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 |  Sujet: Mary - A life of music ♫ ~  Jeu 12 Aoû 2010 - 15:00 | |
| ♫ Présentation de Mary ♫
Une vie remplie de musique
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Personnage Nom : Stander, mais elle ne l'utilise plus
Prénom : Mary
Âge : 18 ans
Date de naissance : 19/05 Histoire Je m’appelle Mary Stander… Enfin, plus maintenant. En fait c’est juste Mary. Je m’appelle Mary, et voici mon histoire.
« Ceux de l’extérieur »
Ma vie a commencé dans un monde des plus tristes et des plus noirs. Nous étions dans une ère où la technologie était bien avancée, mais où la façon de penser des gens était corrompue. Les complots et les conspirations y étaient monnaie courante, les gens les plus pauvres vivaient dans la crainte d’être d’avantage écrasés par les gens les plus riches. Les jeunes se rebellaient, en avaient assez d’être obligés de travailler pour vivre, et ne faisaient plus rien, sinon danser sur des pistes de danse. Les marchés noirs se développaient de plus en plus chaque jour, et quand on était un adolescent ou un jeune adulte, on ne vivait que dans les boîtes de nuit entre deux cigarettes ou pire.
Moi, j’ai échappé à tout cela. J’étais dans une des rares familles riches du pays. Une chance incroyable, pourraient dire tous ces gens. Moi, je n’y crois pas. J’étais certes, entourée de personnes s’occupant de moi chaque jour, mais aussi opprimée par mes devoirs de « jeune fille de bonne famille ». Je ne devais surtout pas sortir seule, des gens mal intentionnés pourraient me faire de vilaines choses. Et surtout, je devais avoir un métier et une situation convenable. Quel rapport dites-vous ? Eh bien moi, toujours emprisonnée dans ma prison dorée, j’ai eu envie de sortir, et de ne pas avoir une situation aussi convenable que mes parents. Pourquoi ? C’est assez simple. Ce que je voyais était sufisant pour vouloir devenir une personne comme celles qui dansent sur les pistes jusqu’à la fin de leur vie. Mes parents étaient des gens que je jugerais comme raisonnables pour un tel monde. Bien sûr, ils n’étaient pas parfaits, et d’ailleurs je ne sais même pas comment ils ont réussi à réunir autant d’argent, et je préfère ne pas le savoir. Tout cela pour dire que le monde des adultes me paraissait horriblement ennuyeux, et surtout, triste et corrmpu. On me décrivait les activités de « ceux de l’extérieur » avec un air dédaigneux, mais plus on m’en parlait, plus cela me passionnait.
Et un jour, j’ai enfin franchi la porte et je suis partie.
Ce jour-là, il pleuvait.
Nous étions sortis avec mes parents voir un collègue, et par la fenêtre de la limousine, j’ai vu quelqu’un. Un guitariste, il jouait et chantait en même temps, cela m’a passionnée, une simple image comme celle-ci m’a suffi pour vouloir devenir musicienne. J’ai fait des recherches sur internet, j’ai écouté diverses musiques, je trouvais là un nouveau monde. Un monde lumineux, empli de musique. Un monde où l’ennui et la corruption disparaitraît. J’ai découvert un instrument qui me plaisait beaucoup, la basse. C’était l’instrument porteur, il était là pour donner une certaine profondeur aux sons, et était celui qui indiquait le tempo au reste du groupe avec la batterie. J’ai hésité longtemps entre la batterie et la guitare, chacun de ces deux instruments étaient sympathiques, et j’ai trouvé l’intermédiaire, la basse.
Ma voie était toute tracée, je voulais devenir bassiste et vivre de la musique.
J’en ai immédiatement fait part à mes parents. Leur réaction m’a détruite.
« Une musicienne ? Mais enfin, tu es devenue folle ma pauvre enfant ! Tu ne vas pas devenir une saltimbanque. Tu seras comtable, comme ton père, comme moi. »
Et autres phrases du genre. J’étais anéantie, juste à cause de « ma position » et de « mon rang » je ne pouvais pas vivre comme je l’entendais ? Je ne pouvais l’admettre. Je savais mes parents coincés, mais pas à ce point… J’ai donc pris ma décision. Rassemblant quelques affaires, je suis allée voir mes parents, et leur en ai fait part . Habillée d’une robe noire simple, mes longs cheveux bleus foncés attachés en queue de cheval, je leur ai dit :
« Cher parents, je suis consciente de ma position et surtout de la vôtre. J’ai eu des jours heureux en votre compagnie, mais je ne peux continuer à vivre de cette façon. Dehors, les gens vivent comme ils le peuvent, même parfois difficilement, mais cela me paraît être une meilleure vie que celle que j’aurai en restant ici. »
J’ai tourné les talons et suis partie, j’allais ajouter quelque chose pour leur dire au revoir, mais ils rirent, pensant que c’était une blague de ma part, et que j’allais revenir en leur suppliant de me pardonner. Cette réaction de leur part me blessa profondément, je ne sais pas pourquoi. Je me suis retournée, et, les yeux emplis de larmes, ai annoncé :
« Je suis sûre de trouver une famille bien plus accueillante que la vôtre, juste en poussant la porte. Adieu. »
Et cette fois, je suis sortie. J’abandonnais ma vie confortable pour une vie difficile. Je ne revis plus jamais mes parents, qui ne firent d’ailleurs aucun effort pour me retenir ou même me rechercher. J’avais 15 ans.
La lune était belle et le ciel dégagé, mais sur mon visage…
Ce jour-là, il pleuvait.
« Je vais t’apprendre » Mon sac sur le dos, j’ai arpenté les rues. Les immeubles étaient tous plus immenses les uns que les autres et arboraient des gargouilles. Les ruelles étaient sombres et la rue principale sur lauquelle je marchais était sale et pleine d’ordures en tous genres. Et pourtant, il me semblait que j’étais au paradis.
Je me suis dirigée vers une boîte de nuit, et lorsque je suis rentrée, j’ai été assourdie par la musique hard rock jouée à fond. Je ne voyais que des formes floues qui bougeaient au rythme de la musique et les lumières colorées illuminaient la piste et les musiciens.
Et j’ai dansé. Pour la première fois de ma vie. Mon corps était emporté par les crissements des doigts sur les cordes, par les battements du cœur de la musique, symbolisé par le batteur frappant sur sa batterie, et par les sons sourds, presques inexistants de la basse, mais bien présents. Cet instrument que j’entendais plus que les autres, c’était moi, un instrument paraissant inexistant, mais sur qui reposait d’énormes responsabilités. J’ai pleuré à nouveau, mais de joie cette fois, j’avais trouvé ce qui me définissait, j’avais trouvé mon vrai moi. J’avais trouvé ma vie.
Entre deux représentations, je suis allée voir le guitariste du groupe. Un bel homme aux cheveux rouge foncé d’environ dix-sept ans. Il était grand, au moins une tête de plus que moi, ses yeux orangés transpercèrent mon cœur dès le premier regard qu’il me lança.
J’avais peur qu’il ne me rejette, les gens d’ici n’étaient pas très sympathiques. Je lui ai simplement dit que j’aimais beaucoup ce qu’ils faisaient. Nous avons discuté et sympathisé, de fil en aiguille il m’a proposé de me faire rejoindre le groupe. Ne sachant jouer d’aucun instrument, j’ai haussé les épaules. Il m’a pris la main et fait monter sur la scène. Se positionnant derrière moi, il a mis un micro près de ma bouche et une basse entre les mains Il prit mes mains et les posa sur l’instrument.
« Je vais t’apprendre… » a-t-il chuchoté au creux de mon oreille.
Et j’ai joué et chanté. Pour la première fois.
Puis les représentations suivirent. J’ai appris à jouer rapidement et il put prendre sa guitare alors que je l’accompagnai. Nous jouâmes des ballades et des chansons plus rock. Cela a duré 3 ans. Nous étions amoureux l’un de l’autre et rien ne pouvait nous séparer. Nous jouions et vivions de musique, ensemble, toujours. Notre petit groupe prit de l’empleur et devint plus populaire. Nous gagnions un peu d’argent en jouant dans divers clubs et boîtes de nuit. Le bonheur était omni-présent, et j’oubliais ma famille petit à petit, sans aucun remords.
Et la foudre frappa
La représentation était prévue à 21 heures, nous jouions dans un club très connu, le « Dusty House». Mon aimé et moi-même vivions chez lui, dans un petit studio. Rien de bien grandiose pour un groupe aussi connu que le nôtre. Mais nous aimions la simplicité. Nous aimions tous ce que nous faisions, nous mettions de la couleur dans ce monde gris. L’heure arriva, nous échangeâmes un dernier baiser avant de monter sur scène. Je ne pouvais pas imaginer qu’il serait le dernier. Nous jouâme de tout notre cœur, faisant danser toutes ces personnes qui avaient perdu l’envie de travailler et l’espoir d’un monde meilleur. Je chantais d’une voix forte des chansons décrivant nos vies, notre monde dépravé et notre espoir : la musique. L’orage grondait dehors, alors que nous étions bien au chaud, nous criions notre envie de vivre… Et la foudre frappa, rythmant nos chants, nos hurlements de désespoir. Et soudain, j’entendis un cri venant de ma droite. Bref, mais puissant. Un cri de douleur qui ne faisait pas partie du spectacle. Je regardai et vis mon guitariste s’écrouler au sol. Ecarquillant les yeux, je laissai échapper une fausse note de mon instrument et de ma gorge. Tout s’arrêta à cet instant précis. Je me précipitai vers mon aimé. Je voulus le toucher mais je reçus une décharge électrique. Regardant autour de lui, je vis que sa guitare avait un défaut, des fils électriques ressortaient de derrière. Il était trempé de sueur. Electrocuté par sa propre guitare… C’était le comble. Si seulement on avait pris le temps de vérifier le matériel… Il était très vieux et servait depuis toujours. Malgré l’argent que l’on arrivait à se faire, on ne voulut jamais changer nos guitares et basses d’origine, et pour cause, le guitariste l’avait fabriquée lui-même, ce qui pouvait expliquer un tel défaut. Détruite, je sortis de la scène sans rien dire. Les gens s’écartèrent sur mon passage, mais pour tout dire, je n’en avais rien à faire. J’aurais frappé la première personne s’approchant de moi.
J’errai de rue en rue, sans même savoir où j’allais. En fait, je ne m’en souciais guère. Je me suis arrêtée dans l’impasse d’une ruelle. Regardant le mur, je posai ma tête dessus. Et d’un coup, je le frappai, ce mur. Aussi fort que je pouvais. Je pleurai, plus fort que jamais, plus fort que lorsque je quittai mes parents, plus fort que lorsque je découvris la musique. J’avais perdu mon seul et unique amour… Alors, machinalement, je saisis la basse que j’avais gardée sur moi, dans mon dos, et jouai quelques notes. Adossée au mur, la main gauche en sang, je jouai sans sentir la douleur, les premières notes que m’avait appris mon amour. Je jouai longtemps. Presque toute la nuit, et sans m’en rendre compte, je m’endormis.
Lorsque je m’éveillai, je me retrouvai dans un tout autre endroit. J’étais devant une grille. Une énorme grille. Je regardai ma main, la blessure avait disparu. Je réfléchis un instant. J’avais tout perdu. Mon amour, ma famille… Ne me restait que ma basse. Il fallait que je reparte sur de nouvelles bases. Sans savoir ce qui ce cachait derrière, j’ai poussé la grille.
Description Physique : Mary est une jeune femme de taille moyenne, elle mesure un mètre soxante-cinq et pèse cinquante kilos. Elle est généralement habillée d’une robe noire longue qui est soutenue au niveau de ses épaules par de fines bretelles. Mary porte une unique mitaine noire et azurine qui descend jusqu’au dessus de son coude gauche. La jeune femme possède des jambières azurines assorties à sa mitaine. Sa longue chevelure est bleu foncé, il lui arrive de les attacher de diverses façons, mais en général, elle les laisse libres et descendre jusqu’en dessous de ses reins. Ses yeux sont bleu-violacé. Elle reste toujours dans des tenues simples mais voyantes du même type. Mentale : La jeune femme est une personne très ouverte d’esprit, elle a un côté très doux et sensible adorable, mais en possède un côté bien plus « caïd », chose provenant des trois années qu’elle a vécues dans la rue. Elle saura se défendre si quelqu’un l’attaque, et peut réagir violemment lorsqu’on « l’agresse », mais la plupart du temps, c’est une gentille fille qui aime l’art et se faire des amis. Elle s’entend particulièrement bien avec les personnes sachant faire de la musique ou s’exprimant au moyen d’une autre forme d’art. Par contre, lorsque l’orage gronde, elle devient incontrôlable et complètement paniquée. Elle se replie sur elle-même en agrippant ses propres cheveux, les yeux exorbités et les pupilles dilatées. Mary restera dans cet état jusqu’à ce que quelqu’un l’aide à se calmer ou ce que l’orage cesse. Autres Pouvoir : Faire apparaître des lumières colorées lorsqu'elle joue de la basse.
Alter Ego Astral : Un petit Renard blanc se nommant Hurt, mais il n'apparaît presque jamais.
Passion(s) : Toutes les formes d'art, de la musique à la danse en passant par le dessin, elle aime tout les moyens d'expressions.
N'aime pas / Phobie(s) : L'orage lui fait perdre tous ses moyens. Formalités Avez-vous bien lu les règles ? Comment voulez-vous que je place "CODE BON (Periple) " ici ? oO (xD)
Où avez vous trouvé ce forum ? En farfouillant dans l'annuaire des forums
Est ce votre premier perso...
...Dans un forum RP ? Nan !
...Dans ce forum ? Oui !
Dernière édition par Mary le Ven 17 Sep 2010 - 18:41, édité 3 fois |
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Baka Purple Periple Skye 
+  Pseudo Hors-RP : Periple • Age : 32 • Pouvoir : Pâte à modeler • AEA : Un balbuzard pêcheur nommé Aï • Petit(e) ami(e) : Diantre! Quelle question embarrassante! Messages : 2325 Inscrit le : 24/01/2007
| | Sujet: Re: Mary - A life of music ♫ ~ Sam 25 Sep 2010 - 11:07 | |
| Bonjour et bienvenue sur le Pensionnat interdit. Au nom de l'équipe, je vous présente nos sincères excuses pour vous avoir fait tant attendre. Le code est correct, il en est de même pour votre fiche. FICHE ACCEPTEEJe vous invite à aller poster l'entrée de votre personnage, si cela n'est pas déjà fait, évidemment. N'oubliez pas de déclarer votre pouvoir ICI N'hésitez pas à venir vous présenter dans la section suivante: Cliquez Bon séjour parmi nous. Cordialement Periple [Comme d'habitude, celui ou celle qui voudra contester mon jugement devra déverrouiller et poster à la suite de ce message] |
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