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 LAVRENTIEVA Mikhayla ▬ « We'll be running down the street, yelling "Kiss my ass!" »

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Mikhayla Lavrentieva
Mikhayla Lavrentieva

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Féminin Pseudo Hors-RP : ?
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• Age : 30
• Pouvoir : CRASH BAM.
• AEA : Kosmo, l'ours qui met des droites magistrales.
• Petit(e) ami(e) : Ta mère. Et la sienne.

Messages : 4
Inscrit le : 28/03/2018

LAVRENTIEVA Mikhayla ▬ « We'll be running down the street, yelling "Kiss my ass!" » _
MessageSujet: LAVRENTIEVA Mikhayla ▬ « We'll be running down the street, yelling "Kiss my ass!" »   LAVRENTIEVA Mikhayla ▬ « We'll be running down the street, yelling "Kiss my ass!" » Icon_minitimeMer 28 Mar 2018 - 22:13



* Mikhayla Lavrentieva


*nom – Lavrentieva.
*prénom – Mikhayla.
*age – 24 ans.
*né(e) le – 23 Mai 2034, Ukraine.

Pouvoir
Force décuplée.
Mikhayla voit sa force multipliée par dix non pas en permanence, mais quand elle y pense ou quand elle est excitée/énervée/etc - ce qui constitue une grosse partie de son emploi du temps et fait exploser les risques d'accidents. Que ce soit dans les bras, les jambes ou même la tête, Mikhayla donne des coups violents et arrache les portes de leurs gonds.
Ou tord simplement les couverts, à son plus grand malheur.

Alter Ego Astral
Un gros ours avec des gants de boxe qui fout des droites magistrales.
Kosmo est un géant aussi placide que protecteur ; il sert aussi de professeur de boxe à Mikhayla à ses heures perdues. Il se déplace sur deux pattes, ne quitte jamais ses gants, a l'air aussi aimable qu'une porte de prison mais vraiment, il aime juste cuisiner des cupcakes. Quand on l'embête, il met une droite. Si quelqu'un a besoin d'aide, il met une droite. Il ne réfléchit pas beaucoup, c'est un ours manuel.
Comme sa maîtresse.

Passions
Le sport sous toutes ses formes, surtout les sports de combat ; elle aime aussi beaucoup le parkour et la musculation. Elle aime les fleurs, les marteaux piqueurs, les leggings et les crop tops. Elle tombe amoureuse de tous les vêtements à imprimés ringards ou suspects. Ses modèles dans la vie sont Merida, Raiponce et sa maman. Quand elle regarde la TV, elle ne le fait que la tête à l'envers, pour que tout le sang possible afflue dans le peu de neurones qu'elle possède.
Elle aime aussi danser, faire la fête, sauter sur les gens, les étrangler, se battre, écraser son verre sur le comptoir pour assurer sa dominat - ah tiens, il est cassé. Virée du bar.
Mikhayla aime rire et s'amuser, peu importe ce que ça implique.

N'aime pas / Phobies
Mikhayla est un homme, elle n'a pas de phobies (elle est juste trop stupide pour avoir peur, vraiment).
Elle n'aime pas qu'on lui dise non, n'aime pas qu'on la coupe dans son élan, déteste les daddy jokes de son père et devoir passer l'aspirateur. Perdre au match de paintball hebdomadaire la met aussi hors d'elle. Qu'on lui claque les fesses sans y être invité, qu'on lui fasse des remarques sur sa tenue.
Elle voue une haine profonde aux robes et aux talons hauts, quelle idée d'enfiler des trucs pareils, on peut rien faire avec. Elle déteste ce moment de solitude où elle va pour reprendre une gorgée de son verre et s'aperçoit qu'il est vide - comme sa vie à cet instant précis.
Elle déteste les surfaces lisses. Elles l'insultent. Elle veut pouvoir y monter. Elle s'y accroche comme une araignée et glisse pitoyablement.



« What if you and I
Just put up a middle finger to the sky »

Physique

Mikhayla est un bulldozer en marche ; une fois qu’elle s’élance, personne ne peut plus l’arrêter. Son intense cosmo-énergie lui permet de détruire des murs à mains nues – ça et sa carrure de catcheuse et son mètre soixante-treize très bien planté sur deux jambes solides.
Personne n’ira lui enlever sa détermination, mais ce sont ses muscles qui pèsent le plus dans l’équation.

Mikhayla est grande, forte, très imposante. Son pas lourd résonne et ses formes pleines amplifient cette impression d’avoir un château d’eau en face de soi, ou un mur en béton selon les jours. Ajoutons à cela qu’elle ne maîtrise pas sa force et broie les os des plus fragiles sans même s’en rendre compte, et elle peut faire vaguement peur – avoir l’air intimidante, surtout quand elle se met à piquer un sprint pour refaire le portrait de quelqu’un. Non, elle n’est pas grosse, simplement très musclée, et ses hauts courts et ses leggings donnent un bon aperçu de son talent au lancer d’altères. La jeune femme est constamment en mouvement et ne laisse à son corps qu’un répit de six à huit heures la nuit, alors il a tout intérêt à pouvoir suivre la cadence infernale qu’elle lui impose.

Forte, du genre à briser des briques, Mikhayla est aussi étonnamment agile pour un poids lourd. Elle grimpe avec aisance le long des murs, parce que passer par les fenêtres et s’allonger sur les toits, c’est chic. La ville n’a aucun secret pour elle, elle est habituée à passer au travers sans la moindre difficulté. Sauts, sur les mains, sur les pieds, elle rebondit et même quand elle tombe, elle se redresse comme si de rien n’était.
C’est que Mikhayla est difficile à briser, elle a des os en pierre, parés au moindre choc. Ses phalanges ne ressentent plus les contrecoups des chutes, ses genoux non plus.

Sur sa tête, une avalanche de cheveux d’un blond pâle, très épais et noués la plupart du temps en queue de cheval, puis en une multitude de petites tresses. Elle n’aime pas les avoir dans les yeux, et puisqu’ils frôlent le sol, vous ne la verrez jamais se promener sans être coiffée. La galère, duh. C’est lourd, mais c’est beau, et elle préfère mourir que s’imaginer les couper. Les muscles de sa nuque font bien leur boulot, elle y veille au grain.
Mis à part sa corpulence de lutteuse professionnelle et ses cheveux façon Raiponce, Mikhayla n’a rien d’extraordinaire. Elle n’est pas d’une beauté sans pareil, ne possède aucune cicatrice sur sa peau pâle, et n’a de piercings qu’aux oreilles et au nombril. Ses yeux bleus rient avec sa bouche, et ses mouvements expressifs peuvent éborgner quelqu’un qui ne serait pas habitué à ses gesticulations – mais Mikhayla est prévisible.

On apprend très vite à la connaître.

Caractère

Mikhayla n’a pas de limites ; c’est ce qu’elle clame haut et fort et ce dont on se rend malheureusement compte assez vite.
Pour commencer, elle n’est pas très intelligente, ni très perceptive ; elle a une bonne vue, mais les subtilités lui échappent et n’allez pas espérer qu’elle remarque que quelque chose ne va pas. Elle ne verra rien, vous déboîtera l’épaule, reprendra son chemin. Elle n’est délicate ni dans ses gestes, ni dans ses mots, et peut facilement piétiner les sentiments des autres à se comporter comme un tank en pleine course. Il faut dire qu’elle marche à la vision tunnel et passe d’un point A à un point B sans s’attarder sur les détails.
Les détails, en général ? Elle les jette à la poubelle. Ne les regarde même pas. Pas le temps.

Mikhayla donne l’impression d’être toujours pressée ; elle parle vite, marche vite, mange vite, inhale la vie plus vite qu’elle ne peut et finit inexorablement par s’étouffer dessus. Elle se veut autonome et indépendante, et l’est dans le sens où avancer seule ne lui fait pas peur, mais elle a besoin de gens pour veiller sur elle. Elle est empotée, maladroite, aveugle au danger et ne sait pas se contenir ; la moindre étincelle peut faire sauter la caisse de poudre et une fois en colère, Mikhayla le reste. Il faut la frapper et la secouer pour la calmer. Mettre les choses à plat. Lui expliquer lentement et avec des mots courts et percutants.

Ça non, Mikhayla n’est pas une lumière. Elle compense sa stupidité par une motivation extrême et une détermination à toute épreuve, ce qui peut s’avérer être une bénédiction comme une malédiction. Quand son impulsivité légendaire ne lui joue pas des tours et qu’elle ne saute pas dans le ravin en hurlant, c’est une jeune femme agréable et positive. Elle ne voit que le bon côté des choses et ne manque jamais une occasion de remonter le moral des troupes – quitte à lancer une vanne bien pourrie, son sens de la honte est lui aussi porté disparu. Elle voit la vie en rose, sans équations, tout est simple et beau dans son monde. C’est une amie fidèle, prête à arracher des yeux pour ceux qu’elle aime. Personne ne la laisse aller jusque-là, mais ses proches apprécient la symbolique (tant qu’elle le reste).

Mikhayla rit, saute, dépense son trop plein d’énergie en courant dans tous les sens. Elle n’est pas égoïste et donne sans compter, et pas simplement car elle ne sait pas compter au-delà de dix. (c’est faux, en plus) Elle est généreuse et protectrice, stupide et butée, et ça lui va bien comme ça.

Elle s’aime comme elle l’est.


Histoire

Mikhayla est née en pleine plaque tournante du crime organisé ; mais parce qu’elle est stupide et que ses proches font tout pour la tenir à l’écart du danger, cela n’a que rarement marqué sa vie.
Elle ne voit que ce qui lui plaît et jette le reste de l’autre-côté du barrage.
Mademoiselle est née un 23 Mai 2034 dans une ville limitrophe du conflit pro-russe, et sous la coupe de la mafia locale. Pas de flingue en pleine tête pour elle ni de menaces ; elle a grandi dans la sécurité de fer de son foyer, veillée par son père et ses armes et sous le regard anxieux de sa mère. Dès son plus jeune âge, c’est vers elle que se dirige toute son admiration. Elle l’épousera quand elle sera plus grande, et personne n’a son mot à dire sur le sujet – à part son père qui lui soutient mordicus qu’on ne peut pas être deux à épouser la même personne. Soit. Elle concocte des plans compliqués sur des feuilles de papier pour se débarrasser de lui, le tout à grand renfort de pastels et de crayons de couleur.

Dans les quatre petites pièces de leur maison, il y a aussi ses deux grands frères. Maksym, qui a 11 ans de plus qu’elle et que ses parents préfèrent (elle lui pardonne uniquement car elle l’aime), et Yulian, de 5 ans son aîné et le complice de bien des bêtises jusqu’à l’adolescence. On y vit un peu serré, mais ça n’embête personne : les fenêtres sont ouvertes en permanence, et la porte aussi. La rue et l’ombre des porches de ses voisins sont autant de pièces pour Mikhayla que son propre salon ou la chambre qu’elle partage avec ses frères. On entre et on sort chez les uns et chez les autres comme on veut, toute la rue est une grande famille. On ne lui demande de faire attention qu’une fois ce périmètre de sécurité dépassé – autorisation qu’elle n’obtiendra qu’au bout de quelques années, une fois son père à peu près certain qu’elle ne va pas se faire enlever ou renverser par une voiture dès la première minute.

« T’es pas assez grande, Kayla, tu te ferais plomber. Et je lui dis quoi à ta mère si on te retrouve sans tes couettes, moi ?

— Ggnagnagna. »

A la maison, elle reçoit aussi la visite d’Aleksandra et Levon, ses deux meilleurs amis pour la vie. La première est sa cousine de sang, le second pourrait tout aussi bien l’être. Leurs parents ne se quittent pas, se connaissent depuis des siècles. Quand elle ne met pas les legos de Yulian dans sa bouche, elle les jette sur Levon et construit des châteaux pour Aleksandra, sa princesse adorée (et deuxième femme de sa vie, juste après sa mère). Son père a beaucoup d’amis, et les enfants de ces amis sont ses amis ; elle ne manque ni d’amour ni d’affection. Elle croule même dessous, et sans en faire la moindre overdose. Ses journées sont rythmées par les essais infructueux au tir à l’arc, pour faire comme Mérida, au lancer de poêle, pour faire comme Raiponce, et se terminent avec de grands cris quand elle se retrouve chaque fois à devoir chasser Levon et son frère pour s’être moqués d’elle.

Son enfance se passe sans grisaille et l’adolescence suit doucement, presque aussi claire.

A quinze ans, Mikhayla a les cheveux jusqu’aux fesses et estime qu’elle est assez dégourdie pour porter une arme sur elle. Elle sait sauter de toit en toit (presque) sans se gameller, et ça rassurerait sa mère de la savoir armée. A ses yeux, les arguments sont infaillibles. Malheureusement, ça ne rassure pas du tout son père qui lui rétorque qu’elle n’a qu’à utiliser ses poings, ou sa tête puisqu’elle ne l’utilise pas beaucoup et qu’elle est solide. Ses cheveux, en dernier recours. Outrée, la jeune fille fulmine et insulte son géniteur et sa paternité douteuse (il se permet même d’en rire, ce sale) mais lui obéit malgré tout. Résultat : elle s’entiche de tous les sports de combat existants et natte ses cheveux en un millions de petites tresses pour qu’ils puissent lui servir de fouet – ou, détachés, de lasso. Elle s’entraîne sur Levon, qui n’a pas signé pour ça et meurt un peu plus de l’intérieur chaque jour, et sur Aleksandra, qui a de plus en plus de mal à l’empêcher de lui briser un os avec sa force de colosse.
Personne n’ose s’en prendre à Mikhayla. Elle cogne, elle gifle avec ses cheveux, course, insiste, ne se laisse pas faire.

Ses parents ne peuvent pas être fiers de ses résultats scolaires, mais ils le sont de sa vivacité et de sa détermination. Leur petite fille grandit bien, ses frères aussi.
C’est toujours Yulian qui gagne les parties de paintball familiales, mais il n’arrive jamais à battre leur père.

Quand Maksym ne vit plus chez eux et les délaisse pour leur cousin et petit-ami, elle rentre par la fenêtre malgré les gros yeux que lui fait Vitaly. Et quand ils se disputent, elle est la première à lui offrir une épaule et le délester de ses soucis. Maks est le meilleur grand frère au monde, et il le lui rend bien. Avec Yulian, c’est plus difficile ; le petit garçon qui rêvait de devenir aviateur a muri et n’aime plus devoir traîner sa petite sœur hurlante accrochée à sa jambe.

« Sérieux, t’as dix-neuf ans ! Relève-toi !

— Mais je veux la voiiiiir ! C’est ma seule nièèèce…

— Kayla. Tu rentres pas dans l’hôpital si tu te roules par terre, je te jure.

— Yuliy, azyyyy… Sois un frère !

— Uuuurgh. »

A dix-neuf ans, Mikhayla accueille sa nièce en pleurant. Elle la kidnappe quotidiennement, refuse de la rendre à ses parents, l’emmène chez leur cousine Kalyna pour la faire jouer avec ses enfants. Yulian bouscule sa sœur plus que de coutume, mais c’est de bonne guerre ; le lendemain, ils recommencent à rire.

Elle n’a pas le droit de porter une arme, hurle toujours quand son père lui met la honte en blaguant devant ses amis, perd aux parties de paintball, mais elle est heureuse. Elle saute sur Levon, essaye de se rabibocher avec Ionel (en vain), grimpe sur les façades de tous les immeubles pour rentrer par les fenêtres, casse son verre de vodka sur le comptoir, se fait sortir du bar, rit en trébuchant sur le trottoir.

Elle aime la vie, ne compte pas devenir adulte juste parce qu’elle a 24 ans et qu’elle est censée être responsable ; personne n’en attend autant d’elle. Ni sa famille, ni ses amis.
Alors elle continue à rire et lancer ses cheveux dans la figure des autres.

« MAMAN y’a Levon qui m’a demandé de te dire que Anna voulait dire à papa qu’elle avait récupéré le truc machin là je sais plus mais toi tu dois voiiiir on mange quoi ce – »

La porte dans son dos claque sur un hall magnifique, qui n’est définitivement pas celui de sa toute petite maison.

« … soir ? »

en gros hein:




Informations Hors-RP
Avez-vous bien lu les règles ? LOL
Où avez vous trouvé ce forum ? Un génie dans sa lampe.
Souhaitez-vous être Parrainé ? oUI.
Est ce votre premier perso...
♦ ...Dans un forum RP ? Oui. Si on était en 2006.
♦ ...Dans ce forum ? Oui. Si on était en 2010.
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Pensionnaire
Allen Winters
Allen Winters

+
Masculin Pseudo Hors-RP : DD (DarkD)
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• Pouvoir : Cyberpathie
Messages : 1419
Inscrit le : 17/05/2007

LAVRENTIEVA Mikhayla ▬ « We'll be running down the street, yelling "Kiss my ass!" » _
MessageSujet: Re: LAVRENTIEVA Mikhayla ▬ « We'll be running down the street, yelling "Kiss my ass!" »   LAVRENTIEVA Mikhayla ▬ « We'll be running down the street, yelling "Kiss my ass!" » Icon_minitimeVen 20 Sep 2019 - 0:24

HEY MIKHA, JOLIE PRINCESSE MUSCLEE B'(
Rien à dire de particuliers, tout est bon et c'est efficace. J'espère qu'elle trouvera quelqu'un pour tresser ses cheveu/PLEURE/ Roman doit être fier d'être à l'origine de cette lubie des cheveux/fouets. Bravo pour avoir fini la fiche et ainsi apporter encore plus de carnage et de bruit dans les couloirs de PI/PLEURE/

JE TE VALIDE DONC, MERCI DE LAISSER QUELQUES MURS DEBOUTS QUAND MEM/

Tu peux dès à présent commencer le RP en partant du Hall d’entrée. Je t'invite aussi à :

~ Déclarer ton pouvoir.
~ Demander une chambre.

Tu connais aussi bien sûr le chemin pour :

~ Créer une fiche de lien pour ton perso.
~ Demander des RP.
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