Forza Italia [PV Beast]

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"C’est pas une histoire de confiance. Bien au contraire C’est que d'habitude ca gêne les filles quand elles doivent partager un chambre avec un mec… surtout quand ca fait pas longtemps qu’ils se connaissent."

-Moi ça fait un bon moment que je te ''connais'', c'est toi qui devrait être mal à l'aise d'être aussi familié avec une inconnue, lui rappela gentiment la demoiselle.

"Bah si tu préfère que je passer la nuit avec ma présence, c’est comme tu le sens, ca ne me pose pas de problèmes… mais je te préviens je ne suis pas un habitué du pyjama."

-Pas un..Quoi? ....Ahhhhh, ajouta-t-elle après une courte réflexion. Ça va, je suis une grande fille, c'est pas plus traumatisant que de voir des mecs qui devraient pas mais qui portent quand même des speedo.

Sur ce, la demoiselle pivota sur elle même afin de regarder ou elle allait. Avançant normalement, la demoiselle se dit que ce couloir était un peu trop long pour rien. Enfin, peut-être n'était-ce qu'une impression dû au fait qu'elle n'appréciait pas vraiment le silence qui s'était sagement installé entre eux. Oui, Lana avait horreur des silence de ce genre. À moins que ce ne soit que l'ambiance des lieux qui lui font croire que ce silence est désagréable? Quoi qu'il en soit, Lana avait vraiment hâte d'arrivé à la cuisine, en espérant que leur conversation reprenne de bon coeur. Lorsqu'ils arrivèrent aux escaliers, la demoiselle remarqua la noirceur qui les attendait calmement à l'étage du dessous. Elle appréhendait déjà le mal qu'elle aurait à se déplacer dans le noir, heureusement que le musicien était là! Parlant du musicien, à peine la demoiselle avait-elle descendu quelques marches que le bras imposant de son ami lui barra la route. Elle faillit perdre l'équilibre tant elle ne s'attendait pas à ce que Beast face cela. Elle le regarda ensuite avec un regard perplexe lorsqu'il lui affirma qu'il y avait quelque chose en bas. Elle se dit qu'il avait une vue encore meilleure qu'elle ne l,avait cru, car elle ne parvenait pas à distinguer quoi que ce soit se cachant dans le noir. Lorsque la jeune femme sentit la main de l'artiste prendre la sienne, la jeune femme baissa instinctivement la tête pour regarder les deux paluches. Elle se surpris à s'amuser devant la différence de grandeur de leurs mains. La couleur des Beast semblait déjà familière à la demoiselle qui n'y pensa même pas une seconde. Mais lorsqu'il y glissa la clef de sa chambre, Lana fronça les sourcils. Pourquoi faisait-il cela?

"Je vais aller voir… si jamais il y a quoi que ce soit et que ca dégénère, je veux que tu retourne dans la chambre c’est comprit ? Elles son protégé par une sorte d’aura tu n’aura rien à craindre"

Le sourire qu'elle avait eu suite au baisemain s'estompa rapidement lorsque son ami s'éloigna. Il ne comptait quand même pas la laisser là toute seule... La demoiselle n'était pas une froussarde, mais l'idée qu'il puisse arriver quelque chose au musicien la dérangeait beaucoup. Surtout que le ton sérieux qu'il avait employé avait pour effet de l'inquiéter plus qu'autre chose.

-Tu comptes quand même pas me laisser tou- s'interrompit-elle en le voyant disparaître dans le noir. Seule....

La jeune femme resserra son emprise sur la clef et regarda autour d'elle. C'était quoi l'idée de créer une bâtisse aussi peu rassurante! La petite canadienne comptait mentalement les secondes, qui semblaient s'écouler moins vite que d'habitude. Il en mettait du temps! Il le faisait exprès!? Légèrement tendue, Lana sursauta lorsqu'un bruit pas très rassurant résonna dans l'air.

-Chris!? L'appela-t-elle juste avant que la lumière regagne la place qui lui était due dans ce couloir.

La demoiselle paru soulagée. Elle avait eu peur? Non....Pourquoi elle aurait eu peur...Bon okay! Elle avait eu un peu peur, mais pas pour elle! Elle leva les yeux au ciel en jurant mentalement pour se défouler. Lorsque le musicien fut de nouveau à ses côtés, Lana croisa les bras et lui adressa un regard faussement en colère. Vous savez, celui que les jeunes enfants font quand ils veulent pas sourire même s'ils en ont très envie.

"C‘était juste un de ces AEA qui s promenait. Il a eu peur et s’est enfuit"

-Me laisse plus jamais comme ça, c'est pas drôle...

Ce fut à ce moment que la demoiselle remarqua la blessure de guerre que c'était fait son preux chevalier.Elle eu une brève faiblesse aux genoux. La vue du sang ne la gênait pas vraiment...C'était juste le principe que ce soit le sang d'un ami qui la dérangeait. Son faux regard de méchante s'envola rapidement et la jeune femme lui empoigna doucement le menton et lui fit tourner la tête afin que la coupure lui soit présentée. Ça n,avait pas l'air très grave...Mais comme Lana n'est pas docteur et qu'elle supporte pas que les gens souffrent, elle caressa inconsciemment la joue blessé du musicien.

-Est-ce que ça fais mal? Demanda-t-elle ensuite en retira sa main de son visage pour aller les cacher dans son dos, comme si elle voulait l'empêcher de faire des bêtises.

Même si son ami ne la connaissait pas depuis très longtemps, il devait lui paraître évident qu'elle c'était fait du soucis à son sujet, surtout que de le voir disparaître n,avait pas du lui faire très plaisir.... Aussi, le langage corporelle de la demoiselle trahissait son désire de paraître calme, aussi traître que son regard. On y lisait bien bien qu'elle essayait de contenir son habituelle débordement de gentillesse envers ceux qu'elle jugeait potentiellement en manque de bonheur. Il fallait aussi avouer que Lana était simplement du genre affectueuse et qu'elle avait souvent envie de prendre les gens dans ses bras...Seulement, la elle avait eu peur, donc c'était encore plus urgent pour elle d'en faire un. Mais bon, comme elle essayait d'avoir l'aire calme, elle croyait qu'un câlin la trahirait d'avantage que ses yeux.

-Me laisse plus jamais comme ça, c'est pas drôle...

A peine remonté elle l’attendait avec un regard a la limite u reproche. Mais il n’aurait pas pu l’emmener avec lui s’il y avait vraiment eu un truc dangereux. Et ce n’était pas come si la chambre était à l’ opposé. Mais il ne peu s’empêcher de ressentir une légère culpabilité. Elle n’avait pas fini la fin de sa phrase qu’elle c’était approcher et lui avait passé la main sous le visage, pour regarder la coupure d’un peu plus prêt en lui faisant tourner la tête. Il eu comme un frisson, c’était une sensation tellement agréable, et on pouvait ressentir la douceur dans ses gestes, elle lui caressa par la suite la joue. A l’endroit de la coupure. Avant d’enlever ses main et de les mettre derrière son dos

-Est-ce que ça fais mal?

A vrai dire non, il ne sentait rien du tout, ce n’était que superficiel. Ca aurai été comme a son œil gauche, la oui il aurait mal

"Je ne ressens rien. C’est juste un petite coupure"

Il essuya le sang qui coulait le long de sa joue d’un revers de la main. Il en avait tellement vu que ce genre de petite chose était anodin. Il n’était pas non plus insensible a la douleur, mais quand vous vous prenez la moitié d’une charpente, accompagné d’une toiture, le tout brulant a cause des flammes, sans oublier les plaques de verre de la verrière. Un simple bris de porcelaine ce n’était absolument rien.

"L’endroit est désert, on peut donc y aller tranquillement."

Pour détendre l’ambiance il lui vint une idée. Il s’approcha de la jeune fille. Et l’attrapa pour la porter comme le font les princes avec les princesses. C’était comme un gage de remerciement, car elle lui avait involontairement montré qu’elle se souciait de son état, bien que pour une petite coupure, mais il prétexta que

"Y a plein de morceaux de porcelaine par terre, je n’aimerai pas que tu te blesse "

Il se doutait que cela ne sonnait absolument pas crédible. Ils traversèrent comme ca tout le couloir en repassant devant les portes qu’il lui avait fait visiter un petit peu plus tôt. Il ne s’arrêta pas devant celle de la cuisine mais devant celle de la salle a manger avant de déposer la demoiselle sur la terre ferme.

"Tu vas avoir du mal a croire que c’est la pièce que tout a l’heure."

Effectivement. Quand il ouvrit les portes pour la seconde fois de la journée une pièce totalement différente Dans cette pièce il se trouvait un bon nombre de tables et de chaises de toutes sortes, grandes petites, neuves vielles. Sur les murs se trouvaient de grandes fenêtres parée de rideau couleur ocre.
I avait choisi cette porte la car dans le fond de la salle l’on pouvait avoir accès aux cuisines. Ce qu’il comptait préparer se trouvait de cette zone, il était déjà venu ici le jour de son arrivée avec un pensionnaire qui était elle aussi arrivée quelques secondes avant li.

"je suppose que tu préfère m’accompagner plutôt que de t‘installer"

Il désigna d'un signe de la tête une des tables mais il était quasiment sur de la réponse de la jeune fille, vu que dans la chambre elle lui avait fait comprendre qu’elle comptait lui donner un coup de main lors de la préparation, mais il préférait quand même demander

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"Je ne ressens rien. C’est juste un petite coupure"

Lana fut bien heureuse de cette réponse, comme ça elle pouvait mettre de côté se inquiétude démesurée et retrouver le sourire. Il est évident pour tous ceux ayant déjà passé du temps en sa compagnie, que la demoiselle est une droguée du bonheur. Comme si ce dernier était littéralement imprimé dans ses gênes et que chaque déprime lui était aussi pénible qu'une réelle maladie. Lana retrouva donc le sourire et sa joie de vivre habituelle. Par contre, la jolie demoiselle faillit une grimace en voyant le musicien essuyer son sang comme s'il ne s'agissait que d'une saleté quelconque. L'artiste pris le temps de lui assuré qu'il n'y avait plus de danger avant de s'approcher et de presque lui faire faire une crise cardiaque. Lorsque le musicien passa un bras sous ses jambes, Lana se crispa et sentit son cœur rater un battement. Mais à peine l'autre bras de son ami avait-il trouvé refuge contre son dos, que la jeune femme se détendit. Ne sentant plus le sol sous ses pieds, elle regarda instinctivement vers celui-ci. Elle comprit bien vite dans quelle position elle se trouvait par rapport au reste du monde. Son rythme cardiaque revint donc bien vite à la normale et la jeune femme s'amuser de la situation. La clef encore dissimulé au creux de son poing droit, la demoiselle passa ses bras autour du coup de sa monture. Non pas qu'elle ait peur que le jeune homme ne l'échappe, mais elle ne savait pas où les mettre! C'était la première fois qu'elle se faisait transporter ainsi et la seule référence qu'elle ait jamais vu c'est dans les films. Et dans les films, les filles font ça! Donc, au lieu de se demander quoi faire de ses deux bras, elle les avait mis au premier endroit lui étant venu à l'esprit.

''Y a plein de morceaux de porcelaine par terre, je n’aimerai pas que tu te blesse "

La jeune femme ne put s'empêcher d'émettre un petit son assez mignon. Vous savez ce que toutes les filles font quand elle passent près d,un bébé -humain ou animal- : ''awn''. L'onomatopée signifiant internationalement ''que c'est mignon''. Puis, en regardant le profile du musicien, la demoiselle appuya ce son par ses paroles.

-Mais c'est qu'on devient presque mignon tous les deux, commenta la jeune femme avec humour.

Zveltlana profita de la balade en regardant les portes défiler. Elle hésitait entre lui demander s'il levait souvent un poids comparable au sien ou demander au musicien s'il transportait souvent des gens dans ses bras. Mais elle se dit qu'il mentirait surement au sujet de son poids car rares sont les mecs qui ose s'aventurer au péril de leur vie dans une conversation de ce genre une femme et qu'elle préférait peut-être ne pas connaitre la réponse de la deuxième question. Elle se contenta donc d'essayer de se remémorer le nom et l'apparence des salles devant lesquelles ils passaient. Sans le savoir, Lana trouvait étrange de sentir les bras de son ami autour d'elle. Ce n'était pas un étrange désagréable, loin de la. Seulement, elle se sentait à la fois en sécurité et à la merci du musicien- mettez-vous à sa place, frêle et petite, dans les bras musclé d,un presque géant, comment, si vous le vouliez, arriveriez-vous à lui échapper? Elle avait donc, en quelque sorte, l'impression de jouer dans un remake de kingkong. Et elle ne savait pas si elle devait apprécier ou s'inquiéter de cela. Heureusement (?) ses pieds retrouvèrent assez tôt leur sol chéri et Lana put à nouveau retrouver sa position verticale. Elle constata qu'ils étaient de retour dans cette merveilleuse salle....Mais....

"Tu vas avoir du mal a croire que c’est la pièce que tout a l’heure."

L'artiste venait de faire éclater sa petite bulle de providence. Elle qui était si contente d'être à nouveau devant cette porte... Choisissant, à nouveau et comme toujours, le bonheur, Lana décida de se réjouir de simplement savoir qu'elle allait voir un autre aspect du pensionnat et elle allait probablement bien s'amuser. C'est donc avec un peu moins d'entrain qu'à son arrivée que la petite canadienne regarda la porte s'ouvrir. La salle était...pas mal. Assez encombrée dans le genre. Comme un restaurant à vrai dire. Oui, elle préférait la vision qu'elle en avait eu après le ''concert'' et préférait encore plus son apparence lors dudit concert.

"je suppose que tu préfère m’accompagner plutôt que de t‘installer"

-Tout à fait! J'ai toujours aimer regarder et aider les gens qui cuisinent, sourit la demoiselle.

Sur ce, elle rangea la clé dans la poche arrière de son minuscule short blanc pratiquement entièrement dissimulé par sa robe, elle-même très courte. Ne pas avoir porté son short, la demoiselle aurait créé un scandale en arrivant à l'aéroport de Rome. Heureusement qu'elle n'est pas une dévergondée! Une fois la clé de la chambre du musicien en sécurité, Lana s'approcha de son ami et enroula son petit doigt autour du sien.

-Je connais pas le chemin, je te suis, lui annonça-t-elle avant d'envoyer son regard vagabonder dans la salle.

On aurait dit qu'elle était à la recherche d,un quelconque signe lui indiquant que la pièce qu'elle avait vue n,avait pas complètement disparu, mais aussi un signe lui assurant qu'elle pourrait y retourner un jour. Il le fallait! Elle désirait tellement apercevoir quelque chose qu'elle ressemblait à un enfant participant à un spectacle, qui guetterait la foule à la recherche d'un visage familier qui lui donnerait du courage. Sans s'en rendre compte, Lana avait resserré l'emprise minuscule que pouvait avoir son doigt autour de celui de son ami.

-Je suis contente que tu sois la première personne que j'aie rencontrée en arrivant ici... Très contente...Lui confia le jeune femme sans pour autant le regarder.

-Tout à fait! J'ai toujours aimer regarder et aider les gens qui cuisinent

il avait vu juste. La demoiselle allait l'assister dans la réalisation de la préparation du plat. Elle l'ttrappa ensuite par le petit doigt.

-Je connais pas le chemin, je te suis,

Pourtant il n'y avait pas vraiment loin ou aller. Vu que c'était au fond de la pièce. Ils avancèrent parmi les tables et les chaises et se dirigeaient ver le fond de la pièce. Il tourna le tête en direction des grandes baies vitrées. Au loin derrière les arbres, les pierres tombales du cimetière étaient toujours la. Il n'y prétat pas plus attention et continua a avancer ver le fond de la pièce toujours avec la demoiselle accrochée a son doigt. Cette dernière observait la salle visuellement sous toutes les coutures certainement pour faire la différence avec ce qu'ils avaient vu auparavant. Il sentit qu'elle resserrait son emprise.

-Je suis contente que tu sois la première personne que j'aie rencontrée en arrivant ici... Très contente...

Il ressentait la même chose. Mais il ne savait pas vraiment si cela était du fait de son statut ou du fait qu'ils s'entendaient bien. Ou peu être les deux.

"Ah tant que ca ?? Remarque moi c’est pareil… même si ca fait longtemps que je suis la"

A vrai dire, il ne savait pas vraiment si elle disait ca en fonction de leur relation de base fan-artiste, ou bien si c’était tout simplement de par sa propre personne qu’elle disait ca. Ils arrivèrent ensuite l’encadrement de porte qui faisait la séparation entre la salle a manger et la cuisine.

"Et nous y voila "

Son petit doigt lâcha celui de la jeune fille et alla vérifier dans les placard et le frigo si il y avait bien tout ce qu’il fallait. Oui fort heureusement. Il alla vers l’évier et se lava les mains, hygiène oblige dans l’alimentaire. Il revint ensuite vers la jeune fille et lui tendis la feuille qu’il avait écrite un peu plutôt.

"Pour ne pas d’erreur tu peux m citer au fur et a mesure les ingrédients et le matériel ?"

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"Et nous y voila "

En sentant la chaleur qui enveloppait si agréablement son doigt disparaître, la demoiselle ramena instinctivement sa main près de son corps et l’envoya, elle ainsi que sa jumelle, se cacher dans la poche lui étant destinée. Encore sagement prostrée à l’entrée, Zveltlana regardait le musicien aller et venir dans la pièce, tout en se demandant ce qu’il faisait. Elle hésitait entre ‘’tenter de se repérer et prendre ses marque dans sa nouvelle salle de travail’’ et ‘’Vérifier s’il y avait tout ce dont ils auraient besoin’’. Après tout, n’était-il pas le seul à savoir exactement ‘’ce dont ils auraient besoin’’? Certes la jeune femme avait regardé par-dessus l’épaule du musicien alors que ce dernier dressait la liste du matériel et ingrédients dont ils se serviraient, mais elle n’avait pas vraiment eu assez de temps pour :

1) La lire en entier et l’apprendre par cœur.

Non, elle son truc c’est plus de pouvoir retenir tout et n’importe quoi en l’entendant. Comment faisait-elle pour retenir toutes les paroles de toutes les chansons qu’elle avait pu entendre? Elle ne le savait pas, elle en était tout simplement capable et avait depuis longtemps cessée d’essayer de comprendre. Après tout, elle est une gentille fille qui aime le sport, les jeux vidéo et la musique, pas une future neurochirurgienne.

2) Être en mesure de juger de son écriture.

Eh oui! Que voulez vous! Lana fait partie de ses gens qui ne peuvent pas s’empêcher, bien qu’elle ait déjà essayé dure comme fer de se soigner, de vérifier la règle non écrite disant que les filles écrivent bien mieux que les garçons. Non pas qu’elle y croit, mais ça l’amuse! Quand on est comme cette adorable petite canadienne, on sait trouver le plaisir dans tout et n’importe quoi. N’est-ce pas une belle qualité? Qui parfois, je l’admets peut se transformer en défaut.

Les mains toujours dans les poches, Lana regarda Beast se laver les mains. À croire qu’elle se plaisait à regarder les autres agir. Combien de fois avait-elle pu restée sagement assise sur le sofa en regardant ses amis jouer à tel ou tel jeu vidéo? D’accord, il lui arrivait très souvent de jouer elle aussi, mais quand les deux ‘’pros’’ jouent l’un contre l’autre, les parties peuvent devenir interminables. Patiente de nature, la jeune femme s’en était cependant forgée une encore plus résistante. Eh puis, quand le jeu est bien, que les graphiques sont étonnant et que c’est des experts qui jouent, c’est comme regarder un film… Que tu ne peux pas mettre sur ‘’pause’’, mais un film quand même. Lorsque le musicien revint vers elle, Zveltlana redressa peu à peu la tête afin de pouvoir le regarder dans les yeux. Combien de fois elle avait dû lever la tête pour ‘’être polie’’ et obéir à la norme du ‘’lorsque quelqu’un te parle, tu le regardes dans les yeux’’. N’avais-je pas dit qu’elle était petite? Quand il s’arrêta, le futur cuisinier personnel de la jeune femme tendit à celle-ci une feuille. Celle sur laquelle il avait noté ce dont ils auraient besoin. Lana l’avait identifiée avant même que son ami ne lui demande de citer ce qui y était écrit. Elle accepta en souriant et extirpa ses mains de ses poches afin de prendre ce qu’il lui tendait. Lorsqu’elle déplia la feuille, Lana remarqua immédiatement la plume du jeune homme. Elle avait déjà vu pire…Bien pire… La calligraphie du musicien n’était peut-être pas aussi belle que la sienne, mais pour un garçon, c’était tout à son honneur d’écrire aussi lisiblement. La jeune femme ne pu s’empêcher de repenser à toute les fois où elle c’était donnée une migraine à essayer de lire ce qu’écrivait un collègue de classe. Non pas qu’elle copiait, ça non, jamais, mais combien de fois un de ses professeurs avait eu la brillante idée de ramasser les copies pour ensuite les redistribuer au hasard pour que les élèves se corrigent entre eux? Allez savoir pourquoi, Lana se retrouvait toujours avec la copie d’un garçon. Heureusement, avec le temps, elle s’était auto attribué une diplôme en déchiffrage de pattes de mouches et de mauvaises répliques de hiéroglyphes.

*Le matériel ou les ingrédients pour commencer? Am-stram-gramme..Pic et pic. Les ingrédients alors…*

-Alors, pour commencer…Des tomates, commença la jeune femme en regardant Beast se déplacer dans la cuisine. Des champignons et euh…Des poivrons, ajouta-t-elle en regardant la liste à la recherche d’autre chose qui se trouverait potentiellement près des tomates, et de la mozzarella.

En nommant le fromage, la demoiselle ne pu s’empêcher de rigoler faiblement en se rappelant des heures qu’avait pris son père pour lui apprendre à le prononcer correctement. Parler italien avec un accent Russe n’est pas toujours facile… Eh oui! Lana avait eu l’accent Russe lorsqu’elle était petite. Mais ça, c’est normal. Quand on apprend une langue en ne parlant que celle-ci à la maison, on finit par ‘’attraper l’accent’’. Ainsi, de 3 à 5 ans, elle avait son accent Russe, de 5 à 9, elle avait un accent qui oscillait entre le Polonais et l’Italien et juste avant de quitter la maison cette année, son lingala commençait à peine à ne plus sonner Québécois. Il va s’en dire que ses amis de longue date trouvaient cela à la fois bizarre et extrêmement amusant.

-Ensuite, du maïs, reprit-elle en alla près d’un de ces comptoirs isolé qu’on appel ‘’îlot’’ sans que Lana ne sache pourquoi…. Des pommes de terres.

*Pourquoi j’ai l’étrange impression que si je lui avais dit ‘’patates’’, il m’aurait lancer un regard semblable à celui que n’importe quel humain normal lancerait à un extraterrestre?*

La jeune femme regarda le musicien gérer le déplacement des ingrédients d’un endroit à l’autre avant de ramener son regard sur la feuille sur laquelle étaient notées encore plusieurs choses.

*Des herbes séchées? C’est pas un peu du gazon ça?*

-Des herbes séchées, de la pousse de soja et…Du sucre.

La jeune Canadienne ne pu s’empêcher de se poser mentalement une question de plus idiotes qui en entraina d’autres toutes aussi stupides. Non pas qu’elle soit gênée de la poser, mais il faut toujours réfléchir un peu, question de voir si l’on peut trouver soi-même la réponse, avant de poser la question à une autre personne.

*C’est quoi la différence entre ‘’soja’’ et ‘’soya’’…Non parce que là, personnellement, je me demande si c’est pas juste une erreur de prononciation…Si c’est le cas, qui se trompe? Ceux qui disent ‘’soja’’ ou alors ceux qui disent ‘’soya’’?*

Sans s’en rendre compte, Zveltlana avait légèrement froncé les sourcils, ce qui lui donnait un air perplexe. À croire qu’elle n’arrivait pas à lire ce qu’avait écrit le musicien ou alors qu’elle remettait en cause la place d’un mot sur la liste.

-C’est tout pour les ingrédients, l’avertie son apprentie d’un soir en doutant de la nécessité de lui signaler qu’ils auraient besoin d’un four…. Des couteaux et une planche à découper.

Lana laissa le temps au musicien de trouver ce qu’elle venait d’annoncer et ne repris que lorsqu’il apporta lesdits couteaux, qui fit naître une certaine inquiétude chez la demoiselle soit dit en passant.

-Une cuillère à soupe et un fouet, l’informa-t-elle ensuite en posant la feuille à plat devant elle afin de refaire sa coiffure de sorte qu’elle soit plus serrée.

Après tout, comme le dit son père ‘’Les cheveux les plus beaux du monde seront appréciés tant et aussi longtemps qu’on ne les retrouvera pas dans notre assiette’’. En d’autre terme, ‘’même si tu aimes tes cheveux, t’en veux pas dans ta nourriture, donc attaches-les bien’’. Puis, en remontant ses manches jusqu’à ses coudes, la jeune femme poursuivit sa tâche.

-Une casserole et un mixeur, termina Zveltlana en se dirigeant vers l’évier.

Elle se lava donc les mains alors que le musicien terminait ses recherches ainsi que l’organisation du plan de travail. En le regardant on ne pouvait pas se tromper. Il avait bien plus d’expérience et probablement de talent qu’elle en cuisine. Étrangement, c’est dans ce genre de situation que les femmes trouvent l’expression ‘’Soit belle et tais-toi’’ bien moins sexiste et bien plus tentante. Tout dépendant du dirigeant, il peut arriver parfois que l’on ait envie de cesser de réfléchir pour simplement faire ce que l’on nous demande. Alors la jeune femme espérait que sa bonne impression envers la personnalité du musicien ne soit pas fausse. Ainsi, leur petite séance de cuisine serait des plus agréable. Une fois prête, Zveltlana alla rejoindre son nouvel ami.

-Voilà, je suis prête. On commence par quoi?Lui demanda-t-elle, sourire aux lèvres.

Sujet: Re: Forza Italia [PV Beast] Lun 3 Jan 2011 - 11:22

-Alors, pour commencer…Des tomates, Des champignons et euh…Des poivrons, et de la mozzarella.

Ca il savait ou en trouver. Et des frais en primes. Pour cela direction le frigo et l’ouvrit. Il y trouva ce qu’elle lui avait cité dans le bac a légume, et y trouva 6 Grosses tomates bien, mure d’une belle couleur rouge, trois poivrons jaunes et un sachet de mozzarelle râpée. Il prit le tout et alla les placer sur le plan de travail.

-Ensuite, du maïs,

Ca aussi il savait ou en trouver pour s’en être déjà servit. Il se dirigea vers le placard a l’extrême droite au dessus du plan de travail. Et en sortit un boite. Qu’il plaça avec les autres sur le plan de travail

-Des pommes de terres.

Pour en revanche, il du chercher un peu partout car il ne les avait pas utilise la dernière fois. Il fini par les trouver sur une étagère dans une pièce annexe, ou se trouvait tous les aliments qui n’allaient ni dans un frigo ni dans un placard. Il au lieu de ramener le sac sur la table il l’ouvrit et en ramena 3, qui a l’instar du reste se retrouva sur le plan de travail.

-Des herbes séchées, de la pousse de soja et…Du sucre.

Les herbes séchées, ou plus communément appelées aromates. Le mieux était des herbes de Provences. Qu’il trouva dans un placard non loin de celle ou il avait trouvé le mais. Il hésita une fraction de seconde et le prit aussi. Il trouva les posses de soja dans le placard juste a coté avant d’aller poser le tout comme a l’habitude sur la plan de travail. Pour en finir avec le sucre ca il s’en occuperait pendant le réalisation car il en fallait très peut. Le dernier tour se fit du coter boulanger dans la chambre de fermentation, pour y récupérer un peu de pâte a pain. Et la il se posa la question… qui avait bien pu la préparer ? sans s’en soucier plus longtemps il revint dans le cuisine en empruntant au passage deux tablier blanc.

-C’est tout pour les ingrédients, Des couteaux et une planche à découper.

La les recherches étaient plus orienté vers les tiroirs. Il connaissait déjà ceux qu’il devait explorer. La planche a découpé elle était dans un placard avec les grands ustensiles. Il sortit quelques récipients pour confectionner qu’il avait oublié d’ajouter sur la liste. Il prit ensuite deux couteau de tailles différentes. Un petit pour tout ce qui était coupe en tranche des légumes et l’autre assez grand pour tout ce qui était détaillage et hachage.
Il alla ensuite récupérer le robot mixeur électrique. Il espérait qu’il y avait une prise non loin. Et il termina avec la casserole.. Voila ils avaient tout pour commencer.

"Merci bien. Mais J’ai oublié le principal…."

Il retourna vers le placard à maïs et en sorte un bâtit bocal d’olive noire.

"Y a pas de pizza digne de ce nom sans olives"

Ajouta-t-il avec un point d’humour pendant que le jeun fille alla se laver les mais. S’il avait eu les manches longues il les aurait retroussés mais ce n’était pas le cas. La jeune demoiselle le rejoignit ensuite

-Voilà, je suis prête. On commence par quoi?

Il la regarda ensuite un ajouta en imitant l’acens italien.

"Ma ! tou va m’éploucher les pommes dé terre…"

Il lui adressa un sourire avant d’ajouté sur son ton normal

"Nan je plaisante. Je vais plutôt de te faire faire les choses intéressantes. Tien met d’abord ca ensuite Vien avec moi"

Il lui tendit un des tabliers et alla ensuite mètre ensemble le grand couteau les tomates, le basilic et la casserole

"On va faire la sauce napolitaine. Plus communément appelée sauce a Pizza. Voila comment on procède."

Il lui tendit un économe.

"Bon y aura un peu d’épluchage faire quand même mais ca c’est simple. Alors… dans un premier temps du va enlever le peau des tomates. Ensuite quand ce serait fait tu vas les couper grossièrement avec le couteau… si ca peu te rassurer tu aurai plus de chance a te couper avec le petit que le grand."

Il saisi ce dernier par la lame et tendis le manche a la jeune demoiselle.

"Je vais te montrer exactement les gestes a faire. Si tu les reproduis a la lettre, tu ne te coupera pas. Tu en as ma parole. "

Il mit la planche a découper en face et alla se placer derrière elle. Ses mains se posèrent sur les siennes et du se pencher pour que son vissage arrive a coté du sien.

"C’est tout bête, une de tes main tien le manche et l’autre appuies sur le dos de la lame. Tu dépose bien le pointe en premier et tu baisse."

Ses mains sur les siennes il lui fit exécuter le geste dans le vide

"Si t’es pas a l’aise, je préfère que tu prenne ton temps plutôt que ca finisse mal okay ?"

Il lui lâcha les mains et se repositionna a coté d’elle.

"Donc une fois que tu les aura coupées, tu les met dans la casserole et tu le mixes avec le mixeur. Quand c’est fait tu allume le gaz de la cuisinière et tu met dessus a feu doux. Tu ajoute une cuillère de sucre, et tu saupoudre d’herbes. Tu laisseras frémir, en le remuant dans temps en temps et des que tu vois que ce commence a bouillir tu arrête le feu."

Il lui adressa ensuite un sourire.

"Ca va a ou tu préfère t’occuper d’autre chose ? Moi je vais m’occuper du reste"

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"Ma ! tou va m’éploucher les pommes dé terre…"

Cette simple phrase eu un drôle d’effet sur la demoiselle. Celle-ci, étant bien habituée de cohabiter avec l’accent italien, eu presque envie de grimacer en entendant cette imitation, mais cette envie se transforma bien vite en un rire amusé. Cependant, elle pinça bien rapidement les lèvres afin d’éviter de se lancer dans un de ces ‘’fous rires’’ incontrôlable qui s’attaquent à nous lorsque l’on se laisse dominer par le moment. Une fois presque calme, Lana pris ce que lui tendait le chef et tenta tant bien que mal d’ajuster le tablier à sa petite taille. Ainsi, elle dû faire un nœud dans la ganse dans laquelle elle devait passer la tête et choisit de faire deux fois le tour de sa taille avec les cordes servant à attacher ce tablier blanc. Comme ça elle ne serait pas gênée par ceux-ci. Déjà qu’elle était maladroite, s’il fallait qu’en plus elle s’emmêle dans les cordes qui pendaient dans son dos… Une fois ses vêtements protégés, la jeune femme s’empressa de rejoindre son nouvel ami qui rapidement lui expliqua ce qu’ils allaient faire, ou plutôt la partie qu’il lui confiait. Elle resta troublée un moment lorsque Beast lui tendit un ‘’économe’’.

*Tien, un épluche patate… Pourquoi est-ce que même dans les situations les plus étranges du genre ‘’je me retrouve prisonnière d’un pensionnat magique, en compagnie d’une de mes idoles’’, je me retrouve quand même avec un truc aussi banal et ennuyeux dans les mains…*

La jeune femme porta attention aux informations que voulait de lui transmettre le musicien et tout se passait assez bien, jusqu'à ce que Beast fasse allusion à l’utilisation d’un couteau. C’est réellement à contre cœur, presque par automutilation mentale, que la demoiselle posa l’économe près du four pour se saisir du manche du –quel hasard!- plus gros des couteaux qu’avait sorti son cuisinier particulier. Même le plus parfait des étrangers pourrait voir à quel point la jeune femme ne semblait pas enthousiaste, voir pas du tout rassurée à l’idée d’en faire usage. Sans doute est-ce aussi ce qu’avait compris le musicien, car il ajouta quelques paroles qui se voulaient rassurantes.

-Si tu le dis, concéda-t-elle, se disant que dans les films, c’est toujours avec le gros couteau que le maniaque tue ses victimes.

Au même moment, la jeune femme vit une planche à découper se poser sur la partie du comptoir devant laquelle elle se trouvait et vit disparaître le musicien. Elle n’eu pas vraiment le temps de se demander ce qu’il faisait car elle sentit bien vite sa présence derrière elle. Sa main, qui tentait littéralement- et inconsciemment- de faire éclater le manche du couteau, se détendit en sentant celle du jeune homme la recouvrir. Sans le vouloir, Beast lui rappela à quel point il était grand lorsqu’elle le sentit se pencher pour que son profil atteigne le sien. Puis, lorsque la célébrité entreprit ses explications, la jeune femme regarda leur main. Elle se surprit à trouver assez jolie le contraste entre la couleur de leur peau. Déjà que la blancheur de la sienne la faisait presque s’extasier lorsqu’elle serrait la main d’un des Haïtiens de son école, imaginez ce à quel point elle pouvait s’éblouir – oui je sais, mais j’ai déjà spécifié qu’elle était vraiment influençable…- en voyant la peau verte du jeune homme si près de la sienne. Elle en oublierait presque que la couleur de la peau du musicien pouvait qualifiée d’anormale. En faite, elle l’avait déjà oublié, Lana avait même l’impression d’avoir côtoyer des gens à la peau verte toute sa vie. Elle qui voulait de l’extraordinaire, pourquoi faisait-elle de cette anomalie un truc presque commun? Soudain, alors que le plus expérimenté lui enseignait comment manier l’instrument, la jeune femme ne pu empêcher son cerveau de lui renvoyer- un peu trop clairement à son goût- les images d’une scène célèbre d’un film connu. C’est donc en essayant de ne pas se remettre à rire que la petite canadienne laissait son idole lui enseigner comment utiliser un couteau, tout en tentant de renvoyer ces images de ‘’mon fantôme d’amour’’ de là où elles venaient. C'est-à-dire, dans le fin fond de sa mémoire. Ils ne faisaient pas de la poterie, mais de la pizza! Alors au placard cette habitude de s’imaginer des remix de films! Beat lui fit alors – tout en lui ramenant les pieds sur terre- une remarque au sujet d’éventuelles blessures.

-Pourquoi? Tu le trouverais pas joli le plancher s’il était recouvert de mon sang? Personnellement je pense que ça lui donnerait un certain genre… Blagua la petite canadienne avec un soupçon d’ironie.

La petite leçon prit alors fin tandis que les mains de la demoiselle furent libérées de l’emprise de celles du musicien. En réapparaissant, il finit de lui fournir les explications nécessaires à la préparation de cette sauce napolitaine et, après un sourire bien accueillit, il s’assura qu’elle se sentait en mesure d’accomplir cette ‘’au combien difficile’’ mission.

-Ça ira, je crois avoir tout retenue, mais je ne peux rien promettre en se qui attrait la conservation de mes dix doigts, lui répondit-elle alors en posant sagement le couteau là où elle était presque convaincue de ne pas pouvoir se blesser avec. Bon, ça, au moins, je sais très bien m’en servir, commenta la demoiselle en s’armant de l’économe.

C’est du Lana tout craché…Elle est sans doute le seul être sur terre à pouvoir et vouloir se venter de sa capacité à manier un tel objet. Ça fait très joli sur un curriculum vitae! ‘’Experte en maniement de l’économe, tous fruits et légumes confondus’’. Sur cette fausse consolation, la jeune femme attrapa une tomate, laissant le champ libre à son ami pour aller s’occuper du reste et se mit à l’œuvre. Étonnement, bien que d’être fière de bien manier ce banal objet soit étrange et rarement vu comme merveilleux, Lana semblait réellement à l’aise, voir même être une maître dans son domaine. En un rien de temps, la jeune femme se retrouvait confrontée à l’étape qu’elle dépréciait le plus… C’est sans réelle assurance que notre jeune canadienne entreprit d’imiter les gestes que lui avait appris, plus tôt, l’autre – le seul en fait- cuistot de la pièce. À son grand étonnement, elle réussit à ne pas asperger les murs et le sol de sang. Elle c’était tellement concentrée, que même si Travis était apparu près d’elle, elle n’aurait rien vu! Bon okay, peut-être pas à ce point, mais presque!D’accord, elle n’avait pas été très rapide pour cette partie de la préparation, mais bon. Vaut mieux être lente que de perdre un organe nécessaire à la vie quotidienne.

-Encore tous présents? Voulue-t-elle se rassurer en posant le couteau pour agiter tous ses doigts. Bien….

Suite à ce rapide examen, la jeune femme reprit le couteau afin de transférer les restes de ses victimes dans la casserole. La jeune femme fut alors soulagée car elle se disait que c’était la dernière fois de la journée qu’elle touchait à cet engin meurtrier et ce, avec tous ses doigts. Une fois débarrassée de son ennemie, la jeune femme attrapa le mixeur et le regarda un moment en trouvant sa forme très étrange. Haussant les épaules, Zveltlana enfonça l’engin dans la casserole –du bon côté, elle l’espérait…- pour ensuite le brancher. Grosse erreur. Le mixeur était réglé à haute vitesse, ce qui eu pour effet de projeter un peu de tomate dans les airs et le manche s’agitait bien trop dans la main de la jeune femme. Cette dernière poussa donc un petit cri de surprise et dans un réflexe – des plus mauvais- elle leva le bras. Ce qui eu pour résultat d’amener le mixeur, encore en marche, dans les airs tout en le laissant répandre une sorte de bouillie de tomate dont la plus part alla s’écraser sur le tablier et le visage de l’apprentie cuisinière. Aussi tôt, la jeune femme éclata de rire et s’empressa de FINALEMENT éteindre l’appareil. La preuve était donc faite.

a) Le ridicule ne tue pas.
b) On peut s’amuser en faisant à manger
c) Les filles n’ont pas toutes peur de se salir les mains.

Ce ne fut que lorsqu’une crampe s’empara de son ventre que la petite canadienne réussit à se calmer et reprendre, correctement cette fois, sa tâche. Quand le contenue de la casserole eu une texture acceptable pour faire une sauce- texture qu’elle comparait avec ce qu’elle avait pu voir dans les casseroles qu’utilisait son père lorsqu’il cuisinait- Lana posa ladite casserole sur le feu. Étrangement, de toute les étapes, ce fut allumer le gaz qui lui causa le plus de problèmes. Après tout, les fours fonctionnent à l’électricité au Canada. Avec ‘’peine et misère’’ la jeune femme parvint à ‘’allumer le gaz’’ et réussit même à le régler ‘’à feu doux’’. Fière de son exploit de petite canadienne d’une petite ville perdue, Zveltlana se retourna vers le vrai cuisinier. Si sa mémoire était juste, c’était le moment de mettre le sucre et les trucs qui ressemblaient à du vieux gazon broyé. Contrairement à elle, il semblait très à l’aise avec tout et, encore contrairement à elle, il donnait l’impression qu’il faisait ça tous les jours. Quand on veut, on peut.... Eh bien, Lana essayerait de vouloir plus…

-Hey, Chris, l’appela gentiment la ‘’responsable de la sauce’’, voyant qu’il était occupé. La tortue que je suis aurait besoin de savoir où se trouve le sucre, lui fit-elle savoir.

Sujet: Re: Forza Italia [PV Beast] Mer 5 Jan 2011 - 9:49

-Pourquoi? Tu le trouverais pas joli le plancher s’il était recouvert de mon sang? Personnellement je pense que ça lui donnerait un certain genre…

"Question de gout… mais la boucherie c’est pas le theme du jour."

Pour un végétarien ca faisait bizarre de sortir une réplique pareille.

-Ça ira, je crois avoir tout retenue, mais je ne peux rien promettre en se qui attrait la conservation de mes dix doigts Bon, ça, au moins, je sais très bien m’en servir,

Ajouta-t-elle en saisissant l’économe (épluche patate ^^).

"Tres bien alors je te laisse faire dans ce cas."

Il recula de quelques pas avant d’enfiler un tablier à son tour… Travailler la pate, avec un t-shirt noir ca n’allait pas vraiment ensemble. Il saisit un second économe et se mit en face du second plan de travail à quelques centimètres de Lana. Il attrapa une des trois et commença a l’éplucher en faisait tout le tour en spirale. Un technique très utile car bien faite elle consistait a ne faire qu’une seule pelure, bien que longue soit elle. Il ne lui fallut que quelques secondes pour l’avoir entièrement dépouillée de sa peau, avant d’entamer la même opération avec la seconde. Puis la troisième.
Il jetait des coup d’œil régulier a sa partenaire pour voir si tout allait bien, il entendant par tranche régulière les bruit d’une lame de couteau s’abaissant sur la surface en bois de la planche.
Il alla ensuite dans l’armoire a ustensiles pour sortir une seconde casserole et se diriger ensuite vers le robinet pour la remplir au deux tier d’eau. De retour a son poste il plongea les 3 pommes de terre dedans.

-Encore tous présents? Bien….

Il tourna la tête dans sa direction sans arrêter l’action que ses main avaient commencé a entreprendre en amenât la pate a pizza en face de lui.

"Je te l’avais dit, que tu y arriverais. Quand je ressens quelquechose c'est rare que je me trompe."

Ca c'était en partie dut a son instinct animal. Il replongea ensuite son attention sur la pate à pain. En la tâta du pout des doigts elle était assez ferme. Du fait du manque de fermentation. Il les craquer et donna un grand coup de poing sur le Patton pour l’attendrir. Une fois la pate molestée il lui donna la fore d’une sphère avant de saisir un rouleau et de commencer à l’étaler en allant bien régulièrement en d’avant en arrière, de gauche a droite, afin qu’elle ne se déforme pas et qu’une fois étalée elle reste bien rond. Maintenant restait le plus difficile a faire. Donner de la force a la pate en la faisant tourner en l’air entre ses mains.
Il s’apprêta a la saisir quand sa partenaire émit un bref cris. Il n’eut juste le temps que te tourner la tête dans sa direction pour voir ce qu’il se passait qu’une projection du contenu de la casserole lui arriva dans l’œil gauche.
Un forte douleur aigue se fit sentir aussitôt instinctivement il plaqua la main dessus et fit trois pas en arrière en se tenant au bord du plan de travail. La tomate était un fruit acide a la base, ce qui avait pour effet de faire déjà un bon picotement, mais combiné a la balafre cela devenait plus une brulure qu’autre chose. Il en avait tellement mal qu’une larme coulait le long de sa joue a partir de l’œil valide. Pendant quelques seconde il se demandait si cette fois il allait perdre la vue d’un œil. Mais au final non, la douleur commençait a s’atténuer. Il se précipita par l’évier et le robinet avant de coller sa tête en dessous et de rincé abondamment d’eau.
La douleur disparue, mais il était dans un état catastrophique. Son œil était rouge comme si il avait la conjonctivite, ajouté a ca que sans avoir réfléchit et ayant mit sa tête entière sous le robinet, et se cheveux étaient complètement den train de dégouliner sur se épaule et son t-shirt qui commençait a lui coller a la peau. Une sensation qu’il n’aimait pas particulièrement. Il avait comprit ce qu’il venait de se passer. La demoiselle avait eu quelques soucis d’utilisation avec le mixeur. Lui io dégoulinait d’eau et elle était recouverte d’éclaboussures de tomate. Ce qui lui valut un fou rire. Lui n’avait pas trouvé ca particulièrement drôle.
Le temps qu’elle se calme il était partit dans un coin de la pièce, chercher un torchon propre. Et s’essuya le visage ainsi que ses cheveux. Pour les vêtements il ne pouvait rien faire. Ca faisait un peu concours de t-shirt mouillé mais bon a part l’enlevé et le mettre dans le four, il n’y avait pas d’autre solution. Il préféra toute fois resté avec ses habits trempés

" Arff....Eh ben l’accident n’était ni au moment qu’on pensait… ni sur la personne qu’on pensait…"

La par contre aucun instinct n’aurait pu le prévoir. Il retourna vers son plan de travail et fut une nouvelle fois interrompu par la demoiselle qui visiblement n’avait rien vu de ce qu’il c’était passé.

-Hey, Chris, La tortue que je suis aurait besoin de savoir où se trouve le sucre.

"Quelle mignone tortue nous avons-la alors. Le sucre, tu le trouveras du coté du labo pâtisserie, dans un bac a roulette. Tu en prends le contenue d’une cuillère a soupe."

Il se re-concentra ensuite su son pâton de pate (logique) mais il profita de l’absence de Lana pour prendre sa casserole de pomme de terre dans l’eau et l’a mettre sur un feu juste a coté de la celle pleine de sauce tomate en train de frémir lentement. II y avait longtemps qu’il n’avait pas fait « voler » de pate dans ses mains. Il refit virtuellement les gestes qu’il avait apprit pour être sur de ne pas se tromper avant de se lancer.
Une fois sur de lui. Il du agir rapidement pour ne pas que la pate se déforme. Il la prit entre ses mains et entrepris de la faire tourner, sauter en l’air, l’a passée d’une main a l’autre, tout ca plusieurs fois d’affilé avant de finir par la poser sur une plaque noire.

"Maintenant faut attendre que le sauce aie refroidie avant de la répartir…. Ca laissera à la pate le temps de se reposer… la à part attendre il y a pas grand-chose d’autre à faire"

+

Par politesse – évidemment, il n’existe aucune autre raison valable lorsqu’il s’agit de notre petite canadienne- Lana avait passé sous silence l’état des vêtements et des cheveux du jeune homme. Elle ignorait pourquoi il était trempé et ne savait pas non plus si elle le saurait un jour, mais quelque chose lui disait que ce n’était pas dû à une cause météorologique. Ce quelque chose étant le plafond au dessus de leurs têtes… Quoi qu’il en soit, la mignonne tortue canadienne s’arma d’une cuillère ainsi que d’un petit goblet -connaissant sa maladresse légendaire- et pris la direction de ce labo pâtisserie. Vu ses désastreuses aventures connues lors d’un certain jeu où l’on se sert d’une cuillère et d’un œuf… Lana n’osait même pas imaginer le nombre d’aller-retour qu’elle aurait à faire pour amener l’équivalent ‘’d’une cuillère à soupe’’ jusqu’à la casserole. C’est donc pourquoi, faisant preuve du peu d’intelligence que certain voulaient bien lui accorder, notre tortue cuisinière avait pris soin d’apporter un goblet des plus banals, mais au combien utile pour elle. Une fois près dudit labo de pâtisserie, la jeune femme se mit à la recherche d’un bac à roulettes contenant du sucre. Non pas qu’ils soient tous cachés, Lana est bien trop douée à ce jeu pour se faire battre par un objet inanimé, mais elle se demandait lequel était le bon. Bien que patiente, notre jeune amie ne fait (mal)heureusement pas partie de ces gens appréciant de casser la tête en rendant la plus simple des choses extrêmement compliquée. Donc elle préféra sauver du temps en ouvrant les bacs –un à la fois pour éviter les dégâts- que de se demander inutilement lequel ouvrir. Donc, elle vint s’accroupir près du premier et, après avoir posé ce qu’elle avait en main sur un autre bac, elle entreprit de l’ouvrir. Un petit effort manuel et une grimace plus tard, la demoiselle refermait le premier bac qui ne contenait définitivement pas du sucre. Une petite rotation et un autre petit effort manuel plus tard, la jeune femme plongeait la cuillère dans un micro désert de sable blanc. Lana fut bien heureuse d’être tombée sur le sucre. En fait, elle n’aurait pas aimé revire l’expérience du premier bac. Elle ignorait ce qu’il contenait, mais ça ne sentait vraiment pas bon!

*Bon!*

Maintenant qu’elle avait ce dont ils avaient besoin, la jeune femme se fit une joie de retourner près du four. Là, au moins, elle savait que ça sentirait bon. Sur le chemin du retour – aussi petite soit la distance- Lana s’arrêta, goblet en main, et regarda faire le musicien. Elle se serait cru en présence d’un véritable italien qui passe ses journées à faire de la pizza… Chose qu’elle aurait surement vu si elle n’avait pas franchis la porte infernale de ce pensionnat. Des italiens, il n’y a pratiquement que ça à Rome! Quoi qu’il en soit, Lana fut surprise de le voir manier la pâte aussi bien. Okay, elle avait souvent entendue ses ‘’amies’’ lui dire que ‘’Ho si tu savais à quel point les musicien sont habile avec leurs mains’’. Évidemment, Lana se doutait bien qu’elles ne parlaient pas de pâte à pizza… Ni de toute autres choses se déroulant normalement dans une cuisine, mais effectivement, Chris semblait très habile et ce peu importe ce qu’il faisait. Contrairement à une certaine canadienne se prenant pour une tortue dont je tairai le nom…… Reprenant sa route sans quitter le musicien du regard, Lana retrouva son poste de travail. Elle finit sans peine la tâche que lui avait confiée l’artiste bien qu’elle l’ait plus observé lui qu’autre chose. À croire qu’elle était maladroite que lorsqu’elle essayait de se concentrer sur ce qu’elle faisait… Au moment où la jeune femme se mit à la recherche d’un linge quelconque pour enlever les résidus de tomates qui lui collaient au visage – ceux sur ses cheveux représentant une cause perdue d’avance- le cuisinier lui adressa la parole.

"Maintenant faut attendre que le sauce aie refroidie avant de la répartir…. Ca laissera à la pâte le temps de se reposer… la à part attendre il y a pas grand-chose d’autre à faire"

-Eh bien…commença-t-elle en prenant le temps de se redresser, s’étant pencher pour fouiller dans un tiroir. Je n’ai rien contre le fait d’attendre, mais j’ai horreur du silence. Ça me rend mal à l’aise de rester là sans rien dire quand je suis en compagnie de quelqu’un, avoua ensuite la jeune femme en dépliant le linge qu’elle venait de prendre.

Sur ce, après avoir esquissé une grimace quant aux motifs hideux décorant le torchon qu’elle avait pris, Lana entama un petit nettoyage de son visage et de ses avant-bras. Non pas qu’elle ne supporte pas la saleté…Ça serait un peu bizarre quand même qu’elle soit un miss proprette alors qu’elle joue au foot presque tous les jours. Vous arrivez à imaginer ça vous? Une hypocondriaque qui joue dans la boue? Hum…Eh bien pas moi! Seulement, là, il n’est pas question de soccer, ni de terre mouillée. Bref, faisant de son mieux pour retirer toutes les éclaboussures de sur sa peau, Lana alla s’asseoir près de l’îlot.

-Alors discutons… Comme je sais pratiquement tout sur toi depuis le moment où tu t’es joint au groupe et que je ne crois pas que l’on soit encore assez proche pour que je puisse jouer les psychologues de services en te demandant de me parler de ton enfance et adolescence, dit-elle d’un trait avant de marquer une pause…

À croire que c’est sont truc les phrases interminables qu’il faut prononcer à toute vitesse pour ne pas manquer d’air en plein milieux…

-Je te propose de trouver un autre sujet que ta vie, sujet que tu dois être écoeurer d’aborder avec tous ceux qui passent, en bonne célébrité que tu es. Donc… Il y a une chose dont tu voudrais que l’on parle? Demanda-t-elle enfin en croisant les jambes tout en cessant de s’acharner sur son visage.

Sujet: Re: Forza Italia [PV Beast] Jeu 20 Jan 2011 - 14:19

-Eh bien… Je n’ai rien contre le fait d’attendre, mais j’ai horreur du silence. Ça me rend mal à l’aise de rester là sans rien dire quand je suis en compagnie de quelqu’un,

Ayant terminé sa propre tache, il prit la plaque noire et la déposa dans une échelle d'attente.
la tache n'allait pas être facile, car il ne savait pas vraiment de quoi lui parler, mais ayant remarqué que la demoiselle avait le dialogue facile, c'était certainement elle qui allait lancer le sujet. Quitte a ne rien faire activement pendant plusieurs minutes autant se poser. Il alla donc s'adosser contre un des plans de travail. Ses vêtements trempées lui collaient a la peau pire que jamais... Il aimait les aimais bien serrés mais la c'était un peu exagéré quand même. Des picotements lui parvint de nouveau a l'oeil qu'il se frotta de nouveau. Il espérait que ca n'allait pas duré toute la soirée, car pour cuisiner être handicapé d'un oeil c'é tait assez pénible. La demoiselle quand a elle était en train de se débarbouiller avant de prendre la parole.

-Alors discutons… Comme je sais pratiquement tout sur toi depuis le moment où tu t’es joint au groupe et que je ne crois pas que l’on soit encore assez proche pour que je puisse jouer les psychologues de services en te demandant de me parler de ton enfance et adolescence.

De toute manière il n'avait pas vraiment envie de parler de cette époque, ou il était quelqu'une d'autre et ou il ne ressemblait pas a ce qu'il était aujourd'hui. Le chétif étudiant en archéologie issue de parents a la têtes de grandes entreprises... Breuk ! Avec le recul comment avait-il pu avoir ce style de vie ? C'était une époque qui était bien loin a présent, même si déjà a l'époque il avait déjà une certaine cote de popularité dans les établissements scolaires qu'il avait fréquenté.

-Je te propose de trouver un autre sujet que ta vie, sujet que tu dois être écoeurer d’aborder avec tous ceux qui passent, en bonne célébrité que tu es. Donc… Il y a une chose dont tu voudrais que l’on parle?

Il haussa un sourcil et eu un sourire amusé.

"C'est que tu ne me connais pas si bien que ca alors. Je ne parle jamais de ma vie, c'est pas un point que j'aime beaucoup abordé. Mais si on vas par la puis il y a un truc que j'aimerai bien qu'on parles... c'est de toi

en y réfléchissant ils ne se connaissaient pas si bien que ca, elle, elle en savait beaucoup sur lui, mais ce n'était pas reciproque, ce qui dans un sens était logique.

"Je vais te le faire a la journaliste. Que tu vois a quoi ca ressemble une interview... t'as juste à imaginé devant toi une perche de son et une camera...alors..."

Il s'éclaircit les gorge et imita le ton des journalistes à la télévision en prenant une cuillère pour simuler un micro.

"Mesdames messieurs bonsoir, vous êtes nombreux ce soir a attendre ce rendez-vous car j'accueille une invitée très particulière ca soir. Il s'agit de Lana, Lana que vous mourrez d'envie de découvrir, elle va donc pour vous faire un petit CV express en se présentant, nous parlant de ses goût, de son parcours professionnel et de ses ambition"

Il lui tendis ironiquement la cuillère. Cette manière de mettre en scène ses question, lui permettait par moyens détourné de savoir ce qu'il voulait savoir sur elle, sans lui poser directement les questions unes par une

+

‘’…il y a un truc que j'aimerai bien qu'on parles... c'est de toi’’

Avoir été de cette jeune fille facilement flattée ou gênée, Lana aurait probablement rougit. Mais comme elle est plus du genre extravagante et sans la moindre honte. Bon okay, ‘’pas la moindre honte tant et aussi longtemps qu’elle n’est pas dévêtue’’. Pour le moment, la demoiselle avait seulement les cheveux pleins de tomates, alors pas de quoi baisser les yeux en laissant ses joues se teinter de rouge. Au contraire! Zveltlana était plutôt contente de voir que le musicien voulait savoir des choses à son sujet. Elle savait déjà qu’il n’y aurait pas beaucoup de choses à dire, mais elle se ferait un plaisir de répondre à toutes les questions que pourrait se poser sa deuxième star préférée. La première étant, vous l’aurez deviné, Travis Barker, mais comme Chris faisait désormais partie de ses connaissance, la grande fan qu’elle était c’était vu au regret de faire perdre sa seconde place ex æquo à Tom. Mais pour le moment, Chris occupait belle et bien la quatrième – les deux premières étant réservée à ses parents- place dans son cœur. Oui, la façon dont Lana pensait les choses pouvait, à son plus grand regret, sonner très ringard, mais qui le saurait?

Lorsque le musicien commença à lui parler d’interview, la demoiselle pinça les lèvres. Combien de fois avait-elle pu plus que sévèrement critiquer les journalistes. Que ce soit sur leurs questions idiotes ou mal posées, le mauvais travail de leurs recherchistes ou encore la façon diabolique dont ils manipulaient les réponses obtenues. Qu’est-ce qu’elle donnerait pour en rencontrer un pour voir comment ils réagiraient en présence d’une personne comme elle… Quoi qu’il en soit, elle fit une moue amusée en le voyant se saisir d’une toute petite cuillère. Ils étaient loin de ces micros recouverts d’une housse en poil ou décorer d’un de ces hideux logos de chaînes télévisées. Lorsque Chris pris une voix digne de passer à la télé, la demoiselle ne pu s’empêcher d’émettre un rire court et discret. Le coup de grâce, le moment où le musicien lui tendit la cuillère, fit craquer la jeune femme. Elle arracha gentiment l’ustensile à son ami et le posa sur le comptoir en retrouvant le peu de sérieux qu’on lui connaissait.

-Bon…Eh bien. Pour commencer, mon nom au complet c’est Zveltlana, mais bon, Lana c’est quand même plus facile à retenir et y a moins de chance pour les autres de ce gourer. Je viens de sortir du lycée donc le parcours professionnel, ce sera vite fait. Que du baby sitting. Je sais pas encore ce que je veux faire plus tard, alors on va dire que mes ambitions futures sont…Hum… Quitter mon éternel célibat avant la ménopause? Déclara-t-elle avec humour.

En disant cela, la jeune femme ce rappela de cette horrible étiquette qui ornait socialement son front. Elle semblait avoir été affublée du titre ‘’amie des garçons’’ depuis le jour de sa naissance. Elle haussa les épaules pour elle-même et choisi de poursuivre.

-Côté goût, je suis pas très difficile. En faite, j’oscille entre le ‘’je sais pas ce que je veux’’ et le ‘’je veux de tout’’. C,est que j'aime tellement de chose que, lorsque l'on me demande de faire un choix, c,est plutot dur pour moi de me décider. Exception faite de la musique et du sport. Mais ça, ça s’explique en partie par mes origines. Ce qu’il faut savoir, c’est que tous ceux qui entre chez moi font une sorte de voyage expresse. Ma mère est à moitié Russe et à moitié Polonaise, mon père lui est purement Italien, mais il à vécu presque toute sa vie au congo. A non, pardon, il aurait presque eu envie de me giflée. Il vivait dans la République démocratique du Congo, se reprit-elle en levant les yeux au ciel. J’ai donc grandit en mélangeant toutes ces cultures et en plus de tout ce patatras d’origine, mes parents ont tenu à ce que je m’intègre parfaitement à la culture canadienne. Révélation, je suis une canadienne! Québécoise de surcroît, rigola la demoiselle.

Faisant une pose, la jeune femme adressa un regard plus attentif à son interlocuteur. Elle ne savait pas trop quoi dire à son sujet, mais ça, ça s'explique très bien lorsque l'on sait que la jeune femme trouve son existance totalement dépourvue d'intérets...

-Je ne sais pas trop ce que les gens pourraient vouloir à mon sujet, alors je vais faire une liste de détails en vrac. Mes couleurs préférées sont le vert et le bleu, je ne sais pas siffler, je me réjouit de chaque petite chose de la vie, j'aime glisser sur les rampes d'escaliers, courir en chaussettes sur les planchers vernis, je parles six langues, j'ai été amoureuse d,une célébrité durant deux ans malgré qu'il ne sache même pas que j'existe, je n'ai jamais embrassé un garçon et j'ai leur coeur brisé à chaque fois que je vois quelqu'un de malheureux ou qui souffre. Autres chose que tu veux savoir? Conclut-elle en abordant un sourire de ''parce que je sais pas quoi ajouter''.

Il écouta avec attention les longues explications qu’elle lui fit en guise de réponse. Il avait vu juste, le nom sous laquelle elle se présentait était bien un diminutif, de son prénom d’origine. Il ne trouvait pas son nom difficile a retenir, simplement par ce que c’était peu commun comme prénom. Il apprit ensuite qu’elle était lycéenne de qui lui donnait une précision supplémentaire pour cerner son âge. A moins d’avoir redoublé des classes dans la normale des choses elle devait avoir entre 16 et 18 ans, mais pas plus… il comprenait mieux pourquoi ses parent ne voulaient pas la laisser allez aux concerts. Les parents sont souvent très protecteurs envers leurs enfants mineurs, surtout quand il s’agissait de filles. Coté professionnelle, il apprit quelle avait fait du baby-sitting. Classique en général comme petit boulot pour une demoiselle a cet âge la. Et par la suite cotés ambition professionnelle, elle ne savait pas encore ce qu’elle voulait faire vraiment. Il pensa mentalement qu’il ferait mieux qu’elle se décide vite, par ce que le vie professionnelle allait vite venir a elle. Dans d’autres ambitions, elle lui apprit qu’elle voulait trouver une personne dans sa vie. Cela lui fit hausser un sourcil d’étonnement. Comment une demoiselle aussi mignonne et gentille qu’elle ne pouvait ne pas encore avoir de petit ami ?

Elle aborda le sujet de ses gouts par la suite. La il se trouvait confrontée a une réponse de normand, « p’tet ben qu’oui, p’tet ben qu’non » mais il comprit mieux ou elle voulait en venir. En écoute les explications qui suivaient. Ah au moins, il y avait un point ou ils avaient la même certitude de gout : La musique. Pas très difficile de deviner. Le sport, comme lui elle avait aucun mal a choisir le sien. Elle, il l’avait deviné, était le football. Comment le savait-il ? Le gros ballon dans sa valise rouge bien entendu ! En revanche il avait mal a trouver le lien avec ses origines comme elle lui expliquait. Un sacré mélange d’ailleurs ! Il écarquilla les yeux de stupéfaction. Il n’aurait jamais cru qu’on pouvait avoir tout ce mélange d’origine dans une seule et même personé. Il pouvait allez se rhabillé avec ses deux pauvres origines, franco-américaines.

Elle lui détailla ensuite quelques infos a chaud sur elle, dont ces couleur préférés, et autres petit détails. Il écarquilla de nouveaux les yeux, quand il apprit qu’elle maitrisait 6 langues. La vache ! Lui personnellement c’était moitié moins, seulement 3, et encore deux d’entre elle étaient des langues maternelles.

Il ne put s’empêcher de lâcher un rire quand elle lui dit qu’elle avait été amoureuse d’une personnalité. Il voyait très bien de qui elle voulait parler, surtout qu’il le connaissait personnellement. Il apprit aussi quelle était très empathique a la souffrance des autres.

"Nan c’est bon, je ne vais pas te percé a jour non plus."

Il alla ensuite s’éloigner quelques secondes pour vérifier ou en était la préparation laissée à refroidir. Il posa ses mains sur le tour de la casserole pour se faire une estimation de la température. Ce n’était pas encore suffisamment froid, mais presque. Il revint ensuite vers son emplacement précédent, et se ré adossa contre le mur et recroisa les bras tout en luis affichant un sourire.

"Alors comme ca t’es seule ? La je suis étonné. Une fille aussi mignonne que toi devrait avoir quelqu’un depuis longtemps."

Son regard se perdit dans le vague avec une lueur nostalgique. Il repensa a son premier et unique amour qui n’avait duré qu’un an avant qu’elle ne le laisse tomber… et pour cause car c’était par sa faute, qu’il était devenu différent… avec un couleur de peau verte et des oreilles rappelant celles des elfes. Sa capacité animalière aussi d’ailleurs. Depuis il n’était jamais retombé amoureux de quelqu’un... jusqu'à ce qu’il en prenne conscience…. Que c’était le cas aujourd’hui. Les paroles de la jeune fille sur elle avait avaient fait un déclic. Il arrivait a présente a mètre une définition, sur la drôle de sensation qu’il avait en présence de la jeune fille et pourtant cela ne faisait quelques heures qu’il se connaissaient.. Mais il y a certaines sensations qui ne trompent pas. Son regard se reposa sur la demoiselle, pour qui il savait qu’il avait désormais le béguin.

"Ta sauce est presque froide. On pourra s’y remettre d’ici une ou deux minutes… tien j’y pense…quand tu le verra, faut que tu lui dise a Travis que tu a eu des sentiments pour lui. Ca lui fera plaisir tu peux en être sure."

+

"Nan c’est bon, je ne vais pas te percé a jour non plus."

Dommage...Cette option aurait pu s'avérer très intéressante! Quoi que... Lana le regarda sagement s'éloigner, évidemment, elle n'est pas une nymphomane qui reluque tout ce qui passe à porter de vue. Quoi qu'elle ne se serait pas gênée si elle en avait eu envie... Quand il revint vers elle, il commenta son état de célibat et bien qu'elle fut flatée du compliment qu'il y ajouta, Lana eu une très forte envie de lui répondre avec la même bêtise qu'elle sortait à chaque fois. Mais elle se retint. Elle n'avait pas envie que Chris prenne mal la façon dont elle lui aurait fait part de sa théorie sur son éternel célibat. Après tout, il y a plusieurs façon d'interprêter un ''Bah je sais pas, essayes donc de m'enlever l'étiquette ''amie seulement'' qu'on ma collée dans le dos!''. Il était rare que Zveltlana réfléchisse avant de parlée, elle serait tombée dans la spontanéité quand elle était encore bébé à ce qu'on dit... Mais là, la petite Canadienne refusait de courir le risque de briser cette relation encore parfaite de par sa nouveauté. Sans doute parce qu'elle n'avait pas répondu, Chris repris la parole.

"Ta sauce est presque froide. On pourra s’y remettre d’ici une ou deux minutes… tien j’y pense…quand tu le verra, faut que tu lui dise a Travis que tu a eu des sentiments pour lui. Ca lui fera plaisir tu peux en être sure."

La jeune femme fut très surprise. Sa sauce était presque froide!? Non, je rigole... Alors comme ça, Travis serait content d'apprendre qu'une fille qu'il ne connaît absolument pas ait déjà totalement flashée sur lui. Ah...Eh bien. Beast ne s'attendait sans doute pas à la réponse qu'allait lui donner la demoiselle.

-Mais j’y compte bien! Je me suis promis, en sortant de ma phase ‘’Travis-olique’’, que si un jour j’en avais la chance, je lui dirais que j’avais été amoureuse de lui. Comme ça, si jamais notre relation fan-artiste devait aller plus loin, il saurait que mon admiration n’est ni passagère, ni pour l’argent. Donc aucune raison pour qu’il doute de moi. Ça me tuerait qu’un des membres du groupe doute de l’intérêt que je vous porte….avoua la demoiselle en baissant les yeux.

Pour tout les fans inscrits sur les sites dont Lana est membres, il est clairement établit, de façon indéniable, qu’elle est une fan respectable et dévouée. Mais pour les membres du groupe victime de son idylle… C’était encore en prouvé, sauf peut-être pour Chris. Non, lui il devait bien s’en douter, avoir une idée au moins, du niveau de son affection pour lui et ces deux amis. Si ce n’était pas le cas, ça ne serait tardé s’ils passaient encore du temps ensemble. Affichant de nouveau un sourire, Zveltlana releva la tête, prenant mentalement note de ne plus jamais utiliser un mixeur sans vérifier sur quelle puissance il est réglé. La purée de tomates dans ses cheveux la dérangeait beaucoup. Pas au point de s’enfuir en courant pour prendre une douche, mais assez pour que l’idée de les toucher soit envoyé aux oubliettes. Sans savoir pourquoi, un souvenir très particulier refit surface dans l’esprit de la jeune femme. Ahhhh... Qu’est-ce qu’elle n’avait pas fait lors de ces soirées durant lesquelles ses parents la laissaient seule à la maison… Elle se souvenait très bien de cette fois où les murs de sa chambre avaient tremblés sous les vibrations assourdissantes de sa chaîne stéréo. Qu’est-ce qu’elle n’aurait pas donnée pour que quelqu’un de réel s’ajoute à la foule imaginaire ayant assisté à sa prestation. Prestation qui eu lieu dans sa chambre, dans les couloirs…Lors de sa glisse sur la rampe de l’escalier, dans la cuisine et sur le sofa du salon. Lana ne c’était jamais demander si c’était normal d’aimer faire de l’air guitar, de glisser sur les rampes d’escaliers, de se laisser rouler dans l’herbe d’une petite colline, de chanter à tue-tête sous la douche, de faire des courses nus bas sur les planchers vernis ou encore de faire des bombes dans la piscine pour arroser ses amies qui se font bronzée… Elle aime ça, c’est tout. C’est d’ailleurs en pensant à ces choses qu’elle eut envie de pousser davantage ses connaissances sur l’une de ses idoles.

-C’est quoi la chose la plus bizarre qui te fais plaisir ou que tu aimes faire?

D’accord, ce n’était pas super claire ni utile comme question, mais ça avait le mérite d’être originale… Chose qu’appréciait être la demoiselle, ou du moins, la qualité qu’elle aspirait à mériter au sujet de sa vie. Eh puis… Si Chris lui donnait comme réponse une chose possiblement amusante, elle se ferait un plaisir de l’essayer et ainsi peut-être l’ajouter à sa longue liste d’activité. Qui sait, peut-être arriverait-elle ensuite à convertir son deuxième musicien préféré à l’une des activités étranges qu’elle affectionnait. Elle qui ne connaît pas la gêne, elle risquait probablement de trouver intéressant n’importe quelle chose qui passerait par la tête de son cuisinier personnel.

-Mais j’y compte bien! Je me suis promis, en sortant de ma phase ‘’Travis-olique’’, que si un jour j’en avais la chance, je lui dirais que j’avais été amoureuse de lui. Comme ça, si jamais notre relation fan-artiste devait aller plus loin, il saurait que mon admiration n’est ni passagère, ni pour l’argent. Donc aucune raison pour qu’il doute de moi. Ça me tuerait qu’un des membres du groupe doute de l’intérêt que je vous porte….

Il lui adressa un sourire. Etre fan de quelqu’un, ca il n’avait jamais vraiment connu, et a ce point encore moins, si il y avait bien une star dans le milieux de la chanson qu’il appréciait beaucoup c’était Lady Gaga, pour la bonne et simple raison, que c’est une artiste qui ose tout et n’ pas peut des critique et du scandale, comme être habillée en viande a une cérémonie de remise des prix. C’était pour son extravagance et pour son hors du commun qu’il l’appréciait, après tout, lui non plus n’était-il pas hors du commun ? Qui plus est il connaissait une bonne partie de son répertoire, qu’il savait reproduire sur sa guitare. Oui a chacun ses gouts. Il s’apprêtait a répondre quand elle lui posa une nouvelle question

-C’est quoi la chose la plus bizarre qui te fais plaisir ou que tu aimes faire?

Il eu un nouveau haussement de sourcil.

"La chose la plus… j’ai du mal a comprendre… ah si, je teste souvent mon équilibre… en public… Ou alors… me mettre la tête en bas quand je tente d’apprendre un morceau particulièrement difficile."

Il enleva son tablier pour lui faire une démo qui expliquerait bien mieux c’est paroles. Il s’éloigna de la table et se mit dans l’espace le plus grand qu’il pouvait trouver. Il exécuta un mouvement comme si il faisait la roue, mais s’arrêta en plein milieux de son élan, pour se retrouver en équilibre sur une main, les pieds en l’air.

"ca…c’est un truc… que le public me demande souvent…"

Apres presque une minute à tenir dans cette position, il termina le mouvement qu’il avait amorcé, pour retombé sur ses deux pieds avant de revint vers elle. Son sourire s’effaça quelque peux et abordant ai r un peu plus sérieux qu’à l’ordinaire pour en revenir a ce qu’elle lui avait dit avant qu’elle ne pose sa question. Il lui paraissait nécessaire de poser son point de vue.

"Tu sais on a jamais douté de personne dans les fans, et lui encore moins après tout ce qu’il à vécu… c’est souvent qu’il dit en plaisantant que les fans sont parfois plus fidelles que certaines femmes, d’ailleur ils ont pour la plus part répondus présent pour le retour du groupe. Les seul qu’on doute sont peu être des filles un peu « space » qui vienne nous voir bien après la séance de graph, et qui non font des proposition…comment dire… … … oh et puis zut, tu est assez grande pour l’entendre après tout, elle viennent nous voir pour qu’on couche avec elle, la c’est dit !"

Apres tout pourquoi essayer d’y allez avec des pincettes ? Puisque elle était fan du groupe, elle ne devait surement pas avoir les oreilles chastes. C’était la première fois qu’il s’adressait a elle avec le même franc parlé que comme si il chantait. Il se demandait si des fois les titres ne finissaient pas par déteindre sur lui.

"Si sa peut te rassurer, aucun de nous n’a encore jamais accepté. On en rigole souvent d’ailleurs, mais a chaque fois je me fait charrié et me disent que je devrai accepter, et tout ca par ce qu’ils ont simplement 14 ans de plus que moi."

Il prit une mine faussement boudeur qui n’était pas crédible du tout. Avant de remettre son tablier autour du coup.

"Allez, on va quand même s’y remettre sinon on l’aura au petit dej cette pizza !"

+

La demoiselle le regarda s'éloigner en retirant son tablier, puis, lorsqu'il se mit sur les mains, Lana se mit inconsciemment à s'inclier sur la gauche en penchant la tête. Comme si elle essayait de voir la cuisine sous le même angle que lui. Elle y était presque lorsqu'elle fut forcée de renoncer. Le grincement de la chaise lui avait signalée que celle-si était contre l'idée de voir la petite canadienne se contorsionner ainsi. Donc, pour éviter de tomber, Lana s'agrippa à l'ilôt et retrouva sa position verticale. Elle regarda ensuite le cuisinier en faire de même et s'approcher. Elle eu cependant un pincement au coeur en voyant son sourire disparaître. Zveltlana détestait voir les gens délaisser leur sourire pour une quelconque autre émotion, ça lui donnait toujours l'impression que ces personnes n'étaient pas heureuses. Elle dû malgré tout mettre de côté ses pensées afin de ce concentrer sur ce que lui disait le musicien.

La jeune femme fit la moue quand Crhis fit allusion à ce qu'avait vécu Travis, car faisant partie de ces fans ayant toujours répondus présents, elle en savait un rayon sur chacun de ses chouchoux. Puis, lorsque le musicien cessa de parler, victime d'une sorte de malaise, Lana ne put s'empêcher de rigoler. Elle trouvait adorables toutes représentations de gêne. Elle qui n'était pas souvent sujet aux rougissements ni aux silences embarranssants, il lui arrivait fréquemment de s'en amuser. Non pas qu'elle soit méchante, mais elle devait avouer qu'elle trouvait ça attendrissant. La gêne, ça se simmule difficilement, donc lorsque quelqu'un parraît gêner, c'est qu'il sincèrent. C'est agréable de savoir que tu discutes avec une personne qui est vraie.

Le '' oh et puis zut, tu est assez grande pour l’entendre après tout''que lui lança l'artiste la fit sursauter. Non pas de peur, évidemment, mais de suprise. Le fait qu'il ait pris un petit moment de silence pour ensuite repartir de plus belle avec ce genre de paroles était très surprenant. Seulement, lorsqu'il finit sa phrase, il put la voir serrer les dents.

Ce genre de filles. Ce genre de filles qui rendaient ses parents totalement contre l'idée de la laisser aller assister à un concert. Et ça, même s'ils savaient qu'elle est l'exacte opposée de ce genre de personnes. Ce genre de personnes qui sont devenus ses pires ennemis lors de ça phase ''touche pas à mon Travis, c'est le mien''. Décidément, elle détestait le concept même des goupies prêtent à se jeter dans le lit de n'importe quelle célébrité.

Comme s'il avait lut en elle, Chris s'empressa de préciser certaines choses... Elle retrouva rapidement le sourire en s'imaginant le petit nouveau se faire embêter par les anciens. Surtout que ce sujet devait être parmi leur préféré.

-Pour vrai? Moi qui croyais que les resencemments de coups d'un soir à ton actif était en retard, blagua la jeune femme en levant les yeux au ciel.

Il n'y avait que les pseudo faons pour croire que toutes les star sont comme on les décris dans les magasine. Il suffisait de lire les rapport des autres fans pour se tenir au courrant des vents majistraux que se prenaient certaines de ces filles! Travis et tom devaient certainement jouer les vieux loups taquinant le jeune mâle parce qu'il ne fait pas ce que la société attend de lui. Après tout, les rumeurs sur le nombres de groupies ayant passées par le lit d'une star ne datent pas d'hier.

''Allez, on va quand même s’y remettre sinon on l’aura au petit dej cette pizza !''

-Mon père me renierait si je n'avais seulement l'idée de manger de la pizza froide, commenta la demoiselle en se levant afin de se lever, prête à se remettre au boulot. Bon okay, il aurait déjà envie de me renier juste s'il savais que cette pizza est végétarienne...Avoua-t-elle ensuite, sérieuse malgré le ton rieur qu'elle avait employé.

Après quelques secondes de silence, la jeune femme regarda le cuisinier.

-J'aurai le droit de laver la casserole? Demanda-t-elle.Te moque pas, j'aime juste faire la vaisselle, ajouta-t-elle ensuite en voyant le regard étrange qu'il lui avait lancé.

Après tout, la culture Italienne voulait que les filles soient de parfaites fées du logis alors que le côté Russe de sa mère l'avait transformée en parfaite épouse des années 1800 quelques. Les grosses robe d'époque encombrante et les corset qui empêchent de respirer en moins.

Il s’apprêta a se rediriger vers le plan de travail quand elle lui adressa la parole.

-Pour vrai? Moi qui croyais que les resencemments de coups d'un soir à ton actif était en retard,

Ironisa son interlocutrice. Il haussa un sourcil, bien qu’il s’agissait d’un blague, il eu l’air éffaré.

"Hey ! tu ne vas pas tu mètre non plus !... décidément, tel artiste, tel fan… non ca n’est pas dans es habitudes de profiter des autres…"

Il se rendit donc a son but et revin vers le plan de travail. Il tata du bout des doigts la pate a pizza. Elle était parfaitement levée pour pouvoir continuer.

-Mon père me renierait si je n'avais seulement l'idée de manger de la pizza froide, Bon okay, il aurait déjà envie de me renier juste s'il savais que cette pizza est végétarienne... J'aurai le droit de laver la casserole? Te moque pas, j'aime juste faire la vaisselle.

Il tourna la tête dans sa direction, visiblement interloqué a cette question alors qu’il s’apprêtait a répondre au reste. C’était bien la première fois qu’il voyait une fille demander pour faire la vaisselle.

"Bah…euh si ca peut te faire plaisir… mais ca on verra pendant que ca cuit… toute manière froide ou pas cuite c’est pas terrible et ca peut être a tout ce que l’on veut… on en fait même des sucrée aux US … a ce moment la ca s’appelle une tarte... "

Il alla récupérer la casserole de sauce tomate et s’arma d’une cuillère a soupe. IL la plongea dedans et alla en étalé une bonne couche généreuse sur la pate, il recommença plusieurs fois l’opération jusqu’a ce qu’elle soie répartie uniformément. Sur la surface, ca commençait à ressembler a quelque chose. Il alla ensuite récupérer la seconde casserole qui contenait les pommes de terre cuites a l’eau. Il les récupéra, les pellas a la main, il eu ensuite recours au couteau pour les couper et en faire des tranches qu’il disposa bien régulièrement sur la sauce tomate. Ensuite vint le tour u les poivrons durent subirent exactement le même sort, mais il s’agissait le cette fois de lamelle et non pas de tranches. Un belle vision de patchwork se présenta sous le yeux, des rond jeunes, des lamelles rouges et vertes sur une fond de couleur rouge. A part rincer les pousses de soja il n’y avait pas grande chose d’autre a leur faire subir avant de les ajouter aux autres ingrédients disposés. Pour continuer il rit la boite de Maïs que Lana lui avait soigneusement égoutté au préalable. Il en disposa aussi une bonne quantité. C’était presque finit. Maintenant toute bonne pizza qui se respectait devait être recouverte de mozzarella râpée, c’est ce qu’il fit. Il ne manquait plus que pour finir : les champignons de paris sur le dessus. Les pauvres subirent exactement le même sort que les poivrons, avant de se retrouver en morceaux a leur coté. Et voila elle était terminée. Il recula d’un pas pour observer leur résultat avant la cuisson. Il avait l’impression que quelque chose n’allait pas, on pouvait le voir sur son visage, il le paraissait pas satisfait. Tout était la portant, ils n’avaient rien oublié, il se repassa très vite mentalement toutes les opérations qu’ils avaient effectués. Non vraiment pourtant tout était la, mais alors pourquoi cette sensation d’incomplet… a moins que…

"Mais quel nul ! J’allais oublier la touche finale !"

Il fit volte face et alla vers le frigo. Il jeta rapidement un coup d’œil pour trouver ce qu’il cherchait. Il revint alors vers le plan de travail avec un bocal d’olives noires. Il du forcer four ouvrir le couvercle, un peu comme pour les pots de confiture pas encore ouvert. Il en prit la quantité suffisante et alla les rincer sous l’eau et finir par les éparpillé de ci de la sur l’ensemble de la pizza.

"Faut vraiment être le dernier des nazes pour oublier ça."

Il se parlait à lui-même bien évidement. Et cette fois c’était vraiment terminé et il ne manquait rien. Il ne restait plus qu’a enfourner le tout. Il alla examiner le four, savoir de quel type il était. D’après ce qu’il pouvait voir c’était un four a chauffage pas sol. Formidable il n’y aurait même pas besoin de plaque. Il récupéra le long objet en bois appelé dans la « pelle » qui servait à enfourner des aliments de types pizza ou pain. Il fit tourner le manche dans sa main, comme il le faisait en concert avec les pieds de micros, vieux réflexe quand il prenait un objet long. Il glissa d’un geste sec et fit la partie plate de la pelle sous la pate et transporta la pizza a bout de bras jusqu'à la bouge du four, il effectua le même geste mais a l’inverse que précédemment pour l’enfourner, Il ferma la vitre juste derrière et hota son tablier et remit son bracelet a damier a son poignet gauche

"Bon bas d’ici une quinzaine de minute ca sera bon. En attendant, comme tu veux faire la vaisselle, moi je vais mettre la table dans la grande salle."

+

Contente que Beast lui concède ''l'honneur'' de faire la vaisselle (XD), Lana regarda le cuisinier poursuivre son oeuvre. La chose prit rapidement forme. C'était décidément tout un art de dresser une pizza. La jeune femme se rendit alors compte que le musicien ne semblait pas aussi satisfait qu'elle. Il affichait un drôle d'air. La jeune femme essaya donc de deviner ce qui manquait... Sauf qu'elle ignorait ce que Beast avait voulu faire au départ, donc pour comparer le résultat obtenu à celui escompté... Impossible. Soudain, la voix de l'artiste secoua la demoiselle. Au moins maintenant elle savait que c'était ''la touche finale'' qui manquait... Même si elle ignorait ce que c'était concrètement. Zveltlana le regarda se rendre jusqu'au réfrigérateur. Il le fouilla puis en revint armé d'un pot d'olives. En le voyant forcer, elle trouva cela amusant. S'il lui avait demandé de l'aide, elle l'aurait probablement regardé de travers. D'habitude c'est la personne sans muscles qui demande à l’ ''homme de la situation'' de lui venir en aide. Pas le contraire! Heureusement, tout ce déroula sans embûches et en moins de temps qu'il n’en faut pour le dire, la pizza fut joliment décorée de ces olives noires.

"Faut vraiment être le dernier des nazes pour oublier ça."

-Ma grande gentillesse me dit que tu ne t’attends pas réellement à ce que je donne mon opinion à ce sujet, rigola la demoiselle.

La petite canadienne observa ensuite le cuistot s'occuper du four. Elle espérait qu'il ait un milliard de fois plus d'expérience qu'elle pour ça. Si elle se souvenait bien, à chaque fois qu'elle avait aidé qui que ce soit à cuire quelque chose, elle c'était toujours brûlée. Ah non…La sauce pour la pizza… Eh bien, disons qu’il s’agit de l’exception qui confirme la règle. N’y a-t-il pas toujours une exception? Alors, que la chance soit avec elle et que Beast n'ait pas besoin d'elle pour cette partie de la recette. Comme si le ciel l'avait entendu, le musicien se débrouilla comme un grand, ou plutôt un chef! Il semblait d'ailleurs très doué avec ce… Cette... Cette chose ressemblant à une énorme spatule en bois. Quoi qu'il en soit, tout semblait terminé en ce qui concernait le fait d'enfourner cette pizza. Ce qui plus à notre jeune amie, car cela signifiait qu’il n’y avait plus de risques pour elle de se blesser. Après tout, il est rare que l’on se mutile simplement en mangeant. Lana pouvait donc mettre de côté cette dérangeant voix intérieure la priant de faire attention, car elle risquait de se blesser en faisant telle ou telle chose. Après tout, dieu seul sait à quel point la demoiselle peut se montrer maladroite! Exception faite (Eh oui, j’ai dit qu’il y en avait toujours une!) des moments durant lesquelles Zveltlana se trouve sur un terrain de foot.

"Bon bas d’ici une quinzaine de minute ca sera bon. En attendant, comme tu veux faire la vaisselle, moi je vais mettre la table dans la grande salle."

-Pas de problème, sourit la jeune femme en se dirigeant vers l’évier, laissant à Chris la liberté de la laissée seule pour aller s’occuper de la table en question.

La première chose qu’elle fit fut de fouiller dans les armoires les plus proches afin de trouver le nécessaire. Soit un bac, un torchon propre, le savon- elle fut ravie de le trouver bleu- et une éponge. Elle rassembla ensuite la vaisselle sur l’un des comptoirs afin de les rincer, puis elle empila le tout pour ensuite remplir le bac d’une eau chaude et savonneuse. La seule vue de toutes ces bulles amusa la petite mappemonde humaine. Combien de fois avait-elle déclancher une guerre contre sa mère pour le simple plaisir de se lacer des bulles et s’arroser. Chose qu’elle préférait faire avec sa maman, car elle était vouée à la défaite si elle jouait avec son père. La petite canadienne devait se faire à l’idée. Cette fois, pas de guerre, seulement elle et la vaisselle. Mais bon, elle se complaisait tout aussi bien de la tâche en soit que dans la façon de la remplire. La jeune femme plaça ensuite le linge sur l’autre comptoir afin de pouvoir y poser la vaisselle propre. Elle pu enfin commencer. Lana commença par les ustensiles, le dernier fut bien évidemment l’énorme couteau qu’elle avait été obligée de manier un peu plus tôt, puis elle s’occupa de l’économe (épluche patates) pour enchaîner avec le récipients. Qui pourrait croire que la demoiselle puisse aimer faire ce genre de chose alors qu’il s’agit d’une pure torture pour l’adolescent commun? Enfin bref… Le plaisir de notre petite canadienne fut de courte durée, car enfin le moment de laver le dernier morceau arriva. Elle attrapa la casserole et y transvida le contenue de l’eau savonneuse du bac. Après avoir rincé ce dernier et mit de côté, elle plongea sa main dans le gros objet de métal. Lana n’eu pas frotter longuement étant donnée que la casserole n’avait pas été laissée de côté très longtemps. Une fois bien propre, elle la vida, la rinça et l’envoya rejoindre le reste de la vaisselle. Ce ne fut qu’après avoir rincé l’évier et nettoyer ce qui fut jadis leurs postes de travail que la plongeuse temporaire s’arma d’un autre linge pour essuyer et ranger –du moins ceux dont elle retrouva la provenance- chaque pièce qu’elle avait lavée.

-Où ça va ça déjà? Se questionna à voix haute l’apprentie cuisinière en regardant de travers la planche à découper.

Une moue perplexe sur le visage, la jeune femme pris ladite planche a découper et pivota lentement sur elle-même à la recherche de l’inspiration. Ou plutôt d’une quelconque révélation qui lui rappellerait d’où Chris l’avait sorti.

Apres que la demoiselle lui ait affirmé qu'il n'y avait pas de problèmes, il ôta définitivement son tablier qu'il abandonna dans le panier de linge salle non loin de l'entrée de la cuisine. Il tourna les talons et prit la direction de la grande salle, laissant la miss a la préparation de son futur univers aquatique, mousseux et parfumé. Ce n'était qu'en rentrant dans la grande pièce qu'il se rappela qu'il était tard dans la nuit en regardant a travers la baie vitrée. Il s'adossa quelques secondes contre le mur qui faisait la séparation entre la cuisine et la salle. Il entendit de l'eau couler de l'autre coté. Il émit un soupir, en y repensant... comment ses sentiment avaient pu se développer a ce point pour la jeune demoiselle qu'il avait rencontré quelques heures plutôt. C'était la première fois depuis une éternité, mais cela pouvait être stupide car il était persuadé qu'il n'y aurait pas de retour, et en plus si on ajoutait à ca, leur âge et leur statut respectif ca n'arrangeait pas les choses non plus... Apres cette brève pose il retrouva sa vigueur habituelle et partit en direction d'une troisième pièce annexe, bien que beaucoup plus petite car tout le matériel pour dresser les tables y était ranger. Il alla ouvrir la première armoire, et en découvrit tout la partie lingerie, d'un coté de l'armoire était ranger des nappes et des serviettes uniformément blanches et de l'autre coté la même chose mais cette fois de toutes les couleurs possible et inimaginables. Il laissa catégoriquement tombé le coté blanc pour s'intéresser aux autres. Il y avait de tout, aussi bien des couleur unies telle entièrement bleues jeunes rouge etc. a d'autres avec des motif assez divers et varié, tel que rouge et jaune à petit poids, bleu rayé de vert, jaune a carreau oranges etc... il y en avait même une rose bonbon avec plein de petite fleur rose pastel dessus, ce qui faisait irrésistiblement penser aux motifs d'une maison de poupées. Il en choisi donc une couleur bleu ciel uniforme, et choisi deux serviettes en soie toujours dans les ton bleus mais un peu plus foncé. Il ferma du pied la porte de l'armoire et regagna la grande salle, maintenant il fallait choisir la table qui conviendrait le mieux parmi toutes celles qui s'y trouvait. Il en choisi une au pif au milieu de la salle accolée a une des grande baies vitrées d'ou il déposa encore pliées la nappes et les serviettes pour aller pousser les tables aux alentours afin de créer autour un espace qui donnait le sentiment d'être en privé. Une fois cette exercice sportif qui avait consisté, faute de manque de place pour poussé; a retourner certaines tables sur d'autres et à avoir empiler les chaises. Il revint var la table concernée et déplia soigneusement la nappe qu'il alla ensuite recouvrir la table. Il passa ensuite les paumes de ses mains afin de faire disparaitre les faux plis et avoir une surface bien lisse. Il laissa les serviettes de coté pour le moment, et retourna dans la petite pièce, cette fois ce qu’i l’intéressait c’était ‘argenterie. Il ouvrit les tiroirs de la seule commode qui se trouvait dans la pièce, et trouva son bonheur. A l’intérieur tout une pile de couverts en argent et de différentes tailles, autant en couteau, fourchette ou cuillère, tout en argent se présentait. Il prit deux couteaux et deux fourchettes de tailles moyennes ainsi que deux petites cuillères. En s ‘intéressant au portes de placard de la commode en dessous le tiroir, il en extirpa deux assiettes, de taille raisonnables ainsi que deux verres à pied en cristal. Il fallait dire que le cadre des lieux pouvait laisser une certaine impression de luxe. Il revint ver la table napée quelques seconde plutôt et entreposa de tout disposer dans les règles de l’art, en terminant par les serviettes pliées de façon artistique dans les verres. Maintenant il manquait un peut de déco, pour embellir cette table, seulement il ne savait pas trop quoi mettre dessus, et fini par retourner dans la petite pièce pour prendre un chandelier avec une bougie dessus, a moitié utilisée. Maintenant il ne lui manquait que deux choses, des allumettes, et la rouette en métal pour découper la pizza, pour cela il fallait retourner dans la cuisine. En y arrivant il constata que la demoiselle avait déjà fini de tout laver en un temps record, et maintenant et se demandait a présent ou pouvait bien se ranger la planche à découper

" Placard du haut, 3eme étagères a gauche. "

Lui lança-t-il pendant qu’il se dirigeait une nouvelles fois vers les endroits qui contenaient ce qu’il cherchait. Il retourna ensuite dans la grande sale, pour allumer la bouge et poser la roulette, pour revenir ensuite dans la cuisine, coté four. La pizza était prête, juste cuite comme il le fallait. Il ne restait plus qu’a saisir la pelle et a la défourner avec précaution. Lorsque c’eut fait, une délicate odeur de pizza juste cuite commençait a se rependre dans la pièce.

" Voila, c’est prêt. On peut passer à table. "

Il glissa la pizza de la pelle sur un très grand plat. Et prit la direction de la grande salle, chargé du plat. Il alla le déposer au centre de la table juste a coté du chandelier, il attrapa la roulette en métal, et commença a détaillé en huit des parts bien égales.

+

" Placard du haut, 3eme étagères a gauche. "

-Merci, répondit la jeune femme sans se retourner.

Lana se doutait bien que Chris n’allait pas tarder à finir, elle se dépêcha donc d’en faire autant. Elle s’approcha du placard en question, mais lorsqu’elle arriva à destination elle soupira d’exaspération en envoyant sa tête vers l’arrière. Elle n’était pas mathématicienne, mais elle avait de l’expérience en évaluation de la distance. Ça ne lui avait pris qu’une fraction de secondes pour constater qu’elle était trop petite et que le placard était trop haut. Certes elle arriverait à l’ouvrir, mais pour ce qui en était d’atteindre la troisième… Il lui fallut plus de temps de réflexion par contre. Ne trouvant pas d’idée sécuritaire, elle voulut s’adresser à Chris. Seulement, celui-ci venait de lui faire savoir que c’était près et avait déjà passé la porte.

-Euh... Ok. J’arrive j’ai presque fini!

Ah la menteuse… Lana c’était dit qu’il était occupé à autre chose à le voir ainsi butiner d’une pièce à l’autre. Elle choisit donc de le faire elle-même en mettant de côté la partie sécurité. La cuisinière en herbe fit donc demi-tour pour aller chercher le tabouret sur lequel elle c’était assise plutôt et qui lui servirait d’échelle. Une fois le tabouret bien en place, Lana attrapa la planche à découpé et grimpa.

D’abord en petit bonhomme, elle attendit d’atteindre les poignées du placard avant de se redresser. Histoire d’avoir un appui supplémentaire. Une fois stable, elle l’ouvrit en courbant le dos afin d’éviter de s’auto-frapper avec la porte. De retour à la verticale, la demoiselle étira le bras et rangea la planche à sa place. Heureuse de pouvoir retrouver la terre ferme, Lana afficha un charmant sourire de soulagement. Elle se dit qu’elle s’en faisant sans doute trop au sujet de sa maladresse légendaire. La preuve, elle était encore en un seul et même morceau!

Tout allait bien jusqu’à ce que la jeune femme se décide à refermer la porte… En voulant fermer le placard elle faillit perdre pied, ce qui la força à s’agripper au meuble. Le mouvement brusque eu pour effet de secouer les étagères ce qui fit tomber une plaque ronde- sans doute destinée à être enfournée- qui se fit un malin plaisir à venir s’écraser sur la tête de la jeune femme. Celle-ci s’empressa d’apposer sa main à l’endroit où l’objet l’avait heurté et une mauvaise habitude refit surface :

-TABARNAK!

Ce mot retentit assez fortement et longtemps dans la cuisine et les pièces lui étant adjacentes. Lana n’avait pas pu résister... Elle c’était faite mal, elle était furieuse contre ce qui lui était tombé dessus –oui c’est possible- et elle se trouvait idiote d’avoir eu l’idée de montée là au lieu de demander de l’aide. Résultat, elle devait extérioriser tout ça et la seule façon qu’elle connaissait, c’était ça. Elle n’avait pas seulement prononcer ce mot, elle l’avait littéralement crier.

Sa respiration était rapide et saccader, elle n’avait aucune envie de se plaindre, donc elle serrait les dents. Croyant qu’elle était maintenant hors de danger, elle soupira fortement et releva la tête pour ensuite lâcher le placard. Ce fut une immense erreur, car aussitôt qu’elle perdit son point d’appui, elle se sentit basculer. En l’espace de dix secondes, elle s’était faite assommer par un truc et venait de tomber de son échelle de fortune. Par réflexe, elle avait ramené ses bras devant son visage au cas où autre chose tomberait. En effet, sa chute, ou plutôt son atterrissage avait causé un avalanche- bon ok- trois autres objets non identifiés lui étaient tombés dessus. Par chance, il ne s’agissait de rien de pointu. Aller savoir pourquoi, malgré le fait qu’elle soit plutôt du genre chétif, son poids avait suffi à causer cette pluie d’objets. Sans doute était-ce de la malchance, qui sait?

Allongée sur le sol, ses assaillants de part et d’autre de son corps, les bras croisés sur le haut de son visage, Lana avait l’impression que de la fumée sortait de ses oreilles. Elle se serait cru transformée en locomotive à vapeur tant elle croyait bouillonner de l’intérieur. Lorsqu’elle sentit un liquide chaud couler de son front pour aller se perdre entre les doigts qui le couvrait, se fut la goute qui fit déborder le vase. Lana poussa un petit gémissement de désespoir et à nouveau, ses origines refirent surface. Ne vous méprenez pas, elle est loin d’être une fervente religieuse…

-Sacrament…Pourquoi faut toujours que ce genre de chose m’arrive à moi?Rahhhh…. Câlice…

Le dernier mot fut gémi lorsque la jeune femme avait décroisé les bras et avait aperçu le sang sur sa main. En venant ici, elle savait qu’elle finirait blessée, c’était évident, mais elle ne c’était pas doutée que ce serait au stade du rangement que le désastre se produirait…

Zveltlana devait être franche avec elle-même, elle n’avait aucune envie, à ce moment précis, de se lever. Son corps semblait avoir envie de rester là, gisant entre ses ennemis victorieux, comme pour dire à sa conscience ‘’je te l’avais dit que ça arriverait, c’est à cause de toi qu’on en est là’’. Et franchement, oui, franchement, Lana trouvait qu’il avait raison. Non seulement elle avait été assez idiote pour décider de ranger la planche seule, mais en plus, elle avait grimpée sur un tabouret. Elle se connaissait pourtant, mais elle avait quand même choisi de le faire. À croire qu’elle était maso…

Sans doute était-ce parce que rien, pas même une minuscule coupure, ne lui était arrivée durant la préparation du repas qu’elle s’était cru débarrassée du mauvais sort qu’on lui avait jeté à la naissance : La maladresse. Et pourquoi? Oui, pourquoi? Était-ce arrivée au moment où Chris l’avait laissée seule? Avoir été plus enfantine qu’elle ne l’est, Lana aurait presque attribué au musicien le statut de porte bonheur. Quoi que… Si c’était pour fonctionner, Lana y arriverait sans problèmes! C’est amusant quand même que son porte bonheur se personnifie dans une célébrité qu’elle apprécie particulièrement. Encore heureux qu’elle ait pu le rencontrer!

Sujet: Re: Forza Italia [PV Beast] Ven 11 Mar 2011 - 9:49

La découpe parfaitement égale il attendait que la demoiselle ai terminer de ranger ce qu'elle avait dans la main. Pendant ce temps la il termina par la touche finale qui manquais a la décoration. Il prit la boite d'allumette de la cuisine qu'il avait mit dans sa poche et l'ouvrit pour en craquer une. Il approcha doucement la flamme de la mèche de la bougie déjà noircie par une précédente utilisation quand....

TABARNAK!

Cette exclamation le fit sursauter, si bien qu'il manqua la mèche de la bougie et la flamme alla lui bruler le doigt. Et encore ce n'était pas fini. A peine eu t'il mit son doigt endolori dans sa bouche tandis qu'il éteignait d'une geste sec de l'autre main l'allumette qu'une grand fracas retenti dans la cuisine. Il n'osait même pas imaginer ce qui avait pu se produire dans las cuisine et pourtant une vague d'inquiétude la gagna soudain et le fit retourner au pas de course la ba, en jetant au passage la boite d'allumette sur une des tables.

-Sacrament…Pourquoi faut toujours que ce genre de chose m’arrive à moi?Rahhhh…. Câlice…

Il arriva sur place juste au même moment. N'ayant une connaissance que très peu prononcée dans le français québecois Il se demandait pourquoi elle parlait de signe religieux. En regardant de plus prêt la scène il vit la jeune fille affalée sur le sol, une multitude d'objet autour d'elle. Un filet de sang lui coulait de long de la joue et d'ou il était il ne la voyait presque pas bouger.

"LANA !"

Une note d'inquiétude se percevait dans sa voix et dans on expression, quand Il arriva en une fraction de seconde a coté d'elle en s'agenouillant. Il Lui passa un bras derrière le dos et le releva pour la mettre en position assise.

"Tu vas bien ? Qu'est ce qu'il c'est passé ?"

A vrai dire il avait sa petite idée en analysa le contexte, le tabouret affalé par terre, la porte du placard en hauteur ouvert et la multitude d'objet part terre dont la planche a découper. Le constat était vite fait, elle avait du perdre l'équilibre en voulant ranger la planche a sa place. Il passa sa main sur la joue et dans les cheveux de la jeune fille pour lui essuyer la sang qui coulait, mais c'était peine perdue il en revenait autant. Il ne fallait pas laisser ca comme ca.

Il passa ensuite son autre près en dessous de ses jambes pour la soulever et la porter de la même manière qu'il l'avait fait précédemment dans le couloir et a la la poser tout doucement sur un fauteuil du petit espace de repos jute a coté de la pièce ou se trouvait le bac de sucre.

"Je vais m'absenter quelques seconde le temps d'aller chercher ce qu'il te faut. En attendant garde ca sur la blessure pour arrêter le saignement."

Il lui tendit un torchon propre et convenablement plié. Il se releva par la suite et s'écarta d'un pas du fauteuil.

"Je fais vite ."

Sur ces mot pour gagner du temps il se métamorphosa en tigre, et partit en trombe de la pièce. Il passa une vitesse fulgurante au travers de cuisine et de la grande salle et défonça la grande porte d'un coup de tête qui s'ouvrit a la volée. La il tourna sur la gauche et sur ses 4 pattes sprinta jusqu'à l'infirmerie qui se trouvait a une centaine de mètre dans le grand couloir. Il y a arriva en 3 seconde chrono et a l'instar de celle de la grande salle, défonça la porte. A l'intérieur il reprit sa forme humaine et chercha du regard ce qui pourrait lui être utile pour soignée la blessure de la jeune fille. Il localisa une grande armoire a pharmacie. Il alla l'ouvrir et chercha vite fait du regard un flacon de désinfectant, une boule de coton et accessoirement une boite de pansement. Mais vu vu de l'endroit ou était la coupure ca risquait de ne pas être utile a la juste limite entre le front et les cheveux. Sur une des commode se trouvait une trousse de secours vide c'était parfait pour pourvoir tout prendre. Il fourra le tour dans la trousse qu'il referma avant de la placer entre ses dents et de reprendre sa forme animale. Il refit le même trajet en sens inverse toujours aussi rapidement. Il repassa dans la grande salle et retourna vers la salle de repos de la cuisine. En tourna a l'angle des deux, il manqua de faire une dérapage du fait que ses griffes glissaient sur le carrelage. Il revint auprès de la demoiselle et desserra l'emprise de sa mâchoire sur la trousse qui tomba par terre avant de prendre une nouvelle fois une forme humaine.

Il s'agenouilla auprès de Lana pour être a sa hauteur. Il posa sa main sur celle qui tenait le torchon qui a présent et blanc a pois rouges et l'écarta délicatement de la blessure puis ouvrit le petit kit de soin qu'il avait fait pour en prendre la bouteille de désinfectant. Il ouvrit la bouteille et appliqua la boule de coton contre le goulot qu'il retourna pour l'imbiber.

"Ca va picoter légèrement."

Il appliqua ensuite le coton contre la blessure et tamponna très délicatement. Il nettoya tout le sang qui avait couler aux alentour de la-dite blessure ainsi que sur sa joue. Un fois terminé la blessure ne saignait plus mais par précaution il préférait quand même mettre un pansement, même si ca et endroit ce n'était pas évident. Il en prit un petit dans la boite, et lui écarte les mèches qui lui était retombé sur la figure et le posa soigneusement sur la blessure. Au moins il ne se verrait pas avec les cheveux. Comme pour donner une bénédiction,son visage s'approcha très prêt de celui de la demoiselle et lui embrassa le front juste a l'endroit ou était le pansement.

"Ca va mieux ? T'aurai du me demander pour la planche. C'est loin d'être stable les chaises d'ici."

Il remit tour le matériel de soin de la petite trousse qu'il posa sur la table. Il lui adressa un grand sourire.

"Tu peux allez t'installer dans la salle, je m'occupe de ranger ca."

Il désigna d'un signe de la tête les ustensiles par terre avant de se diriger vers eux.

+

"LANA !"

En entend son surnom, la demoiselle eu l'envie ironique de dire ''présente'', mais avait-elle vraiment envie de prendre ce genre d'attitude? Hum...Nahhh! Donc elle se contat de garder le silence. Lorsqu'elle sentit le bras de Chris dans son dos, elle retrouva cette étrange sensation d'être faite en porselaine, sensation qui s'accentua lorsqu'un étourdissement pris possession de son corps. Le fait de s'être faite redresser semblait avoir troublé son équilibre, malgré qu'elle soit assise. Lorsque le musicien lui demanda si elle allait bien ainsi que des explications, la demoiselle ne put que soupirer. Avait-elle vraiment besoin et envie d'expliquer au cuisinier qu'elle c'était fait écrasée par l'avalanche qu'elle avait elle-même causé? Non, pas exactement. Eh puis, Chris n'était pas idiot non plus, il devait bien se douter de ce qui c'était passé ici d'après l'état des lieux.

-Ça va, j'ai juste un peu mal au front. Pour être franche, c'est demain que je risque de regretter ma chute...

En lui répondant, Lana l'avait sentit glisser un bras sous ses jambes, elle comprit qu'elle risquait probablement d'être à nouveau prise dans un remake de King Kong. Chris devait inconsciemment trouver utile que Lana soit si petite. Cette fois par contre, la jeune femme ne passa pas ses bras autour de lui, désirant éviter de le tacher de son sang. Déjà que saigner c'est pas super, avoir le sang des autres sur soit, c'est dégueux. Durant le trajet jusqu'au fauteil,Lana avait passé chaque secondes à regarder les oreilles du musicien. Elle ne pouvait pas le nier, les oreilles pointues, elle a toujours trouvé ça très joli. Malheureusement, les humains aussi banale qu'elle n'en sont pas dotés. Le musicien la sorti de ses pensées en s'adressant à nouveau à elle. Il la prévenait qu'il allait s'absenter quelques instants, ce qui déplut à la jeune femme, puis lui tendit un torchon. Elle tendit le bras et s'en saisit.

"Je fais vite ."

Il avait effectivement intérêt à faire vite. Lana n'était pas ravie à l'idée de se retrouver seule, après tout, n'était-ce pas ce facteur qui avait causé sa perte? Bon, ok, celui-là combiné à sa maladresse légendaire. Lana apposa donc le linge sur sa blessure, préalablement dégagée de tous cheveux.
Lorsque Lana cligna des yeux et se retrouva devant un tigre, elle se cru folle. Elle secoua doucement la tête avant de se rappeler que c'était le pouvoir que les lieux avait attribué au musicien. Mais, ce n'est pas le genre de chose dont on se souvient rapidement après avoir reçu un coup sur la tête.
Désirant viter une autre catastrophe, Zveltlana se promis de ne pas, absolument pas, bouger tant et aussi longtemps que son porte-bonheur ne serait pas revenu. Elle ne risquait pas de se blesser si elle ne faisait rien! À ce qu'elle sache, il ne lui était jamais rien arriver simplement en respirant. Eh puis, dans l'imédiat, elle n'était même pas convaincue de pouvoir marcher correctement. C'est donc, après avoir retirer le plus de sang possible sur ses mains, dans une position assise, une main sur le front, l'autre sur la cuisse, que Lana attendit patiemment le retour de son ami.
Cette fois Lana ne fut pas surprise de voir revenir le tigre. Elle fut soulagée à vrai dire, car cela signifiait que sont King Kong était de retour. La blessée regarda bizarrement ce que venait de laisser tomber l'animal, puis afficha un sourire en voyant le jeune homme reprendre son apparence. Lorsqu'il s'agenouilla près d'elle, leur différence de taille lui fut gentiment rappelée et la jeune femme se trouva à nouveau stupide d'avoir choisis de ranger seule cette fichue planche à découpée. Quand elle sentit la main de Chris se poser sur la sienne elle lui laissa la place en la ramenant près de sa jumelle. Les mains sur les genoux, Lana observa son son médecin de fortune s'occuper de sa plaie.

"Ca va picoter légèrement."

Ça, Lana le savait. Au nombre de fois où sa maladresse lui avait causé des blessures, le désinfectant, elle connaissait. Étonnemment, elle ne s'y était cependant pas encore habituée. Elle trouvait toujours que ça piquait et sa mère devait même parfois lui courir après pour soiger ses blessures. Évidemment, étant donnée qu'elle doutait présentement de sa capacité à se mouvoir, elle choisit de ne pas s'enfuir en courrant pour échaper à Chris. Elle ferma les yeux avant même que le coton n'entre en contact avec sa peau et le musicien put la voir grimacer d'inconfort. Oui, elle aurait put faire semblant de ne pas ''avoir mal'', mais à quoi ça lui aurait servit? Elle ouvrit les yeux juste à temps pour foir Chris préparer un pansement. Le pire cauchemard des enfants allait donc se produire. Il allait toucher son bobo! Lana serra donc les dents d'appréhention et ne se relâcha que lorsque, à sa grande surprise, le musicien lui fit un ''becker bobo''. La jeune femme en fut troublée. Elle ne savait pas si elle devait trouver ça adorable ou prendre le prendre comme un signale d'alarme lui signifiant de faire attention : ''amitié fraternelle en vue''.
Est-ce que l'idée d'entendre Chris lui dire ''tu es une soeur pour moi'' lui plaisiait? Pas du tout. Vraiment pas. Non. Elle le connaissait depuis moins d'une journée, mais il était hors de question de déjà transférer leur relation de la case ''posible'' à ''sans espoir''. Lana choisit donc de trouver le geste adorable afin d'éviter de sombrer dans une de ses phases lunatique où son cerveau s'amuse à lui faire prendre des chemins sinueux sur lesquels elle se pose beaucoup trop de question.

"Ca va mieux ? T'aurai du me demander pour la planche. C'est loin d'être stable les chaises d'ici."

-Oui, merci, lui sourit sa patiente. Je sais, c'était pas ma plus brillante idée... Avoua-t-elle ensuite en réponse au reste des paroles du musicien.

Sur ce, elle entreprit de se lever, chose qu'elle dû faire très lentement, de peur de s'écraser. Son équilibre lui revint assez rapidement et la jeune femme put se tenir droite sans à se tenir à quoi que ce soit. Lana regarda ensuite tout ce qu'elle avait fait tomber et ce dit que côté blessure, ça aurait pu être pire! Enfin de compte, elle avait de la chance de n'avoir eu qu'une coupure au niveau du front.

"Tu peux allez t'installer dans la salle, je m'occupe de ranger ca."

-D'accord, concentit la petite canadienne en se disant qu'elle ne serait pas du grande aide, surtout que tout ce qui lui avait tombé dessus venait de l'étagère qu'elle ne pouvait atteindre sans user d'un tabouret...

Lana pris d'abords le temps de se laver les mains, où subsistait encore quelques traces de son sang, avant de penser à sortir. Une fois cela fait, elle regarda un instant le musicien, puis se dirigea vers la porte menant à la salle à manger. Décidémment, il n'y avait qu'avec un ballon de foot qu'elle n'était pas un danger public...Surtout pour elle-même en fait... Plusieurs fois l'idée ridicule de toujours trainer son ballon lui avait trotté dans la tête, mais bien sûre, à chaque fois elle comprenait que ce n'était pas une bonne idée.
En appercevant la table qu'avait préparer Chris - pas trop difficile de deviner laquelle c'était-, Lana se mit a sourire. C'est qu'il s'appliquait ce garçon! En appercevant la chandelle éteinte, elle chercha du regard quelque chose pouvant l'allumer. Un simple tour d'horizon lui permit de trouver une boite d'allumette. Sans doutes Chris s'appraît-il à s'occuper de cette chandelle avant qu'il ne vienne à son secours... Elle alle donc chercher cette petite boite et se dirigea vers la table. Elle s'y assit puis regarda la boite dans sa main. C'était stupide, mais elle hésitait à craquer l'un des allumettes. Il y avait peu de chance que ça se produise, mais elle pensait au chance qu'il y avait pour qu'elle se brûle ou encore mette le feu.

-Je peux pas être maladroite à ce point, ça ce peut pas, s'encouragea-t-elle à voix haute.

Elle sorti donc une allumette et l'alluma. Jusque là, aucun problème. Elle approcha ensuite la flamme de la mèche et attendit quelque secondes pour que le feu prenne bien. Puis, elle ramena l'allumette près d'elle et souffla. C'était fait. Pas de brulûre, pas d'incendie ni de catastrophes! Soulagée, elle alla jeter le petit bâtonnait de bois brulé pour ensuite reprendre sagement sa place. Il y avait du progrès....

Sujet: Re: Forza Italia [PV Beast] Dim 13 Mar 2011 - 22:29

Il la quitta quelques instants et contempla du regard le petit chantier qui se trouvait au sol. Il alla dans un premier temps redresser le tabouret qu’il remit à sa place. Il récupéra un saladier, un bol, une tasse don l’anse c’était cassée, il remit le tout a sa place, dans l’étagère, et a la ensuite s’occuper des salières et des poivrières qui avaient roulé un peu plus loin sur le sol Qu’il remit a leur place, par contre le flacon de muscade n’eut pas autant de chance et s’était brisé sur le sol. Il alla récupérer un essuie-tout en papier pour ramasser le tout et prit soin de ne pas se coupé avec les petits bouts de verre et jeta le tout dans la Poubelle ; Il Reteint sa respiration pendant la manipulation car il était allergiques a la muscade, et ses réaction étaient en générale violentes. En général quand il avait un éternuement allergique certain point de son apparence animale ressortait. Le plus souvent c’était les griffes la fourrure rayée, les oreilles et la queue. Fort heureusement ca n’arrivait que par réaction allergique ce qui était très rare, et pas a chaque foi qu’il éternuait sinon Tom et Travis auraient déjà depuis longtemps découvert sa particularité. Une fois l’ennemi jeté dans la poubelle il put reprendre son souffle… jusqu’a ce qu’il sente l’odeur de l’épice encore présente dans la pièce lui chatouiller les narines.

* Ah non, pas maintenant ! Retiens-toi, retiens-toi, retiens-toi*.

Il se pinça le nez en attendant que ca passe. En quelques secondes la menace venait de passer. Il reprit donc son travail en récupérant la planche a découpé qui étai par terre, soit le dernier objet et alla la remettre a sa place dans l’étagère, chose que la demoiselle avait tenté de faire mais qui avait mal finit pour elle. Il referma ensuite le porte du placard et s’apprêta à la rejoindre dans la grande salle quand…

"Atchaaa !!!!!"

Le coup classique de l’éternuement a retardement, et comme à l’habitude se retrouva à moitié métamorphosé.

"ET MERDEEE !!!"

Il s’exclama tellement fort qu’il était persuadé qu’il avait été entendu a l’autre bout du pensionnat… et maintenant il devait attendre 5 minutes que les effets allergiques eurent disparut. Et bien entendu il ne voulait pas aller rejoindre Lana dans un état pareil. Elle devait déjà avoir du mal avec ses transformations intégrales, alors une à moitié contrôlée, il ne préférait même pas imaginer ce qu’elle allait penser, il allait devait attendre 5 minutes avant que les effets ne disparaissent. Ill alla se coller dos a l’encadrement qui faisait la séparation, Pour parler a la jeune fille mais qu’elle ne le voit pas.

"Lana….euh… commence sans moi… j’ai… j’ai un petit problème… J’arrive dans 5 minutes."

Il soupira et alla ensuite s’assoir sur l’ilot central pour attendre que cela passe. Encoure si au moins il avait eu sa guitare en cet instant, il aurait comblé en jouant deux ou trois airs ce qui l’aurait occupé l’esprit, mais la il avait rien à faire en attendant que ca passe. Il ne pouvait même pas non plus pré parer un dessert, car son corps était recouvert de fourrure rayé. Il devait donc attendre la en se calmant… en essayant de méditer, espérant faire disparaitre au plus vite cet état allergique, mais il n’y avait rien à faire non plus. Il se contenta de jeter un regard dégouté a la poubelle en pensant que malfaiteur était en morceau de dans. A le voir assit comme ca sur l’ilot avec une expression de vexe sur le visage on aurait presque pu croire qu’il boudait… en fait c’était le cas, mais surtout pas envers la jeune fille, mais envers son allergène.

"Salloperie de muscade."

Il ne trouva pas mieux a faire a ce moment la que de bailler et de s’étirer. En cet instant il se demandait si elle avait commencé à manger et si elle appréciait ou pas cette recette. Quand il reviendrait une fois cet état passé, il devrait certainement faire réchauffer pour manger, avec tout ce qu’il venait de se passer en quelques minutes ca avait du considérablement se refroidir… EH ! Mais … attendez… si c’tait froid… elle allait certainement venir, pour le réchauffer… à moins qu’elle ne préfère manger froid, ce qui concernant une pizza, pour une jeune fille avec des origines italiennes était presque impensable, il était coincé. Il s’en mordit nerveusement lèvre et risqua un regard en direction de l’encadrement d’entrée, c’était la première fois qu’il se sentait autant mal a l’aise vis-à-vis de la présence de la jeune fille, qu’elle horrible impression, c’était.

+

-Écouter pour la dixième la saison deux des frères Scott...Boire du jus de bétrave...Aller à la piscine durant mes règles....Euh... Faire du camping sauvage avec Sonia...Devoir promener le chien de la voisine...Oh et aller voir un film à l'eau de rose.

Patiente, Lana avait néanmoins choisi de s'occuper un peu le temps que Chris finisse de ramasser tous les dégâts qu'elle avait causés. Elle s'était donc mise à dresser une autre de ses listes de choses qu'elle ne voudrait pas faire.Ce serait bien trop pénible de se torturer en énumérant toutes les choses qu'elle voudrait être en train de faire! Évidemment, elle les énumérait à voix basse afin de ne déranger personne, oui, même si elle était seule en ce moment. Quoi qu'il en soit, elle n'en finissait pas de trouver des activités inintéressantes, elle risquait même de se mettre à chanter! Seulement...

"ET MERDEEE !!!"

Ce crit avait fait sursauter la jeune femme qui se contortionna de sorte à pouvoir regarder en direction de la cuisine. Elle était à moitié soulagée - car maintenant elle n'était pas la seule à avoir usé d'expression peu recommendée- et à moitié inquiète. N'était-ce pas normale? Lana se demandait ce qui pouvait bien être arrivée pour que le musicien en arrive à pousser ce genre de cri... Elle faillit même se lever pour aller voir, mais encore une fois, elle fut coupée dans son élant par la voix de l'artiste.

"Lana….euh… commence sans moi… j’ai… j’ai un petit problème… J’arrive dans 5 minutes."

La demoiselle était-elle rassurée? Pas le moins du monde. Elle savait maintenant que Chris avait un ''petit problème'', ce qui avait attisité le feu de la curiosité sommeillant en elle. Possèdant un grande imagination, elle s'imagina des sénarios tous aussi étranges les uns que les autres. Lana était désormais victime de la bougeote. Elle n'arriva pas à rester sagement assise sur sa chaise. Comprenant qu'elle devait s'occupé l'esprit pour ne pas succomber à son envie d'aller fouinner dans la cuisine, la jeune femme concentit à suivre le conseil que lui avait donner le cuisinier. Seulement, en jetant un coup d'oeil à la pizza, la jeune femme se dit qu'elle ne devait plus être chaude. Déjà, juste avec le temps que ça avait pris à Chris pour la soigner avait été emplement suffisant. La demoiselle alla donc toucher la plaque sur laquelle reposait la pizza. Aucune trace de chaleur...

Un sourire se dessina donc sur le visage de la jeune femme, elle avait son excuse pour aller faire un trou dans la cuisine! Heureuse comme une enfant venant de trouver une façon de contourner un règlement, Lana se mordit la lèvre inférieure laissa la boîte d'allumettes de côté. Impatiente d'assouvir sa soif de curiosité, Lana se leva et attrapa la plaque en question. D'un pas bien trop anthousiate pour quelqu'un ''ne désirant que réchauffer la pizza''... Mais bon, elle s'en fichait! Et puis, la suptilité ne faisait effectivement pas partie de ses qualitées....

Plus elle approchait de la porte, plus elle se demandait dans quel état elle allait trouver le musicien. Elle ne ralentit cependant pas une seconde, car la possibilité de le retrouver nu n'était même pas envisageable. Elle poussa donc la porte comme si de rien était, la pizza bien en main. Et heureusement! Elle aurait bien pu l'échapper sinon! À la seconde où la porte s'était refermée derrière elle et que ses yeux s'étaient posés sur Chris, Lana ne put faire qu'une chose....

-Woooooow.....

Il fallait lire dans ce ''wow'' très étiré toute autre chose que ''J'en revients pas''. Non, dans le son qu'avait émit la jeune femme, ainsi que dans son expression faciale, c'étaient plutôt les mots ''tu es magnifique'' qu'il fallait y lire. Vous la trouvé folle? Tant pis pour vous! Lana n'est ni zoophile, ni fanatique des petits bonhommes verts, elle avait simplement des goûts très...''particuliers''... Échangeant le sourire taquin qu'elle avait abordé en se trouvant une excuse valable pour venir contre un sourire calme et tout aussi mystérieux que celui de la célèbre Joconde, Lana commença à se mouvoir de nouveau, s'approchant de l'îlot. Son grand impréssionnée ne quitta pas le musicien qu'elle détailla, un peu trop ouvertement, tout au long de son approche. Tout d'abord, la nouvelle forme de ses oreilles rendait la jeune femme complètement gaga, sans compter l'irrésistible envie d'essayer d'attraper la queue qui s'agitait sous ses yeux. Et bien sûr, il ne fallait pas oublier tout ce que sucitait chez elle la vu du pelage qui couvrait le corps du musicien. Était-il aussi doux que celui le couvrant lorsqu'il était entièrrement tranformé? Est-ce qu'elle serait aussi agréable au touché qu'elle le pensait? Est-ce qu'il en vraiment par...Non, cette question, elle n'oserait jamais la poser. Que ce soit à lui, ou à elle même! On à beau ne pas connaître la gêne commune au reste des mortels, quand un sujet vous intimide, on y peut rien. Une fois arrivée près de lui, elle déposa ce qu'elle tenait sur le plan de travail et inclina la tête sur le côté. Ça lui pris un petit moment avant de parler. Non pas qu'elle ne sache pas quoi dire, mais plutôt parce qu'elle oubliait de parler à force de se laisser emporter par ses pensées. Puis, se rendant compte qu'elle le dévisageait, bien que ce fut avec un regard des plus contemplatif, elle choisit de sourire et de regarder ailleurs.

-La pizza est froide donc euh....

Elle avait tellement de choix pour construire ses phrases qu'elle en venait à oublier de les compléter. En fait, elle essayait de se contenir, ne souhaitant pas dire une bêtise ou créer un mal entendu parce que ses propos ne seraient pas formulés correctement. C'était tellement désorganisé dans sa tête! Ramenant finalement son regard phosphorescent sur lui, elle ne put s'empêcher de lui poser la question qui traversait son esprit, format times new romans taille vingt. Il en faut bien une qui se démarque des autres parmi tous ces brouillons et pheotus de phrases qui défilaient les uns à la suite des autres. Elle avait beau être gentille, elle avait du mal à tenir sa langue! Suffisait de se souvenir combien de temps ça lui avait pris avant de poser une question vraiment stupide au sujet de ses oreilles lors de leur rencontre.

-Je peux savoir ce qui c'est passé, ou tu préfères que je fasse que s'il n'y avait rien de changé?

Bon, d'accord, seul la première partie de la question était écrite en format times new romans taille vingt, mais sa bonté naturelle y avait instinctivement greffé la seconde partie. Eh puis bon, si Chris ne désirait vraiment pas parler de sa nouvelle apparence, elle ne pouvait pas le forcer! Elle accepterait donc de passer sous silence sont changement de caractéristiques physiques. Encore heureux qu'il est gardé cette jolie couleur que Lana aime tant.

Sujet: Re: Forza Italia [PV Beast] Mar 15 Mar 2011 - 16:33

-Woooooow.....

Il avait fallut seulement que quelques seconds entre le moment ou son regard avait quitté la porte et celui oui il avait entendu cette exclamation. Il se crispa aussitôt et tourna lentement la tette de nouveau dans la même direction. Comme il le pensait, elle venait d’arriver avec le plat pour le réchauffé. Elle avait don prit connaissance du « petit problème ». Il s’approchait de lui en continuant de le fixé. Il affait presque une expression déconfite, il ne s’était jamais sentit aussi mal, Elle était la toute première personne à le voir dans cet état second. Elle avait posé le plat sur le plan de travail ou il était assit. Arrivé à sa hauteur elle pencha la tête et le fixa longuement. Il ne savait pas vraiment ou se mettre et évita de croiser son regard.

-La pizza est froide donc euh....

Ca il s’en était douté, mais il ne savait pas trop quoi y répondre. Il avait la gorge trop sérer pour pouvoir quoi que ce soit. Un tic nerveux agitait sa main droite. Il ne pouvait pas lui en vouloir pour autant, il avait comprit qu’elle était de nature curieuse et n’agissait pas en pensant a mal. Ca lu rappelait certaine souvenir désagréables. Dans les débuts après son changement de physique, qu’il n’assumait pas du tout, tout le monde le regardait de travers, soit comme une bête de foire soit comme un monstre dangereux. A l’époque ne supportant pas ces regards il était d’une nature agressive quand on lui faisait une remarque et réagissait au quart de tour pour un rien. D’une certaine manière il cherchait à fuir le contact social, et n maitrisant aucune de ses métamorphose a l’époque se considérait comme dangereux car a la moindre odeur d’une goutte de sang, il perdait ses sens humain et devenait presque bestial. Aujourd’hui tout ca était fini, il avait bien entendu considérablement changé et était devenu une tout autre personne après son accident qui lui avait valut deux mois de coma. Il y avait ca et son entrée dans le groupe… mais il y avait toujours ces réaction allergiques qu’il ne parvennait pas a maitriser totalement, et du quel il en avait presque honte.

-Je peux savoir ce qui c'est passé, ou tu préfères que je fasse que s'il n'y avait rien de changé?

Il se savait pas quoi lui répondre sur le moment, savoir si il gardait ce défaut pour lui ou sil il lui en faisait part… il choisi bien entendu la franchise.

"Réaction Allergique…"

Grogna t-il, sa voix était plus rauque qu’à l’ ordinaire. Les minutes vois les seconde qui le séparaient de retrouver son apparence normal paraissait être une éternité… Il finit par ne plus pouvoir soutenir le regard que la jeune fille posa sur lui et par réflexe se fourra le vissage dans ses mains désormais griffue.

"Je…"

Il ne savait pas trop comment aborder le sujet. Les mots lui manquait, au combien il avait honte et était gêné de lui apparaitre comme ca…

"Je… désolé… je voulais pas que tu vois… c’est … immonde…"

Il sentait son cœur battre a tout rompe dans sa poitrine, il n’avait aucune idée de ce qu’elle pouvait penser de lui actuellement, car maintenant elle connaissait son point faible. C’était dans ces cas la, qu’il ne faisait ni parti des humains, ni des animaux, il n’avait pas de statut fixe et ca il n’arrivait pas à l’accepter. Certes cela n’arrivait que vraiment très rarement, car de la muscade en poudre on en a pas tous les jours sur soit mais il avait toujours cette peur tout en sache que ca pouvait arriver a n’importe quelle moment a partir du moment où il y avait un allergène pas loin Il sentait mal de paraitre comme ca devant elle. Il se pensa que ca devait lui avoir fait changer sa façon de le voir. Il y avait longtemps, très longtemps qu’elles n’étaient pas revenues… mais pour la première fois en 3 ans des larmes coulèrent sur la fourrure qui recouvrait son visage, ravagé par la gene et la honte.

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"Réaction Allergique…"

Lana fronça immédiatement les sourcils. Une allergie disait-il? Eh bien, il en avait de la chance! Pas de nez qui coulent, de yeux qui brûlent ou larmoient, pas de plaque rouge qui démangent un peu partout, pas de boursoufflement des membres ni du visage et pas le moindres signe de problèmes respiratoires. De gens tueraient pour se tranformer à la place! Quoi que...Non, peut-être pas. En tout cas, Lana, elle, oui. Mais bon, elle est spéciale aussi.

Lorsque la demoiselle voulu poser une question, elle fut devancer par la voix du musicien. En le voyant peiner à lui adresser la parole, la jeune feme fut inquiète. Qu'est-ce qui pouvait bien lui arriver pour que sa confiance naturelle disparaisse d'un simple coup de baguette magique.

Lorsqu'elle le vit se cacher le visage de ses mains, la jeune femme s'inquiéta davantage. Venant de lui parler d'allergie, elle pensa bien sûr qu'il faisait un malaise, ce qui la fit paniquer et donc qui infligea à son coeur une peur des plus désagréable. Il s'était affollé en une fraction de seconde et le regard da la demoiselle c'était considérablement agrandit. Quand l'artiste repris parole, elle fit bien attention d'écouter chaque parole,cherchant à être rassurée, évidemment. Seulement...

''Je… désolé… je voulais pas que tu vois… c’est … immonde…"

À ces mots, le visage de la jeune femme se détendit pour ensuite être envahi d'une moue peinnée. Les mots qu'avaient utilisés le musicien à sonnés comme les lames dans les oreilles de la demoiselle. Bien que les mots eurent parvenu à troublée la petite canadienne, ce ne fut rien comparé à de sa réaction en comprenant que la position qu'il avait emprunté n'avait aucun lien avec son allergie. Il avait honte? La jeune femme ne comprenait pas tout ce qui se passait. Mais où était passez ce garçon qui semblait tout à fait à l'aise avec son apparence, malgré que celle-ci soit très loin des normes à peu près reconnues partout dans le monde. Lana eu l'impression qu'on lui lassérait le coeur. Elle qui avait toujours été très sensible au malheur des autres, ce n'était rien à comprarer de l'effet que ça lui faisait de vivre la douleur d'une personne qu'elle appréciait.

La jeune fille ne pouvait- ou peut-être ne voulait- pas comprendre pourquoi Chris était aussi affecté par sa nouvelle apparence. Elle avait très envie de le prendre dans ses bras pour lui dire qu'il n'avait pas à avoir honte, surtout si c'était parce qu'elle le voyait ainsi. Après tout, elle était loin d'être normale. Peut-être pas en apparance, mais intérieurement... Il suffisait de voir comment elle avait réagi à la découverte de son emprisonnement. Si on lui demandait là, maintenant, ce qu'elle pensait du physique du musicien, elle répondrait probablement - au risque de passer pour une folle- qu'elle trouvait ça très joli. D'accord, elle serait probablement l'une des seules à ne pas s'enfuirent en courant, mais elle était comme ça.

La jeune femme hésitait à le toucher. Elle ne savait pas comment il réagirait. Plutôt, elle l'avait serré dans ses bras plusieurs fois, mais là... Chris semblait avoir changé. Pas physiquement, non, ça c'était évident. Mais il ne dégageait plus la même-chose que lors de leur rencontre. Elle ne savait donc pas comment il réagirait. Puis, le coup fatale fut proté.

Elle qui ne l'avait pas quitté des yeux une seconde depuis qu'il avait pris la parole, elle n'avait pas pu passer à côté des larmes qu'elle vit couler. Cette fois, elle eu l'impression que son coeur venait d'exploser et elle sentit son nez la démager et ses yeux se mettre à chauffer. Elle allait pleurer aussi si ça continuait!

-Arrête de pleurer s'il te plait, sinon je vais m'y mettre aussi...

En disant cela, la jeune femme c'était placée devant lui et était venue poser son front douloureux contre le sien. Depuis toute petite, elle ne supportait pas de voir quelqu'un pleurer et il lui arrivait souvent de se demander pourquoi elle était autant empathique à la douleur d'autrui. Elle savait que certain en avait abusé par le passé, mais n'arrivait pas encore à s'empêcher d'intervenir au près des maheureux. D'autant plus au près de ceux qui comptait pour elle. À peine quelques secondes après cette demander, la jeune femme enchaîna sur son oppinion vis-à-vis celle qu'avait l'artiste au sujet de son apparance féline.

-Tu sais, moi je ne pense pas que ta nouvelle apparance soit ''immonde''... Je la trouve étrange, oui, on voit pas ça tout les jours, mais je la trouve également assez jolie.

Toujours son front contre le sien, la jeune femme posa ses mains sur les avant-bras du musicien, car même si elle avait très envie de le serrer contre elle, elle savait pertinament que ses bras ne feraient jamais le tour de son corps s'il restait dans cette position.

-J'adore presque autant tes oreilles de tigres que celle que tu as d'habitude et ta fourrure me donne envie de la carasser, avoua-t-elle en rigolant faiblement. Il y a seulement ta queue qui me laisse perplexe, même si ça me démange d'essayer de l'attraper... Je me retient d'agir comme si tu étais un animal parce que j'ai beaucoup de respect pour l'homme que tu es, mais c'est une vrai torture.

Les yeux encore gorgés de larmes menaçant de couler à la première occasion, Lana essaya quand même d'afficher ce même sourire qui faisait d'elle cette jeune femme toujours de bonne humeur. Peut-être que si elle agissait normalement, Chris en ferait tout au tant? Ou en tout cas, il retrouvait un peu de sa joie, ce qui serait déjà un bon début.

-Tu veux bien dire à ce musicien naturellement confiant et tout à fait charmant de revenir? Sa présence commence à me manquer, blagua gentiment la petite groupie, tentant de faire sourire le musicien qu'elle appréciait tant.

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