Premiers pas... [Libre au premier gentil qui passe ^^']

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Combien cela faisait-il de temps que Daniel déambulait dans ces couloirs, tel un fantôme ? Une heure ? Deux ? Une après midi entière ? Quoi qu’il en soit, il devait se rendre à l’évidence : ce lieu était bien comme le décrivait les écrits laissés sur le panneau de liège, magique et égal à une prison.
Il avait arpenté ce bâtiment de bas en haut, monté plusieurs étages, traversé des couloirs qui ne semblaient jamais finir (et qui ne finissaient jamais d’ailleurs), ouvert des dizaines de portes et pourtant, personne. Pas la moindre âme dans cet endroit, Daniel était seul avec le silence…

~ Maiiiissss qui voilà ? ! Daniiiiel ! ~

Alors que le jeune homme avait fermé les yeux pour tenter de se concentrer, une voix fluette et moqueuse surgit. Il sursauta, et, tremblant de peur rien quand pensant à sur quoi il pouvait tomber en ce lieu, se retourna.
Daniel avait remarqué quand dans cet endroit tout était sombre et sinistre. C’est pourquoi la grosse boule dorée qui se trouvait sur le sol ne pouvait échapper à personne. Il s’approcha, la regarda longuement avant de sursauter de nouveau, la boule venait de bouger. En fait, « bouger » n’était pas le mot exact pour décrire l’action, un terme plus approprié serait « rouler ». D’ailleurs, cela était plus qu’étonnant car ils se trouvaient dans un couloir totalement plat, dépourvu de la moindre inclinaison. Pour dire vrai, cet endroit était dépourvu de tout, rien qui ne pourrait égayer les sombres murs, aucuns meubles et toutes les pièces se ressemblaient. Mais surtout, il manquait une chose qui exaspérait Daniel : un quelconque objet qui lui indiquerait le temps qui passe. Sa propre montre s’était arrêtée. Il était huit heure quand il avait mis le pied dans l’endroit qui serait sa prison…

Mais revenons à cette fameuse boule dorée. Elle s’était mise à rouler, d’abord très lentement et, au fur et à mesure, beaucoup plus vite. Passant entre les jambes du jeune homme totalement éberlué, elle fila vers l’escalier principal et se laissa rebondir sur les marches. Etrangement, cela ne faisait aucun bruit et une fois au bas des marches, la boule ‘immobilisa. C’est alors que la même voix se fit entendre.

~ Et alooors ? Tu étais plus téméraires avaaant ! ~

Daniel resta interdit en écoutant cela. Mais de toute façon, au point ou il en était, mieux ne fallait-il pas chercher à comprendre ce qui se passait. Il se retourna donc et descendit lentement l’imposant escalier qu’il avait emprunter de nombreuses fois dans sa quête d’une personne toute en chair comme lui. Une fois qu’il fut aux côtés de la boule, celle ci se remit à rouler, assez lentement pour que Daniel puisse la suivre. Après quelques minutes de marche dans une partie du manoir qu’il n’avait pas exploré, la boule s’arrêta de nouveau. Ils se trouvaient devant une immense porte en bois massif, le jeune homme resta sans voix face à cet ouvrage. Puis, se forçant à le quitter des yeux, il baissa la tête vers la boule. Celle ci avait disparue.
Regardant autour de lui, Daniel chercha un point doré. Mais comme partout ailleurs, tout était sombre. Se retournant vers la porte, il poussa doucement l’un des battants. Celui ci s’ouvrit sans problème dans un petit grincement. En entrant dans la pièce, le jeune homme espérait réellement trouver quelqu’un. Mais encore une fois, il fut déçu. Il se trouvait donc dans une grande pièce parsemée de fauteuils, de tables basses et autres meubles qui pouvaient servir dans un salon. Au plafond était accroché un lustre qui diffusait une douce lumière qui rendait la pièce apaisante et tout au fond trônait une ancestrale cheminée. Il se croyait dans un salon de thé du XIXeme…

« Pouf », se fut le bruit que fit un grand et moelleux fauteuil quand Daniel laissa tomber sa masse à l’intérieur. Après un temps indéfini de marche, cet endroit semblait un véritable paradis. Enfin, presque… Le jeune homme hésita un moment, puis regarda sa main droite. Celle ci était en train de trembler, sans qu’il puisse faire quelque chose. En temps normal, Daniel aurait ouvert son sac, pris une des drogues qui se trouvaient à l’intérieur et ses tremblements auraient cessés quelques secondes après qu’il ait eu sa dose. Mais il n’était plus en temps normal. Si il devait vivre à jamais dans cet endroit, il devait arrêter, se contrôler… Résister…
Mais il avait encore le temps. Telle fut la pensée de Daniel quand il ouvrit d’un geste brusque son sac. Il fouilla quelques secondes et en sortit une petite boîte blanche. L’ouvrant avec mal à cause des spasmes incontrôlés, il en laissa tomber cinq dans sa main qu’il avala en une seule fois.

Dans son fauteuil, le drogué eut un soupir de contentement. Dans son fauteuil, Daniel soupira de tristesse, il devait arrêter un jour. Mais pour l’instant, une chose était plus importante : trouver une personne vivante dans cet endroit…

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Joker n'arrivait plus a dormir depuis son arrivé ici, mais n'éprouvait pas le besoin de sommeil. Ce devait être un truc que ce foutu établissement lui avait refiler. Après tout, il y avait des gens avec des pouvoirs et ici et le fait que son père se soit réincarner en son ancien ami imaginaire n'avait rien de normal. L'animal l'avait enfin laisser tranquille et oui, il avait besoin de dormir lui.

L'homme arpentait les couloirs quand il entendit une voix des plus agaçante. Elle se rapprochait avec des bruits de pas. Se cachant pour ne pas être remarquer, il vit un petit nouveau arrivé. Long cheveux noir dans le visage. Il entra dans un pièce, rien ne l'accompagnait et le psychopathe était sure que ce n'était pas lui qui avait une voix comme il l'avait entendu auparavant. Il n'avait pas fermer la porte et l'autre en profita pour se glisser dans la pièce.

La décoration y était assez intéressante, le jeune c'était approprier un canapé et avait sorti des comprimer qu'il avala. L'autre homme qui c'était glisser dans l'ombre jusqu'à maintenant finit par en sortir, il s'assit sur le dossier d'un canapé. Il fit ensuite claquer sa langue sur son palet dans un signe de mécontentement.

" C'est pas bien se droguer. "

Dit-il dans un sourire des plus étrange. En effet, l'homme n'avait jamais vraiment aimer la drogue, un joint de temps a autre, mais sans plus. Il ne avait prit de la plus forte quand il était jeune, mais avait finit par tout vendre. Ça lui rapporter assez pour pouvoir s'acheter ce dont il voulait, surtout des couteaux.

C'était sa sorte d'arme favorite, il passa une main dans sa poche et en sortit un. Rien de bien gros, de toute façon, il ne comptait pas l'utiliser contre le drogué. Il fit tourner la lame entre ses doigts avant de laisser un rire qui donnait froid au dos franchir ses lèvres. C'est alors qu'une forme entra par la porte toujours entre ouverte. Il la ferma derriere lui avant de sauter sur le canapé avec le fou. Se dernier prit d'ailleurs un air énervé quand son chien vint le rejoindre.

" Toujours en vie à se que je vois "

Dit le maquiller d'un ton déplaisant. Le chien observait déjà l'autre et ne répondit pas. Trop occuper a le regarder, a observer ses comportement. Histoire de le cerner. Son maître l'avait déjà fait, c'était quelqu'un qui prenait de la drogue seulement pour arrêter ses tremblements du a son manque, il était aussi quelqu'un a l'allure inquiétante, mais qui ne l'était pas.

Joker se laissa glisser du dossier pour s'asseoir et enleva son gang gauche. Il observa ses doigts et entreprit de se tailler les ongles. Il avait un sourire manique au visage alors qu'il finit par se faire des entailles sur les mains. Il avait toujours aimer la douleur, ce n'était pas pour rien qu'il avait entreprit d'attaquer la mafia qui maintenant torturait ses victimes jusqu'à ce qu'ils demandent potence. Il n'avait pas eu cette chance puisque tout ceux qu'il rencontrait, il les tuait.

"Alors, alors, comment vas tu Daniel? "

Dit-il daignant finalement lever les yeux sur l'autre présence. Il avait prit un visage plus sérieux, mais on pouvait toujours lire la folie qu'il avait dans les yeux. Des yeux aussi noir que le plumage d'un corbeau, on ne pouvait y distinguer l'iris du reste. Il avait bien hâte de voire la réaction de "Daniel" quand il entendrait son nom.

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Il eut un bruit qui fit sursauter Daniel. Il s’était peu à peu habitué à ce silence qui régnait en cet endroit. Toujours dans son fauteuil, il tourna légèrement la tête pour voir ce qui avait provoqué ce son. Son cœur sauta dans sa poitrine. Un être humain, enfin…

C’était une chose étrange quand même. Ce pensionnat avait le don de mettre mal à l’aise, l’ambiance semblant être bâti sur un subtil mélange de solitude, de passion, de haine mais surtout de folie. Finalement, il ne savait pas comment étaient les habitants de cet endroit. Etaient-il tous à l’image de ce lieu ou pas ? Quoi qu’il en soit, la personne qui venait de rentrer dans ce gigantesque Salon lui faisait plus pencher vers sa première pensée. Grand, le visage entièrement maquillé dans un mélange de couleurs assez psychédélique et surtout, deux traces de maquillages (ou serait-ce autre chose) qui prolongeait sur son visage un sourire sinistre. Quel était cet être ?

*Ce n’est pas bien de ce droguer*

Avait dit cet homme en entrant. Daniel se redressa, l’avait-il vu ? Dans le fond, cela importait peu, il fallait surtout qu’il lui parle de ce lieu. Mais la personne ne lui en laissa pas le temps. L’homme au maquillage sorti de sa poche un couteau, le jeune homme se raidit : qu’allait-il faire avec cette arme qui, dans les mains de cette personne, semblait extrêmement dangereuse. L’étrange personnage regarda sa lame, passa son doigt sur le tranchant avant de partir dans un rire de fou. De la même manière qu’un dompteur parlait avec ses tigres, cet homme semblait parlait avec ses armes….

C’est alors que quelqu’un (ou quelque chose, allait savoir dans ce Manoir) entra dans le salon. Daniel se pencha mais ne distingua qu’une forme sombre. Le clown qui était rentré sembla marmonné quelque chose à cette chose et puis se dirigea vers l’un des nombreux fauteuils de cette pièce. Le jeune homme vit alors que la forme sombre était en fait un gros chier que les ombres de cet endroit rendait plus que menaçant. Confortablement installé dans son fauteuil, l’homme se taillait les ongles à l’aide de son couteau. Daniel n’avait encore rien dit et préférait attendre que ce clown ait fini son manège avant de parler.

Dans le fond, le jeune homme ne savait pas quoi demandé à cet étrange personnage qui venait d’entrer. Où était-il précisément, qu’allait advenir de lui ? Plusieurs questions lui trottaient dans la tête et il ne savait pas laquelle poser en premier. Il regarda de nouveau l’homme au visage maquillé et eut un haut le cœur. Il avait les mains en sang. Pas que la vu de ce liquide écœure le jeune homme, loin de la, mais cet homme semblait prendre plaisir à cela. Du moins, c’était ce que le « sourire » sur son visage laissait penser. Cela était ignoble.

Le Clown stoppa son manège et se retourna. Pour la première depuis qu’il était entré dans le salon il regarda Daniel. Il vit ses yeux, noirs, dans lesquels pouvaient se lire toute la folie et la noirceur que contenait l’âme de cet homme. Il eut un petit temps de flottement et le Clown parla.

# Alors, comment va tu Daniel ? #

Son ton était sérieux, comme si cette question relevait de la plus haute importance. Le jeune homme en question ne répondit rien. Essayant de comprendre comme cet homme avait put savoir son nom. Il resta pensif quelque instant, seul le craquement du bois dans l’âtre de la cheminée se faisant entendre et parla.

¤ Il ne serait plus poli que vous vous présentiez d’abord ? Et ensuite, vous pourrez peut être répondre à ma question : qu’est-ce que je fais ici… ? ¤

Il se tut et regarda le Clown dans les yeux. A vrai dire, il ne savait pas à quoi il devait s’attendre avec cette personne…

[Encore désolé de ce long retard >_<]

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Il ne serait plus poli que vous vous présentiez d’abord ? Et ensuite, vous pourrez peut être répondre à ma question : qu’est-ce que je fais ici… ? dit Daniel. Cette réflexion ne put que faire sourire l'homme a la main ensanglanté. Il sortit un mouchoir de sa poche et essuya ses plais avant de remettre son gant. Il mit le mouchoir dans une de ses poches et sourit. Son regard était toujours fixer dans celui du drogué.

" Voici ma carte. "

Sa main gantée se glissa dans son veston pour aller vers une poche intérieur. Il en sortit un carte qu'il lança, la laissant vriller jusque sur la table qui se trouvait a coté du nouveau. Elle était tomber face contre table, le verso vers le haut. A première vu, il s'agissait d'une simple carte d'un jeux de carte. Ça en était une en fait, de l'autre coté il y avait un Joker et un son numéro de chambre a coté de la figure.

" Et cette endroit, est ton tombeau. La seul façon de se retrouver dans le cimetière c'est d'être assassiner, sinon, c'est la vie éternelle qui t'attend. Ça pourrait être intéressant de vivre a jamais, mais pas ici. A moins que tu te trouve des petites pilules pour tes tremblement je crois pas que tu vas appréciés. "

C'est vrai qu'un jour il allait devoir arrêter, soit par volonté ou simplement par manque de stock. L'endroit était très étrange, on pouvait croiser des chevaliers et un peu plus tard des habitants des années 3500. Ça rendait la chose plus intéressante, mais aussi plus étrange et mélangeante. Le clown passa sa main dans ses cheveux vert. Il le faisait assez souvent, un peu comme un tique ou une habitude. Il finit ensuite par porter attention a l'animal qui était coucher a ses coté. Il passa sa main dans le pelage court de Six qui leva la tête avant de la poser de nouveau sur le canapé.

( Désoler pour la courte réponse et le temps que ça a prit. )

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L’homme avait toujours son horrible sourire, Daniel le regardait, attendant sa réponse. Mais le Clown ne semblait pas être pressé. Il s’essuya les mains, comme si les plaies qu’il s’était lui même infligé n’étaient que de l’eau. Le jeune homme regarda le mouchoir ensanglanté, puis le visage de cet homme. De nouveau, une onde de frissons lui parcouru le dos.

Le Clown mit sa main à l’intérieur de son veston et en sorti un petit bout de papier. Sans le regarder, il le lança sur la une petite table basse toute proche, ou il se posa légèrement. Daniel se redressa de son fauteuil et ramassa ce qu’il découvrit être une carte. Il la retourna entre ses doigts et observa l’image. Un clown souriant, habillé de vert, maquillé de rouge et de blanc et tenant entre ses mains un gros grelot dans lequel était inscrit un chiffre. En dessous, écrit en lettres noires était écrit « Joker ». Il regarda le personnage dessiné sur la carte, puis discrètement la personne qui se tenait en face de lui : ils étaient tout de même très ressemblant… Ainsi, avec la chance qu’avait Daniel, la première personne qu’il rencontrait dans ce Manoir n’était pas un être normal, mais une sorte de Clown balafré qui fallait appeler comme une des cartes d’un jeu…

Daniel n’eut pas le temps de dire quoi que se soit que Joker (puisque tel était son nom), se remit à parler. Le discours qu’il tint rappela au jeune homme ce qu’il avait lut sur le panneau de liège quand il était arrivé en ce lieu. Il était ici pour l’éternité, plus jamais il ne sortirait à moins de ce faire tuer, etc. Mais quand Joker vint à parler de ses pilules, Daniel se rendit compte qu’il disait vrai. Sans toutes ses drogues, le jeune homme n’était capable de rien, au départ ses mains, mais après tout son corps trembleraient si il n’avait pas sa dose. Et quant à l’idée de se désintoxiquer, il n’y avait songé, les récits qu’il avait entendu de la part d’anciens drogués lui faisant plus peur qu’autre chose, et il n’en avait retenu qu’une seule chose : arrêter fait beaucoup plus souffrir que de continuer... Sortant de ses pensées, Daniel reporta son attention sur l’homme qui était à présent en train de caresser son énorme chien.

Les yeux dans le vague, le jeune homme réfléchissait, ses yeux fixant le mouvement de la main de Joker dans les poils de son animal. Puis, revenant à la réalité, il parla.

¤ Donc cela est vrai, je suis réellement condamné à rester toute ma vie dans ce Pensionnat. En fait, je ne devrais pas dire « toute a vie », mais bien jusqu’à la fin de temps. ¤

Il marqua une pause, ce qu’il venait de dire était absurde, personne n’était immortel… Puis, repensant à ce qui se passait ici depuis qu’il était là, cette absurdité lui semblait totalement plausible.

¤ En admettant que tout cela soit vrai, il y a beaucoup de monde qui sont prisonnier, comme vous et moi, dans ce manoir… ? ¤

Daniel devait se l’avouer à lui-même, la perspective de rester enfermé dans cet endroit lugubre avec pour seule compagnie ce Clown macabre et l’espèce de tatou doré qui l’avait emmené dans cette salle ne l’enchanté guère. D’ailleurs, en parlant de cet étrange animal, qu’était-il devenu ? Il avait mystérieusement disparu et depuis, pas une seule apparition. En repensant à cela, une pensée fugace traversa l’esprit de Daniel : ce tatou lui rappelait vaguement quelque chose, ou plutôt quelqu’un, mais il était impossible de définir quoi, ou qui…

Ce manoir était un vrai dédale, plusieurs minutes que Roxas arpentait le même couloir en ayant l'impression d'y être déjà passé, il venait de se séparer de Zitaelle qui lu avait rendu son manteau noir, il avait réussi a trouver le chemin de la bibliothèque et avait trouvé les renseignements qui lui était nécessaires. Son seul et unique but était de trouver une solution pour sortir de ce manoir et rejoindre l'organisation avant qu'ils ne partent tous a sa recherche, vu qu'il ne pouvait rein faire contres les portes d'entrées son seul moyen était de trouver un portail vers les ténèbres. En arpentant le couloir il essayait des portes au hasard, et quand elles étaient fermées il utilisait Oathkeeper sa keyblade blanche pour l'ouvrir, mais a chaque fois le résultat était le même soit la pièce était vide soit il ne trouvait pas ce qu'il cherchait. Il devait quand même bien avoir d'autres personnes ici a part Zitaelle, Lyra et lui-même.

Il se remuait les pensées quand il entendis soudain un bruit familier, un rire de fille assez glacial. Ils ne pouvaient pas déjà être a sa recherche pourtant le rire qu'il entendait était bien celui de Larxene, la seule et unique femme de l'organisation portant ne numéro XII, Roxas courut devant lui il entendait par intermittence le rire qui s'amplifiait au fur et a mesure qu'il s'en approchait, il arriva a un tournant la d’où venait le rire mais il n'y avait personne, d'ailleurs ce dernier avait disparut, Avit-il perdu l'esprit ? Ou bien était-ce le manoir lui même qui matérialisait ses pensées ? Quoi qu'il en était il en avait assez de tourner en rond dans ce labyrinthe de couloir et de porte, tout ce qu'il voulait c'était se reposer a présent.

il marcha encore quelque peu avant d'arriver devant un porte sous l'laquelle un filet de lumière était visible, il y avait sans doute quelqu'un a l'intérieur, il s'avança et poussa les portes, il arriva dans une pièce qui ressemblait a un salon, magnifiquement décoré un pièce assez attirante par la même occasion. Deux personnes y étaient déjà, l'une a l'aspect assez comique, proche du clown et e second avait un aspect de quelqu'un qui avait l'air peu sociable, mais après tout ce qu'il avait vu travers les différents mondes qu'il avait traversé, il savait pertinemment qu'il ne fallait pas se fier aux apparences. Il observa attentivement la pièce, si ca se trouve il n'avait peu être pas rêvé, elle était peu être cachée la quelque part. Il s'avança de quelques pas dans la pièce.

"Larxene ! Tu es la ?"

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Daniel venait de finir sa phrase. Joker ne parlait pas, les yeux dans le vague. L’atmosphère qui régnait dans cette salle était étrange : deux hommes qui parlaient peu se trouvaient dans une pièce remplie d’un nombre incalculable d’objets et de meubles. En somme, ces deux êtres vivants au milieu de tant de choses inanimées faisaient quelque peu « tâche ». Le jeune homme, sans quitter son fauteuil, regarda d’un œil neutre le Clown assis en face de lui. D’une certaine manière, il tentait aussi bien qu’il pouvait de digérer cette information qui semblait totalement fantaisiste : il était coincé ici pour toujours…
Un silence paisible c’était instauré dans le Salon. Chacun perdu dans ses pensées. Pourtant, un bruit vint rompre cet instant. L’immense porte de la pièce émit une longue plainte tendit que quelqu’un l’ouvrait lentement. Un jeune garçon entra, s’arrêta et détailla la pièce du regard. Il s’arrêta quelques instants sur Joker et Daniel avant de s’avancer. C’est alors qu’il parla mais le jeune homme assit dans son fauteuil ne parvint pas à entendre ses paroles. Il regarda de nouveau dans toutes les directions mais ne semblait pas trouver ce qu’il cherchait.

Daniel se leva et s’approcha du nouvel arrivant. Par réflexe, il tendit la main vers l’inconnu et dit, d’une voix neutre.

¤ Enchanté, je m’appelle Daniel. Je suis disons… Nouveau. ¤

Dans le fond, son ton n’était pas si neutre que ça. Il parlait avec une sorte de rancœur, comme si la personne qui venait de rentrer et la cause de toute cette histoire. Dans le fond, c’était la nature humaine de toujours rechercher un, ou des causes, à tout ce qui pouvait arriver...

L'attention de Roxas fut captée par le jeune homme assis dans le fauteuil qui se présenta à lui. Bien entendu Roxas était plutôt pressé mais il lui répondit quand même.

"Salut Daniel, je suis Roxas, treizième membre de l'organisation XIII, je suis aussi nouveau mais je compte pas rester ici longtemps."

Il s'avança un peu plus dans le pièce. Il regarda tout autour de lui, il n'y avait pas d'autres sorties possibles, et les endroits pour se cacher n'étaient pas nombreux, elle ne devait pas se trouver loin d'ici. Il reporta son attention vers le dénommé Daniel et s'approcha de lui, il sortit quelque chose de sa poche c'était une photo, il la tendit devant les yeux de Daniel.

Premiers pas... [Libre au premier gentil qui passe ^^'] Larxen10

"Est ce que l'un de vous deux aurait vu cette femme ? elle porte un manteau identique au mien… peu être que vous l’avez entendu tout a l’heure… elle a un rire a vous glacer le sang"

En attendant la réponse Roxas fronça les sourcils et scruta le moindre recoin de la pièce, il était bien décidé a mettre la main sur elle. Les deux devait surement le prendre pour un fou mais il s'enfichait la seule chose qui lui importait était de sortir de ce manoir qui lui rappelait trop le manoir Oblivion. Il n'avait aucune idée de ce qu'il se passerait sur lui s’il restait trop longtemps dans ce manoir. Il ne pouvait que compter su la réponse de Daniel ou de l'autre personne pour savoir ce qu'il allait se passer ensuite.

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