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 Keiko Ehi'No

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Keiko Ehi'No _
MessageSujet: Keiko Ehi'No   Keiko Ehi'No Icon_minitimeMer 7 Nov 2007 - 20:48

Personnage:


Nom : Keiko

Prénom : Ehi'No

Age : 25 ans

Histoire : Bon, je pense que vous etes des lecteurs attentifs, que vous avez deja pas mal lu de fiches dans votre vie et puis que vous savez comment apparait une perosnne dans ce bas monde. Je vais pas vous faire un dessin. Non, mais c'etait pas une figure de style, et je refuse de faire un dessin. Ca commence bien, tiens. Donc. Pour vous expliquer alors, o ignorants qui lisez le debut de cette fiche et qui n'en avez pas encore marre, un enfant est concu neuf mois avant sa naissance, et non ce passage ne vous interesse pas. Non j'ai dis. Et les neuf mois suivants sont pas des plus passionnants alors je vais passer sur les blablas du pere qui parlait au ventre en pensant qu'il allait lui repondre, et la mere qui caressait son ventre avec amour et tendresse, pensant que cela allait faire quelque chose sur le caractere de l'enfant. Donc. Je zappe, et passerait aussi sur la naissance qui oui s'est bien passee, non la mere n'est pas morte dans d'atroces souffrances et le pere n'a pas fait une overdose de stress. C'etaient des parents plutot calmes, et tout se passa bien, il eurent leur enfant dans les bras, ce qui les ravit les premieres heures, mais bien vite la mere en eut quand meme un peu marre de se faire reveiller a trois heures du matin pour bercer l'enfant. Mais l'amour maternel passe avant tout.

En parlant d'amour c'etait surtout le pere qui en donnait, toujours a faire des grimaces devant le gamin pour l'amuser, a lui faire l'avion, et a demander a la mere qui avait des cernes grosses come des valises pourquoi elle tirait une tete pareille devant le petit. Enfin, tout se passa bien donc. L'enfant etait nomme Keiko, un nom qui convenait aux filles ou aux garcons. C'etait pour eviter d'avoir a reflechir a deux prenoms, c'etait passe partout et puis c'etait mignon. Enfin, l'enfant etait nrmal, enfin comme tous les gamins quoi. Il cassait des bibelots, obligeant les parents a surelever la plupart des objets car trop dangereux, trop fragiles, pas bien pour les enfants. Le pere dut s'arreter de fumer ce quine lui plut pas trop mais pour le gamin il aurait fait n'importe quoi. De toutes facons ce n'etait pas vraiment lui qui endurait les hurlements toutes les nuits et se reveillait en pensant avoir dormi une demie heure dans la nuit. Les parents etaient des gens tres simples. La mere etait secretaire, le pere etait ouvrier en batiment, donc bien bati, et voulait que son fils fasse la meme chose, comme il trouvait qu'on manquait d'ouvriers comme tout le monde voulait faire docteur. Keiko lui ne savait pas trop, lui sa passion dans la vie c'etait de ne rien faire, et il se fixa le but de ne rien faire de sa vie, de vivre tout simplement, sans le dire aux parents parce qu'ils n'apprecieraient sans doute pas. Mais des son plus jeune age il etait un peu dans la marge. A l'ecole il ne dejeunait pas avec les autres enfants, et il parlait tout seul. Enfin pas vraiment tout seul, apres avoir lu des livres illustres parlant de chouettes, il trouva que c'etait particulierement classe d'en avoir, alors il s'en inventa une. au debut parler a quelque chose d'inexistant etait un peu dur, mais finalement c'etait un enfant, et l'imagination depasse souvent la realite. Alors il jouait, tout seul. Les gamins qui jouaient a la corde a sauter le regardaient de travers, pour eux ce n'etait pas tres normal ce genre d'attitude.... Pour eux, il fallait jouer a des jeux normaux, avec d'autres enfants. Lui preferait pas, mais parfois rencontrait des gens qui voulaient bien jouer avec lui. Pendant un moment. apres cela les lassait d'inventer leur monde, et ils retournaient avec les autres enfants. Keiko lui ne se lassait pas.

Les annees passaient. Keiko se fermait de plus en plus, et finit apr devenir completement associal, vivant dans son monde. Meme les etudes ne l'interessaient plus. Il avait de mauvaises notes, il se fit renvoyer plusieurs fois. Finalement il eut l'age pour travailler, et finit sur le chantier de son pere mais fut renvoye aussi, parce qu'il ne faisait que des catastrophes... Il resta un moment dans la maison de ses parents. Ils se demandaient comment une personne aussi intelligente que Keiko avait pu tomber ausi bas. Car d'apres le medecin, il avait un Q.I tres superieur a la moyenne... mais justement parfois les genies s'enferment, ne pouvant trouver de semblables... Il restait dans son monde, mais n'etait pas pour autant... vraiment fou, enfin on ne pouvait l'interner. Il vivait sans vraiment vivre. Meme ses aprents lui devenaient peu a peu etrangers, comme des figures dont il oubliait peu a peu le visage et le nom. Ses yeux regardaient autre part lorsqu'on lui parlait. Et il s'amusait, s'amusait a jouer avec la vie des autres. Elle n'avait plus aucune importance. Seul importait le jeu, et son monde... Il commenca a tuer des insectes, ou des souris, ne trouvant rien de repugnant a les ouvrir... Et il souriait, heureux.

"Keiko?"

La lumiere s'alluma dans la piece. La mere de Keiko regarda le lit, le sol. Tiens, il n'etait pas la? Elle chercha sous le lit, dans les armoires, pour voir si il etait la. Non? D'habitude il se mettait la lorsqu'il se cachait. Mais rien. Il ne sortait pourtant pas de la chambre habituellement.... Le jeune homme avait 22 ans maintenant, mais etait toujours aussi etrange... et absent dela chambre... La mere regarda dans le couloir. Il avait peut etre reussi a ouvrir la porte et etait parti explorer la maison. Elle regarda, inquiete, dans toute les salles. Mais son fils etait introuvable... Elle l'aimait, malgre ses travers etranges, meme si il etait a moitie fou... Elle l'aimait tant. Mais il etait absent, et cela achevait d'inquieter la pauvre femme. La fenetre de la chambre etait ouverte. Elle regarda en bas, pour voir si il n'etait pas tombe. Du rez de chausse cela ne lui aurait rien fait heureusement. Il y avait bien des traces... Mais elles partaient, hors du jardin. Il pleuvait des cordes, et il etait parti. La mere hesita, puis decrocha le combine du telephone.

Keiko lui, marchait. Il pleuvait. C'etait froid. Il n'aimait pas quand c'etait froid. Le jeune homme enfonca son nez dans son echarpe, deambulant dans les rues. Il faisait si froid, si froid... Ce n'etait pas l'hiver mais pour lui c'etait tout comme. Il s'abrita sous un arbre, trempe. La terre mouillee salissait ses pieds nus. Il les bougea un peu dans la terre, aimant le contact de la boue. C'etait agreable oui.... Ses yeux etaient fixes au loin, ne se focalisant sur rien en particulier. Il n'y avait de toutes facons rien a regarder, la brume envahissait tout... Au bout d'une petite demie heure il tourna la tete, pour apercevoir un escargot. Il le prit delicatement entre ses doigts. Pui s le tourna de facon a ce que la tete de l'escargot soit face a lui. L'animal ne rentra pas dans sa coquille, restant plus ou moins immobile. Puis Keiko le prit d'une main, l'escargot rentra vite dans sa coquille, et le jeune homme s'amusa a enlever la coquille de l'escargot, fendillant la protection, l'enlevant par plaque. C'etait un travail fastidieux qui demandait pas mal d'attention. Il continua un moment, n'entendant pas les pas qui venaient vers lui.

Une voix feminine s'eleva

"Je peux t'aider?"

Il ne repondit rien, ne faisant meme pas attention a elle. L'escargot etait bien sur bien plus interessant. Il retira une a une les plaques, l'escargot ne bougeait plus trop. Mort? Keiko s'en fichait un peu. Il finit par avoir plus ou moins tout retirer, et laissa l'escargot, pour rassembler les morceaux de coquilles dans sa main. Qu'en faire? Il finit par les disposer, pour faire une forme qu'il trouvait jolie. Il sourit doucement. Mais une main etrangere vint, pour rajouter quelques morceaux de coquilles a sa figure. Une main toute fine, aux doigts legerements sales. Keiko regarda a qui le bras appartenait. Une jeune femme venait de prendre la coquile d'un autre escargot, et les disposait maintenant pour completer la figure. Keiko la regardait sans la regarder vraiment, comme a son habitude. Elle lui tapota le bras, et chuchota

"Voila tout."

Il ne broncha pas, elle se leva et partit, sourire aux levres.

Les jours passerent. Lui restait sous son arbre. Enfin parfois la faim le faisait aller jusqu'a la poubelle pour prendre des choses avariees, mais il retournait sous son arbre, repetait les memes gestes, faisaient les memes chsoes. Sa figure avec l'escargot grandissait. Il ne savait pas pourquoi il faisait cela. Peut etre parce que c'etait joli. C'etait assez abstrait, comme les pensees de Keiko qui ne devenaient concretes que quand il devait manger. Les policiers passerent plusieurs fois apr la, mais ne le remarquerent pas vraiment. Ils pensaient que c'etait un clochard comme tant d'autres dans ce parc, qu'il ne faisait rien de mal, juste faisait une figure etrange pour avoir un peu d'argent peut etre. Parfois des gens lui jetaient des pieces. Lui les regardait vaguement, puis soit s'en desinteressait parce qu'elles n'etaient pas bien, soit les integraient a sa figure, sans un mot. Il maigrissait un peu. Manger des restes n'etait pas forcement bon pour la sante. Il eternuait aussi assez souvent. Un quotidien dur pour certains, lui s'en fichait.

Mais tous les jours il y avait pendant cinq minutes cette meme jeune femme aux cheveux bruns, avec des lunettes a la monture noire, qui venait, l'aidait a faire sa figure, repartait. Elle venait toujours, elle avait toujours le meme sourire. Mais lui ne bronchait pas, se contentant de la regarder. Parfois, elle lui parlait, il ne repondait pas. Il n'avait pas utilise sa voix depuis un moment d'ailleurs. Il ne s'etait meme pas parle a lui meme ces derniers temps. Mais elel venait quand meme inlassablement. Et peu a peu il la "voyait" plus, il faisait un peu plus attention a elle, elle apparaissait dans son monde, d'abord comme une ombre indistincte, comme tous les autres, puis plus precisement... Il se rapellait parfois de ses jolis cheveux bruns. De son manteau bleu. Elle etait belle, lui n'y pensait pas trop, il avait une conception de la beaute un peu particuliere... Un jour, alors qu'elle venait de decortiquer un autre escargt, et qu'elle allait se lever pour disparaitre dans la pluie, Keiko leva la main, et lui prit le bas du manteau. Elle tourna la tete, l'air legerement etonne, vers Keiko. Il leva a peine le regard, la tira un peu plus, en mettant de l'autre main ses coquilles d'escargot en place. Elle sourit, se rassit, prit un autre escargot, et le decortiqua.

"Comment tu t'apelles?
- ... Keiko.
- C'est joli, comme nom, ca. C'est etranger?
- ...
- Tu sais pas?
- Non.
- Et tu as toujours ete la?
- Je ne sais pas."

La femme sourit. Il lui parlait un peu plus, maintenant. Mais se contentait de repondre a ses questions, en demandait jamais rien de lui meme. Il tourna legerement la tete vers elle, l'air intrigue. Ses yeux ambres se fixerent dans ceux turquoise de la femme. Il ne dit rien un instant. Elle, se demandait d'ou venait cet etrange homme qui reflechissait comme un enfant, mais aprfois avait des reponses d'une exceptionelle clairvoyance sur ce qui l'entourait. Elle qui vivait avec des personnes peu.. recommendables, elle qui etait meme obligee de se vendre pour vivre, elle aimait la compagnie de Keiko. Il n'avait pas d'idees deplacees, etait un peu innocent, mais elle ressentait en lui une grande tristesse, qui lui etait sans doute impossible de resoudre. Elle regarda Keiko en retour. C'etait rare qu'il la regarde vraiment. Il ne faisait que de rapides coups d'oeils vers elle habituellement. Et contrairement a beaucoup d'autres hommes, son regard etait fixe dans ses yeux, dans ses pupilles. Il finit par articuler

"Et toi, tu t'apelles comment?"

La jeune femme parut etonnee. Ca n'etait jamais arrive, qu'il lui pose une question de lui meme. Elle lui adressa quand meme un sourire, prenant entre ses mains une coquille d'escagot, et lui repondit doucement

"Je m'apelle Sonia"

Keiko retourna a son oeuvre, et laissa planer un long silence. Il avait toujours un air neutre. Il finit par lacher

"C'est un joli prenom."

Sonia le trouva vraiment bien, a ce moment... Il lui disait en toute franchise ce qu'il pensait au moment present. Keiko semblait bien concentre, mais ses pensees allaient vers la seule perosnne qui acceptait de lui parler, de venir vers lui en ce moment... Elle se leva. Elle devait partir. Elle deposa un baiser sur le front du garcon, en lui disant doucement

"Je t'aime bien tu sais?..."
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Keiko Ehi'No _
MessageSujet: Re: Keiko Ehi'No   Keiko Ehi'No Icon_minitimeMer 7 Nov 2007 - 20:49

Il leva la tete, mais elle etait deja partie. Il ferma a moitie les yeux, un air triste sur le visage. Pourquoi avait il un tel malaise? Ce n'etait pas lie tellement a la semi declaration qu'elle lui avait faite, mais plutot... un malaise interieur... Il aurait bien aime la voir avant qu'elle ne parte... Il soupira, placant ces pieces. Cela formait une assez grande fresque maintenant. Personne n'osait toucher au travail du jeune homme, et beaucoup admiraient cette oeuvre, meme si certains semblaient trouver que le sacrifice de tous ces escargots etait un peu futile et cruel. Les habitues avaient bien vu que Keiko etait un peu special, ce n'etait pas vraiment de sa faute. Enfin il dormit, une nuit fraiche, mouvementee. Il faisait des cauchemards, comem toujours... Mais ne bougeait pas un doigt, simplement son expression etait si terrifiee, et ses mains tellement crispees sur sa cape qui lui servait de couverture....

Il se leva le lendemain, et tout se passa comem d'habitude. Tout etait comme d'habitude, sauf qu'elle n'etait pas la. Sonia. Ou etait elle... Elle fasait partie de son monde miantenant. Et en etait meme devenue un pilier... Malgre le peu de paroles echangees... Malgre que ce n'etais que hier qu'ils avaient connu le prenom de l'autre... Si elle n'etait pas la c'etait son monde qui se fendillait, se brisait, s'effondrait. Il guetta une heure ou deux, et un des habitues finit par venir le voir et lui dit d'un air consterne

"Elle n'est plus la tu sais. Elle a ete arretee, comme les autres "filles" de son "travail"."

Keiko ne comprit pas. Il baissa simplement la tete. Elle... Pourquoi.... Pourquoi n'etait elle pas la... Pourquoi..... Elle n'avait pas le droit de partir. Elle n'avait pas le droit de le laisser seul. Le garcon se mit a sangloter, de grosses larmes coulant sur ses genoux, terminant sur les morceaux de coquilles... Elle n'avait pas le droit... Il etait a genou, les mains sur le sol, pleurant, seul. Il n'y avait plus personne maintenant... Les lumieres des reverberes eclairaient faiblement la nuit... Keiko touchait l'herbe verte et humide entre ses mains.. L'hiver etait passe, le printemps venait... Elle avait ete la tout l'hiver, avec lui, lui apportant la chaleur qu'il lui fallait... Mais maintenant elle n'etait plus la.

Des pas sur le gravier du parc. L'homme nettoya son insigne du doigt, qui montrait qu'il etait un policier. Il faisait sa ronde de nuit. L'homme passait, tranquillement. C'etait un coin tranquille, surtout ce parc. Et le petit clochard qu'il y avait entre les arbustes, etait il toujours la, a faire sa fresque, sans but? Il etait un peu fou ce type, pensait le policier. Il devait avoir plus de vingt ans et se comportait comme un gamin borne, et etait renferme sur lui meme. Mais il etait amusant, et pas dangereux pour un sou, juste etrange. Il s'approcha des buissons, s'attendant a voir la silhouette allongee de Keiko qui dormait, mais il ne dormait pas il etait debout, et etait debotu sur les coquilles d'escargot, maintenant en pussiere, il les avait pietine... Mais maintenant cette fresque avait un sens, on aurait dit une chouette, a la lumiere du reverbere dans la nuit. Mais il ne s'y attarda pas longtemps, Keiko l'inquietait un peu, il respirait bruyemment, visiblement toujours en larmes. Et lorsqu'il vit le policier, il ne fit pas comme d'habitude a l'ignorer, a rester dans son monde... Non... celui ci venait d'etre brise et le jeune homme venait d'etre brutalement confonte a une realite qu'il ne voulait pas. Il regarda le policier, et sourit, mais pas un sourire normal, un sourire desespere, il eclata de rire, un rire nerveux, en s'approchant du policier qui ne savait pas trop comment se comporter. Maintenant il etait peut etre dangereux. Il avait sa matraque, a portee de main. Mais Keiko fut le plus rapide.

Il lui sauta a la gorge, mais une fois le policier immobilise sous lui, il se mit surtout a le frapper avec une rage desesperee, les larmes toujours sur ses joues, criant

"Pourquoi ?! Pourquoi ?! Rendez la moi !! Rendez la moi !!"

Inlassablement, il repetait ces memes mots. Mais le policier reprit vite le dessus, Keiko n'avait pas beaucoup de force, a cause de son alimentation peu equilibree, et le plaqua au sol, puis apella les autre spar la radio, essayant de garder Keiko immobile, mais il se debattait comme une anguille ce qui etait tres dur pour le policier. Finalement les collegues arriverent, et passerent les menottes au jeune homme, qui pour la premiere fois depuis des mois laissa le parc, et l'oeuvre. Il se laissa faire lorsqu'il monta dans la voiture, les yeux fixes

Au commissariat, la mere retrouvait enfin son fils. Elle le serrait contre elle, elle l'inondait de baisers, mais lui ne bougeait pas le petitd oigt, restait le regard fixe devant lui, la mine sombre. Il n'avait plus prononce un mot depuis quelques jours. Mais le commissaire ne semblait pas vouloir le laisser en prison. Il le fit passer devant un psychiatre qui ne tira rien d;autre lui... Il semblait presque autiste, completement coupe du monde cette fois. Plus indifferent, mais aveugle a ce qu'il voyait. Meme en refermant violemment une porte derriere lui, on ne tirait de lui aucune reaction, aucun sursaut... Il fut decide qu'il ferait un petit sejour en un centre specialise, avec l'accord de la mere quivoulait revoir son fils comme avant qu'il parte, au pire... ou au mieux gueri et pret a recommencer une nouvelle vie.

La vie au centre fut particulierement difficile. Deja, il fallut tirer de lui des reactions. Des gestes. Il fallait le faire manger.. Au depart on le traita comme une vieille personne qui etait un peu amorphe et ne pouvait plus manger toute seule... Au moins avalait il sans trop rechigner lorsqu'on lui fourrait la nourriture dans la bouche. Mais rien de plus. Il passait le plus clair de sa journee a dormir, sauf quand on lui donnait des medicaments senses le stimuler un peu. Mais rien, rien. Enfin au depart, pendant quelques mois. Apres, les efforts des medecins et des infirmieres porterent leurs fruits. Keiko finit par repondre un peu aux appels, il etait moins renferme sur lui meme. Il souriait meme parfois. Les infirmieres le trouvaient en plus beau garcon, alors le voir sourire etait un beau cadeau pour elles. En plus ce centre acceuillait surtout des eprosnnes agees qui avaient du mal avec la vie en societe, pas des cas tres interessants en general, ou des jeunes personnes presentant des troubles du comportement. Comme lui. Keiko finit apr se montrer un peu plus agreable, mais il restait un peu dans son monde, et semblait totalement impermeable a ses souvenirs d'avant, ne semblait se souvenir de rien. Surtout pas du parc. Il s'etait fait une barriere, tout seul, pour oublier le parc, pour oublier Sonia. Pour oublier que sa realite n'etait pas la realite des autres. Il restait dans son monde, s'y confortant. Il n'avait rien vu, rien entendu. Sonia n'avait jamais existe dans son monde... Jamais...

Il reprit donc ses bonnes vieilles habitudes. On ne reussit pas malgre les essais a soigner cela. Il etait renferme de nature, et ce n'etait pas une maladie a proprement parler. On ne pouvait pas le garder indefiniment... Alors il fut rendu a sa mere. Keiko la reconnut plutot, comme un vague souvenir, ce qui la ravit. Lui qui semblait ne jamais se souvenir, lui qui semblait totalement ferme, il commencait finalement a s'ouvrir au monde. doucement. Elle deposa en se hissant sur la pointe de spieds un baiser sur le front du garcon. Il referait sa vie, alors. Tout se passerait bien.

Mais bon tout recommenca comme avant, et Keiko continua a vivre chez ses parents sans autre contact avec le monde. Mais il aimait ses parents, vraiment cette fois. Il se souvenait bien d'eux.. Il prenait ocnscience de son probleme, de son decalage mais ne parvenait pas a s'en extirper. Il avait par contr eoublie comment lire, comment ecrire et sa mere essayait de lui redire les bases, tout doucement. Il vecut bien, pendant un an, et reapprit les bases d'un enfant de primaire. Mais il ne voyait jamais perosnne. Pourquoi? Parce qu'il n'en avait pas vraiment envie pour le moment. Les autres l'indifferaient toujorus un peu, il ne devait pas aller trop vite dans se reinsertion. D'abord retrouver son cocon familial, puis les autres. Et le pere s;extasiait toujours devant le garcon, en lui donnant cette fois des claques dans le dos et lui disant qu'il plaira sans doute aux filles quand ils era a l'universite. Ce qu'il ne disait pas a Keiko c'est que quand il aura le niveau pour y aller il aurait peut etre plus de trente ans. Alors le fils s'accrochait a cet espoir, meme si il avait toujours un peu peur des autres.

"Tu es sur?
-Oui oui, et le prof a fait une de ces tetes !"

Keiko revisait tranquillement. Il etait dans le jardin, qui donnait directement sur un parc plutot frequente, mais pas cleui ou il s'etait refugie plusieurs mois durant. Il revisait les calculs simples a ce moment la, ce qui lui semblait fort fastidieux. Les additions, les osustractions, tout se melangeait dans son esprit ce qui lui donnait mal au crane. En plus le soleil tapait fort. Les rires et les paroles qui venait de lui faire lever le nez de ses cours etaient des paroles de personnes de son age, ou moins, assis dans le parc sur une table de pique nique. Ils etaient vraiment heureux, lui semblait il. Ils etaient bien soudes. C'etait ca des amis? Parler et rire ensemble? Il se prit a rever, les fixant pendant une bonne dizaine de minutes, et regardant a droit a gauche si ses parents etaient la ou non, et franchit la petite barriere. Il s'assit a une autre table, et se mit a plus ou moins continuer de reviser, jetant quand meme des coups doeil appuyes dans la direction des autres. Ceux ci commencerent a sentir ce regard dans leur dos, et remarquerent le jeune homme. C'etaient des gens peu frequentables, mais Keiko lui ne le savait pas, pourquoi s'en serait il doute? Ils s'approcherent, et Keiko cacha ses cahiers imperceptiblement. Il ne fallait pas qu'ils voient. Il se moqueraient. Il tenta de leur adresser un sourire. Les trois personnes se consulterent du regard, se jetant des coups d'eoils amuses. Keiko prenait cela pour de la joie...non? Ils semblaient gentils. Une fille au cheveux blond platine s'assit sur la table ou etait Keiko, et lui demanda

"T'es du coin?"

Keiko esquissa un sourire, enfin un semblant de sourire, rougissant a vue d'oeil et balbutia

"Je suis de... de la maison la..."

Il montra son jardin, visible d'ici, prenant un peu plus d'assurance. Si il etait du quartier cela voulait dire surement qu'il serait plus accepte... Les jeunes gens se chuchoterent des choses. Il ne comprit pas. Peut etre se consultaient ils pour savoir si ils lui parleraient ou non... Mais la fille sembla etonnee, et le regarda comme si il etait un animal de foire. Le jeune homme lui sourit, toujours gene par tous ces regards insistants. La fille lui demanda

"Et tu t'apelles comment?"

Keiko mit son bras sur son cours, pour etre sur que perosnne ne le voyait, et repondit d'une voix qui se voulait assuree

"Keiko. Keiko Ehi'No."

Les deux garcons hausserent les sourcils, l'un d'eux s'exclama

"Tu viens d'ou pour avoir un nom aussi etrange?"

Keiko se faisait de moins en moins sur de lui...

"De.. de la bas.... la maison la bas... je vous ai dis...."

Il rit legerement apres sa phrase, un peu nerveusement. Les deux garcons prirent cela pour de l'humour et sourirent legerement. La fille s'approcha un peu plus et lui lanca un clin d'oeil.

"Et tu fais quoi la? Ce sont des cours?

-...Oui, oui.

-Des cours de quoi, vu ton age tu dois etre a l'universite, tu veux faire quoi plus tard?"

Keiko baissa la tete vers ses cours, il les serra contre lui, et dit d'une voix etranglee

"Je suis des cours de botanique... Les ... les.. euh... insectes me ...... fascinent....."

Dans son esprit les voix inquisitrices des jeunes gens ressemblaient a celles de monstres, ou pire a celles de policiers, comme ceux qui l'avaient interroge la nuit ou il avait ete repris, sans aucun resultat. Il voulait se refermer sur lui meme, et ses mouvements le montraient, il courbait l'echine, baissait la tete vers la table, tout rouge... Ces gens lui faisaient peur, ils essayaient de forcer la porte de son monde...

"Botanique? Cool! Montre voir!"

Un des garcons s'empara du cahier. Keiko dans un mouvement de panique tenta de lui reprendre, avec violence, mais l'autre tira aussi et finit par avoir le cahier. Il l'ouvrit au hasard, et tomba sur les exercices de chiffres que faisait Keiko. Il le montra a ses amis, sans commentaires... Lorsque chacun l'eut devant les yeux ils rirent de concert. Des rires mechants, qui penetraient dans l'esprit un peu malade du jeune homme comme des pieux dans son ame...

"Des cours de botanique, ca?
-Tu fais les cours de ton frere pour l'aider?
-Non c'est marque son nom dans la marge
-Alors c'est ca ta botanique?
-Trop drole, alors monsieur est un retardataire?
-Retardataire de quelques annees ouais!
-Et regarde, il dit rien pour se defendre!
-Y'a que la verite qui fait mal, hein?
-ARRETEZ!"

Keiko venait de leur arracher le cahier, et le serrait maintenant contre lui, les larmes remontant a ses yeux. Pourquoi le monde etait il si cruel? Lui il voulait seulement se faire des amis. Mais ils etaient sans doute plus intelligents que lui... Ils... Ils avaient sans doute raison de le trouver stupide... Il etait inintelligent, pour eux... Il se retourna, et se mit a courir, son cahier serre contre son torse, retenant ses larmes. Le jeune homme entendit les autres rire, et aller vers lui. C'etait si drole apres tout de s'amuser avec un adulte a l'esprit pas comme les autres. Keiko courait vite mais il sentait bien que ses poursuivants le rattrapaient. Il essaya de courir plus vite encore mais faillit se tordre la cheville en trebuchant sur une racine. Le jeune homme finit par arriver en ville. Il entendait les autres courir derriere lui, il commencait a s'essouffler. Les gens ne faisaient rien ils consideraient sans doute que Keiko etait assez grand pour se defendre seul. Et puis ils ne voulaient pas se meler aux affaires de cette bande, un peu dangereuse. Keiko au debut pensait faire un tour histoire de les semer et se refugier chez lui... Mais comme ils ne se faisaient pas semer il essayait de courir le plus vite possible, en tournant le plus souvent possible dans les petites rues, faisant attention que ce n'etait pas une impasse... Mais bien vite il prit une rue, qui petit a petit se retrecissait,s e retrecissait. Un grillage au bout, qui donnait sur un jardin, avec une maison. Il se plaqua contre la grille. Les autres etaient au bout de la rue, et le regardaient. Alors leur proie du jour etait elle coincee? Ils se mirent a courir pour l'attraper, alros Keiko decida de passer au dessus du grillage, et se mit a courir, dans le jardin. Les autres firent de meme. Alors Keiko sonna, une fois, deux fois. Rien... Rien... Il regarda en arriere. Ils etaient a seulement quelques metres. Sans reflechir, il essaya d'ouvrir la porte. Elle obeit a son geste et pivota lorsqu'il appuya sur la poignee. Les voyous s'arreterent, semblant plutot effrayes de cette grande maison... Ils commencerent meme a rebrousser chemin. Le laissant ttranquille. La aurait pu etre sa derniere chance mais il ne les vit pas, et son cahier a la main il entra tout de suite, refermant la porte derriere lui...
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Keiko Ehi'No _
MessageSujet: Re: Keiko Ehi'No   Keiko Ehi'No Icon_minitimeMer 7 Nov 2007 - 20:49

Caractère : Keiko est quelqu'un de relativement etrange. Il n'est pas un assassin asssoiffe de sang qui attend la premiere occasion pour vous arracher les yeux et les piquer sur des pointes d'aperitif pour en faire un en-cas. Parce que ce genre d'assassin est generalement peu courant dans ce monde. Eh oui. Ou alors ils sont souvent attrapes et mis en asile psychiatriques. Keiko est juste bizarre, on le dirait excentrique, comme il n'aime pas ne pas se faire remarquer. Bon. A part qu'il s'habille d'une facon TRES excentrique cela ne se voit aps au premier abord qu'il n'est pas comme les autres. Mais si on l'observe un peu on a vite un elan pour fuir en se demandant qu'est ce que c'est que cette chose. Keiko est lunatique, on se demande meme si il a un caractere parce qu'il change beaucoup, peu de gens arrivent a vraiment le cerner sous ses changements perpetuels d'attitude. Mais en general il est plutot calme, et a un doux sourire aux levres. En general a ces moments la ses passes temps favoris sont d'embrocher les insectes sur des fourchettes ou de mettre un peu de bouillie de limace dans le verre de quelqu'un, qui trouve generalement apres que sa boisson etait un peu forte, mais aps mauvaise apres tout. Comment ca il faut respecter les insectes? Keiko les respecte oui, autant qu'il respecte les humains. Mais comme il ne peut pas embrocher des gens sur des fourchettes ou les reduire en bouillie alors il ne le fait qu'aux insectes. A ces moments il parle peu, n'explique pas vraiment ses gestes et si il parle c'est surtout tout seul. Fou? Pas vraiment, mais il est enferme dans son monde et y restera volontiers.

Keiko n'est donc pas tres curieux de ce qu'il se passe en dehors de lui et de ses occupations, il n'ira pas fouiller dans les affaires des autres, cela ne l'interesse absolument pas. Meme si on lui demande. Cela n'est pas dans son interet, cela ne rentre pas dans son monde pour lui c'est quelque chose de totalement ininteressant, comme si on vous demandait de faire un expose sur la limace bicolore d'Antarctique. Ah bon ca vous interesse vous? Bon ok j'ai pris un exemple pourri. Mais il n'empeche que don Keiko ne se sent pas implique avec les autres. D'ailleurs il n'ira pas leur parler, il ne se rapellera en general pas de leur nom, meme si la personne lui reparle moins d'une heure apres. Mais il n'ira pas leur redemander, comme dit plus haut ca ne lui semble d'un interet nul. Hautain? Un peu peut etre mais il ne s'en rend pas compte, qu'il est dedaigneux envers les autres. Ca fait partie du decor, comment se lier avec un decor? Vous parlez souvent avec un decor?.... Oui? Bon d'accord j'ai encore choisi un exemple pourri, mais vous etes VRAIMENT des gens bizarres, vous aussi.

Il lui arrive d'etre triste, pour une raison qui echappe a nous personnes normales. Non pas vous, vous vous etes bizarres. Alors peut etre le comprendrez vous mieux que moi. Dans ces moments il s'implique peut etre un peu plus avec les autres, parce que malgre tout c'est un humain, et il a besoin de reconfort. Mais cela ne change pas, il ne se rapellera pas de votre nom une fois son chagrin oublie. Enfin c'est dur de lui faire oublier ses tristesses car il est peu explicite. Enfin... disons aussi qu'il est dur d'avoir envie de le reconforter. Parce que... pour lui sortir toute sa tristesse c'est jeter des trucs sur les gens, les frapper, les pietiner, user de son pouvoir sur eux. Il semble en colere a ces moments, alors qu'il est juste triste. Non c'etait juste pour vous dire qu'il ne vaut mieux pas essayer de decrire sa colere, c'est trente fois pire. Mais trente fois plus rare. Il arrive aussi a Keiko d'etre heureux, voir euphorique toujours pour une raison qui echappe au perosnnes normales. Non non toujours pas vous. A ces moments, il est plutot doux come un agneau, et s'implique aussi plus avec les autres, en les embetant gentiment. Mais la limite entre gaiete et tristesse chez lui est tres.. mince. Si on le repousse quand il est joyeux il devient triste et si on accepte de se faire taper il peut vous faire des calins juste apres, en chantonnant.

Et peu a peu, on peut se faire accepter dans son monde.. si on joue souvent a empaler des insectes, a cote de lui lorsqu'il le fait.. peu a peu il vous integrera, comme un nouveau personnage, et peut bien vous aimer, et meme bien vous parler, et vous aimer. Mais cela ne s'est vu qu'une fois. Juste assez pour qu'on voie que ca marche. Qui que l'on soit, meme si on est un sale fourbe et que l'on se nomme Elthyra. Oui, meme comme ca. ca veut dire n'importe qui. Keiko est donc quelqu'un d'etrange, enferme dans son monde, et tant que lui vit se fiche bien des autres. Enfin meme sa vie lui parait bien futile, et si il la perd ou risque de la perd il ne s'en rendra pas compte. Un peu d'innocence etrange dans ce monde de brute.

Oui je sais, vous le trouvez normal, mais taisez vous vous, je boude ¬¬



Pouvoir : Il pervertit (sens => faire changer de bien en mal, denaturer, et pas autre chose hein) ce qu'il touche, par exemple le bois pourrit, le fer se rouille, la chair s'infecte etc



Alter Ego Astral : Une chouette hulotte apellee plus precisement Strix aluco. Mais non c'est pas son nom, c'est l'espece, vous avez du mal a suivre aujourd'hui on dirait. Le nom qui lui a ete donne par Keiko est Viviane.



Physique : Keiko est plutot... grand. Malgre son caractere completement gamin, il est grand, environ un metre quatre-vingt-sept, mais il ne s'est pas mesrer ou fait mesurer depuis un moment, ce n'est qu'une rapide approximation. Il a la peau un peu mate, pas cadaverique comme beaucoup de gens, un peu seche, parfois la peau s'enleve un peu, surtout sur les mains parce qu'il s'amuse a la mordiller parfois ce qui lui donne l'air de muer tout le temps. Mais en general il a des gants. Alors cela ne se voit pas trop. D'ailleurs malgre tout il se couvre beaucoup, car il craint le froid, n'aime pas du tout le changements de temperatures brusques et violents, ce qui le fait en general se recroqueviller dans un coin pour avoir un peu de chaleur. Ou alors il foutra le feu a n'importe quoi, a vos chaussures, a de l'herbe, tout pour avoir un peu chaud. Oui je sais apres ca fait des incendies mais lui s'en moque un peu, en plus faire du feu l'amuse, laissez le jouer. Sans son caractere special il serait plutot attirant, il n'est pas laid, ni non plus trop beau. Keiko a des cheveux bruns avec des reflets legerement roux, raides et rebelles qui partent dans tous les sens. Ils ne font pas vraiment de noeuds malgre que Keiko se coiffe peu souvent, ce qui serait un plus si il prenait vraiment soin de lui. Il a des yeux noirs, aux reflets d'ambre, qui est la partie de son visage la plus attrayante, de part la rarete et la beaute de ces deux yeux. Il voit peu de l'un d'eux, mais cela ne le gene pas, enfin ne le gene plus pour evaluer les distances. Il a un nez fin sur ce visage paraissant petit avec la masse de cheveux qu'il a sur la tete. Ses levres peu charnues se fondent dans son visage, discretes. Keiko a peut etre les oreilles legerement decollees parait il, mais ce n'est que parce qu'il met des meches de cheveux dessus que ca cree cet effet la.

Sinon, malgre tout il est plutot fort physiquement, meme si il ne se sert pas souvent de sa force et ne s'en rend aps bien compte. En general si il fait mal a quelqu'un sans qu'il soit triste c'est qu'il ne la pas fait expres. Ses doigts sont... banals. ni trop longs, ni trop courts, ils sont toujours un peu erafles, comme dit au dessus, et souvent plein de terre, mais sinon il n'y a rien de special a signaler. Keiko a par contre des jambes tres longues, comme des allumettes car elles semblent un peu filiformes. Cela lui donne un air un peu degingande, mais pas feminin pour autant.

Du point de vue des habits les choix de Keiko sont un peu anormaux egalement. Lorsqu'il est rentre dans le pensionnat, il portait son habituelle echarpe d'un blanc sale decoree de motifs faits par lui meme. C'est une tres longue echarpe, qu'il enroule plusieurs fois autour de son cou et il s'en couvre parfois le visage. Il portait egalement une sorte de cape rougeatre, attachee sur le cote par un morceau de cuir qui lui passe sous le bras. Sinon il porte une sorte de veste brun fonce, presque noire, et un pantalon assorti, avec une ceinture blanc casse aussi. Il ne se separe quasiment jamais ni de son echarpe ni de sa cape, car il est frileux, ou etiez vous les 20 lignes precedentes pour si peu suivre?

Bon j'arrete la vous m'enervez, dites-moi surtout si ce que je raconte ne vous interesse pas.

Passion : Parler tout seul, jouer avec des insectes



Pour avoir le personnage :

Avez-vous bien lu les règles ? Oui mais personellement votre affirmation comme quoi "Bob l'eponge est trop sexy avez son petit short" me laisse perplexe sur les pensees des admins XD (pas taper é_è)

Où avez vous trouvé ce forum ? Mon jumeau astral m'a confie l'adresse

Est ce votre premier perso...
♦ ...Dans un forum RP ? Nan ^__^'
♦ ...Dans ce forum ? Oui ^-^

hm, desole de faire aussi court
desole aussi mais je n'ai point d'accent sur mon clavier ^_^ et que j'ai disons... la flemme, de copier coller les accents T_T
Et desole aussi pour le delire que je me fais pendant toute cette fiche xD XD
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Emily Johanson S.
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Keiko Ehi'No _
MessageSujet: Re: Keiko Ehi'No   Keiko Ehi'No Icon_minitimeMer 7 Nov 2007 - 21:02

Citation :

Avez-vous bien lu les règles ? Oui mais personellement votre affirmation comme quoi "Bob l'eponge est trop sexy avez son petit short" me laisse perplexe sur les pensees des admins XD (pas taper é_è)

HAHA JLE SAVAIS QUE CE CODE ETAIT STUPIDE !

(le petit commentaire sur une certaine mollusque juste à côté est de moi 8D)

Huu, vu les playeurs qu'il y a, je crois que je vais mettre ma flemme de côté d'ici peu ^___^


Bref, Accepté =D (et en masochiste que je suis j'irais sans doute répondre à ton entrée 8D)

Edit : Et pis d'abord, celle qui a choisit le code n'est PAS admin : sont assez folles pour me mettre MOI, alors elles vont pas faire une telle erreur deux fois XD
Edit de la mollusque en question ; Qu'est-ce qu'il a mon code ? ;_;
Edit de Mif' : C'était pas le code de DD ? o.O
Edit Bella 2 ; Non, Dayday n'est pas assez stupide pour dire ça...
Edit de Mif', deuxieme édition : Si, je me souviens que DD avait proposé des trucs aussi débiles n___n Si ce n'est plus. Surtout que t'étais pas là, ne te permet pas d'affirmer ainsi è_é
Edit Bella 3 ; DD redescend dans mon estime, d'un coup.
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