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 Chelsea Brown [Fini]

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Q.I. d'une moule
Chelsea Brown
Chelsea Brown

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Féminin Pseudo Hors-RP : Mooney
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Chelsea Brown [Fini] Empty0 / 1000 / 100Chelsea Brown [Fini] Empty

• Age : 28
• Pouvoir : Incapacité de se dissimuler
• AEA : Lucky le chat
• Petit(e) ami(e) : THE WORLD

RP en cours : Jouons à chat-nudiste (Liam C. Weaver)

Messages : 64
Inscrit le : 18/02/2009

Chelsea Brown [Fini] _
MessageSujet: Chelsea Brown [Fini]   Chelsea Brown [Fini] Icon_minitimeSam 9 Juil 2011 - 1:15

Personnage:

Nom : Brown
Prénom : Chelsea
Age : 23 ans
Date de naissance : 27 avril

Histoire :

Maman me disait qu’elle était mannequin, mais quand j’allais la voir à son travail, c’était à la caisse du supermarché du coin. Elle disait sans cesse que plus jeune, elle avait fait des photos, et même quelques défilés, et que même si elle n’en avait plus fait depuis longtemps, ça recommencerait, que ce n’était pas parce qu’elle n’était qu’une fille de la triste banlieue sud de Londres qu’elle ferait indéfiniment ce travail chiant de caissière.
Et moi, je la croyais. Mais elle a toujours foiré.
Papa n’était jamais là. Je crois que je ne l’ai vu que deux ou trois fois dans toute ma vie. Je n’ai jamais très bien comprit pourquoi je ne pouvais jamais le rencontrer, ni même pourquoi il ne vivait jamais avec ma mère. Je n’ai jamais comprit non plus ce qui s’était passé pour qu’il puisse être biologiquement mon père. Avait-il été un simple petit ami, une rencontre d’un soir ou un fiancé qui aurait tout abandonné ? Je n’en sais rien.
Parfois, une image d’enfance revient à ma mémoire, où ce père à peine connu m’explique qu’il était un ami de ma maman et qu’il s’était passé une bêtise, un soir où il y avait beaucoup d’alcool. Je ne sais si c’est un souvenir fondé sur la réalité ou si c’est un rêve que mon esprit confus a prit pour un fait concret.
Je n’ai donc pratiquement pas connu Papa. Je vivais donc avec Maman, seules d’abord, puis rejointes par Matthew, son nouveau petit copain. Il y a eu deux petits frères, pas vraiment les miens mais pas vraiment des étrangers. Quand on regarde sur les photos, on réalise que j’ai les mêmes yeux que l’aîné et il y a quelque chose dans l’allure globale du visage que je partage avec le deuxième. Mais je crois que c’est tout ce que l’on a en commun physiquement. Et à vrai dire, je ne les ai jamais réellement considérés comme des frères. Je ne me souviens plus de l’année où Matthew est venu s’installer avec nous, mais je sais que ses fils, mes « frères » -je n’aime vraiment pas utiliser ce terme pour parler d’eux- sont nés quand j’avais neuf et onze ans.

Maman me disait aussi que l’on devait toujours être belles, que c’était l’essentiel dans la vie. Là encore, je l’ai cru et je lui obéis toujours. L’apparence était l’une de ses obsessions et elle me l’a transmise sans que je n’émette une résistance. Je dois admettre que le physique, l’esthétique, la mode sont d’ailleurs devenus mes passions d’aujourd’hui.
Maman me coiffait tous les matins, vérifiait régulièrement ma tenue, ma posture, mon hygiène de vie. « Et tu verras, ma fille, quand tu seras mannequin, il y a aura plein de tentations néfastes : drogues, cigarettes, alcools… Il faudra résister. Tu résisteras, n’est-ce pas, Chelsea ? » Et je lui jurais que oui. J’obéissais et je voulais toujours obéir à cette mère poule, cette mère coach, cette mère atroce qui me fichait la pression pour être toujours au top. Je ne trainais pas trop avec les jeunes de mon âge parce que c’étaient des imbéciles, me disait Maman, et qu’il fallait que je sois avec elle le plus possible, parce que plus le temps passait, moins elle allait bien. Maman avait besoin de moi, elle me le répétait souvent, alors je restais avec elle.
Elle m’aliénait de plus en plus. Même lorsque j’étais loin d’elle, en cours, en voyage scolaire, on pouvait sentir sa présence : elle m’avait influencé dans mon look de lolita, dans ma façon de communiquer avec les autres –c’est à dire peu, et quand on le fait, c’est pour railler leur physique.
J’avais une relation très, trop fusionnelle avec cette femme qui m’a amené au monde. Mais il y avait Matthew et ses enfants, qui m’empêchaient d’être entièrement avec elle. Je me devais d’être toujours auprès de Maman, esclave dévouée, mais Maman n’était pas totalement disponible pour moi. Je crois que c’est pour ça que je n’ai jamais aimé ces trois intrus qui ont tenté de modérer la relation que j’avais pour ma génitrice.

Un jour, Maman m’a dit que j’étais grosse : lorsque j’ai atteint la puberté, j’ai pris un certain poids. Et c’est ainsi qu’à quatorze-quinze ans, je faisais un bon 40. J’étais donc « grosse » dans sa bouche. Certains garçons, au lycée, me trouvaient pourtant miam, mais seul comptait le discours de ma mère. « Grosse. » Cela voulait dire moche. Moche voulait donc dire nulle, bonne à rien. J’étais dans ses yeux un déchet.
Et il n’existait que ses yeux pour moi, la petite sans père, qui ne voulait pas de ses frères comme frères et qui n’arrivait pas vraiment à se faire des amis au bahut. Alors j’ai sombré dans l’anorexie. A seize ans, j’avais perdu vingt kilos. Peu après, j’ai été repéré par un agent. J’ai commencé le mannequinat.

Maman me disait que c’était bien. Que j’accomplissais enfin mon rêve. Etait-ce réellement le mien ? Elle m’avait imposé le sien. J’ai mis du temps à m’en rendre compte, tout comme j’ai mis du temps à me rendre compte qu’elle m’utilisait pour être heureuse par procuration. Sa carrière s’était arrêtée brusquement, alors elle a voulu redémarrer à travers moi. Oui, après seize ans à vivre presque uniquement à ses côtés, j’allais devenir une mini-elle qui réussirait là où elle aura raté, sans tomber dans les substances toxiques –dans lesquelles elle s’enfonçait d’ailleurs de plus en plus-, sans m’arrêter, jusqu’à devenir un top model, un sex symbol, une icône immortelle.
Je ne suis pas arrivée jusque là, mais le début se passait plutôt bien. J’ai commencé par des photos pour des catalogues, puis dans des magazines. J’ai commencé à me faire connaître. Ca m’a prit plusieurs années, mais à vingt ans, j’ai fait mon premier défilé. Puis deux et trois et quatre et dix.
Lors d’une fashion week à Paris, j’ai rencontré les vices qui avaient fait tombé ma mère il y a environ deux décennies, dans les bras de Martin, et de John, et de Arthur, Igor, Louise, Isabelle, Simon, Aleksei… Et avec eux Marie-Jeanne et ses amis alcoolisés. Maman n’aurait pas dit que c’était bien, au contraire, mais je n’en avais rien à foutre : pour la première fois de ma vie, à vingt-et-un ans, je m’émancipais.

Ma mère me disait sans cesse de la rappeler, insistant bien sur le fait que je lui manquais, qu’elle avait besoin de moi. Et moi, je ne la rappelais. Avec mon salaire, j’avais décidé de prendre un appartement dans le cœur de Londres, dans le quartier arty, et je ne répondais plus aux coups de téléphone de ma famille. Je ne voulais plus les voir, ce con de Matthew, mes froids demi-frères qui m’ont prit l’exclusivité de ma mère. Et je ne voulais plus l’entendre, cette femme qui m’a bouffé, m’a empêché de vivre mon enfance, mon adolescence, à cause de ses caprices infantiles. A moi d’en avoir.
J’ai continué ma carrière de mannequinat et mon anorexie ne s’est pas vraiment soignée – j’ai juste reprit quelques kilos à la demande de mon médecin qui me menaçait d’hospitalisation. Et bien sûr, j’ai prolongé les folies découvertes à la fashion week de Paris d’il y a deux ans. Les drogues, les alcools, les baises. La magie de l’insouciance. Tant pis si je chope une MST, un cancer des poumons, une destruction des cellules nerveuses : du moment que j’ai mon corps, j’ai du fric, et avec le fric, j’ai le plaisir dont j’ai longtemps été privé.

Aujourd’hui, ma mère ne me dit plus rien. On a coupé les ponts. Juste une petite carte à Noël, un petit SMS aux anniversaires. J’ai tourné la page sur cette enfance malsaine. Et tant pis si elle veut me revoir, si elle m’a envoyé l’autre jour un mail m’expliquant qu’elle est malade de je ne sais quoi, qu’elle va crever dans peu de temps. Je ne veux pas le savoir, je ne la crois pas. Elle ment, j’en suis sûre, pour que je revienne sous sa coupe. Elle ment, elle ment. Elle ment, rassurez-moi. Elle ne va pas mourir, n’est-ce pas ?
Je suis toujours mannequin. Et je suis devenue la muse d’un photographe du quartier, Maverick. Il expose actuellement dans une des galeries les plus prisées de la capitale. Il commence à devenir de plus en plus célèbre. Dans la plupart de ses œuvres, j’apparais, plus ou moins vêtue. Je sors avec lui, d’ailleurs. Je ne crois pas que ce soit très sérieux –aucun de nous deux ne sait être fidèle, avouons-le-, mais c’est plaisant. On est un couple qui commence à être connu dans le milieu des artistes. Lui, le dandy du XXIème siècle, et moi, la créature un peu bohème, un peu snob, pas mal jolie. J’adore ma vie, vraiment… Vraiment, je vous le jure. Et oui, je crois sérieusement que ma mère n’est pas mourante…

Matthew m’a appelé tout à l’heure, catastrophé. Je vais voir ma mère. Elle est plongée dans le coma depuis plusieurs jours. Je peine à le croire. Au fond de moi, je le crois parfaitement. Je ne sais pas, je ne me comprends pas. Je me suis voilée la face. Je l’ai su dès son premier mail, qu’elle mourrait. Je n’ai pas voulu le croire. Elle me l’a dit, j’ai refusé de l’écouter, d’obéir. De me laisser croire en ce qu’elle disait. Putain, je suis un monstre.
Je vais la voir. Je veux entendre le son de sa voix. Maintenant que j’ai la certitude qu’elle dit vrai, je dois aller la voir. Elle est dans une clinique en banlieue londonienne. J’y vais. Je me perds. Tiens, ne serait-ce pas ce bâtiment ? Il ne ressemble pas à une clinique classique, mais ça ressemble aux photos que j’ai vu sur Internet. J’entre.


Caractère :

Vous l’aurez comprit, Chelsea est quelqu’un de globalement instable. Après avoir vécu des années sous la coupe de sa mère, elle en a été séparée très brusquement, sans transition. Ce changement brusque l’a perturbé, bien qu’elle ne s’en soit pas vraiment rendu compte elle-même. Une sorte de crise d’adolescente tardive, qui l’a conduit dans la débauche qu’elle vit, et dans son attitude de pseudo-hippy je-m’en-foutiste. C’est sa façon de rompre avec sa génitrice… Mais au fond, elle ne s’en est jamais vraiment séparée. Leur relation ultra-fusionnelle continue d’influencer la jeune femme. L'éducation que cette femme lui a donné a d'ailleurs été source de trouble : elle lui demandait d'être à la fois femme et sa fille, d'être à la fois séduisante et pure... La petite Chelsea n'a pas grandit dans un environnement stable...

De sa mère, elle a conservé ce soin surdimensionné pour son corps. Elle vit dans la terreur de prendre du poids, de devenir moche… Son corps, c’est en effet un peu tout ce qu’elle a : elle n’était pas une élève brillante à l’école –elle a frôlé à plusieurs reprises le redoublement. Niveau culture générale, ce n’était pas brillant non plus, même si elle s’est améliorée ces dernières années au contact de la population bobo arty de son quartier : elle connaît les artistes contemporains rencontrés aux soirées, elle a quelques bases sur les grands artistes du passé… et c’est tout.
C’est donc globalement une fille mal dans sa peau qui dissimule ses faiblesses dans le plaisir et qui refuse d’admettre la réalité, la maladie de sa mère et sa propre soumission à cette femme.

Chelsea cache ses insécurités en étant l'une de ces filles moqueuses comme dans les teen movies américains. Un archétype de la poufiasse qui se fera le plaisir de répandre des sales rumeurs sur vous, qui s'amusera à vous donner un surnom atroce et à vous balancer des verres de soda au visage lors des fêtes. On ne pense pas que la reine des garces souffre, et on ne cherche pas à la faire souffrir.
Elle se dissimule aussi à travers son look. Elle se donne une allure très remarquable de hippy chic, de pseudo-rom. Les gens croient donc voir quelqu'un de léger, de superficiel et d'incroyablement heureux. Bien entendu, à la fois dans son allure et dans son intériorité, tout est fausseté.
Elle n'a pas beaucoup de discussion ni d'esprit, son physique est son atout majeur... Et sinon, il n'y a pas grand chose. Alors elle se rabat sur une tendance mythomane assez peu avouable. Quand un beau jeune homme lui demande, elle est la fille d'un riche homme d'affaire. Elle peut aussi vous raconter qu'elle a passé la semaine à aider des bénévoles lorsqu'elle revient de vacances en Californie, pour être mieux perçue. Elle n'a pas grand intérêt, alors elle s'en crée d'elle-même.
C'est donc une femme qui ment facilement, elle se cache perpétuellement, sans jamais dévoiler qui elle est totalement. Elle n'a jamais pu tisser de vraie relation à cause de cela. Personne n'a jamais sondé la gravité de cette Anglaise, qu'elle même essaie d'oublier dans les addictions, et il est fort probable que personne n'ait douté de l'existence de cette profondeur.


Physique :

Chelsea est plutôt jolie, dans son genre. Pour la trouver belle, il faut bien entendu aimer les créatures longues et filiformes. Pas vraiment de forme, ni poitrine ni fessier. L’anorexie lui fait peser guère cinquante kilos, pour environ un mètre soixante-quinze. Et tant pis si dans la rue, on dévisage sa maigreur, pas grave si elle chancèle parfois, affaiblie par la faim. Elle a l’allure de ces mannequins si minces, que l’on remarque dans la rue, même habillés comme des patates, et c'est ce qu'elle veut. Chelsea est donc une sorte de grue amaigrie, une brindille montée sur échassiers.

Ses cheveux sont roux clair. Pas de l’affreux roux carotte, de l’étrange cuivré, mais un charmant roux clair qui tend vers le blond doré. Les coiffeurs disent blond vénitien. Chelsea, elle, s’y perd dans ces histoires de blond cendré, vénitien, auburn, orangé… Elle dit roux clair, voilà. La jeune femme les entretient avec beaucoup de soins - shampoings spéciaux, après-shampoings, masques, laque, la totale quoi. Ses yeux, elle les dit vert foncé - là, il n’y a pas de doute possible sur la couleur de ces billes en amande. Il y brille souvent une paillette de folie, de joie exubérante courante chez elle.

Au fond, son visage n’a rien d’extraordinaire. Il est globalement bien proportionné, mais Chelsea n’a pas une figure des plus originales. On peut même s'amuser à reprocher à son nez d'être trop long, à ses yeux d'être trop écartés. Et puis même dire que ses épaules saillantes ont quelque chose de masculin, que son absence de forme lui donne un air asexué. A vrai dire, si elle entretient si bien ses cheveux, c'est principalement parce que c'est l'une des seules choses vraiment féminines dans son corps.
A vrai dire, même si on oublie pas son allure générale, son look, son corps, la mémoire efface souvent les traits du visage de la jeune femme dans l’esprit des gens.

Chelsea cultive un goût pour l’originalité vestimentaire et se présente comme une sorte de bohémienne chic qui se veut aussi sexy. Des plumes, des colliers ethniques, des bijoux par centaines, des robes longues, de larges vestes kimono à grandes fleurs, mais aussi des mini-jupes en dentelle, des blouses au décolleté généreux…
Elle se maquille énormément : jamais elle ne fait d'apparition publique sans une couche épaisse de fond de teint, une bonne dose de maquillage ou de rouge à lèvres, et forcément, toujours, du mascara. Beaucoup de mascara.

Forcément, être aussi maigre fait de cette Britannique une fille à la santé très fragile. Ses reins et son foie ne sont pas en très bon état - et les produits toxiques qu'elle ingère n'arrangent pas les choses. Son système immunitaire, en sale état à cause des privations, ne tient pas la route face à la plupart des maladies : une grippe peut la mettre à plat.
Beauté et bonne santé ne semblent pas pouvoir se conjuguer ensemble chez Chelsea.


Pouvoir :
Dès qu’elle tente de se dissimuler, une grande lumière pure qui semble venue du ciel éclaire Chelsea et des chants grégoriens hurlent dans toutes les pièces avoisinantes : « Elle est ici, elle est ici. » [Merci, le livre des pouvoirs débiles. ♥ ]

Alter Ego Astral :
Un chat gris nommé Lucky, qu'elle fréquentait durant son enfance.

Passion(s) :
Les fringues, l’élégance, les fêtes, la photographie…
N'aime pas / Phobie(s) :
Le gras. Ce qui est moche. L’idée d’avoir des poignets d’amour, de vieillir un jour. Sa famille.

Informations complémentaires :

Avez-vous bien lu les règles ? Oui. [VALIDE]
Où avez vous trouvé ce forum ? Hello, c’est Moo Moo. ♥
Est ce votre premier perso...
♪ ...Dans un forum RP ? Niop.
♪ ...Dans ce forum ? Niop.
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Chelsea Brown [Fini] _
MessageSujet: Re: Chelsea Brown [Fini]   Chelsea Brown [Fini] Icon_minitimeVen 5 Aoû 2011 - 9:26

Oh, ton personnage est funky fresh ! Ta fiche me rappelle le film My Little Princess.
Je valiiiide.
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Chelsea Brown [Fini]

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