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 Armistice de V. - Affabulatrice

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Armistice de V. - Affabulatrice _
MessageSujet: Armistice de V. - Affabulatrice   Armistice de V. - Affabulatrice Icon_minitimeMer 23 Mar 2011 - 1:23

Personnage

« La question de l'identité est déjà complexe ; mentionnerai-je les informations qui figurent sur ce stupide papier oublié sur mon bureau, ou vous donnerai-je mon nom Vrai, celui que le vent m'a soufflé à l'oreille ? L'état civil me connaît sous le nom gris duquel m'ont affublée mes parents. Je le refuse, m'entendez-vous, je le refuse ! En ces lieux je puis enfin assumer mon identité d'âme. »

Nom : De Versamer
Prénom : Armistice
Age : 19 ans
Date de naissance : 11 novembre 1922

Histoire :

J'ai toujours préféré les histoires à rebours.
On dit que les menteurs sont incapables de réciter leurs inventions dans l'ordre inverse ; c'est faux. Je viens d'entrer dans ce grand hall sombre, de contempler le panneau où sont épinglés quelques feuillets m'informant de ma situation. Je ne réalise pas encore tout à fait, je le crains. Enfermée ici pour toujours ? J'ai du mal avec le concept d'éternité, immuabilité. Tout doit changer, voyons, on ne peut rester la même personne dans le même lieu. Qui ai-je été ? Il est bien temps de se poser la question, de jeter un regard en arrière.

Je suis née trop tôt, ou peut-être trop tard. Quatre ans après la der des ders et juste à temps pour la Grande Boucherie, comme Thomas l'avait surnommée dès 1933. Trop prévoyant, cher Thomas, cela ne t'attira que des ennuis. Les années vingt, les années folles. La musique battait son plein et Paris ne dormait jamais, tous voulaient oublier. Ils voulaient danser, chanter, s'enthousiasmer, rêver. Vivre enfin dans ce pays en occultant leur traumatisme. Marie-Flore L. rencontra Étienne G. dans l'un de ces dancings qui fleurissaient à l'époque. Il fallait danser, danser pour clamer son insouciance et dans l'euphorie liquide, les bras du premier venu étaient bien assez tendres. Elle avait des lèvres rouge cerise, lui un veston un peu triste qui sentait l'homme ayant vu son pesant d'horreur. Elle venait d'une famille bourgeoise qui traitait tout avec la condescendance qu'apporte une fortune mal-acquise. Évidemment, pleine d'idéaux romantiques – quelle mauvaise influence, mademoiselle de Clèves ! - elle n'aspirait qu'à s'affranchir de ses origines et vivre une passion que les siècles futurs mentionneraient avec une immense envie dans la voix. Elle voulait inspirer des poètes, faire se pâmer des dizaines d'adolescents et avoir à ses pieds tous les hommes du monde. Ces désirs extravagants n'étaient pas formulés dans sa délicieuse cervelle vide, mais elle courait les dancings et les cafés, s'encanaillait un peu trop d'après son père. Il faut bien que jeunesse se passe.
La jolie Marie-Flore rêvait, le triste Étienne était revenu tout désillusionné des tranchées. Il n'avait pas la gueule cassée, mais toute l'âme abîmée. Alors il dénonçait dans de pâles tableaux l'horreur qu'il avait côtoyée afin de l'exorciser. Il ne récoltait que peu de succès, mais entre cela et son salaire de gratte-papier, il parvenait à se donner des airs compassés d'artiste. Il manquait néanmoins quelque chose à son idéal de dandy ; il n'avait toujours pas trouvé sa Muse au doux sourire et aux bras blancs, décrite par de mièvres métaphores florales dans quelques-uns de ses sonnets. Mais ce soir-là tout devait changer. Dès qu'il distingua dans la foule le sourire de Marie-Flore, il sut avec certitude qu'elle était la femme – la Muse qu'il avait tant cherché. Il fut ébloui, elle le trouva bohème, satisfaisant son esprit romanesque. Alors ils dansèrent.

Premier regard romantique issu du seizième siècle. Deux esprits aspirant désespérément au rêve s'en contentèrent, mais toute relation qu'ils entreprendraient était déjà vouée au délitement. Il est vrai que certaines circonstances marquent mieux l'esprit et entretiennent l'illusoire passion. Mais l'effleurement des deux êtres, était-il aussi poétique qu'il l'aurait dû ?

Marie-Flore avait accepté avec joie l'invitation d'Étienne à la raccompagner quand les lumières du dancing s'étaient éteintes. Elle avait longuement déambulé en compagnie d'Étienne sur les quais. Ils s'étaient murmuré des serments, des promesses pleines d'idéalisme à la lueur des étoiles, se tenant les mains et se jurant de se revoir.
En effet, ils se revirent tant et si bien qu'à la longue, Marie-Flore se trouva indisposée, comme on disait si poliment. Ses bourgeois de parents craignant les rumeurs exigèrent d'Étienne qu'il lui passe la bague au doigt. Le poète ne se sentait pas prêt à un tel engagement, mais il n'avait pas vraiment le choix. Le mariage fut célébré à la va-vite dans une église de banlieue puis on les installa dans un appartement coquet avec assez d'argent pour fonder leur jolie petite famille. Le scandale était évité.
Six mois plus tard, je naissais. Le couple avait déjà cessé d'essayer de sauver les apparences et faisait chambre à part. Monsieur courait les filles, jeunes de préférence, Madame s'absorbait désormais totalement dans son amour maternel, qui remplaçait avec profit son romantisme exacerbé. J'étais son poupon, qu'elle chouchouta tant qu'elle put jusqu'à ce que j'apprisse à dire non. Je fus ensuite livrée à moi-même dans la bibliothèque familiale où je partageais ma solitude avec des amis imaginaires ramenés de balades bucoliques. Les dimanches étaient mes jours de bonheur ; il me semblait souvent que la semaine aurait du s'y résumer. Nous sortions en famille, avec tante, oncle, cousins et grands-parents. Thomas, mon cousin, avait quatre ans de plus que moi et tirait de sa vie familiale épanouie un tempérament gazouilleur. Il devint vers mes six ans mon meilleur ami, le grand-frère que je n'aurais jamais. Sans lui, sans le violoncelle duquel je commençai à jouer clandestinement – Madame voulait me voir pratiquer le piano comme toutes les jeunes filles de bonne famille – je crois que je n'aurais jamais survécu à mon enfance solitaire.

Évidemment, je ne l'ai pas vécu si bien. Voir des familles heureuses me provoque encore aujourd'hui un douloureux pincement au cœur, surtout lorsque je me remémore les dîners silencieux dans la salle à manger qui paraissait immense. Vite, vite, j'avalais ma soupe et inventais un prétexte pour m'enfermer dans la bibliothèque. A toujours voir les autres mentir, on finit par les imiter, sans réelle nécessité, juste pour mentir. Ma vie s'écoulait donc goutte à goutte, entre de vieux livres et un violoncelle. Il serait hypocrite de dire que la guerre bouleversa mon monde. Mes parents ne cachèrent plus leur mépris l'un de l'autre, au point que mon père prit le maquis, non tant par réelle conviction que pour échapper à sa harpie. Ma mère et moi menâmes dès lors nos existences séparées dans l'appartement familial – pas de haine, juste de l'indifférence.

En janvier 1940, Thomas me fit venir chez lui pour m'annoncer sa décision de rejoindre mon père dans les Cévennes. Sur le moment, sonnée, je ne sus quoi dire. Mon monde entier s'effondrait. Qu'allais-je devenir, comment existerai-je en l'absence de Thomas ? Mais sa décision était prise, je ne pus que l'assurer de mon soutien. Je le quittai sur le coup de dix heures, totalement bouleversée, et c'est ainsi que je fis la rencontre de Peter.

Rencontre qui n'avait rien de romancé, mais laissa dans mon esprit une marque indélébile et provoqua l'un des tournants de ma vie. Je passais dans l'obscurité à côté du Luxembourg. Quelques flocons virevoltaient en cette nuit sinistre, j'avais remonté jusqu'aux yeux le col de mon grand manteau gris. Je pressais le pas sur le boulevard désert, sans jamais lever la tête. J'avais toujours eu de la chance avec le couvre-feu, mais un mauvais pressentiment me tordait l'estomac. Mon rythme cardiaque s'accéléra, tous mes sens se mirent d'accord pour ne transmettre qu'une seule information à mon cerveau affolé : « Danger ! ». Cela ne rata pas ; je heurtai de plein fouet un torse en uniforme.
Il fallait bien que ma chance légendaire m'abandonne un jour. Mais me trouver ce soir face à un Boche, ce n'était plus un simple rappel à l'ordre du hasard. Cela signait mon arrêt de mort.
Je levai lentement les yeux vers son visage – pas trop menaçant, plutôt intrigué. Il semblait assez jeune, même s'il était taillé comme une armoire à glace, et visiblement surpris de croiser une fille seule en ces lieux et circonstances. Profitant de son étonnement, je marmonnai une vague excuse et m'apprêtai à filer sans demander mon reste – ma chance légendaire m'avait jeté dans les bras d'un officier n'ayant visiblement pas tout compris. Malheureusement, il était plutôt vif, et m'attrapa le bras avant que j'aie eu le temps de tourner les talons.
- Tu n'es pas un peu jeune pour traîner dehors à une heure pareille ?, me demanda-t-il sur un ton railleur malgré son fort accent. C'est dangereux pour une jeune fille seule.
- J'ai vingt-six ans, monsieur, mentis-je éhontément.
- Tout comme moi, sourit-il. Tu es une drôle de fille, tu sais ? Tu devrais trembler comme une feuille. Comment t'appelles-tu ?
- Armistice. - Devant son air interloqué, je complétai – Quand les parents manquent d'imagination, ils choisissent sur le calendrier le Saint-Patron du jour de naissance. Après tout, pourquoi pas ?
La conversation se poursuivit ainsi, sur le pavé. J'étais à l'aise avec ma conscience : je ne pactisais pas avec l'ennemi, je m'évitais un séjour au poste ; à l'aise aussi avec mon instinct de survie : il n'aurait que des renseignements faux, il ne pourrait jamais me retrouver même s'il sonnait à toutes les portes du quartier. A l'aise surtout avec moi-même : au jeu du menteur, je ne pouvais que gagner, d'autant plus que j'avais l'avantage du terrain. Nous restâmes ainsi à discuter de tout et de rien, de futilités : le programme du cinéma, le retour du beau temps qui se faisait attendre. Peter se proposa ensuite de me raccompagner ; je déclinai sans le moindre remord.

Je le revis, plusieurs fois. Nous nous croisions "par hasard" à l'emplacement du choc et nous restions toujours au même endroit à échanger sans fin sur le trottoir, sous les regards noirs des passants - même en civil, c'était un Boche. Je n'y voyais aucun mal, pourtant ; Peter était la seule personne, hormis Thomas, avec laquelle j'eus jamais échangé quelques paroles sincères. Cependant, toute cette relation restait basée sur un mensonge qui lui servait de barrière, l'empêchait d'aller plus loin. On avait beau me dire que ma conduite était criminelle, que je sympathisais avec l'occupant, et qu'aurait dit ton père ? Mais quels hypocrites ! Je n'étais pas la seule. Et puis, je crois que mon père aurait compris ce besoin d'échapper à ses horizons étriqués, de parler vraiment et non plus bavasser lorsqu'on rencontrait enfin une personne capable de nous comprendre.

Il dût partir en Russie, je lui glissai dans la main une longue missive le jour de son départ. A quoi bon pleurer ? Je savais bien que tout attachement n'était qu'éphémère. Mais j'avais tout de même cette petite boule à l'estomac - je l'aimais bien, je crois.

Le jour du printemps, je quittai Paris par la gare St-Lazare pour me réfugier chez ma tante, en Bretagne, après une violente dispute avec ma mère - à propos de Peter. Elle ne comprenait pas que parfois, les âmes se répondent, non pas en un coup de foudre idéalisé mais en une même manière de penser. Et peu importe en ces moments-là l'idée de nationalité. Selon elle, je pactisais avec l'ennemi - croyait-elle que je n'avais pas remarqué les bouquets de fleurs offerts par un dénommé Hans ? Moi, je mens, mais je ne suis pas une hypocrite, chère mère. Ses cris de ce soir-là ne firent que raviver ma douleur. Dans les jours qui suivirent, sa vue me devint insupportable, alors je choisis finalement de m'en aller. Paris n'avait plus aucun sens. J'attendais sur le quai, violoncelle dans une main et valise dans l'autre. Je me souviens avoir pensé, en observant le train, que la porte de mon wagon était vraiment étrange. Du bois ? Un heurtoir ? Cela avait un goût de nouveauté, de fantastique. A la fois effrayant et formidablement attirant. Je pris mes affaires, montai dans le train. Je ne comptais pas rentrer avant la fin de la guerre. Je jetai un regard d'adieu sur St-Lazare puis me détournai et découvris l'intérieur du train.
La porte se referma.

La boucle est bouclée. Mon récit est court, elliptique et peuplé de zones d'ombre. Cependant, l'essentiel est dit. L'enfance bourgeoise, tranquille, qui se brisa un soir. Ma vie était en sommeil, et paradoxalement elle se libère le jour où je suis enfermée.

Caractère :

Qui est Armistice ?
Une pauvre fille, un peu trop solitaire, un peu trop protégée. Elle a désappris à parler, et préfère à la compagnie de sa famille celle des livres et de son violoncelle. Un peu sauvage, un peu farouche. Elle est souvent froide, voire cassante, dissimulant ainsi une peur panique de s'attacher à qui que ce soit. Tenir à quelqu'un signifie accepter qu'il puisse la blesser en s'en allant, accepter de ne pas compter pour lui autant qu'il compte pour elle. Alors elle préfère se retrancher derrière une façade parfois mutique et éviter de risquer la blessure. Elle a du mal à accorder sa confiance, même à parler honnêtement et sincèrement avec quelqu'un. Ce n'est pas de la misanthropie, pas de la peur. C'est juste qu'elle n'a pas l'habitude. Une jeune fille grave, silencieuse, qui préfère souvent observer les conversations nombreuses mais qui s'accommode bien d'un entretien privilégié, dans le blanc des yeux. Elle a du mal à se comporter en société, à trouver sa place au milieu d'un groupe et n'en voit souvent pas l'intérêt. Elle ne méprise pas pour autant l'amitié, mais porte très haut ses exigences.
Il faut dire qu'elle exige beaucoup d'elle-même. Intelligente, cultivée, musicienne, elle est surtout une perfectionniste acharnée, qui ne tolère pas l'erreur. Si elle estime avoir raté un morceau, elle le recommencera jusqu'à ce qu'il sonne parfaitement, et malheur à celui qui osera l'interrompre en ce moment-là ! Elle possède une grande culture littéraire qui l'a souvent aidée à lutter contre l'ennui.
Mais l'aspect le plus intéressant de sa personnalité est sans doute sa propension à mentir, perpétuellement, sans raison aucune. Juste pour la beauté du geste. Elle vous dira qu'elle n'est pas une menteuse, mais une affabulatrice ; le menteur change les faits, l'affabulateur les enjolive. Il est donc une sorte de conteur, qui crée du sensationnel avec tous les éléments du quotidien, qui offre un instant de rêve à ceux qui l'entourent. Son mensonge ne fait de mal à personne, bien au contraire.

Physique :
A drôle de nom, physique atypique. De taille moyenne mais extrêmement frêle, Armistice a toujours l'air sur le point de se briser – il se dégage souvent l'impression qu'un courant d'air pourrait la renverser. Des os fins, des os d'oiseau de mer. Des mains longues et fines, aux articulations noueuses à force d'écrire et de manier l'archet. De longues jambes s'achevant sur des chevilles fines, bien dessinées, très fragiles. Un buste un peu cambré, trop maigre, une poitrine menue, des clavicules saillantes. Une taille en sablier et un cou long jusqu'à la disgrâce. Il y a quelque chose de dérangeant qui se dégage de cette silhouette longiligne, qui s'évaporerait presque si l'on n'y prêtait attention. Au-dessus des épaules étroites s'élève un visage triangulaire, aux traits marqués : nez retroussé, yeux ambrés en amandes, taches de rousseur, pommettes saillantes. Ses lèvres rosées font souvent la moue. Une chevelure châtain-roux, qu'elle remonte la plupart du temps en chignon, adoucit par quelques mèches son minois un peu dur, mais très expressif. Car Armistice parle avec tout son corps : mouvement de la main, froncement du sourcil, inclinaison de la tête. Et lorsqu'elle sourit – rarement -, son visage assez banal est comme illuminé depuis l'intérieur.
La jeune fille ne se rend pas réellement compte de cette beauté ; elle trouve sa peau trop pâle, son corps tout entier trop maigre, son visage trop fin. Son apparence pour elle n'est de toute façon pas primordiale, aussi ne la soigne-t-elle pas vraiment et s'habille-t-elle de longues robes sombres lui descendant jusqu'aux chevilles. Très maladroite, elle se cogne partout, empêtre ses vêtements dans les meubles, ce qui contrarie énormément sa volonté de contrôle de soi.

Pouvoir :
Lorsqu'elle touche la main droite d'une personne, celle-ci ressent le besoin de parler et s'exprime de manière plus fluide, plus poétique – non, cela ne confine pas à la logorrhée en alexandrins.
Alter Ego Astral :
Je me souviens de cette libellule si vive, croisée un jour au jardin du Luxembourg. Je m'étais surprise à rêver sur ce petit corps émeraude qui étincelait comme un joyau dans la lumière de juillet. Alors je l'avais réinventée pour illuminer mes heures d'ennui, cloîtrée dans le vieil appartement.
Cela ne faisait qu'un mensonge de plus.

Passion(s) : Affabuler – Lire – Jouer du violoncelle
N'aime pas / Phobie(s) : Qu'on la traite de menteuse – Les sucreries

Pour avoir le personnage :

Avez-vous bien lu les règles ? J'espère que mon passage ne sera point par trop Code Okay (by Kogenta)
Où avez vous trouvé ce forum ? J'avais décroché du rp et puis... Un ami non-inscrit tombé dessus par hasard m'a envoyé le lien en disant que ça pouvait m'intéresser.
Est ce votre premier perso...
♦ ...Dans un forum RP ? Non.
♦ ...Dans ce forum ? Oui.


Dernière édition par Armistice de V. le Mer 23 Mar 2011 - 23:11, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Armistice de V. - Affabulatrice   Armistice de V. - Affabulatrice Icon_minitimeMer 23 Mar 2011 - 11:51

Hoy ! Bienvenue a toi !! (Je te l’ai déjà dit mais bon ^^)

Bien alors comme promis je passe sur ta fiche, voir ce que ca donne.
Dans l’ensemble je n’ai pas grande chose à redire dessus tout me semble très clair, tant dans l’histoire le physique et le caractère. Il y a juste un point que je ne comprends pas. C’est ce que vient faire une bousculade 20 plus tard avec un officier, pendant l’histoire de la rencontre avec les parent, pour revenir sur eux juste après ? Et quel est le sens de se passage par rapport au reste de l’histoire puisque il n’influe pas dessus ?

Le code tu l’as trouvé, je l’ai validé.

Par contre très originale l’entrée du manoir dans un train, c’est la première fois je crois qu’on quelque chose dans ce genre la. Bien trouvé
Donc voila ce que j’ai à dire la dessus, juste que tu rectifie le passage de l’histoire qui est bizarre et ca sera bon pour moi, préviens moi des que ce sera fait ^^.

Bon courage
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MessageSujet: Re: Armistice de V. - Affabulatrice   Armistice de V. - Affabulatrice Icon_minitimeMer 23 Mar 2011 - 18:08

Eh bien je ne sais pas réellement. Je voulais mettre en parallèle la rencontre des parents assez cliché et cette bousculade qui l'a marquée, qui est aussi une façon de mettre en relief certains aspects troublants du caractère de la demoiselle. Montrer aussi qu'elle n'a pas beaucoup vécu, puisqu'elle s'attache ainsi à des évènements futiles. Et surtout, présenter son illogisme, son refus de chronologie dans les évènements, cette façon de toujours tout enjoliver, mettre en relation des évènements à vingt ans de décalage. Il était tard, aussi puis-je rectifier et étoffer cette histoire si tu le désires.

EDIT : quelques passages ont été modifiés.
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MessageSujet: Re: Armistice de V. - Affabulatrice   Armistice de V. - Affabulatrice Icon_minitimeMer 23 Mar 2011 - 22:55

J'ai bien reçu ton mp mais … Euh... je ne vois toujours pas de différence... le passage avec l'officier est toujours mal placé dans l'histoire et ca rend toujours aussi confus. Il faut un minimum de cohésion dans l'ordre chronologique de narration.

J'ai supprimé ton post dans la déclaration des pouvoir, car ta fiche n'est pas encore validée
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MessageSujet: Re: Armistice de V. - Affabulatrice   Armistice de V. - Affabulatrice Icon_minitimeMer 23 Mar 2011 - 23:15

Puisque c'est la déformation de la chronologie qui te posait problème - ne peut-on plus mettre les évènements dans un ordre aléatoire ? - la voilà rétablie de manière plus compréhensible. Je te prie de m'excuser, mes désordres sont souvent difficiles à interpréter - mais tout est en ordre, désormais.
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MessageSujet: Re: Armistice de V. - Affabulatrice   Armistice de V. - Affabulatrice Icon_minitimeMer 23 Mar 2011 - 23:54

La oui c'est ce que j'attendais ^^bah voila tout est en règle désormais, je valide te fiche.

Bienvenue pour l'éternité jeune nouvelle pensionnaire, puisse-tu t'y amuser

Tu peux désormais passé déclarer ton pouvoir de manière officielle et commencé des a présente a rp dans le hall d'entrée, soit en créant ton topic soit en répondant a une arrivée encore sans réponse

Enjoy !
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MessageSujet: Re: Armistice de V. - Affabulatrice   Armistice de V. - Affabulatrice Icon_minitime

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