Malheureusement Garry n’avait pas le sommeil lourd ; surtout que la position dans laquelle elle était installée n’était comme qui dirait pas très confortable, et le claquement des tiroirs réussi à lui faire ouvrir les yeux et plus encore ; en sursaut, et c’est bien la le problème, parce que se faire réveiller c’est agaçant, et subitement encore plus ; ce que fit comprendre tant bien que mal la jeune femme dans un style très personnel par un mot peu clair mais tout à fait sonore:

«Abruti, je dors...»

Et évidemment, ce n’était pas le tout ; elle avait les muscles douloureux, une tête chiffonnée, et une robe tachée ; bref, c’était pas très joli joli ce amplifiait d’autant plus sa mauvaise humeur. D’un revers de manche peu distingué elle commença par essuyer la bave au coin de sa bouche, et lâcha d’un ton amer :

« ...mais. » Acheva-t-elle, parce qu’a l’évidence, elle ne l’était plus.

Elle se leva donc, essora sa robe, geste pas très élégant mais très utile pour ne pas qu’elle finisse avec un milk-shake dans ses super-bottes-toute-neuve-fash!OoN, jeta un regard a la personne qui l’avait tiré du sommeil, et réalisa que c’était un...EXHIBISIONNISTE !

« Mais, vous êtes dingue ou quoi ?! C’est degue...dégoûtant !»

Il devait être un peu fou. Ou un peu pervers. Ou elle était une imbécile paranoïaque. Non qu’elle soit prude, mais voir un corps transpirant au milieu d’une cuisine, juste après son réveil, ça secouait un peu, et, brr, si c’était un immonde vicieux qui aurait essayé de la violer pendant son sommeil, et...et si il y avait des enfants dans le coin ?! Ca pouvait tout aussi bien être un vieux pédophile fétichiste qui se prenait pour...pour quoi, avec son bandeau sur la tête ?! Ce n’était vraisemblablement pas un accessoire de mode –elle l’aurait su-, et étant donnée que la culture samouraïesque de Garry était inexistante, la première hypothèse qu’elle se fit fut que ce...ce mec était un vendeur de sushis louches (le poisson c’est bon pour le teint et c’est pas très calorique !)

Lors de recherches fructueuses ont peut vraiment trouvé de drôles de choses ... Dans les différents placards : poulets égorgés, gâteaux douteux et autres entremets. À un moment, une chose à travers les autres soutins l'attention du samouraï : une petite tasse en porcelaine crasseuse. Cela lui rappelait un vague souvenir ... non, un rêve ... voir un cauchemar.

C'était il y a environ quelques mois. Kurogane avait croisé Fay dans le parc et celui-ci portait ... une robe. Le samouraï savait depuis déjà longtemps que l'être au corps androgyne était plus que bizarre, mais en plus de la robe des clémentines dépassait de son soutien gorge. Fay était comme devenue ... une fille à part entière. À peine l'eut-il vu que le grand ténébreux le/la salua vaguement puis parti prestement. Le soir même de cette entrevue, Kurogane s'était mis en scène buvant du thé avec Fay en robe de marquise. Son visage était saupoudrée d'une double couche de maquillage et ses lèvres étaient recouvertes d'un rouge très flashy. Très très étrangement, lors de l'entrevue Kurogane regardait le cou de sa douce opposante. Il avait l'horrible envie de mettre sa tête sur cette épaule et de sentir le doux parfum sucrée de celle qui se trouvait devant lui. Lorsqu'il vit que la jeune femme allait se servir en sucre, il s'arrêta de respirer. Ces gestes étaient si doux ... le samouraï avait tant envie de caresser cette peau de satin, l'embrasser ... Une seule envie terrassait le grand brun :

« Enla... »

Rien qu'à cette pensée, Kurogane frissonna. Ce rêve était complètement bizarre, même plus. Il fallait qu'il l'oubli ! Mais ça avait été si marquant ...

« Mais, vous êtes dingue ou quoi ?! C’est degue...dégoûtant ! »

Cette voix de crécelle le sorti de ses réflexions. Il se retourna brusquement et se retrouva face à face devant celle qu'il pensait endormi. Il ne compris pas tout de suite ses paroles et peut être même qu'elle ne parlait pas de lui ? ... M'enfin, vu comment elle le regardait c'était peu probable qu'elle s'adressait à la table.

« ...? Quoi ? »

Oh, mais il osait –le pervers, l’infâme, le vendeur de poisson cru- l’ignorer, en plus de cela ? Non, mais, ça va pas ? Et puis, c’était qui ce pauvre type, en plus, il pensait à quoi ? A une de ses conquêtes, enfin, ses fantasmes plutôt ; rêve pas, vieux, on est dans la vie réelle que diable ! Bon, elle y mettait un peu de mauvaise foi, ça n’avait certainement pas l’air d’être le genre de type qui rêvait de sa petite cousine enduite de chocolat, ou même le genre de mec qui avait une cousine. Plutôt le grand baraqué solitaire...bon. Se calmer ou son teint prendrait une couleur rouge vive assez peu élégante, surtout pour ELLE.

« Ah, pauvre naze, railla-t-elle, un peu vexé qu’il n’ai pas prêté plus attention que ça a ses propos, t’es vraiment un looser pour te balader comme ça, franchement ! »
Craignant le manque de réaction, elle ajouta d’un ton perfide :

« T’attends qu’une fille te saute dessus, hum ? Nan mais, laisse moi rire quoi, mec !»

Dans un monde alternatif, une autre situation, un autre caractère, elle aurait sûrement réagi de cette façon devant ce trop plein de testérone et de viriliiité ; or, le temps n’était pas à la drague, c’était malheureux ; le temps était à...à quoi, d’abord ?! Elle devait avouer qu’elle ne faisait pas grand-chose d’intellectuel ou digne d’être décrit, mais ça arrivait même aux plus grands, la fatigue.
Grossière en plus de cela, grimaçaient parfois ses fréquentations, et effectivement il y avait plus délicat pour une jeune fille : elle n’en faisait malheureusement qu’a sa tête et elle comptait continuer comme ça, surtout a ce moment précis alors qu’elle guettait Kurogane avec un sourire mauvais : on aurait cru une souris hyperactive qui s’en prenait à un chat. Un chat qu’elle jugeait trop calme d’ailleurs.

A ce moment la Kayoko entra dans la discussion elle entendit deux personnes ce disputait elle courait pour allez les calmait, car D'autres personnes étaient en train de dormir ou de se reposer elle entra dans la salle à manger voyait un petit-déjeuner sur la table avec deux personnes qui se disputaient. Elle regarda les deux attentivement et leur dit.

"Vous ne voyez pas que vous faites du bruit là. Non mais vous êtes dingue et puits faut arrêter de se comporter comme ça ma parole on dirait des enfants"

Elle avait un regard fermé quand elle avait fini la parole Kayoko voulait qu'il arrête de se disputait, car, pour respecter les autres et pour pas que ça finisse par une bagarre.

"Bon qui l'un de vous deux à commencer je ne suis pas une professeur ou qui que ce soit, mais je veux savoir après ne vous disputer pas"

Ils pouvaient quand même prendre le petit-déjeuner tranquillement sans perdre la boule, car la leurs dispute.On l'entendit des couloirs aux autres salles.

« ...t’es vraiment un looser pour te balader comme ça, franchement ! »

Les rêves bizarres, ça perturbe. Et encore plus lorsqu'on y repense en compagnie d'une fille tout aussi bizarre. La mâchoire de Kurogane se crispa quand celle qui était un peu plus tôt écroulée sur une table l'appela par quelques sobriquets. Avant qu'il est pu répliquer quoi que ce soit, l'incontrôlable " Belle au bois dormant " fit un petit sous entendu pour commenter la tenue du samouraï :

« T’attends qu’une fille te saute dessus, hum ? Nan mais, laisse moi rire quoi, mec !
- T'as mal digérer, la zoophile prostit' ? »

Kurogane avait haussé le ton et envoyait un regard dédaignant à son interlocutrice. Pourquoi toutes les filles qu'il croisait été toutes des phénomènes ? Si Kurogane « attendait qu'une fille lui saute dessus » alors elle, elle portait des vêtements enduit de mousse comme si elle attendait (attention phrase interdite aux moins de 16 ans) qu'on aille le lui lécher sur le corps ... après qui pourrait pouvoir le faire, nous avons une large palette : animaux ... animaux ... et d'autres choses mais c'est la première chose qui déjà va avec le terme « zoophile » si l'on ne pense pas que l'homme est un animal.
Bref, le jeune samouraï se dirigea vers la jeune femme comme pour lui demander clairement ce qu'était son problème. Mais voilà (et heureusement sûrement) quelqu'un d'autre entra dans la salle. Encore une jeune fille ! Elles étaient toutes contre lui ou ... ?

«  Vous ne voyez pas que vous faites du bruit là. Non mais vous êtes dingues et puits faut arrêter de se comporter comme ça ma parole on dirait des enfants. »

Des enfants ? Elle se prenait pour qui ? À moins qu'elle est fait des trucs bizarres très tôt, la nouvelle venue n'avait pas son mot à dire et Kurogane se retint presque pour ne pas lui répondre un : « De quoi tu te mêle, gamine ? » (bien que la soit disante gamine ai quasiment le même âge que le samouraï ...)

« Bon qui l'un de vous deux à commencer je ne suis pas une professeur ou qui que ce soit, mais je veux savoir après ne vous disputez pas »

Kurogane leva un sourcil et fusilla du regard l'autre petite blonde (Garry) comme pour lui faire subir toute culpabilité.

« Non mais d... »

[là il se fait interrompre, par qui c'est comme vous voulez : D]

"Tais toi et répondez moi qui a commencé ?"

La jeune fille, lui avait complètement coupée la parole. Ce n'est pas son genre de couper comme ça mais c'est qu'il allait peut-être dire une insulte quand elle l'avait coupée et puits ce garçon avait l'air d'un pervers vue son regard et qu'elle devina ses pensées.

"Bon si vous ne dites pas qui a commencé faites la paix et un point c'est tout"

La jeune fille arrêta le regard fermer sur ses deux là et reprit un air sérieux. Elle n'aimait pas que les gens se battent vu que quand elle était qu'une tout petite enfant se faire battre par ses parents des coups de bâton dans le dos et des claques reçus par sa mère et leur dit quelques choses à propos de ça.

"Je ne veux pas que vous vous disputez j'ai souffert depuis que je suis enfants me faire prendre des coups de bâtons et des claques sans raison"

Elle s'agenouilla par terre et pleura en mettant les mains sur ses yeux c'est pour ça qu'elle n'aimait pas les disputes à cause de la souffrance à la fin ont fini par se taper dessus.

Garry resta interdite. Pas a cause des insultes du samouraï –non mais n’importe quoi lui, une prostituée zoophile?! Bref, ce n’était pas l’envie de répondre qui lui manquait, mais une charmante inconnue venait de faire interruption dans la cuisine.

« Bon qui l'un de vous deux à commencer je ne suis pas une professeur ou qui que ce soit, mais je veux savoir après ne vous disputez pas.
- Non mais d...
-Tais toi et répondez moi qui a commencé ? »

Garry n’aimait pas les gens autoritaires. Enfin, plus exactement, elle ne les aimait pas lorsqu’ils s'en prenaient à elles/lorsqu'elle n'était pas la personne autoritaire en question : non mais sérieux, elle allait pas lui serrer la main et lui faire un bisou sur la joue ! Et puis, cette fille avait la tête d’une niaise chronique...tiens ! Melanie Hamilton en chair et en os, la robe en moins, ricana-t-elle –intérieurement, elle ne tenait pas à ce qu’on ajoute « tarée » à son surnom déjà peu reluisant-.

« Ferme-la toi-même !», lança-t-elle en sifflant : pour un peu elle aurait tirée la langue. Pas pour défendre d'une quelconque façon l'autre mais plus pour le plaisir de se faire remarquer.

Après une phrase digne d’un professeur de CP et une « confidence » un peu déplacée, Mélanie –Kayako- fondit en larme après s’être jetée par terre. Beurk, c’était tout sale...elle aussi, mais elle, ce n’était pas volontaire et elle savait ce qui l’avait tâché...que le sol, on ne savait pas le genre de personne (et accessoirement de nourriture) qui marchait, tombait, se roulaient dessus ou pleurait. La preuve, Mélanie, enfin, Kayako était effondrée dessus et l’autre exhibitionniste était...présent. Ca suffisait à conclure au manque d’hygiène.

Un large sourire vicieux se profila sur ses lèvres, et elle en rajouta une couche en prenant un ton outré –qui était un peu moins convaincant après le « ferme-la » précédant- :

« Tu vois, tu l’as fait pleurer ! J’t’avais dis que se balader comme ça, ça choquerait, espèce de détraqué sexuel ! AU-CU-NE pudeur, hein, franchement !»

C'était l'inconnue qui venait de l'interrompre, ce qui surprit nettement le samouraï qui avait l'habitude de ne se faire interrompre que par ses maîtres d'armes. C'est pour ça qu'il fit seulement la grimace et laissa parler la jeune femme jusqu'à ce que ... oh surprise ! Elle se met à pleurer. Encore plus surpris, Kurogane lève un sourcil et mime un mouvement de recul.

« Je ne veux pas que vous vous disputez j'ai souffert depuis que je suis enfants me faire prendre des coups de bâtons et des claques sans raison. »

Elle devait vraiment être atteinte pour se mettre à raconter sa vie et pleurer comme une madeleine ! Kurogane ne sut pas comment agir, déconcerté il regarda la " pauvre " fille agenouillé à terre. C'était comme un signe de soumission caractérisant les personnes de ce genre ... enfin, d'après lui. Sans pouvoir agir, c'est Garry qui prit l'initiative de faire de la provocation :

« Euh ...
- Tu vois, tu l’as fait pleurer ! J’t’avais dis que se balader comme ça, ça choquerait, espèce de détraqué sexuel ! AU-CU-NE pudeur, hein, franchement ! »

Kurogane agit au trois quart de tour. Oubliant que c'était quasiment à cause de leur dispute que la nouvelle venue pleurait, il se remit à répondre aux vannes de celle qui le prenait de trop haut. Il sera du poing comme prêt à frapper la prétentieuse mannequin :

« JE l'ai fait pleurer !? Tu t'es pas dit que c'était peut être à cause de toi ? »

Et voilà c'était reparti pour un tour ! Kayoko avait raison en fin de compte : de vrais enfants.
[aux abris ! nous méritons punitions : D]

Le jeune fille se leva s'essuya les larmes sur ses joues et leur disait.

"Vous voulez savoir pourquoi je ne veux pas que vous vous disputez tous les deux je vais vous montrer pourquoi"

En le disant calmement, puits elle détacha le noeud de son kimono et se retourna pour pas qu'ils voient la poitrine et baissa un peu son kimono et elle faisait voir ses blessures pour tous les coups de bâton qu'elle avait reçu et qu'ils lui faisaient toujours mal ils étaient rouges comme le sang, car le sang avait séché bien sûre depuis des années.

"Voilà pour ça, ça me fait mal très ml encore c'est mon père qui me faisait ça je n'ai jamais été aimée je n'ai jamais sue pourquoi"

Quelques larmes lui coulaient encore même à cet instant elle eut beaucoup de douleur mais, elle ne cria pas.

"Je ne veux pas que vous ayez la même chose même à mes amis et amies je n'ai rien dit je ne voulais pas qu'ils s'inquiètent "

Et finalement la cause que le père l'avait frappé revient en tête.

"Enfaite je sais pourquoi mes parents mon frappé, car, depuis que je suis née ils ont eu tout le temps un malheur ils ont dit que c'était à cause de moi, mais non ce n'était pas vrai j'avais rien fait c'était inutil quils me frappaient ils était cruelle"

« A cause de MOI ? N’importe quoi ! Genre moi, je...

-Vous voulez savoir pourquoi je ne veux pas que vous vous disputez tous les deux je vais vous montrer pourquoi »

Ayant légèrement oubliée la présence de Kayoko, ce fut très rapidement qu’elle se retourna vers elle ; elle se DESHABILLAIT ?! Non mais, pourquoi faire, mince ? Un, ça ne suffisait pas peut-être, elle voulait le rejoindre dans la confrérie des dépravés nudistes, ou ils allaient se baigner dans la boue, faire des châteaux de sables, se baigner avec les dauphins et enterrer leurs vêtements dans une taupinière ? Beurk, si ça se trouve, il serait capable de la violer sur place, OU MEME, elle aurait fait ça pour se faire violer sur place ! Elle était naïve ? Déjà qu’il avait l’air plein d’hormones –il suffisait de voir la transpiration- c’était pas la peine d’en rajouter !

Et puis elle se calma, et Kiyako-Melanie Hamilton reprit son histoire. Garry ne l’interrompit pas, bien que ce ne soit pas l’envie qui lui manquait –tes vêtements, bordel !- croisant les bras, la bouche dubitative, les sourcils haussés comme si elle jugeait une performance d’actrice plutôt qu’écouter une confidence....bon. C'était en effet assez triste.
... mais c'était pas une raison, mince!
Au bout d’un moment, elle répondit, d’un ton un peu moins assuré cette fois ci :

«...euh...d’accord, mais si ça peut te rassurer je ne projette pas d’avoir un enfant avec machin. »

Bon, si ça ne la réconforterait pas elle, ça réconforterait au moins Kurogane.

Reprenons, nous avons deux femmes : Une blondasse et une ... autre qui semblaient avoir de graves problèmes dans le ciboulot ! Au milieu des deux dames, un homme qui n'avait vraiment rien demandé ! Alors qu'il passait par là pour se prendre un petit truc à manger bien mérité, voilà que la première furie l'insultait : le traitant de dégoutant, de violeur ou d'autres titres du même rang. Dans son infini finesse, Kurogane répondit vaillamment aux insultes en les lui retournant ! Ha ha. Et comme si ce n'était pas suffisant, une jeune fille à l'allure tout d'abord normal s'incrusta et demanda aux jeunes gens de cesser de se disputer. Tout d'abord, tout va bien ... sauf que la nonchalance de Garry fit le même effet qu'une bombe atomique ! Tout d'un coup la nouvelle arrivante fondit en larme et s'agenouilla par terre, commençant même à raconter sa triste enfance ! Penaise, quel monde quand même .... et bien sûr ça ne s'arrêta pas là ! Garry recommença à provoquer le samouraï en rajoutant une bonne couche de " c'est-ta-faute-connard " ... et vous connaissez la suite !

« A cause de MOI ? N’importe quoi ! Genre moi, je...
- Vous voulez savoir pourquoi je ne veux pas que vous vous disputez tous les deux je vais vous montrer pourquoi... »

Kurogane, lui, ne dit rien. Surpris par ce que faisait Kayako, il ne put manifester qu'une grimace de surprise. Garry, elle, semblait outragée et pensa sûrement à des choses malsaines ... le samouraï se demanda lui aussi ce qu'elle comptait faire là ... sauter sur l'autre petite blonde ? Ça ne l'étonnerait que très peu, déjà que la simple voix de la jeune femme la faisait pleurer ... Les femmes font vraiment peur quelques fois. Bien heureusement, Kayako n'alla pas plus loin, ne montrant que diverses blessures causés, d'après elle, par ses parents. Il y existait donc des êtres assez violents pour battre leurs filles ? Lui n'avait pas connu ça ... les seules blessures qu'il tenait venaient de la guerre ... ou d'un mauvais rasage (si Kurogane se rase.). Enfin, après ce petit interlude, Kayako raconta la raison de tant d'affection ! Bien sûr ce n'était pas très clair, et peut être que l'on déviait du sujet initiale, mais qu'importe ... ça réussit à calmer Garry (plus ou moins).

« ...euh...d’accord, mais si ça peut te rassurer je ne projette pas d’avoir un enfant avec machin. »

Machin ? Ah ben oui, elle ne connaissait pas son nom ... et lui non plus d'ailleurs. Dans sa fierté, Kurogane rétorqua dans un ton plus calme bien qu'un peu crispé :

« " Machin " a un nom, gamine, et c'est Kurogane ! ... »

Mais d'un autre coté, il était d'accord. Jamais il ne pourrait se voir en couple avec elle (et puis de toute façon, elle est vouée à Nao 8D) ...

La jeune fille se remit le kimono et remit sa ceinture et se ré habilla avec le tout. Ensuite elle regarda les deux personnes et leur dis.

<<"Vous avez compris maintenant ?">>

La jeune fille ne voulais pas que ce moment était ennuyeux pour eux et elle demanda a Kurogane.

<<"Heeu toi est-ce que comme je vois que tu es un samouraï a tu eus des soucis pendant ton enfance ?">>

Le jeune fille leur dit avant que Kurogane commençait la réponse.

<<"mes parents mon aussi dit que je n'aurai jamais d'enfants ni un amoureux et ni la beauté c'est peut- être que je suis encore aussi moche que quand j'ai été assez petite">>

Ensuite elle regarda Kurogane et elle lui dit qui pouvait répondre à la question qu'elle lui avait posée.

<<"Alors, tu as eu des sourcils pendants ton enfance ?">>

Elle lui avait demandé avec une voix douce aussi douce qu'énerve Kayoko n'était pas le genre de fille qui insultait ou jalouse ou traitant un garçon de pervers non elle elle n'était pas du tout comme ça comme caractère un caractère bien plus calme.

« " Machin " a un nom, gamine, et c'est Kurogane ! ... »

Gamine ? C’est pas parce qu’il était géant qu’il fallait la traiter comme une naine, oh, non ! Bon, peut-être qu’il avait l’air plus âgé qu’elle...ce n’était pas très difficile, tant il était grand il était beau il sentait bon le sable chaud et baraqué.

« Gamine ? Gamine ?! J’ai 21 ANS, paonna-t-elle, et je m’appelle Garry, mais sur ce coup la, elle en était un peu moins fière. »

Garry, Garry, quelle idée aussi ! Bah, c’était toujours mieux que Kurogane ça venait d’où, sérieux ? Quand à l’autre, pas de doute, c’était Mélanie.

<<"Mes parents mon aussi dit que je n'aurai jamais d'enfants ni un amoureux et ni la beauté c'est peut- être que je suis encore aussi moche que quand j'ai été assez petite">>

Bon, ce n’était pas la confiance en elle qui l’étouffait celle-ci. Elle n’était franchement pas laide, mais si ça lui plaisait de se le dire, -hein. Garry ne prenait pas plaisir à réconforter les inconnus ; égoïsme et désintérêt, ou égoïsme tout court. Enfin, si elle se trouvait moche ce n’était pas de sa faute, elle n’avait qu’à faire comme elle, après tout ! ...
...A condition de ne pas avoir peur de perdre ses amis.

<<"Alors, tu as eu des soucis pendants ton enfance ?">>

Fidèle à elle-même elle ricana –ça ne semblait pas être le moment, après l’aveu de l’arrivante, mais le tact ne faisait pas non plus partie de ses qualités- ;

« Haha, t’as vu, elle a peur de toi! »

C'était sans doute de la curiosité, mais son ego était actuellement trop elevé pour s'avouer que la jeune fille préférait questionner le pédophile à coté d'elle.

« Gamine ? Gamine ?! J’ai 21 ANS et je m’appelle Garry !
- Hin hin, y'a pas de quoi être fière, vi-è-i-euh (vieille) ...
- Vous avez compris maintenant ? »

Avec un petit sourire en coin à l'égard de Garry, Kurogane se retourna vers l'autre femme présente dans la pièce (d'ailleurs celle-ci ne s'était pas présentée !). Il fit une moue penaude, certifiant un « ouais » assez vague. Il n'avait pas vraiment bien compris pourquoi elle avait raconté tout ça ... peut-être pour se soulager d'un poids ou d'un machin comme ça ? Certaines personnes aiment souvent dire que c'est bien de se lâcher, de raconter sa vie aux gens ... m'enfin, Kurogane n'aimait pas trop ce genre de chose ...

« Heeu toi est-ce que comme je vois que tu es un samouraï a tu eus des soucis pendant ton enfance ?
- ... j-- »

Elle lui avait posé une drôle de question quand même ... en quoi être samouraï voulait dire que l'on avait des soucis ? Il avait tant l'air d'un ancien enfant brimé ? En plus de cela, elle ne le laissa pas répondre tout de suite à sa question (le coupant dans son élan, presque) et raconta un autre petit passage de sa vie. Prétextant qu'elle n'était pas belle, plutôt moche ... bah, en la voyant comme ça on pouvait dire qu'elle avait de plus belles formes que Toya-hime ... mais étant un Kurogane, pour lui, une femme était une femme. Point.

« Alors, tu as eu des soucis pendant ton enfance ?
- Haha, t’as vu, elle a peur de toi ! »

Le samouraï ignora la remarque de Garry et soupira : réfléchissant un peu. Avait-il eu des soucis ? Je ne crois pas. Kurogane avait tout pour être heureux quand même ! La princesse Toya et ses " super cookies " par exemple ! ... miam. Il répondit donc avec une mine blasée :

« J'vois pas trop le rapport ! Tss ... bon, ça suffit. J'ai faim. »

C'est vrai quoi ! Il était là pourquoi déjà ? Manger ! Pas discutailler chiffon avec des femmes en fleurs ! C'est pourquoi donc il se dirigea vers les tiroirs du fond de la salle à manger.

En voyant le garçon se diriger vers le tiroir Kayoko trouver que c'était une bonne idée de déjeuner elle n'avait pas encore déjeuné alors elle prit des baguettes qui étaient en premier dans un paquet et elle prit un bol. Elle y ajouta du riz avec de la sauce de curry dessus et pris un verre d'eau et elle posa le tout sur la table et à cet instant elle parla à Kurogane et elle lui dit.

<<"Je suis désolé d'avoir parlé autant ça vous a coupé l'appétit toi et Garry pardonne moi">>

Ensuite elle s'asseyait avec son petit-déjeuner à côté de Kurogane et mangea tranquillement son bol de riz et après qu'elle finit son bol de riz elle prit des ramens. D'un seul coup elle demanda a Kurogane.

<<"As-tu combattu quand il y avait la guerre du Japon">>

Cette phrase lui avait échappé elle voulait lui poser une toute dernière question et elle attendait sa réponse impatiemment Kayoko voulait pas trop parler, mais elle voulait juste lui poser quelques questions.