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| Hey hey my dear ! [ Garry ] | |
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Invité Invité
| Sujet: Hey hey my dear ! [ Garry ] Sam 14 Fév 2009 - 23:36 | |
| Et merde.
Y'avait des jours, comme ça. Ca commençait déjà mal, ça allait être une mauvaise journée, il le pressentait dans tous ses muscles, cette odeur lourde, ce jour pas encore levé, cette naissance d'un malaise qui n'avait aucune raison d'etre. Il le sentait s'insinuer dans ses draps, dans son corps, ses cheveux, ses cils, se perdre dans son souffle et perforer son coeur. Il déglûtit, et se redressa, se grattant le torse. Il n'avait qu'un short et trouvais ça amplement suffisant, il faisait méga chaud dans cette chambre qu'il squattait, il ne savait pas vraiment le nom de ses occupants originels mais il n'en avait RIEN-A-FOUTRE. Il soupira, et se frotta les yeux, se redressant. Il se traina vers la salle de bains, ignorant ses camarades de chambrée, et fit couler l'eau dans la baignoire. Quel jour était-on ?
Jeudi. Non. Vendredi. Lundi ?
Il saisit son portable, et alla rapidement dans la section agenda. Mercredi 12 février. Quelle année, déjà ? 2008 ? 2007 ? Il jeta son téléphone de rage dans l'évier, et se plongea dans le bain qui avait achevé de couler, et il y versa du savon liqui, barbottant afin de le faire mousser. Il resta là, quelques secondes, à tapoter sur l'eau comme un gamin, et àfaire monter la chantilly de son gâteau, ou presque. Il sourit, et plongea sa tête dans l'eau, tentant de se réveiller. Il avait fermé la porte à cef, du moins il le pensait. Il secoua la tête, et ficha de l'eau partout dans la salle, s'ne foutant complètement. On était mercredii. Il sortit sa main émoussée,et attrapa son portable, rappuyant sur un bouton. 11h46. Normalement, il serait en... Français. En train de faire des « poil aux... » sur ses feuilles, le faisant pour chaque fin de phrase ou de prise de parole de son professeur.
Non. Arrête de penser à tout ça.
Il replongea la tête sous l'eau, et soupira, faisait buller la surface, et se redressa. Il observa les gouttes d'eau qui dégoulinaient lentement sur son cou déplumé. Il souffla sur la mousse, la faisant naviguer sur les flots, comme le petit navire qui n'avait ja-ja-jamais navigué ohé ohé... Il tendit la main vers la serviette pendue, et s'essuya dessus. Puis, il saisit son iPod et le brancha dans l'haut parleur prévu à cet effet, l'allumant.
« Mange moi, mangez moi, mangez moiii... »
Putain, il avait vraiment des chansons à la con dessus. Il sourit et se fit à se trémousser dessus, chantant à tue tête et très faux en suivant à peu près les paroles. Il n'avait vraiment plus rien à faire, songea-t-il avant de s'immerger complètement sous l'eau, retenan sa respiration et ses yeux clos. Quelques secondes de flottement, un ange passa sans que le silence en soit troublé. Il soupira, et sorti de la baignoire, actionnant le bouton qui permettait de vider l'eau. Il soupira, et s'enroula dans une serviette, épongeant sa chevelure avec une autre. Il se rendit compte qu'il n'avait pas pris de vêtements de rechange, et il enroula la serviette en pagne autour de ses hanches. Il rentra dans sa chambre, pris ses vêtements, et retourna dans la salle de bains.
Un coup de lisseur à cheveux et de peigne plus tard, notre fabuleux fashion victim était droit devant le miroir, les jambes légèrement écartées, habillé d'un haut rayé violet et blanc qui lui retombait légèrement sur les hanches, et d'un pantalon large avec des bout de cuir qui partaient de partout qui pendouillaient.« Let's go for a nice dayy » claironna-t-il. Il sortit de la chambre, avec ses Doc Marten's roses, et dévala rapidement les escaliers, s'engouffrant dans la cuisine, y chopa un verre de smoothy, et ouvrit la porte du salon avec le coude.
Dernière édition par Wilhelm Weryk le Jeu 19 Fév 2009 - 15:05, édité 1 fois |
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| Sujet: Re: Hey hey my dear ! [ Garry ] Jeu 19 Fév 2009 - 14:59 | |
| Oh, ce n’était pas une bonne journée.
Non, vraiment.
Si ça avait été une bonne journée, Baobab (dehors elle aurait clamé : une tortue ramenée lors d’un voyage aux tropiques, mais c’était en fait un alter ego attardé) ne serait pas la, à manger une robe ; SA robe. Sa main en visière contre le soleil qui perçait sa vitre (d’accord : plus un point pour la bonne humeur, admit-elle) ce qu’elle avait prit pour une vieille fripe était sa robe de bal ; le jaune poussin ne trompait pas, son état disgracieux non plus. Bah, que cette stupide tortue la ronge jusqu’aux bretelles, elle n’en voulait plus !
Ce bal, il avait vraiment été...étrange ; oui, voila. Trop inattendu, elle ne savait pas quoi en tirer ; elle était contente, ou non ? Déjà, il y avait eut Nao, cet affreux Nao ; définitivement à classer dans les points négatifs. Il était parti pleurnicher SANS REVENIR (car elle aussi elle était partie pleurnicher ; mais elle avait ses raisons, et puis, elle était réapparue), ce qui était contraire à son code de civilité.
Petra, dans les points positifs : elle s’était faite une amie..au moins une. Qu’elle n’avait pas revue, mais son carnet téléphonique comporterait autre chose que le numéro des pompiers et le service après vente de chez Chanel. Ouf, le monde était sauf. Son honneur moins.
Elle ne savait pas trop si Wilhelm était quelque chose de positif ou non, car il était obstiné, ce garçon : un peu comme le Nao cité plus haut, mais en plus...sympathique. Et avec moins de talons. Va pour le point positif.
Sinon, l’alcool avait été bon, la musique passable, les personnes présentes...elle se tairait sur les personnes présentes. Bah, c’était terminé, de toute façon ; elle ne les reverrait plus, ou si peu...elle regrettait presque Kurogane, ses moqueries étaient plus primitive...et moins agressives (renchérit son amour propre). Bon, en contrepartie, c’était lui qui était rustre, question d’équilibre. Et tellement pudique ricanait-elle presque en jetant la couverture sur la tortue robeophile. Elle se jeta un coup d’œil dans le miroir, pris quelques poses, et c’est en dénichant du font de son armoire une jolie tunique qu’elle décida que ça serait finalement une bonne journée.
C’était donc une tunique gris souris à gros pois noirs, et parce qu’elle arrivait a mi-cuisse plutôt une robe courte, mais elle enfila un short noir par-dessous : on ne qualifie pas une femme de pouffe mais de charmeuse, voyons. En l’occurrence, elle n’était pas charmeuse, plutôt charmée (par la robe). Elle piocha une paire de bottines, se lava le visage (eau démaquillante, eau purifiante, eau qui-resserre-les-pores), se maquilla (crayon, gloss grenadine, et vernis, parce que c’était siii joli) et se parfuma (fleur de fleurs) et se brossa les dents.
Ainsi, elle put quitter sa chambre et le cadavre de robe jaune qui n’avait rien demandé à part d’être vêtue par une femme qui n’était pas rancunière. On rate tous quelque chose dans sa vie. Problème ; elle ne savait pas ou aller : retourner dans sa chambre aurait été ridicule, et elle voulait exhiber ses vêtements. Bon...elle ne voulait pas sortir, et elle n’avait pas faim, ou pas encore –cela lui rappela un instant son paquet de cigarette, et elle en sorti une qu’elle porta a ses lèvres après l’avoir allumé ; oh, ses pauvres dents-, la conclusion qui s’imposait était le salon, et elle s’installa sur un canapé, sans avoir a trouver une distraction : Wilhelm venait d’entrer.
Son indicateur-de-mémoire lui rappela qu’il avait été placé dans les points positifs, et Garry était une femme de serment (plus ou moins). Donc elle sourit vaguement, mouvement qui pouvait aussi être prit pour un « j’ajuste-ma-cigarette-a-ma-bouche », en répondant :
« Salut, Wilhelm. Tu vas bien je crois ?»
Gé-ni-al. Elle ne l’avait pas vu depuis...le vingt quatre décembre au soir, et trois semaines après, le hasard faisait bien les choses...ou pas. |
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| Sujet: Re: Hey hey my dear ! [ Garry ] Jeu 19 Fév 2009 - 18:38 | |
| Il sourit. Elle avait une drôle d'allure, elle et sa cigarette à la bouche, ça faisait un peu pin-up, avec les bouches en coeur, les corset lacés presque avec une désinvolture soigneusement calculée, et puis la courte jupe, de quelques centimètres, attachée aux bas reluisants, qui bronzaient les james, les faisait briller à la lumière des spots, des lampes de chevet. Elle avait une robe, enfin, une tunique assez courte, quand même, et un short dessous. Quelqu'un d'autre que Wilhelm aurait dit que ça faisait pouffe voire peach, mais pour lui, ça paraissait tout naturel que les filles soient habillées comme ça, à moitié nues. D'ailleurs, ça lui rappelait quelque chose, ce salon, et Garry à moitié nue. Quoi que pas qu'un peu.
Il avait dit qu'il pourrait lui baiser les mains, ben voilà, c'était fait. ♫
Maintenant qu'il y pensait, c'était flou, et assez vague, mais le souvenir était quand même là, malgré le fait qu'il soit masqué par les relents de l'alcool qu'il avait ingurgité toute la soirée, juste pour être bourré lui aussi, parce que quand les autres sont ivres, c'était triste d'être sobre. Que c'étai triste de se conduire ainsi, mais tant pis, c'était ça, et pas autrement. Ils étaient sortis de la salle, et puis s'étaient réfugiés là, elle encore plus déchirée que lui, c'était sans doute pour ça qu'il s'en souvenait encore. Maintenant qu'il y pensait, il avait peut-être fait un connerie. Autant, il allait se refiler une quelconque maladie, et puis il allait crever dans d'atroces souffrances dans cette optique sans jamais comprendre quelle était cette pathologique, joie dans vos cœurs. Il eut un léger frisson à cette pensée, et se demanda ce qu'il ferait si jamais ça lui arrivait vraiment. Brr, n'y pensons pas. Ou, pire, si jamais elle était enceinte, elle ne lui pardonnerait jamais, et lui il avait pas envie d'avoir un gosse dans les pattes, merde ! Surtout que bon, supporter Garry qui le mitraillerait du regard vingt-quatre sur vingt-quatre parce qu'elle aurait perdu sa taille de guêpe, bon, voilà, hein...
Il s'approcha d'elle, en vue de lui faire la bise. Comme avant, avec ses amies, dans son lycée. Ca lui rappelait l'autre imbécile de Zacharia, tiens, pensa-t-il avec un certain amusement. Ils étaient puériles, quand même, mais en même temps il avait hâte de le revoir. Quoi qu'il ne le reverrait sans doute jamais.
Il contourna la tale basse, et se pencha vers elle. Malheureusement, autant pour lui que pour elle, il se courba, car malgré le fait qu'il soit assez petit, elle était qund même plus basse que lui assise. Et son verre se pencha aussi. Le liquide rose se déversa de son récipient, avec une grace certaine, constellant la robe de la demoiselle d'éclaboussures de fraises. Il plaqua sa main contre sa bouche et se redressa vivement, mais le mal était fait, et elle n'avait pas l'air très disposée.
Ouais, ben c'était le cas de le dire.
Seulement, voilà. Elle était devant lui, et il ne résista pas. Il n'avait pas résisté une première fois, alors pourquoi résisterait-il une seconde ? Il s'agenouilla rapidement, et, pressant la jeune fille contre lui de son bras gauche, et pressa furieusement ses lèvres contre celles de sa très chère, allant même plus loin. Il utilisa son autre bras pour ébourriffer les cheveux toujours rageusement lisses et brossés de la jeune fille, les emmêlant au possible, tout en cherchant à leur donner du volume, à casser leur perfection.
Il écarta son visage un instant, juste pour observer les tâches rouges qui s'étalaient sur le teint pâle de la demoiselle, trace de sa colère, sans doute. Il eut un grand sourire, et reprit son baiser, la poussant sur le canapé, ignorant ses débattements. Il s'en foutait, elle avait donné son accord la dernière fois, pourquoi pas maintenant ? Il glissa sa main sous sa robe, effleurant sa hanche, et remonta dans son dos. Il le parcourra avec ses doigts, le caressant, sentant la peau chaude sous ses doigts glacés.
Il se détacha une seconde fois, et se rendit compte que, malgré son air pincé, elle était superbe. Ses fines lèvres qui se crispaient, comme si elle devait se retenir de lui sauter dessus afin de le passer à tabac - chose qui lui plairait sans doute beaucoup -, cet air de retenue, de maîtrise d'elle-même... Et puis, il releva les yeux pour croiser les siens, se perdant dans l'azuuur de ses yeux [une nouvelle fois], frangés de longs cils noirs, drus, recourbés, qui soulignaient son teint laiteux, pâle, aux uniques tâches rouges sur ses pommettes.
Bon sang qu'elle était belle.
Puis il la viola en plein milieu du salon.
THE END ♪ |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Hey hey my dear ! [ Garry ] Sam 21 Fév 2009 - 16:10 | |
| « Oups ! »Il avait juste dit OUPS, ce crétin congénital ! Il venait de tâcher sa toute nouvelle robe –et ce n’était pas la plus laide, loin de la- avec son verre de fraises, quatre cents cinquante quatre calories les cinquante millilitre ? Autant qu’elle en brulerait en tentant de le laver, cracha-t-elle avec une ironie désespérée ; non, décidemment, on ne peut rien faire contre la destinée. C’était indéniablement une sale journée. Elle aurait décidément dut classer Wilhelm dans les points négatifs. « NON MAIS CA VA PAS ? » Hésitation. Elle jeta un regard mauvais au reste de jus de fruits et empoigna férocement le récipient pour le tordre vers Wilhelm dans une tentative de le tâcher a son tour; mais il résistait, et le liquide s’écrasa avec un bruit humide a leurs pieds. Elle en lâcha le verre de fureur, non sans l’avoir jeté avec force sur le piano et reprit ; « T’ES VRAIMENT TROP NAZE ! CA VOUS PLAIT, TOUS, DE ME DECHIRER MES VETEMENTS OU QUOI ?» Décidément, Garry n’était pas du matin. Vraiment pas du matin. Inspiration ; elle le bouscula pour passer en murmurant un « dégage », bien que cela soit inutile puisqu’il n’était normalement pas sur son chemin, et grogna de nouveau après avoir donné un coup de pieds dans le reste de smoothie, c'est-à-dire simplement la bouteille qui ne put qu’abandonner ses dernières gouttes sur le plancher : « ET SI TU M’ADRESSE LA PAROLE JE T’ENFERME VINGT QUATRE HEURES AVEC NAO DANS CINQ METRES CARRES ! »Menace menace, elle disparut en claquant violement la porte, puis en heurtant un sombre inconnu qui s’avérait être un jeune homme penché vers son portable. Nouvelle nuée d’insulte jusque à ce qu’elle disparaisse, et lui leva la tête pour entrer à son tour en râlant : « Alors ça c’est PAS DU TOUT mort de rire, j’avais presque réussi à me connecter sur facebook avec UNE barre de réseau... » Il leva la tête afin de voir le délicat visage de son presque interlocuteur, ou plutôt de la sympathique personne qui avait eut écho de ses paroles intellectuelles, et il en lâchait presque son tout nouveau portable-écran-plat-appareil numérique-caméra-distributeur de glaçon lorsqu’il reconnut son ancien meilleur ennemi officiel de la quatrième jusque au début de seconde (son anniversaire étant tardif il n’avait toujours pas ses seize ans, mais PRESQUE tenait-il a préciser), ses lourds cils de fille, ses lèvres gorgées de mijaurée, ses cheveux de star hollywoodienne frimeuse, son teint exsangue de polonais ses yeux quasi ambrés, et sa capacité à mettre quelqu’un en une pareille colère. «...pas du tout du tout du tout mort de rire...» |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Hey hey my dear ! [ Garry ] Sam 21 Fév 2009 - 23:32 | |
| Oups, donc. Il ne comprit pas exactement ce qu'il se passait, à part qu'elle venait de le menacer de l'enfermer vingt quatre heures avec Tartampion, et qu'elle était partie avec ses cliques et ses claques, visiblement furieuse. Ben quoi... ? « Hey, c'est bon, tu vas pa ste plaindre alors que tu peux avoir cinquante mille robes gratos ?! » s'indigna-t-il, essuyant ses chaussures à semelles compensées sur le tapis, tentant d'enlever le liquide rose. Il grommela contre les caprices de la jeune fille. Putain, comment elle abuse, merde ! Elle a fusillé mes chaussures, c'est bon, j'avais pas fait exprès, hein... Elle est gonflée en plus de m'interdire de lui parler, surtout après ce qu'ELLE m'a fait la dernière fois, hein, pff. Même pas drôle. Et puis en plus elle est même pas belle. Elle craint, même, autant que son prénom. Garry... geeeenre, c'est trop pas un prénom de fille en plus ! Même en Pologne 'jai jamais vu quelqu'un avec un prénom qui lui aille si mal. Pff. Il passa sa main dans ses cheveux, et eut un soupir excédé, écartant un peu son écharpe. Une bouffée de chaleur vint lui chatouiller les joues, et il secoua la tête, battant des cils. Il soupira, et donna un coup de pied rageur dans le gobelet, retombé sur le sol. Fait chier...« ...j’avais presque réussi à me connecter sur facebook avec UNE barre de réseau !! » Tiens, cette voix d'imbécile fini lui disait quelque chose. Il se retourna et tomba nez à nez avec un parfait crétin.Un crétin avec des lunettes de soleil. Tiens, ça lui rappelait quelque chose, ça aussi, mais quoi... ? Un nez retroussé, des habits nuls et affreusement rigards... Mais où avait-il déjà vu ce nigaud ? Il n'avait pas l'air très intelligent, en fait il avait l'air complètement arriéré, et en plus, ben son portable, il était trop nul.«...pas du tout du tout du tout mort de rire...» Nié ? Qu'est-ce qu'il avait, ce débilos, avec son portable minable, hein ? L'Iphone (car Will est un gosse de richous) du sieur Weryk était bien plus classe que son minable petit machin chose là, tout moche en plus, aucun feeling, aucunes formes, aucune aérodynamique quand on le jette à travers la pièce quand il sonne (car c'est bien connu que plus de 90 % des ados utilisen tleur portable comme d'un réveil), aucun design, quoi, merde ! Même la couleur était nulle ! Putain, mais quel être débile, tellement minable qu'il ne devait pas l'avoir marqué dans sa vie, il avait fréquentés tant de VIP (Cindy Sander dans un supermarché, en vacances chez Papy et Mamie) et de gens célèbres, riches et classes que FORCEMENT, il ne pouvait pas se rappeler de nuls du genre. demanda-t-il en le regardant de toute la hauteur de son mètre soixante dix huit (semelles incluses) |
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