultes. Il m'arrive d'être vulgaire mais j'ai le plus souvent un langage assez distingué. Je m'énerve assez facilement. Et il m'arrive de me passé les nerfs sur des personnes innocentes. Pourtant lorsque quelqu'un est méchant avec une autre je me lâche en lui hurlant dessus, et des fois les larmes me montent car cela me fais pensé a mon passé. Je suis quelqu'un d'assez sensible et d'innocent.
J'ai un très fort caractère malgré ma timidité, bien que celle-ci passe lorsque l'on me cherche.
Je ne refuse jamais les défis, mais n'en provoque jamais. Oh et les gens qui me cherchent me trouve souvent beaucoup plus vite qu'il le pense
Je suis une fille assez contradictoire, mais qui a souvent conscience de ses agissements. Je n'aime pas les personne qui réagisse au quart de tour, bien que je sois souvent comme ça

Moi
Taille moyenne, corps mince, traits fins et doux, teint pale, cheveux longs d'un blond pale, yeux bleus. Voilà un bref description de moi. Elle pourrait vous suffire a me dessiner mais approfondissons.

Je mesure environ un mètre et soixante centimètre, mais je porte souvent un paire de chaussure a talon la hauteur varie, mais va rarement au-dessus de 9 centimètre ce qui est, pour certaines personnes, déjà beaucoup. Je suis particulièrement mince, non ce n'est pas de l'anorexie, juste mes corsets qui me moule ainsi, je n'ai que peu de forme, mais elle ressortent énormément sur mon corps lorsque je porte des tenues moulantes.
J'ai le teint si pale, voir blafarde, étant si souvent enfermé je ne pouvais pas bronzé, alors mon teint est resté pale, t il ne semble plus vouloir changé. Mes traits sont fins, mon visage et doux, mon sourire est permanent, inspirant la confiance. Mon regard lui est amical et profond, mon regard est d'un bleu océan. Mes cheveux sont particulièrement soyeux car j'en prends beaucoup soin, ils sont très précieux a mes yeux. Ils sont d'un blond très pale, ceux-ci descendent le long de mon dos jusqu'au niveau de mes hanches, et sont souvent attaché par de simples nœuds. Je possède un certains nombres de marques, beaucoup de cicatrices présentent dans mon dos, une marque au fer rouge et déposé sur mon pied droit, et un tatouage représentant une sorte de bouquet composé d'une rose et de fleur, présent en bas de mon dos à droite.

Mon style vestimentaire
Je m'habille de robes du XVIII ème siècle, avec bien sûr les accessoires et le corset, bien que mes robes soient plutôt penché soit sweet lolita, soit gothique lolita, Je porte aussi des tenues chinoise car je les trouve rafinée et agréable a porté, mais même avec elle je porte un corset. Il me faut souvent de l'aide pour m'habiller, je suis de plus assez maladroite ce qui ne me facilitent pas la tache. Je suis toujours maquillé, c'est un maquillage très léger mais qui me donne assez bonne mine, sauf quand je ne suis pas réveillé, et que je me maquille.
Mes robes varient selon mon humeur, et l'événement. Hum je ne porte jamais autre chose qu'une robe, je n'aime pas les pantalons je trouve que cela masculinise la fille, et je ne porte jamais de jupes car il est dur de trouver un haut accordé, et que je passe déjà assez de temps a m'habiller alors pas besoin d'en passer plus a chercher des tenues qui s'accorde