► Personnage:


Nom :
Telrunya.

Prénom :
Cippora.

Age :
25 ans.

Date de naissance :
24 juin.

Histoire :
Pour comprendre Cippora, il faut connaître le monde d’où elle vient. Ce monde, il ne porte pas réellement de nom, car aux yeux de ses habitants, il est unique. La magie y est omniprésente, mais certaines espèces la maîtrise mieux que d’autres. Malgré que la notion de « mondes » y soit inconnue, on y parle de plans. Le plan démoniaque, le plan féérique,… Sortes d’univers parallèles dont l’existence est plus ou moins vérifiée, ils servent à expliquer les diverses formes de magie et de vie qui fourmillent à la surface. L’existence des dieux est admise, et leur nombre est incalculable tant la diversité de cultes et de croyances est grande.
Cippora appartient à un peuple d’humains vénérant la nature, vivant dans une cité nichée dans une forêt luxuriante. Sans pour autant être un matriarcat, cette société est pourtant solidement féministe pour une simple raison : les femmes développent plus facilement et rapidement la magie et un lien avec les bêtes et la nature, elles sont donc considérées comme plus proches des dieux. L’omniprésence des animaux et des plantes dans leur cité lui donne des aspects de ruines magiques ou divines ; la forêt qui l’entoure est connue comme l’une des plus belles et même les Elfes, dont les forêts enchantées sont pourtant absolument merveilleuses, prennent du plaisir à s’y promener.
De manière générale, les habitants sont assez solitaires et pacifiques, sauf si quelqu’un a le malheur de faire du mal à leur nature. Ils ont prit goût à faire justice eux-mêmes et de nombreux braconniers trouvèrent la mort entre leurs murs. Plusieurs peuples tentèrent de le leur reprocher, mais ils bénéficient de la protection des Elfes et du monde féérique, avec lesquels ils vivent dans une entente paisible.
Cippora apprécie beaucoup les Elfes, et notamment Kiba, sa fille adoptive. Elle la trouva toute jeune, abandonnée dans la forêt et, malgré qu’elles n’aient pas une différence d’âge énorme, la prit sous aile. Elle fit marcher l’Elfette sur ses traces, bien qu’elles suivent finalement des chemins très différents. Les amis les plus proches de Cippora sont tous des Elfes ou des demi-Elfes, car elle aime beaucoup leurs manières et, pour certains, leur élégance et leur beauté la font vibrer.
Pour en revenir à Cippora, elle est une modeste fille de forgeron parmi les hommes, mais une prodigieuse fille de murmureuse parmi les siens. Les murmureuses sont plutôt rares. Jeunes femmes ayant développé le don de communiquer avec tous les animaux par d’étranges et envoûtants gestes, elles font d’excellentes guerrières à cheval, très bien connues de leurs ennemis, accompagnées des forces de la nature sauvage et de ses représentants bestiaux. Biewyn, un massif percheron noir, ne la quittait jamais ; il était à la fois son plus fidèle ami et son plus courageux combattant. Mais un jour, en guerre contre un peuple Orc qui tentait de s’emparer de la forêt pour son bois, une lance transperça Biewyn. Cippora devint complètement folle. Le lien unissant une murmureuse à son compagnon est semblable à une fusion, ainsi cette douleur lui transperça à la fois l’estomac et le cœur. Incontrôlable, elle trancha autant de gorge qu’elle put, la forêt grinçait et des déferlantes de bêtes aux crocs tous plus aiguisés les uns que les autres envahirent le champ de bataille et décimèrent les Orcs. Dans une folie sadique, elle tua le plus hideusement possible les rares survivants, les tortura lâchement aux côtés des dépouilles de leurs amis et alliés. Sa rage effrénée dura des heures et les forces de la nature, souffrant de cette utilisation haineuse, se retournèrent contre elle ; elle s’écroula soudainement, un de ses yeux noirs virant à un blanc laiteux, ultime preuve de la folie qui l’avait envahie.
Elle crut mourir. Elle crut que son cœur explosait de douleur. Tout devint blanc. D’étranges voix résonnaient dans ses oreilles. Et soudain, une forêt, une porte, gigantesque, imposante. Derrière elle, il n’y avait rien. Devant elle, Biewyn la regardait, campait sur ses larges sabots. Elle courut vers lui. La porte se referma. Elle était enfermée. Enfermée, oui, mais avec Biewyn.

Caractère :
Malgré qu’elle soit devenue une jeune femme bien comme il faut, Cippora demeure avant tout un garçon manqué, colérique, parfois violente, sans manières. Elle ne s’est jamais vraiment débarrassée de son esprit d’enfance et, bien que refoulés, elle conserve secrètement ses rêves romantiques de gamine. Elle est coincée entre deux mondes qui la rendent folle : son monde merveilleux, féérique, peuplé de nature, de rêves, de magie et idéalement parfait et l’horreur du monde des hommes, qu’elle caricature dans l’abominable. Ce conflit l’empêche de trouver une paix intérieure durable, du moins seule. Elle a conscience qu’elle a besoin d’une épaule masculine sur laquelle se poser, mais elle ne l’assume pas car dans son peuple, c’est à la femme d’être forte et de choisir son mâle froidement. Pour le moment, elle ne retrouve donc la paix que seule, loin de toute forme de civilisation, dans les bras d’une nature bienveillante. Elle ressent beaucoup de haine pour les autres et leurs attitudes si prévisibles et ennuyeuses. Les seuls qui attirent son attention sont la plupart du temps les marginaux et les dérangés mis à part et craints des autres.

Physique :
Ses yeux vairons perturbent qui que ce soit qui croise son regard : son œil droit est noir et le gauche d’un blanc laiteux. Grands et en amande, ils ouvrent avec une troublante vérité une fenêtre sur la folie dont elle fut victime et qui a encore par moment du mal à la lâcher. Ses sourcils arrondis rendent son visage en cœur est très expressif. Ils traduisent sa simplicité et son absence de maniérisme par leur forme naturelle, tout comme son épaisse chevelure de jais qui se coiffe à sa guise. Elle prend tout de même le soin de démêler ses cheveux mais ne fait pas chichis à les arranger. Longs jusqu’à sa taille, tantôt elle les laisse libre, tantôt elle les attache, s’ils la gêne.
Malgré de belles formes généreuses, Cippora et ses manières de garçon manqué n’ont pas des allures que l’on pourrait qualifier de féminines. Sa démarche est simple et ses jambes musclées par les combats. Pas très grande, elle ne donne pas l’impression d’être robuste au premier abord. Loin d’être maigre, elle semble simple, « normale », mais ses muscles, sans être volumineux, sont bien dessinés sur son dos, ses bras et ses jambes.
Elle aime porter de beaux vêtements, plus spécialement du cuir renforcé par endroit de plaques et de chaînes en métal, comme elle le faisait à la guerre. Pratique, elle chausse tout le temps de grosses bottes couvertes de lacets et de sangles, lui assurant un maintien ferme et confortable. Un poil monomaniaque, elle ne se vêtit que de noir avec des touches de rouge, créant un séduisant contraste avec sa peau très pâle et ses fines lèvres roses.

Pouvoir :
Elle peut transformer le bas de son corps en le corps d’un cheval, à la manière des centaures, en fusionnant avec Biewyn.

Alter Ego Astral :
Un gros percheron américain, entièrement noir, nommé Biewyn.

Passion(s) :
Comme on pouvait s’y attendre, la plus grande passion de Cippora est la nature, et plus spécialement les animaux. Elle aime se promener en forêt et, malgré ses airs fiers, se laisser bercer par de doux rêves romantiques. L’isolement la rend heureuse, qu’elle soit seule ou en compagnie d’une personne très proche, elle préfère la tranquillité silencieuse à la foule. Ses joies sont simples : pouvoir regarder la nature, sous toutes ses formes, paisiblement, sans être dérangée. Elle apprécie la musique mais n’y touche pas elle-même, elle préfère exercer l’art du combat.

N'aime pas / Phobie(s) :
Beaucoup de choses et, plus généralement, beaucoup de choses qui touchent à la civilisation. Elle voit d’un très mauvais œil les comportements humains, elle les juge trop promptes à l’hypocrisie, la tromperie, le mensonge et la violence stupide. Les gens de la ville sont pour elle du bétail, des moutons irrespectueux et bruyants. Elle voit d’un meilleur œil les marginaux et les fous, dont elle comprend la détresse. Elle fait généralement preuve d’une grande compassion à leur égard.
Elle souffre d’agoraphobie, une haine sans limite a tendance à l’envahir en présence de trop de « bétail. »



► Pour avoir le personnage :


Avez-vous bien lu les règles ?
Ololol t'inquiètes ça gère, le code est bon [Et au passage, j’adore l’idée du kit de la honte !]

Où avez vous trouvé ce forum ?
C’est Angella Nescomini qui me l’a conseillé.

Est ce votre premier perso...
♦ ...Dans un forum RP ?
Non, j’ai fait pas mal de RP, ai même possédé mon propre forum, mais je n’ai plus joué depuis… environ 3 ans.
♦ ...Dans ce forum ?
Oui.

On t'a vu (C'est Angelan qui tenait à ce que je le dise U____U)
Ouai donc pardon pour ce retard, je sais pas pourquoi y a autant de retard, surement parce que les élites d'accueils ont pas le temps en ce moment.

Bref, bah pour moi c'est tout bon, enfin, j'ai pas le bon nombre de lignes mais ça c'est de la faute de mon écran, normalement c'est bon.

Le code aussi est bon et il me semble que le pouvoir n'est pas pris, donc moi je te laisse passer.

T'es validé (au pire mes collègues dévalideront s'ils ont quelque chose à dire) et désolé du retard