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 Lit en marchant (Libre)

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Lit en marchant (Libre) _
MessageSujet: Lit en marchant (Libre)   Lit en marchant (Libre) Icon_minitimeMer 27 Aoû 2008 - 8:28

Voila maintenant un an exactement que la jeune fille etait arriver, elle avait deja a l'époque, cette maladresse, qui la rendait si...Unique ?Oui c'est cela, unique, comme elle l'avait toujours été ! De plus son style de vêtement était incopyable...Un nouveau chaque jours, exepte ses deux look preferer, celui de la petite gamine sage comme une image, et celui de la jeune ado rebelle et sombre, mais les deux lui allait a ravir !
Cette jeune fille vetut d'un short simple noir, une chemisier blanc, et une grande vest sans manche noir, qui lui arrivait jusqu'au cheville pour laisser le bout de ses baleries noire sortir, un livre en main, elle lisait en marchant dans le parc...Un livre de citation, elle rigolait et delirais parfois toute seule...Pour elle il etait si tot que personne n'était dans le parc..mais..est ce que cela était vrais ?
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Lit en marchant (Libre) _
MessageSujet: Re: Lit en marchant (Libre)   Lit en marchant (Libre) Icon_minitimeMer 1 Oct 2008 - 16:38

[hj: ouais ouais, je sais que je débarque un peu nowhere comme ça, là, mais bon ^^" Ça dérange pas que je réponde? O.o]

Citation :
Et il était là, encore une fois
Surplombant le monde, Dieu des Rois
Sa beauté chrysalide laissait des reflets froids
Permettant de voir enfin la cause de ce terrible effroi

Dehors, on pouvait affirmer qu’il faisait froid (quand même). Toutefois, la beauté du jardin n’en était que plus resplendissante, les petits éclats de givres conféraient des petits scintillements presque surnaturels à l’endroit. Ce lieu, comme mentionné ou bien deviné par le lecteur ^^, avait un charme qui avait d’abord intrigué Rémy qui contemplait ce joli spectacle depuis la fenêtre de sa chambre, et depuis quelques jours déjà. Aujourd’hui, il y était, en chair de poule et en os frigorifiés, sur un banc aussi glacé que la terre sous ses pieds nus. C’était un peu étrange à dire, mais le jeune Bladwin, qui en fait s’approchait dangereusement des 18 ans, n’avais jamais osé porter les souliers qu’il avait trouvé dans ses tiroirs sous son lit. Et bien que ses anciens souliers fussent devenus trop petits, il s’était refusé catégoriquement à porter les souliers d’un autre, surtout ignorant qui était cet individu (peut-être était-ce un mort! O.o).

Bref, nous en étions dans le jardin de givre. Peut-être que l’endroit était un peu moins névrosé que le prétendait Nelligan, mais sans aucun doute il apportait inspiration et réflexion à celui qui le contemplait. Du coup, notre jeune homme avait sortit une feuille de papier et avait commencé à griffonner quelques vers d’une écriture qui lui était bien propre. Sa calligraphie était en fait comme sa personne, bien mystérieuse. Changeante un peu selon la position de son épaule, souvent inclinée et les lettres étaient parfois attachées ici et là selon une convenance de rapidité spécialement trouvée par un écrivain expérimenté. De là, ne nous laissons pas méprendre, Rémy n’était aucunement auteur de quelconques ouvrages. Non, car probablement la seule chose dont il eut été l’auteur jusqu’à présent, c’était de son malheur.

Après avoir passé plus d’un an dans ce foutu pensionnat où la mort jouait avec un peu tout le monde, et sans demander la permission en plus, Rémy n’était pas ce que l’on pouvait définir d’un enfant heureux. Au moins, il avait quelques amis… Il avait aussi son poussin, Edwin, qui tous les jours raffermissait de plus en plus son plumage doré. Cependant, les choses étaient bien loin d’être roses au Pays, surtout depuis le stupide événement qu’une majorité de pensionnaires avaient enduré, ici nous faisons référence au kidnapping dans la clairière où leur avait été présenté l’objectif général « du jeu », qui était de s’entre-tuer ou bien de mourir dévoré par la bête. Et oui, tel avait été le destin de notre anti-héro; finir entre les crocs d’une créature dont il n’avait même pas eu la chance d’apercevoir…

Après avoir vaincu la mort par un réveil dans la salle Yume, c’était là qu’avait débuté son véritable cauchemar : ses peines n’étaient pas finies, il était toujours dans ce manoir qu’il détestait tant.

Citation :
Il réchauffe, il échauffe
La colère et les cris
Voilà son regard maudit à bout de souffle
Tout finira cette nuit dans un tourbillon de gris

Rémy était, somme toute, loin d’être un bon poète, mais était au moins un penseur respectable. Il avait de belles idées, un peu trop contemporaines pour l’époque dont il était issu, mais tout de même, à retourner chez lui, il serait membre de l’avant-garde rationnelle. Ceci était bien normal quand on rencontrait toutes sortes de gens qui venaient des endroits les plus inusités les uns que les autres. Appuyé sur le bras du banc en métal, l’inconfort était endurable pour le moment, ainsi le garçon aux cheveux bruns s’accorda un moment de répits et ferma un peu les yeux.

C’était impressionnant ce que la vue du soleil levant pouvait procurer chez lui. Il aimait bien écrire tout ce qui lui passait par la tête. Si ses bribes de réflexions passaient par-là, c’était qu’il pourrait peut-être essayer de comprendre ce qu’il pensait vraiment. Ainsi, toujours un peu ébranlé par l’horrible expérience de mort qu’il avait connue il y avait cela près d’un an, Rémy avait réalisé quelque chose au cours de son cauchemar, quelque chose qui animait en lui une douce fureur qu’il entretenait presque: il était toujours au Manoir des I, mais en plus, il était seul au milieu d’une foule. C’était assez drôle parfois, quand il y pensait. Il n’aurait jamais cru que c’était possible ce genre de belles phrases, que s’eut été applicable à lui, Rémy Baldwin, fils de fermier, et ordinaire individu qui émergeait, en toute apparence, des années 1700.

Citation :
Aux égards du temps
Voyez les méandres du présent
Soufflez jusqu’à bout de forces tout ce vent
Vous devez quitter dès maintenant

En ce moment précis, Rémy avait l’impression d’avoir connu la Peste Noire, de la vivre même. Car comme nous le disions précédemment, il n’était pas heureux. Au cours de son rêve éveillé qui était plutôt mauvais rêve, l’adolescent aux regards profond avait également découvert enfin son pouvoir, il y avait de cela enivrions un an. En fait, contrairement aux autres, pensait-il, son pouvoir n’avait rien d’un don ou d’un talent presque magique, c’était en fait une véritable malédiction, ce qui avait renfrogné davantage notre pauvre ami.

Et voilà, c’était la fatalité, même pas encore six heures qu’il avait le moral fracturé. Misère. Mais bon, que voilà qui arrivait en faisant peu de bruit? Rémy ouvrit les yeux et remarqua une silhouette s’avancer dans sa direction.

- On avait envie de se lever tôt aujourd’hui?
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Lit en marchant (Libre) _
MessageSujet: Re: Lit en marchant (Libre)   Lit en marchant (Libre) Icon_minitimeDim 16 Nov 2008 - 17:42

Je me suis réveillé trop tôt se matin... Le soleil pointe à peine à l'horizon quand mon deuxième pied foule le sol du parc. Il fait frais mais c'était à prévoir. J'avais donc pris un manteau accroché par magie sur un porte manteau. Un long manteau de skaï noir me couvrant jusqu'au bas des jambes. Pourquoi en me levant la vue du parc givré m'avais donné envie de m'y rendre? Un jean, une chemise blanche, mes chaussures, le fameux blouson, puis la porte, le froid, les souvenirs...

Il me fallu quelques minutes pour que tout me revienne. C'était il y a un an... Un rêve glauque commun. Un jeu morbide dont je fus la victime. Ma mort avant mon réveil dans une salle brumeuse ou tout le monde était allongés. La clairière, le monstre puis des gens... Fay, oui, et Kurogane. Et d'autre dont je ne me rappelle que la vue.

Bien noires pensées pour se clairs matin. Je repris ma marche. L'herbe crissait sous mes pieds. L'air était froid. Mes ailes recroquevillés cherchant à ne pas être exposés à tout vent. Les arbres dansaient. Puis je vis apparaitre un lac. Le lac noir. Je revis mon combat contre Kurogane. Ma défaite inévitable et cette épée s'abattant sur mon épaule. Je revis ma démarche funeste, le sang perlant sur la neige. Je suivis de quelque mètres là silhouette de mes souvenirs. Puis la chute dans le lac sans une vague. Arrivé à cette hauteur je scrutas l'eau. Une plume blanche passa et, un pincement au cœur je repris ma route.

"Full moon sways
Gently in the night of one fine day

On my way
Looking for a moment with my dear
"


Je remontais maintenant le la colline givré quand je vis deux personne apparaître. Une assise sur un banc, l'autre debout en face de moi. On se serai donné rendez-vous qu'on n'aurai pas fais mieux. Une voie d'homme accueilli l'arrivant. Sur le banc était un homme qui ne me semblait pas inconnu. Face à moi, une jeune fille. Lui écrivait, elle lisait des dictons. Maintenant, nous étions tous à distance respectable.


"Au moins, nous sommes trois à qui l'avenir appartiendra."
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MessageSujet: Re: Lit en marchant (Libre)   Lit en marchant (Libre) Icon_minitimeJeu 25 Déc 2008 - 5:49

C’était presque magique de les voir ainsi émerger de la clarté naissante. D’abord, s’était une jeune fille aux longs cheveux blancs. Elle était douce. Un peu comme une brise printanière. C’eut été bien étrange de considérer cela, mais l’évidence sautait tellement aux yeux de Rémy qu’il ne pouvait en faire autrement. Oui, cette jeune femme dont il ignorait complètement le nom, l’identité et la couleur de chaussettes, était quelqu’un qui lui donna une sorte de décharge électrique. Ce n’était pas de l’affection ou encore le « fameux coup de foudre » dont certains parlent souvent. C’était un peu comme un souffle nouveau qui entrait en lui.

C’était dérangeant en fait. C’était différent, froid. De sorte que le garçon aux cheveux bruns se mit à ressentir pleinement son environnement d’un seul coup. Il sentait ses pieds qui avaient froid, il sentait la douleur dans son épaule et son bras causée par le membre métallique du banc. Toutefois, il ne sentait plus réellement ses orteils ou son dos sur les planches trop dures qui appuyait tout son corps.

Bizarrement, la nouvelle venue demeura interdite malgré la remarque qu’il venait de lui lancer. Rémy se savait pas très extraverti, mais là, c’en était presque vexant… Oh. Mais qu’est-ce qu’on entendait soudain? Quel était se petit froissement léger et discret? C’était peut-être cela qui avait distrait la jeune demoiselle.

Citation :
"Au moins, nous sommes trois à qui l'avenir appartiendra."

Les deux personnages de la scène tournèrent simultanément la tête en direction d’un autre étranger. Étranger? Rémy plissa des yeux pour bien ajuster ses pupilles. Quand bien même qu’il y ait eu des centaines des gens étranges dans ce Manoir Maudit, il n’y en avait quand même pas des milliers qui portaient des ailes rattachées dans le dos!

- Tu parles d’avenir, ça me rend triste…

Au moins, sur ce coup là, notre ami venant de la ferme avait été franc. Être encore en vie dans le moment était très restrictif dans le moment, surtout qu’il n’y avait aucun moyen de réellement trouver le bonheur dans ce pensionnat. Plusieurs semblaient l’oublier, contrairement à lui : ils étaient prisonniers. Ils étaient les victimes d’une injustice cruelle et qui n’avait pas lieu d’être. Rémy plia son cahier d’écriture et le glissa sous son bras. Maintenant qu’il y avait des gens, s’aurait été impoli de faire autre chose en leur compagnie.

- Je ne t’ai pas réveillé en quittant notre chambre toujours?

C’était sans doute pour cela que le garçon-ange se trouvait là; il voulait lui faire la morale et lui rappeler les politiques civiques. Pourtant, il était certain d’avoir fait très attention en sortant de la pièce, en refermant la porte derrière lui. Et puis, en lui posant la question, c’était un peu comme s’il voulait bien se racheter de sa réponse plutôt brusque au moment de sa venue. Il n’avait pas été très diplomate et encore moins jovial.

Citation :

Si tout le monde avait des ailes
La vie en serait-elle plus belle?
Il faudrait sentir ce soleil de plus prêt
Essayer de vivre hors de ce temps d’arrêt

Voilà, maintenant que son cahier était sous son bras et son crayon coincé entre sa tête et son oreille, l’inspiration lui venait plus aisément encore. Histoire de modérer son envie d’écrire, le jeune homme pianota légèrement des doigts sur le banc à côté de sa jambe. Il ne portait pas non plus trop attention aux deux autres, car il avait peur d’oublier ces quelques mots qui semblaient déjà pâlir dans son esprit. Il fallait qu’il les garde à tout prix! Il aurait fallut qu’il les conserve…

Peut-être qu’un jour il arriverait véritablement à écrire quelque chose de bien… mais si toutes ses idées s’envolaient de la sorte, il était assez mal parti!

#... S’envolent…#


Oui, il était question des ailes. Longuement, et d’une manière assez inattendue, Rémy fixa l’autre gars qui était resté debout à une distance considérable. Était-il en train de l’évaluer et de le juger? Oui et non. Oui dans le sens où l’on ne peut vraiment essayer d’apprendre quelqu’un sans associer cette même personne à quelque chose que l’on connait, et par conséquent, ce que l’on connait nous défini. Il s’agit donc d’une impression personnelle annexée à autrui. Toutefois, l’objectif n’était point de classifier, mais plutôt d’éclairer… Rémy en était à se demander si ce garçon pouvait vraiment voler avec ses ailes, si ça lui faisait mal parfois. Certaines nuits, il l’entendait gémir dans son sommeil… Rémy ne dormait pas beaucoup alors il avait tout le loisir de remarquer. Cependant, il se rendit compte bien vite de son comportement peu discret et s’empressa de détourner le visage, gêné par son attitude.

- Désolé, j’étais dans la lune…

_________
:roule les yeux dsl du délais
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MessageSujet: Re: Lit en marchant (Libre)   Lit en marchant (Libre) Icon_minitime

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