► Personnage:Nom : Beauregard
Prénom : Azilis
Age : 17ans
Date de naissance : 25 Novembre
Histoire : -[Année 2599] -
L’aube d’un siècle nouveau qui devait marquer la fin de la guerre faisant rage entre les deux plus grosses puissances mondiales, la Russie et les Etats Unis. Un nouveau siècle synonyme de paix et de renaissance. Mais le japon n’a pas respecté les accords de non-agression passée avec les Etats Unis. Après tout, eux aussi veulent leur part du gâteau. Car ce n’est pas pour n’importe quoi que nous nous battons aujourd’hui. Ce n’est pas pour des territoires que l’on se dispute, et encore moins pour du pétrole dont les ressources ont été épuisées depuis de nombreuses années. Mais quelque chose de bien plus monumentale. Une nouvelle énergie, un nouveau combustible écologique vingt-mille fois plus puissant que tout ce qui a été découvert depuis l’uranium et son équivalent le pluralium. Une roche, un vulgaire caillou dont les rayonnements rougeâtres produisent de la chaleur.
Et le plus gros gisement de ce nouveau minerai se trouve en France, cette belle et douce France, qui n’a jamais voulut prendre parti de toutes ces guerres absurdes. Cette jolie France, où du moins ce qu’il en reste. Le pays est à feu et à sang depuis pas mal de temps. Et alors que le peuple français tente de survivre aux différentes attaques des pays frontaliers, un groupe de trois-milles chercheurs étudie patiemment l’étonnante pierre.
C’est en janvier 2599 que Quali Elvaneski, fille d’un armateur russe et Nathaniel Beauregard, capitaine dans les forces d’unités spéciales française se rencontrèrent.
Nathaniel Beauregard, alors à la tête d’une dizaine d’hommes et de femmes, trouve refuge, suite à l’extermination d’une partie de l’armée française, dans un vieux château français appartenant à une famille russe, les Elvaneski. Le jeune capitaine, n’a alors pas idée de combien cette retraite plus ou moins forcée va changer le cours de sa vie.
La jeune demoiselle n’a pas l’habitude de côtoyer des soldats. Et n’en a d’ailleurs pas spécialement l’envie, elle préfère, et de loin participer à la confection de nouvelles armes dans le laboratoire de son père. Mais une nuit, ce dernier se tranche un doigt en assemblant deux pièces métalliques de sa dernière invention, la plaie est nette et propre, mais nécessite les soins d’un médecin. Et notre demoiselle a entendu dire que parmi les soldats qui vivent au château il y en a un. Elle se résigne donc, à abandonner son père qui n’est d’ailleurs pas le moins du monde paniqué, pour aller chercher le dit médecin militaire. C’est à cette occasion que le regard de cette douce et pourtant si piquante Quali Elvaneski va rencontrer celui brillant et mystérieux de Nathaniel Beauregard. Au cœur du Château de Chenonceau, en pleine guerre mondiale, va pourtant naître un amour que seule la mort séparera. - [mars 2600] -
Le Japon est finalement entré en guerre contre les USA, bien vite suivit par l’Inde. L’Afrique quant à elle se prépare à envoyer des troupes pour apporter de l’aide aux Russes.
Pendant ce temps, en France les chercheurs en viennent à la conclusion que la roche (composé à 94% de carbonate de chaux, d’1% de phosphate de calcium et de 4% de carbonate de souffre%) se trouverait peut-être, être la coquille d’un immense œuf. Un œuf, mais de quoi ? Quel animal assez imposant pourrait se développer dans une telle coquille ? Quoi qu’il en soit, la nécessité des hommes pour le moment est d’extraire autant que possible du précieux minerai, et non pas de s’instruire sur la présence d’une nouvelle espèce.
Quali Elvaneski devint Quali Beauregard par une fraiche matinée de mars. Les deux jeunes gens ont scellé leur union sous l’unique cerisier du château Chenonceau. En ces temps sombre, leur mariage s’est déroulé dans la plus petite intimité. Le père de la marié, les soldats survivants du jeune capitaine et les quelques habitants du château. Il n’y eut pas de grande cérémonie, de beau repas, de magnifiques décorations. Simplement une jeune femme toutes de blanc vêtu et un jeune capitaine d’une vingtaine d’année, étonnant de simplicité. - [Novembre 2600] –
Les chercheurs n’ont pas voulu prendre un compte la possibilité qu’une nouvelle espèce pouvait éclore de ce qu’ils pensaient être un œuf. Ils n’ont pas mesuré les risques. Ils ont continué à exploiter les ressources de cette « coquille ». Ils en ont payé le prix. De cet œuf, sont sortis deux êtres immenses, gigantesques, monumentalement majestueux et pourtant deux monstres que l’on ne retrouve que dans les histoires pour enfants. Deux chimères. Deux créatures bibliques.
Le 25 novembre 2600 deux dragons ont éclot de cette roche que l’on appel Cocalium, cette roche pour laquelle le monde entier se bat. Ils ont tous deux fondu sur le groupe de chercheurs. Il n’y a pas un seul survivant.
Notre douce Quali donna naissance par une froide nuit d’hiver à deux enfants. Des jumeaux. Un garçon et une petite fille. Deux magnifiques bébés quelque peu maigrichons malgré qu’ils soient en bonne santé. Ils s’appelleront Jonathan et Azilis Beauregard.
Mais même leur petit coin de paradis n’est pas à l’abri. Leur château ne sera pas épargné quand les dragons viendront, et ils viendront c’est une évidence. Les habitants de Chenonceau, grossi par une foule de survivants venant de Paris s’activent. Mrs Elvaneski s’est mit en tête de faire construire un abri sous terre. Et si une bonne partie de la population de Chenonceau n’y croit pas trop, tout le monde s’y met. Il vaut mieux ça, plutôt que penser aux monstres ailés. - [Mars 2601] -
Le monde est un champ de bataille. Mais « champ de bataille » est un euphémisme pour qualifier ce à quoi ressemble la terre. La guerre mondiale qui avait commencé s’est transformé en génocide. Celui de la race humaine. Les deux premiers dragons ont, semble-t-il donné naissance à d’autres. Et il faut bien nourrir cette progéniture. Tout pays confondu. Toutes races confondues. Tout êtres confondus. Homme, femme, enfant, dirigeants, artisans ou sans abri. Les dragons attaquent sans distinctions. A la tombé de la nuit, tout êtres vivants devient une proie.
L’abri-bunkers-anti-atomique de Mrs Elvaneski est fin près. Entièrement constitué de métal, l’endroit s’élève dans les airs autant qu’il s’enfonce dans la terre. Un abri semi-souterrain et semi-aérien. Il abrite près d’une centaine de personne. Et a prouvé son efficacité à plusieurs reprises. Car les dragons sont venus. Et Nathaniel en garde une vilaine trace. Une bonne partie de si beau visage a été défiguré par le souffle brûlant de l’une des créatures. D’autres n’ont pas eu sa chance. - [Novembre 2601] -
Les hommes semblent s’organiser peu à peu. Il leur aura fallut un an pour qu’ils comprennent qu’ils avaient commis une erreur. Une erreur qui pourrait bien signer la fin de l’humanité. Rares sont les survivants, mais ces derniers ont décidé de s’en sortir. On construit des bunkers, on confectionne de nouvelles armes, chimique ou bactériologique, mais rien n’y fait. Le Peuple des airs semble invincible. Et sa population enfle. On compte déjà plus d’une cinquantaine de dragons.
Au cœur de l’abri-Chenonceau deux enfant fêtent leur un an. Azilis et Jonathan ont trouvé leur place malgré la terreur ambiante. Ils s’avèrent être de jeunes enfants très éveillés pour leurs âges, et déjà dans le « camp » bon nombre sont ceux qui les adorent. Mrs et Mme Beauregard couvent leurs enfants comme s’ils étaient la prunelle de leurs yeux. C’est une évidence, au cœur d’un environnement ravagé, nos deux jeunes enfants seront malgré tout choyé. - [Décembre 2608] -
Huit ans que le cauchemar a commencé et la situation semble s’aggraver de jours en jours. Il n‘y a plus aucune trace de gouvernement et la communication est redevenue sommaire. On fonctionne avec de vieilles radios rouillées et des signaux de fumée. Cependant malgré les problèmes de communication, la réputation d’un homme semble se répandre comme une trainée de poudre. Le premier à avoir réussit à tuer l’un des montres. Certains disent que c’est un inventeur, d’autres le traitent de fou, et d’autres encore disent que c’est un ancien soldat. Il est peut-être les trois à la fois. Une chose est sûre, ses armes sont nouvelles, innovantes et d’un géni fabuleux. Et cet homme n’est pas seul dans sa lutte. Perdu dans le Val de Loire. Un vieux bonhomme tente de faire renaître l’espoir.
Noël approche. Mais le cœur n’est pas à la fête. Cela fait huit ans que le groupe Chenonceau se bat. Cloitré dans leur bunker, les hommes et les femmes tournent en rond. De violentes disputes éclatent. Et ils ont déjà perdu un nombre incalculable de gens. Mais Mrs Elvaneski ne semblent point décidé à baisser les bras. Il se bat avec la science et l’armement dans le laboratoire qu’il a aménagé dans la pièce la plus profondément enterré. Il tente de mettre au point une nouvelle génération d’armes. Sa fille et son beau-fils sont là aussi. Tous deux confiants dans l’avenir. Et il y a aussi les jumeaux. Observant de loin la confection et la construction, intervenant parfois dans la discussion, mettant quelques fois le doigt sur un élément essentiel de leurs plans de construction. Ils n’ont que huit ans. Pauvres enfants ! Ne peut s’empêcher de penser leur grand-père. Dans quel monde vont-il grandir ? Azilis avec sa longue chevelure noir et ses yeux brillants d’une intelligence précoce, et ce beau Jonathan et son immense force de caractère. - [Mars 2612] -
Les inventions de Mrs Elvaneski révolutionne la guerre. Car grâce à elles, la terre n’est plus le théâtre d’un génocide humain, peu à peu le monde entier se livre à une véritable et unique guerre contre les dragons, les conflits intérieurs se taisent un moment, l’heure est à la solidarité. Les armes sont fabriquées à base de la roche qui constituait l’œuf des premiers dragons. Et cela semble marcher. Progressivement l’Homme se réorganise.
La relation fusionnelle liant les jumeaux Beauregard s’affermit avec l’arrivée de nouveaux réfugiés, dont un groupe d’enfants de leur âge. Jonathan semble adopter une attitude protectrice voir étouffante vis à vis de sa sœur. Et celle-ci ne semble pas s’en offusquer, bien au contraire. Les autres enfants ne l’intéressent pas de toute façon. Dans les bras de son frère elle semble trouver le réconfort et l’amour que ses parents, trop occupés par la chasse aux dragons, oublient de lui apporter. Désormais, ils sont chacun l’ombre de l’autre, tant et si bien que lorsque Jonh’ s’entraîne avec leur père à manier l’un des armes de leur grand-père, Azilis n’est pas loin. Elle observe du coin de l’œil ce frère si chérit, un des rares livres sauvés posés sur ses genoux en guise d’occupation. De même, quand la petite fille accompagne sa mère à l’infirmerie, car notre douce Azilis est plus passionnée par l’art de guérir que par celui de faire la guerre, son frère l’attend, il regarde la petite demoiselle s’activer avec cette grâce habituelle et parfois même vient lui porter main forte. - [Novembre 2615] -
Un groupe d’hommes et de femmes déterminé à libérer le monde des dragons voie le jour. Draco. Une instigation ayant pour but de d’exterminer la race des monstres ailés. Ce groupe fait beaucoup d’adeptes parmi la population humaine. Une bonne partie de ces Hommes sont des fanatiques fous de la gâchette. Mais mieux vaut ça que rien du tout ?!
« Papa est parti » Ces paroles résonnent aux oreilles de la douce Azilis, ce sont les mots de son frère. Leur tendre père est parti le lendemain de leur anniversaire avec l’expédition Draco. Ils vont tous, à ce qui paraît, vers Lille, car c’est là-bas que se trouverait le nid du premier couple dragon. Certains scientifiques ont émis l’hypothèse que si l’on réussissait à abattre les deux premières créatures, le reste de la race s’éteindrait d’elle-même. Pure folie ? Dernier espoir ?
Leur mère, Quali Elvaneski, est restée à Chenonceau avec son père et ses deux enfants. Mais rongée par l’inquiétude elle se plonge, que dis-je, elle se noie dans le travail. Car du travail il y en a. Elle passe ses journées à superviser la surveillance du ciel, et ses nuits à soigner les blessés.
Le lien qui uni les jumeaux se resserre encore un peu plus. A présent ils ne se quittent plus d’une semelle. Ils en viennent à partager le même lit. Mais avant de partir, leur père les a prévenus. Ils ne devraient jamais céder à la tentation charnelle qui bientôt enflammerait leurs corps et leurs cœurs adolescents. Alors ils se taisent, dans la peur, la crainte qu’un beau jour ils doivent s’éloigner l’un de l’autre. - [Janvier 2616] -
Le groupe Draco a échoué. Ils n’ont pas réussit à atteindre Lille et le premier nid. Et cela fait plus d’un que plus personne n’a de nouvelles des membres de l’équipe. Ils doivent mort. Dévorés. Brûlé vif. Ou encore pourrissant dans un trou à attendre des secours qui ne viendront jamais. L’Europe se prépare pourtant à envoyer un nouveau groupe de chasseurs de dragons, plus nombreux et mieux équipé. C’est en faisant des erreurs que l’on apprend. Mais les erreurs la race humaine les enchaine. A quand la fin du carnage ?
Les jumeaux Beauregard ont failli céder ! Ils ont failli se laisser emporter par leurs sentiments, par leur attirance. Mais ils ne l’ont pas fait. Et c’est profondément blessé qu’ils ont tous deux choisi de s’éloigner quelques temps. Jonathan ne passe plus que sa vie dans l’armurerie à s’entrainer avec d’autres jeunes hommes de son âge. Et la nuit, il ne retrouve plus sa petite Azilis dans l’intimité de leur chambre, mais se fond dans les bras d’autres jeunes filles.
Sa sœur, quant à elle passe ses journées à l’infirmerie et apporte son soutien à sa mère. Cette dernière n’est plus que le fantôme d’elle-même et se laisse lentement dépérir depuis qu’il apparut évident que son époux ne reviendrait pas. Azilis finit par côtoyer d’autres personnes. Elle se révèle être une demoiselle charmante et ne manque pas de prétendants. Alors parfois, elle s’oublie dans les bras d’un jeune homme…- [Décembre 2617] -
Le nouveau groupe d’intervention est parti depuis quelques semaines. Leur avance ne semble pas se déroulé trop mal. Peut-être leur mission n’est-elle pas vouée à l’échec.
S’en ai finit de Chenonceau. Le bastion a été détruit. Réduit en cendre avec ses habitants. Une horde de monstres ailés s'est abattu sur l’abri une nuit de décembre et a ravagé le « bunker ». Rare sont les survivants de cette attaque. Et encore plus rare seront ceux qui survivront à une nuit passée dans la neige et le froid.
Azilis et Jonathan font parti de ces survivants.
Ils ont courut, courut pendant des heures pour échapper aux dragons. De longues heures à fuir dans la neige. Et ils ont fini par se retrouver seul au beau milieu de nulle part. Perdus.
Les jumeaux se sont alors mit à marcher sans un mot. Incapable de se résigner à crever de froid alors qu’ils avaient échappé au Feu. Les secondes, les minutes puis les heures se sont écoulées. Sans vraiment qu’ils fassent attention ou leur pat les menaient. Puis tout à coup, devant eux s’est dressée une foret. Ils pensaient que toutes les forets du monde avaient été brûlés. Ils s’y sont engagés silencieusement. Au bout de cette foret est apparut une porte. Une immense et lourde porte semblable à celle du château Chenonceau quand celui-ci était encore debout. Ils l’ont poussé. Ils sont entrés. Qu’avaient-ils à perdre ?
Caractère :Accroc: C’est triste de le dire, mais notre douce Azilis est accro, évidement, à son cher frère jumeau.
Adorable: C’est une évidence, un petit minois, un port de tête plein empreint de grâce malgré la maturité dont elle dû faire preuve, elle reste une demoiselle de 17ans attendrissante de part sa naïveté et sa sensibilité.
Dangereuse: Dans le sens où, ses sentiments la feront faire de mauvaises choses. Azilis est capable du meilleur, comme du pire.
Drôle: Plutôt, Az’ est une bonne vivante. Elle aime le rire. Et le considère comme l’un des grands remèdes de l’âme.
Franche: Absolument, totalement. Parfois trop d’ailleurs et avec un peu de naïveté, elle dira les choses comme elle les perçoit.
Innocente: Pas vraiment. Elle a vu trop de choses pour être innocente. Trop de mort, trop de douleur et trop de tristesse pour être demeurée une enfant.
Jalouse: L’un de ses pires défauts. Jalouse, principalement des gens qui s’approchent de ce frère trop chérit.
Gentille: Profondément gentille, malgré son attitude mystérieuse, ses répliques parfois cinglante. Au fond, elle n’est ni rancunière, ni méchante.
Mystérieuse: Plus ou moins. Elle ne se dévoile pas facilement aux gens. Et si, en revanche, elle leur parle de tout et de rien avec le monde qui l’entour, c’est justement pour ne pas paraître fragile.
Passionnée: Oui ! Certainement. Lorsque notre jeune femme entreprend quelque chose, elle le termine. Elle voue son corps et son âme, peut-être pour oublier la fatalité du monde, au service des autres.
Sensible: Elle l’est même trop. Défaut ? Ou qualité ?
Souriante : Tout est relatif.
Violente: Très rarement. D’ailleurs elle ne se met pratiquement jamais en colère. Mais quand elle le fait, telle dame nature, c’est cataclysmique.
Physique :Azilis n’est pas à proprement parler un canon de beauté. Elle n’a pas grandit au cœur d’un système ou la beauté n’est incarnée que par un genre particulier de fille. Notre demoiselle n’est ni grosse, ni mince, elle a un corps tout à fait proportionné, même si parfois elle aimerait que sa poitrine soit un peu moins volumineuse. Son corps ne se démarque donc pas spécialement du reste de la population humaine. Mais jetez un coup d’œil sur son visage et alors peut-être vous la trouverez jolie. Un petit minois aux traits fins et à la peau légèrement halée. Un menton finement dessiné, surmonté d’une bouche à la lèvre inférieure percée. Parmi ce petit cocktail de douceur se trouve un regard bleuté. Le même d’ailleurs que celui de son frère. Une paire d’yeux aux couleurs de l’océan, dans lequel certains se noieraient bien volontiers.
Comme signe particulier, on pourrait dire, que si son frère et elle étaient du même sexe, ils seraient des copies conformes.
Pouvoir :Dans ses mains. Son pouvoir se concentre dans ses fragiles mais habiles petites mains. Elles peuvent à loisir diffuser par contact un poison lent, douloureux pouvant s’avérer mortel, mais aussi guérir quelques maux dans la mesure ou les blessures sont ponctuelles ( coupure, fracture, plaie ouverte…) et visible. Elle ne peut en aucun cas guérir les maladies (angine, rhum, sida…) et encore moi les disfonctionnements génétique.
Alter Ego Astral :Tout droit sortit de son ancienne vie. Un mini-mini-dragonneaux du nom de
Léon. Attention il mord.
Passion(s) :Notre demoiselle sait lire, et elle en profite pour dévorer quelques bouquins. En réalité, elle lit tout ce qui lui passe sous le nez. Dans le bastion dans lequel elle a grandit, il y avait un homme, un violoniste, c’est lui qui lui apprit à en jouer, ainsi, faire du violon est l’une de ses passions.
N'aime pas / Phobie(s) :La mort de son frère est l’une des choses qui lui fait le plus peur. Elle tait cette peur ou du moins tente de faire avec. Mais que lui arriverait-elle si elle venait à le perdre ?
► Pour avoir le personnage :Avez-vous bien lu les règles ? Il m’aime, un peu beaucoup, passionnément, à la folie...
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Est ce votre premier perso... ♦ ...Dans un forum RP ?Noop chef!
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Mer 30 Juin 2010 - 19:17
