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 Les pièces vides sont des mythes. {Zéphyrine}

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Delicate Boy
Emrys Sulwyn
Emrys Sulwyn

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Féminin Pseudo Hors-RP : Nii' / MPDT
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• Age : 31
• Pouvoir : Ressentir les émotions des autres.
• AEA : Bilboquet. L'escargot. Le meilleur. Le plus rose.
• Petit(e) ami(e) : Iwa coeur coeur love ♥ (Mais il n'oublie pas Soren.)

RP en cours : Dysphorie en Euphorie.

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Les pièces vides sont des mythes. {Zéphyrine} _
MessageSujet: Les pièces vides sont des mythes. {Zéphyrine}   Les pièces vides sont des mythes. {Zéphyrine} Icon_minitimeJeu 3 Mar 2011 - 19:24

{Oh oui, un poste.8D}

Emrys avait fait une constatation passionnante, cet après-midi là : il marchait tout le temps. Incroyable, non? Lui-même avait éprouvé un sentiment de satisfaction immense en se disant cela, vraiment. D'un autre côté, difficile de faire autre chose que marcher dans un lieu qui était dix fois plus grand que la maison de son enfance-et toutes les autres dans lesquelles il avait vécu, tiens. Ce qui l'avait amené à une deuxième constatation passionnante : ça devait être la première fois depuis bien longtemps qu'il vivait dans le même endroit autant de temps. Ça lui avait laissé un goût amer, d'en venir à se dire ça. Ça allait faire un moment qu'il était coincé là, et toujours aucune solution en vue. Pire, même : il commençait à s'habituer. Il s'était fait des amis, des ennemis, et s'était vraiment attaché à certaines personnes-qu'il ne comptait pas citer, tant cela devait avoir un côté évident à ses yeux. Comme..., avant. Comme avant, oui. A l'exception près que, bien entendu, il ne pouvait pas sortir. Ses converses produisirent un drôle de bruit en glissant sur le sol froid, sûrement parce qu'il n'avait pas suffisamment levé son pied. Super cool. Cela suffit néanmoins à lui arracher une sorte de demi-sourire, alors qu'il se remettait en marche sans plus chercher d'explications. C'était pas si mal, ici, dans un sens très large-non, parce qu'il tenait toujours à rentrer chez lui, il ne fallait pas croire. Il y avait à manger, un endroit où dormir, un Parc, diverses pièces plus ou moins sympa'. Bon, en revanche, il n'avait pas pu choisir sa chambre ; franchement, quel pensionnat digne de ce nom ne demande pas leur avis aux pensionnaires, hm? M'enfin bref. Il se fichait pas mal des deux autres personnes qui partageaient sa chambre. L'un des deux était assez discret, et tant qu'il ne lui cherchait pas de noises, pas de raison qu'il le déteste. L'autre en revanche le dérangeait plus, puisqu'il semblait très proche de cette chère Toya. Qu'il évitait toujours le plus possible, jusqu'à preuve du contraire. Non pas qu'il ne tenait pas à aller lui dire bonjour avec un grand sourire, hein, simplement qu'il n'avait pas envie qu'elle se souvienne de lui. Sait-on jamais. Si elle était au courant, moins elle le verrait, moins elle penserait à le répéter à tout le monde. On ne peut plus logique.

Un soupir agacé fusa d'entre les lèvres du jeune homme. Qui, pour une fois, ne se sentait pas de particulièrement bonne humeur. Il s'était levé trop tard, avait pris son déjeuner trop tard, et moralité se retrouvait avec un emploi du temps décalé sans savoir que faire de sa journée. Il aurait bien été taper à la porte de l'un ou l'autre de ses amis, mais parait-il qu'ils avaient une vie sociale hormis lui et qu'ils ne l'attendaient pas pour sortir s'occuper. Et retrouver quelqu'un dans ce dédale de couloirs, c'était vachement compliqué. Encore plus quand on n'avait, comme notre cher Anglais, absolument aucun sens de l'orientation, et que même avec une boussole et une carte on avait toujours fait perdre son groupe au collège. Il remit ses écouteurs en place dans ses oreilles, laissant la chanteuse lui poser des questions auxquelles il ne risquait pas de répondre. «Don't try to comprehend that which you'll never comprehend», qu'elle répétait sans cesse, comme une litanie. Ces paroles le plongèrent dans une sorte de rêverie silencieuse, sans que cela ne le force à s'arrêter d'avancer pour autant. Il ne savait même pas où il allait. Il savait juste qu'il y allait, et qu'il espérait croiser quelqu'un avant de ne s'être totalement perdu. Quelqu'un de connu, soit entendu ; il ne se sentait pas d'humeur à aborder un inconnu pour lui demander son chemin. Il finirait bien par tomber sur un couloir familier, de toute façon, il ne fallait rien dramatiser.

Et c'est ce qui arriva quelques secondes plus tard, sous ses yeux éblouis, alors qu'il tournait vers la droite. Ça, il connaissait, il en était sûr! Histoire de vérifier que ses suppositions étaient justifiées, il poussa la porte sur sa droite, ne se souvenant qu'ensuite qu'il y avait une poignée et qu'appuyer dessus serait une grande idée. Ce qu'il fit, et-oh, miracle!-la porte le laissa pénétrer dans la pièce sans opposer plus de résistance. Pour un peu il aurait bien exécuté quelques pas de danse, mais fort heureusement pour lui il sut contenir sa poussée de joie. Qui plus est il avait ce jour là mis un jean délavé, trouvé dans son armoire, qui lui semblait plus serré que d'ordinaire. Et il n'aimait pas ça. D'habitude ses pantalons étaient d'une taille trop large pour lui, histoire d'être sûr d'être tranquille, alors dès que c'était à sa taille, évidemment, ça le stressait. Il avait enfilé un T-Shirt bleu et noir des plus simples, avec le nom de quelqu'obscure groupe britannique inscrit sur le devant, avec un logo représentant une sorte de rose sombre. Rien d'extraordinaire, donc.


Il ferma la porte derrière lui, et sursauta en constatant qu'il n'était pas seul dans la pièce. Ouais, bon, elle appartenait à tout le monde, mais tout de même. Il fallait dire que l'après-midi, en général, peu de pensionnaires s'aventuraient ici. En général. Parce que..., eh bien, il n'y avait pas grand chose à faire. Il retira ses deux écouteurs, éteignant son Mp4, qu'il fourra dans la poche de son Jean, et lança un regard intrigué à l'inconnue-si, c'était une fille, ça se voyait-un sourire qui se voulait désolé accroché sur son visage.

«Hm, excuse. Je pensais pas qu'il y aurait quelqu'un d'autre..., je dérange, peut-être?»

Il jeta un bref coup d'oeil par une des grande fenêtre présente dans la pièce. Gris, gris, pluie. Super temps, encore une fois. Une bonne raison pour rester à l'interieur, tiens.
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Les pièces vides sont des mythes. {Zéphyrine} _
MessageSujet: Re: Les pièces vides sont des mythes. {Zéphyrine}   Les pièces vides sont des mythes. {Zéphyrine} Icon_minitimeDim 10 Avr 2011 - 9:30

[HJ : désolée pour le temps de réponse ><" désolé désolé désolé ! ]

Le temps est une chose bien étrange, qui coule et s’écoule sans s’arrêter, grain de sable passant d’un côté à l’autre, de futur à passé, qu’un instant existe, le présent. Une miette d’existence qui, à peine prête à exister, devient obsolète chargée de souvenir. Etrange. Etrange qu’il restât toujours assez de sable pour que demain arrive, à force, il y en aurait trop à faire passer et hier deviendrait un vrai bordel.

Pour l’hybride, c’était le cas. Un trop plein d’informations, tout ce qu’elle avait découvert, ce qu’elle découvrait à force de temps, chaque chose qui en cachait mille autres à découvrir et à comprendre. Chaque seconde lui en donnait trop et pas assez, trop pour ne pas voir, pas assez comprendre, comprendre le fonctionnement de ce lieu, le sien, celui de son corps et de ses nouvelles facultés, encore d’autres quelle poisse. Comme si tous les gadgets qu’on lui avait implantés à chaque recoin d’organe n’étaient pas suffisants. Tous un ensemble de petits choses métalliques, qui lui bousillait l’esprit tant ils cherchaient à améliorer son corps.
Heureusement, elle était ici. Dans ce pensionnat, à l’abri des regards, toutes les rumeurs qui se créeraient entre ses murs y resteraient et elle pourrait enfin rester avec eux. Elle pouvait s’installer, pour voir des gens, leur parler, être normal, être de métal sans qu’on la fuie. Au du moins pas trop loin. Elle allait pouvoir vivre, rencontrer des gens, et, et…

Doucement.

Les personnes enfermées n’en sont pas craintives des bizarreries du monde. Ils étaient obligés de la tolérer ici, mais pas de l’accepter. Marchant dans les couloirs, Zéphyrine soupira. Il n’y avait personne, rien, ne serait-ce que pour papoter un peu de tout et de rien, surtout de tout et un peu de rien, parce qu’il faut bien quelques temps de silence. Elle ouvrait des portes au hasard, jeta un œil à Sherlock. Le raton laveur semblait attrister de voir l’hybride dans cet état, perdue et esseuler. Il scrouicka doucement quand il s’aperçut qu’elle avait les yeux posés sur lui
.

Scrouiik ? [Ca va ? Qu’est-ce qui ne va pas ?]

Elle lui sourit tendrement et le prit dans ses bras pour le câliner.

Je vais bien, ne t’en fais pas.

D’une main, Zéphy’ ouvrit une nouvelle porte, la salle à manger. La pièce était vide, enfin jusqu’à ce que la semi-robot y pénètre. Silencieusement, elle parcourût les tables reposant là, Sherlock toujours sur son bras, passant les doigts de sa main libre sur les diverses surfaces, pour arriver à une sorte de buffet où étaient rangés les couverts. Elle inclina la tête sur le côté, le raton laveur grimpa et vint se ranger dans son cou à la manière d’une écharpe, le ventre poilu contre sa nuque, sous les cheveux, les pattes sur les épaules. Amusée, Zéphy’ prit un couteau entre deux doigts, le porta au niveau des yeux en le faisant se balancer doucement. Elle savait faire plein de choses avec un couteau…
Elle secoua la tête vivement pour faire sortir les idées de son crâne, idées qu’elle détestait, qu’elle haïssait, qu’elle reniait. Un frisson parcourut son dos, elle gratouilla le museau de Sherlock pour se rassurer. Apaisement qui ne dura pas très longtemps, car soudain la porte s’ouvrit laissant entrer quelqu’un. Dos à celle-ci l’hybride ne vit pas l’identité de l’intrus et distraite comme elle l’avait été, elle n’avait pas su détecter si la présence était amicale ou non. Réflexe, bon ou mauvais, ça dépend pour qui, elle sursauta, genre de sursaut qui peut lui faire toucher le plafond, se retourna et lança le couteau comme une dague en direction de l’inconnu.

Le couteau vint s’écraser, le métal était de trop mauvaise qualité, sur le mur pour retomber au sol à quelques centimètres du jeune homme, mignon en plus. La nouvelle pensionnaire avait tout juste eut le temps de se rendre compte de son erreur de dévier un peu son tir… Ses yeux allant plusieurs fois de l’intrus à sa main, de sa main à l’intrus, elle finit par dire, sur un ton de reproche non dissimulé :


Pourquoi tu as fait ça !

Parler à sa main n’est certes pas gage d’une grande et bonne santé mentale. C’est vrai. Mais le pire commence quand la susnommée main finit par répondre, avec une petite voix. Là, espérer garder un peu de crédibilité est tout bonnement inutile.

Il aurait pu être dangereux !
N’importe quoi, et je ne te demandais pas ton avis !
Ah bon ? Je croyais que…
Tais-toi !


C’était l’instrument censé gouverner ses réflexes qui avait parlé, fait d’un peu de métal dans son bras.
Zéphyrine releva la tête et sourit au jeune homme, gênée, tant et si bien qu’elle hésitait entre fondre en larmes devant le ridicule de la scène ou fuir les remontrances de sa victime accidentelle. Dans ce dilemme, seul son AEA put lui venir en aide.


Scrouscrouick. [ Excuse-toi auprès de lui, c’est la meilleure des choses à faire ]
Euh… D’accord, elle s’adressa à l’autre pensionnaire, je suis désolée, vous m’avez surprise, un mauvais réflexe…

Elle caressa son raton laveur, attendant la sentence…
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MessageSujet: Re: Les pièces vides sont des mythes. {Zéphyrine}   Les pièces vides sont des mythes. {Zéphyrine} Icon_minitimeMer 13 Avr 2011 - 19:26

Un couteau. Mon Dieu. Un couteau. A peine avait-il eu le temps d'élever la voix qu'un couteau venait de passer juste à côté de lui, de le frôler, de l'agresser, de..., il n'arrivait même plus à penser correctement. Ah, il n'était pas mort, au moins? Il aurait bien voulu bouger pour vérifier s'il l'était, mais sans savoir pourquoi il craignait que le couteau ne se relève comme par magie et ne vienne finir ce qu'il avait commencé. Ou ce qu'il avait voulu commencé. Ou ce qu'il avait raté. Il ne savait pas trop comment dire les choses, mais il se comprenait, c'était le principal. Ça, et le fait qu'il soit toujours en vie. Ses yeux bleus étaient grands ouverts, écarquillés ; difficile de faire reprendre à son cœur un rythme normal quand il venait de passer à quelques centimètres d'une blessure plus ou moins grave, voire d'une mort des plus stupide. Ça lui apprendrait à rentrer comme ça, sans prévenir : la prochaine fois il s'annoncerait avant de pénétrer dans la moindre pièce, histoire de ne pas risquer ce genre d'imprévu. S'il criait qu'il allait rentrer et ouvrait doucement la porte, personne ne pourrait être assez surpris par son arrivée pour vouloir le poignarder cruellement.
Quoi qu'à y regarder de plus près, se dit-il en tentant de respirer calmement, incapable de prononcer le moindre mot, la jeune femme n'avait pas l'air particulièrement sadique et dangereuse. Enfin, ça ne voulait rien dire, ici les personnes les plus frêles ou les plus avenantes pouvaient se révéler être des guerriers aguerris. Mieux valait être prudent. Toute prudence, le concernant, s'envola paisiblement quand il la vit s'adresser à sa main, et crut l'entendre parler en retour. Oui, tout s'expliquait : il était cinglé. De toute façon il savait déjà qu'il avait perdu quelques neurones depuis qu'il avait essayé de défoncer cette fichue porte, après être entré. Il en voulait pour preuve qu'il n'arrivait plus à discerner correctement ce qu'il ressentait, et que la plupart du temps il était perdu entre plusieurs émotions contradictoires auxquelles il ne comprenait pas grand chose. Là, par exemple, il se sentait aussi effrayé par ce qui venait de se passer quelques secondes auparavant que gêné par la situation, comme s'il avait fait une erreur ou quelque chose qu'il aurait préféré ne pas faire. Ce qui, il en était persuadé, n'était pas le cas. Ça ne l'empêchait pas d'être embarrassé. Et de fixer la jeune fille aux longs cheveux sombres, qui avait vraisemblablement fini de parler à sa..., main.

«Je suis désolée, vous m’avez surprise, un mauvais réflexe…»

Emrys resta une seconde sans rien dire, puis laissa s'échapper un rire nerveux. Oui, un mauvais réflexe, il voulait bien la croire. Pas du genre de ceux qu'il aurait eu lui-même, pour sûr, mais elle n'avait peut-être pas eu une vie aussi tranquille que lui. Encore, s'il avait vécu dans les bas-quartiers d'une grande ville Anglaise, avec quelques voyous qui trainaient la nuit..., là, savoir jouer du couteau aurait pu être utile. Mais franchement, malgré toutes les villes que lui et son père avaient faites, il n'avait jamais eu besoin de se défendre autrement qu'avec ses poings, de temps à autre. Il ne se décolla pas du mur pour autant, comme si la perspective de se rapprocher voulait aussi dire qu'il allait devoir se mettre en danger à nouveau. Au milieu de ces personnes avec des capacités hors-norme, de ces mercenaires ou il ne savait trop quoi, il faisait bien pâle figure. Lui et tous ceux qui venaient d'une époque similaire à la sienne, où l'on ne se battait que quand on avait un différend, qu'il n'y avait ni guerre ni conflit armé, qu'on ne devait pas se battre pour sa survie. Normal était le mot qui le définissait le mieux, depuis qu'il était arrivé ici.

«Oui, ah..., c'est pas grave, hasarda-t-il avec un sourire aimable, la pensant sincère dans ses excuses. J'ai bien cru que j'allais perdre un œil ou je sais pas quoi, mais sinon, ça va..., enfin, je crois...»

Il baissa les yeux sur le couteau, posé au sol près de lui, et remarqua que dans la bataille il avait laissé tomber son MP4. Il s'accroupit pour l'atrapper, et le mit correctement dans la poche de son jean, cette fois. Puis il releva son regard vers la jeune fille et son petit animal. Enfin, petit, tout était question de point de vue. Comparé à Bilboquet, ce truc était énorme, par exemple. Mais comparé à un gros chien, au hasard, il devait paraître bien chétif. Qu'est-ce que ça pouvait être, d'ailleurs? Un raton? Raton..., raton..., raton..., laveur? C'était ça? Il n'était plus très sûr, là encore. Comme pour l'ami imaginaire de Lana, il ne parvenait pas à comprendre qu'on puisse s'imaginer des animaux dont il se souvenait à peine du nom. Il fit un pas en direction de la jeune fille, hésitant, sans oser la quitter des yeux de peur qu'elle ne soit prise d'un autre réflexe semblable au précédent.

«J'espère que t'as pas trop de réflexe comme ça, ajouta-t-il en riant doucement, à moitié sérieux tout de même cependant, parce que je suis nul pour éviter des couteaux. Sinon, moi c'est Emrys. Je me rapprocherais bien, mais tu comprendras que j'ai un peu peur, maintenant, euhm...»
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MessageSujet: Re: Les pièces vides sont des mythes. {Zéphyrine}   Les pièces vides sont des mythes. {Zéphyrine} Icon_minitime

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