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 (n°10) Arrivée, ou, comment briser le calme...

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(n°10) Arrivée, ou, comment briser le calme... _
MessageSujet: (n°10) Arrivée, ou, comment briser le calme...   (n°10) Arrivée, ou, comment briser le calme... Icon_minitimeVen 20 Fév 2009 - 15:11

La compagnie de Jun Manson ne manqua pas le moins de monde à Loli. Elle avait trouvé cet étrange garçon beaucoup trop passif. Comment pouvait-il rester si calme? Si détendu? Si... si... Les mots manquait pour exprimer l'exaspération de la jeune fille.

N'ayant jamais fréquenté sérieusement un milieu scolaire à la vue de sa très mauvaise réputation de destructrice de civilisation qu'on lui avait attribué après avoir été la seule survivante du jour de liberté, Loli avança au hasard dans le manoir; tout en conservant le minime espoir qu'elle allait bientôt se réveiller, ou qu'une âme bienveillante lui présenterai les lieux. A force de errer ainsi, Loli commença à croiser des gens, étant craintive de nature après une existence de 10 ans passés à se méfier des bienfaiteurs à double faces, elle n'osa pas leur adresser la parole. Pourtant, certains d'entre eux, à l'aspect plus ou moins normal, se retournèrent sur son passage, surpris soit par ses yeux et ses cheveux violet vif, soit par l'aura de lumière blanche, lui entourant les mains, qu'elle n'arrivait décidemment pas à faire disparaitre à cause, supposait-elle, de son énervement. Elle n'avait jamais possédé de pouvoir, mais elle n'était jamais entré non plus dans un manoir maudit, ni n'avait rencontré d'homme-félin avant ce jour fatidique. Aussi, elle ne se formalisait pas sur le fait de voir les couleurs beaucoup plus vives qu'avant, ni sur son impression d'avoir les mains glacées par cette aura éclatante.

Elle s'arrêta brusquement devant un panneau où étaient recensé toute une liste d'étudiante et écarquilla les yeux de surprise en voyant son nom exposé à tous les yeux balladeurs qui traineraient dans le couloir, au bas de celle-ci.

* Comment savent-ils? Je ne me suis présentée à personne! Ah, il y a un numéro à côté de mon nom. Un numéro de... chambre?! *

Bras ballant et bouche béate, elle regardait l'affiche sans y croire. Puis elle baissa la tête et examina le plan ( dont la légende au bas de la feuille rappelait bien qu'il n'était pas tout à fait fiable ) du manoir. Habituée à la mémorisation rapide, elle espéra qu'elle se souviendrait des passages principaux, sachant très bien qu'elle aurait à présent toute l'éternité devant elle pour circuler ici. Loli repéra sa chambre sur le plan et s'y rendit d'un pas nonchalant. Soudain, des bruits de pas préssés résonèrent derrière elle. Le couloir dans lequel elle circulait était sombre, et même si elle distinguait maintenant mieux qu'à la perfections, les contrastes de couleurs, elle ne voyait pas pour autant dans l'obscurité, mais il lui sembla qu'une silhouette se détachait au fond de l'allée.
Prise de panique, Loli accéléra le pas, l'inconnu fit de même, elle se mit à courir, les pas derrière elle prirent le même rythme, elle aperçu enfin l'entrée de sa chambre et s'y précipita vivement. Puis, elle ouvrit avec brutalité la porte et tenta de la refermer le plus vite possible, mais son traqueur était déjà arrivé et c'est avec un " Aaaaaaïïïïeuuuuh!!! " d'outre-tombe qu'il lui signala qu'elle lui avait écrasé les doigts dans l'embrasure de la porte.

Le cri féminin la surprit, elle relacha tout de suite la pression et s'écarta d'un bond de la porte. Alors que Loli se retournait, elle remarqua d'un air effaré que quelqu'un était déjà dans la chambre et réalisa enfin pourquoi plusieurs noms avait le même numéro...
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Maman de Schlagvu
Mahaut de Clairlac
Mahaut de Clairlac

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• Age : 31
• Pouvoir : Imposition d'images dans l'esprit des gens
• AEA : Une hermine nommée Hermine
• Petit(e) ami(e) : Arnulf Restaurant

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Rasputin (Alea Miller)

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(n°10) Arrivée, ou, comment briser le calme... _
MessageSujet: Re: (n°10) Arrivée, ou, comment briser le calme...   (n°10) Arrivée, ou, comment briser le calme... Icon_minitimeDim 22 Fév 2009 - 12:03

La journée avait plutôt bien commencé, pourtant.
Le matin, à son réveil, à cinq heures et demi, comme d'habitude, Mahaut avait pris une douche, comme d'habitude, mais l'eau était chaude, pas comme d'habitude. Ensuite, une série d'entraînements sportifs, comme d'habitude, mais pas de folle dingue rencontrée dans la bibliothèque ou dans la cuisine lors d'une pause, pas comme d'habitude, et comble du bonheur, elle avait réussi à faire une figure de gymnastique qui lui avait toujours posé problème. Et enfin, elle était retournée dans sa chambre après son déjeuner, juste pour s'octroyer une petite sieste en récompense de sa prouesse. Délicatement, elle s'était allongée sur son lit, seule dans sa chambre. Aemiliana n'était pas là. De toute façon, cela ne changeait pas grand chose. Cette fille était discrète, ne perturbait pas l'ambiance de la chambre, ne la gênait pas. Mahaut aurait certes apprécié posséder une chambre pour elle seule, mais la partager avec une personne aussi discrète que cette miss n'était pas un problème. Ce n'était pas comme si elle devait cohabiter avec des filles insupportables, mettant le bazar partout, faisant des allés et venus à pas d'heure, fumant des substances illicites dans la salle de bain... Bref, Aemiliana était une miss sage qui, même si ce n'était pas sa graaaaaande amie, se révélait plutôt agréable.
Une fois qu'elle eu tiré les rideaux de la fenêtre et blottit sur son lit, Mahaut somnola donc durant une ou deux heures, afin de reprendre quelques forces. Elle émergea lentement, l'esprit dans le brouillard, et réalisa au bout d'un quart d'heure que sa "courte" sieste venait de gober tout son emploi du temps. En réalisant cela, l'adolescente se dressa hors du lit, bondit sur ses deux pieds et regarda sa montre. Aich... Où allait-elle caser deux de ses heures de danse contemporaine ? Elle qui avait toujours été habituée à des horaires strictes et à de la rigueur dans ce domaine, était déboussolée. Plus jamais elle ne ferait de sieste alors qu'elle a cinq heures de danse prévues dans l'après-midi. Jamais.
Décidée à ne pas perdre une minute, elle accourra dans la salle de bain, se déshabilla rapidement et se rua dans la douche. Elle s'aspergea d'eau froide pour se réveiller et ressortit une poignée de minutes plus tard. Elle sécha son corps en l'enveloppant dans une grande serviette blanche prise dans un placard blanc de la salle d'eau auparavant. Elle noua ensuite le morceau de tissus moelleux sous les bras afin qu'il couvre ses parties intimes et elle saisit un sèche-cheveux ainsi qu'une brosse ronde. Elle passa alors une dizaine de minutes à refaire son brushing pour que ses cheveux soient parfaitement lisses tout en réfléchissant à ce qu'elle allait faire.
Elle n'avait pas tellement envie de continuer son entraînement durant l'après-midi. Elle avait déjà augmenté fortement les doses, passant ses journées à cela, depuis le début de son enfermement. Alors s'octroyer une demi-journée, était-ce si terrible ? Non. Elle avait besoin d'une pause. Pour souffler et rencontrer des gens. Avec de la chance, elle arriverait à retrouver Rémy ou Lye dans le salon ou dans les couloirs. Les deux seules personnes qu'elle connaissait. Elle les aimait bien, même si le garçon était assez réservé et que son trip "Mahaut va mourir noyée et gelée !" durant le bal l'avait inquiété, et même si Lye et elle s'étaient battues à l'arrivée de la patineuse artistique qu'elle était. Ou alors rencontrer de nouvelles personnes -n'importe qui sauf Amelia la Cinglée et son papillon de compagnie.
Allez, va pour un après-midi de temps libre !
Brushing fait, elle rangea le matériel utilisé dans un tiroir du petit meuble blanc situé juste à côté du lavabo. Elle passa ensuite une main dans ses cheveux pour vérifier qu'il ne restait pas de nœuds et elle se rhabilla. De nouveau, elle portant son slim en cuir noir qui aurait put faire vulgaire chez Madame Toutlemonde aux grosses cuisses et au rouge à lèvres très vif et voyant, mais sur ses jambes dignes d'une allumette humaine, cela le rendait vraiment bien. Associé à sa robe-sweat griffée très épaisse et confortable, gris souris, le pantalon perdait tout son côté "Look at me, baby. I'm a real bitch and I want you in my bed in few seconds" pour avoir un style décontracté-habillé, que la miss adorait. Elle prévoyait de rajouter des ballerines noires lorsqu'elle sortirait, mais pour le moment, ses pieds étaient nus sur le carrelage de la salle de bain et le parquet de la chambre.
Elle partit ensuite en direction de son lit où Hermine somnolait paisiblement, sur l'oreiller. Mahaut s'assit près de la petite boule de fourrure, ouvrit un tiroir de la table de chevet -celui qu'elle avait décidé de prendre à son arrivée dans la chambre- et en sortit quelques ustensiles de maquillage. Elle avait par miracle emporté avec elle le strict nécessaire pour se faire belle, dans son sac, lors de son arrivée dans le pensionnat. Cela peut paraître futile, mais pour Mahaut qui misait toujours tout sur son apparence pour la réussite, c'était un geste simple qui l'avait bien aidé. Il n'y avait qu'un petit flacon de mascara, un tube de gloss, du blush, du crayon et du fard à paupière. Cela semblait peu, pas de paillettes pour d'éventuels spectacles, pas de rouge à lèvres, pas de crayon à lèvres, pas d'eye-liner... Il n'y avait pas tout, mais pour une adolescente de quinze ans, elle avait au moins le minimum pour tous les jours. Mahaut déposa tout son matériel en vrac sur le lit, se leva, s'accroupit et sortit de sous le matelas un magazine porno ! un miroir, rectangulaire, très simple, de taille moyenne, sans fioritures. Elle l'avait trouvé quelques jours plus tôt en fouinant dans le pensionnat, et le trouvait vraiment utile. Il était simple, très basique, même pas particulièrement joli mais elle comptait trouver un moyen de l'intégrer à la décoration de la chambre. Sa chambre.
Peut-être le déposer sur la commode, avec une guirlande de végétation autour. Mais cela risquait de faire kitch, surtout que, depuis son installation, la belle n'avait pas mis d'éléments verts, mais des couleurs chaudes. Elle avait insisté auprès de sa colocataire pour utiliser des draps bruns, beiges ou sables, elle avait mis des abats-jours dans des teintes ocres et elle traquait un tapis qui pourrait s'accorder avec tout cela pour le sol. Ces couleurs donnaient un aspect très cosy à la chambre, dotée de deux lits superposés en bois beige collés chacun à un mur de la chambre, séparés donc de quelques mètres, une table de chevet dans le même matériau près de chacun des lits du bas -dont celui de Mahaut. La jeune fille comptait accrocher des petites tablettes en bois à la hauteur des lits du haut, pour faire des petites tablettes, ce qui faciliterait la vie de celles d'en haut. Mais pour le moment, il n'y avait qu'Aemiliana avec elle, et elle espérait bien que cela ne changerait pas de sitôt.
Le miroir à plat sur le lit de la miss, elle commença à se mettre un brin de maquillage. Une touche de mascara aux cils, du blush sur les joues... Pas grand chose pour que cela reste tout à fait naturel. C'est alors que la porte s'ouvrit.


"Aemiliana ?"


Mahaut avait dit cela sans bouger de sa position, assise sur son lit, penchée sur son miroir, scrutant la moindre imperfection sur son visage. Elle tourna cependant très rapidement la tête et regarda la silhouette près de la porte, malgré l'obscurité qui régnait dans la pièce : les rideaux fermés et seule sa lampe de chevet allumée, franchement, ça le fait pas pour pouvoir tout voir parfaitement.
Arf, non. Ce n'était pas Aemiliana. Aemiliana n'avait pas des cheveux violets, et surtout, Aemiliana n'avait pas des mains qui brillaient.
Mahaut se leva, prenant garde à ne pas se cogner contre le lit du haut et se dirigea vers l'inconnue. Elle n'arrivait pas à voir clairement ses traits, mais il était clair qu'elle était plus petite qu'elle. Et punaise -sauf qu'elle avait pensé à un mot moins joli, héhéhé-, c'était quoi ces cheveux ? Et ces mains ?
Il y avait quelqu'un derrière la porte aussi. Quelqu'un qui avait eu mal. Ça fait mal, évidement, de se prendre une porte sur la main.
Les lèvres de Mahaut s'ouvrirent et sortirent de sa bouche ces paroles froides :


"Excusez-moi, mais vous n'êtes pas la bienvenue ici. Et dites à la personne derrière la porte qu'elle non plus."


C'était clair et net : Mahaut ne voulait pas que des intrus pénètrent chez elle. C'était déjà suffisamment insupportable d'être enfermée loin des siens. Alors cette fille avait intérêt à se tirer vite, bien vite, du territoire mahautiniesque, elle et ses paluches argentées. Et l'autre handicapée des papattes, aussi.
Aucune envie qu'on touche au seul endroit qu'elle possédait, qu'on vienne fouiner dans ses affaires, mettre le bazar dans la pièce, répandre des vêtements partout, se moucher dans les draps, laisser la salle de bain embuée et humide, qu'on ne fasse pas les lits, qu'on se pointe à trois heures du matin, avec une forte odeur d'alcool et un garçon trois fois plus âgés -ou pire : trois fois plus jeune !- dans les bras... Bref : aucune envie que l'équilibre qu'elle avait créé se brise.
Mais c'est foutu, elle le sentait. Plus rien ne serait comme avant, lorsqu'elle était tranquille dans sa chambre.
La journée avait plutôt bien commencé, pourtant.
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(n°10) Arrivée, ou, comment briser le calme... _
MessageSujet: Re: (n°10) Arrivée, ou, comment briser le calme...   (n°10) Arrivée, ou, comment briser le calme... Icon_minitimeDim 22 Fév 2009 - 14:02

Cela faisait plus de 30 min que Julie trainait en compagnie de Volfgang dans les couloirs tous aussi sombre aussi bien les uns les autres. Ce n'avez vraiment aucune fin. Des gens passaient, elle les regardaient d'un air bizarre, comme si tout cela était belle et bien normal. Voir un personne que l'on avais jamais vu avant se promener dans les couloirs en compagnie de son chien de compagnie blanc et rouge. C'était d'autant plus louche pour Julie, elle était dans un manoir qu'Ils appelaient pensionnat et qui était censé être abandonné. De l'extérieur, il en donner l'air mais de l'intérieur, c'était un vrai palace, mais plutôt lugubre...Après avoir traverser le couloir, il y avait, encore le couloir, il était vraiment infini. Fatiguée de ce voyage sans fin elle s'arrêta deux secondes avant que Volfgang ne l'interpelle, elle alla le rejoindre de l'autre côté de ce fameux couloir. Un panneau était là indiquant des noms. Mais pas n'importe les quelles, en bas, elle reconnu le sien : Julie Milinium-n°10.
-C'est quoi, ça se trouve on est tombé dans un pensionnat pour esclave et ça se sont nos prénoms de remplacement..
A ce moment, une douleur lui traversa la main. Elle poussa un petit AIE avant de remarquer la marque de croc sur sa main et de regarder Volfgang avec fureur
-Ne dit pas de telles idioties, regarde. Loli Wenker - N°10 et ici Mahaut de Clairlac - N°10. Tu vois, et regarde là haut. Répartition des chambres. A mon avis on est tombé dans un pensionnat très bizarre, raison pour laquelle, les gens ne nous porte aucun regard, il doivent être tellement habitués à voir des choses de ce genre que à présent qu'il n'en n'ont plus rien a faire.
Julie regarda le chien avec une moue d'incompréhension et impressionner à la fois. Elle le dévisagea Quelque temps avant qu'il ne lui fassent un signe de tête en direction d'une jeune fille avec des chevaux violets. Julie rigola 5 min avant que le chien ne lui morde a nouveau la main et qu'il la tire par la jambe vers cette jeune personne.
-Suivons là, Je suis sur qu'il s'agit de Loli Wenker
-Comment tu peux le savoir ?

-Elle regarder le panneau avant nous, elle a pointée son doigt sur Loli Wenker. Soit elle est dans ta chambre, soit c'est vraiment Loli Wenker...
Elle fit un Oooh et suivit sa peut-être partenaire de chambre. Les couloirs humide et étroit ne laisser voir qu'une simple silhouette dans l'ombre... Le jeune fille de devant esquissa un regard en sa direction. Après ça, elle se mit à courir. sans chercher à comprendre Julie la suivi en courant, elle aussi. Les lueurs des bougies défilait devant ses yeux mais tout s'arrêta lorsque la jeune fille de devant tourna pour aller dans un pièce où il été marquée 10.
-Ici Julie !
Julie obéis et poussa de sa main le porte.Mais sa main dérapa et se coinça dans l'embrasure de la porte. Sous la douleur elle poussa un " Aaaaaaiiiiieuuuuh!!! " avant que la porte ne s'ouvre et qu'elle ne pousse mille Jurons dans une rapidité incompréhensible :
- Sie hat mich die Hand eingeklemmt! Ella debió romperme 6 dedos !Oh Loli si tu savais ! Tout le mal...
Elle attrapa sa main en sautillant d'un pied sur l'autre et en maudissant la jeune fille ainsi que son Alter Ego Astral. La porte laissa voir une 3éme personne. Une fille plutôt jolie, ni trop petite ni trop grande. Elle eu une réaction immédiate, celle de se lever et d'avouer son profond désaccord du fait de cette entrée brutale.
"Excusez-moi, mais vous n'êtes pas la bienvenue ici. Et dites à la personne derrière la porte qu'elle non plus."
La personne derrière la porte ? Prénom péjoratif à ses yeux, Julie regarda Volfgang avec un énorme sourire pour lui demander si elle pouvait passer à l'attaque, mais la seule réponse fut un regard perçant désapprouvant cette idée qui paraissait excellente pour la jeune fille. Elle soupira et poussa la fille devant elle dans la chambre et regarda le numéro de la porte, le n°10. Elle regarda les deux autres filles et chercha une explication à ce phénomènes , être coincée dans une école... Des chambres numérotées, des noms déjà inscrit cela lui paraissait louche, trop louche.
-Que ce passe t-il ici, et je pense que nous sommes toute les 3 dans la chambre n°10, ne vous en faite pas, je partage aussi le même enthousiasme que vous. Juste Expliquer moi, qu'est ce qu'il se passe ici...
A présent, les 3 personnes était dans la chambre, Julie était adossé au mur toujours en tenant sa main souffrante. Son pieds lui aussi au mur. Elle attendait une réponse de ses nouvelles camarades de chambre





Traduction : * Elle m'a coincée la main ! Elle ma cassé 6 doigts ! *
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(n°10) Arrivée, ou, comment briser le calme... _
MessageSujet: Re: (n°10) Arrivée, ou, comment briser le calme...   (n°10) Arrivée, ou, comment briser le calme... Icon_minitime

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