Apres avoir incendié le repaire de sa créatrice et de par conséquent le lieu ou il était né Neo Beast allait quitter la ville afin que le véritable Beast puisse vivre tranquillement avec ses amis sans que son ombre vive aussi dans le même endroit. Cela ne faisait ni chaud ni froid a Neo Beast, pour la bonne et simple raison qu'il n'avait pas de cœur. Les mots sentiments émotions lui était étranger après tout cela était normal vu qu’il n'était qu'une copie. Sans regret sans remord, sans joie, sans bonheur, sans tristesse, sans colère, sans rien il entreprit son périple, il marcha pendant des jours et des jours traversant villes, foret, plaines, routes. Il ne pensait plus qua une seule chose, créer le cœur qui lui manquait mais comment allait-il s-y prendre ? Était-ce réalisable ?
Au vu de son physique les gens grimaçais sur son passage ou se cachait, mais aucun n'allait le chercher plus loin rien qua la vue de sa carrure. Il savait que c'était un des rares avantages à ne pas avoir de cœur. Ce genre de remarque ne l'atteignait pas. Contrairement à lui le vrai Beast ne supporte pas. Une nouvelle fois il traversa la ville. Seulement après deux jours de marche la fin commença à se faire sentir, il fouilla au fond de ses poches et trouva de l’argent, que Natla lui avait surement mit pour qu’il fasse quelque course pour elle. Il s’arrêta dans un restaurant et se restaura, il surprit une conversation de personnes qui parlait d’une bâtisse étrange ou plutôt d’un genre de pensionnat. D’après la rumeur tous ceux qui y étaient rentré n’en était jamais ressortit. Un déclic se fit alors dans l’esprit de Neo Beast. C’était le bas qu’il trouverait ce dont il cherchait pour pouvoir construire son cœur.
Il se leva régla sa note et partit a la recherche de se mystérieux pensionnat qui se trouvait dans cette ville. Apre plusieurs minutes de recherches il trouva enfin l’édifice plutôt imposant. Ses yeux se posèrent sur l’immense double porte qui n’attendait que lui pour s’ouvrir. Il attrapa les poignées et poussa sur les portes. Devant lui un grand hall baigné dans une douce lueur s’étendait. Un centre un grand escalier. Il lâcha les portes et s’avança à l’intérieur d’un pas ferme et décidé. A peine eu t-il fait quelques pas que le double porte se refermèrent brutalement derrière lui. Il ne prit même pas la peine de s’en occuper. Il savait qu’elles ne se rouvriraient pas tout de suite. Il s’en occuperait le moment venu. Il avança à nouveau de quelques pas à mi chemin entre les portes et l’escalier. Il se demanda s’il y pouvait bien encore avoir des êtres vivants ici…
« Bon…par ou commencer ? »