► Personnage:

Nom : Milgrum
Prénom : Judicaël
Age : 16 ans
Date de naissance : 10 mai

Histoire : L'enfance... aaah l'enfance. Tout le monde passe son temps à la regretter, à dire que c'était une période d'insouciance formidable comme-ci ils avaient effleuré du bout des doigts l’Éden perdu. "Mais quelle belle connerie ouais !" Ils ont quoi tous ces nostalgiques, ils ont passé leurs enfances hors de leur corps ou quoi ? Non vraiment... Je ne comprends pas. C'est peut-être parce que je n'ai pas encore le recul suffisant pour analyser la chose mais je ne pense pas changer d'avis un jour.

Judicaël est un prénom breton, on peut aussi l'orthographier avec un "k" mais peu importe. C'est son père qui, très attaché à ses origines, a tenu à nommer son fils ainsi. La sœur aînée du jeune garçon à quant à elle hérité du prénom Solène. Le patriarche a tenu à ce que ses enfants n’oublient pas d'où ils viennent, la famille ayant été muté dans le sud de la France pour des raisons professionnelles, ce dernier a dû dire au revoir à sa région bien aimé. Judicaël n'en a quant à lui strictement rien à faire, un trou paumé reste un trou paumé, et pour lui qui n'a jamais vécu dans une grande ville, ici ou ailleurs n'a jamais fait la moindre différence. Bon c'est certain, le sud c'est un peu barbant l'été quand il fait trop chaud ! Personne ne semble d'ailleurs partager son opinion, il n'y a qu'à voir tous ces touristes qui se pressent dans la région pour la période estivale. "Pouah ! Rien d'étonnant à cela, les gens sont tous des moutons, il suffit qu'un d'entre eux avance pour que les autres suivent sans se poser de questions."

Mais revenons-en à cette enfance.
On pourrait comparer ma vie à une sorte de patchwork composé de deux parties diamétralement opposées qu'un fou se serait amusé à mixer pour se distraire, changeant ainsi ma personnalité du tout au tout. Comme-ci j'avais été une toute autre personne avant d'être ce que je suis aujourd'hui. Quand je repense à mon enfance, elle m'apparaît aussi lointaine que floue, comme s'il s'agissait de la vie de quelqu'un d'autre. Ça peut paraître bizarre, mais en fait je déteste l'enfant que j'ai été. Plus que ça même, je le méprise Pour moi, je n'étais qu'un être faible, un incapable, un bon à rien qui n'a pas su faire les bons choix aux bons moments. Un vulgaire pion manipulable, sans opinion, incapable d'agir seul, incapable de venir en aide aux gens qui comptaient pour lui. Une charge inutile sur cette Terre, rien de plus, rien de moins..."

Comme vous l'aurez compris, le jeune homme n'a pas vécu son enfance d'une façon très positive. Mais ce n'est qu'à moitié vrai en fait puisque avant le traumatisme qui a bouleversé sa vie, il était un gamin comme les autres, qui aimait jouer au foot avec ses copains à la récré, et qui adorait faire des gâteaux au chocolat avec maman, mais surtout les manger en fait. En réalité, il a bien quelques bons souvenirs de son père l’emmenant faire des balades en mer entre hommes ou de lui et de sa sœur jouant près des salines où travaillait leur père avant de quitter la région. À l'école, tous ses professeurs s'accordaient à dire qu'il était un brin agité mais que c'était un élève plein de bonne volonté... C'est vrai qu'à cette période tout aller bien pour lui, il débordait de cette énergie propre aux enfants, et bien-sûr qu'il avait été heureux mais à quoi bon se souvenir de tout cela ? Le passé c'est le passé, et il n'avait pas envie de terminer sa vie comme son grand-père, à ressasser en boucle ses souvenirs de jeunesse, du temps où il avait servi sous le drapeau français durant la guerre. "Quand j'étais jeune ceci, quand j'étais jeune cela... Non mais on s'en fout quoi !"

Judicaël n'est pas idiot d'ailleurs, il savait bien que la soudaine mutation de son père dans le sud n'avait été qu'un prétexte pour fuir le passé et l'incident tragique s'y rapportant. En effet, la sœur de Judicaël s'est noyée lors d'une de leurs parties de cache-cache. Il n'était encore qu'un gosse à cette époque, les parents leurs avaient défendus d'aller jouer là-bas, prétextant que c'était trop dangereux, mais Solène adorait crapahuter dans le coin. Elle y emmena donc son frère cadet et ils débutèrent leur partie de cache-cache, seulement voilà, après de longues minutes de recherches infructueuse, Judicaël commença à s'inquiéter. Où était donc passé sa sœur ? Il avait beau cherché, s'égosiller longuement, l'appelant avec désespoir, seul le propre écho de sa voix lui revenait dans la nuit qui commençait à engloutir les étangs salés. Il courut alors jusqu'à la maison, aussi vite qu'il le put, jusqu'à en perdre haleine même car il avait l'espoir d'y trouver Solène ayant voulu lui faire une farce. Mais non, personne ne l'attendait. Quand ses parents rentrèrent des commissions, il leur annonça en pleurant qu'il avait perdu Solène dans les marais salants, quelque chose lui indiquait déjà au fond de lui qu'il ne la reverrait plus. Son père partie à sa recherche sans plus de succès. La nuit passa et ce n'est que quelques jours plus tard qu'on retrouva le corps de la petite fille. L'eau avait énormément dégradé le corps et pour des raisons logiques il n'eut donc pas le droit de la revoir. Ses parents furent évidemment inconsolables mais ils voulurent tenir le choc pour leur fils qui lui portait en plus de sa peine, une culpabilité immense. On avait beau lui répéter qu'il n'y était pour rien, que ce genre de choses arrivent malheureusement, rien n'y faisait. Pour lui c'était certain, il l'avait tué. Si il avait mieux cherché, il l'aurait retrouvé, il aurait pu la sauver... il aurait pu le faire ! La nuit d'affreux cauchemars le hantait, Solène le pointait du doigt en l'accusant : "C'est ta faute !!". Dès qu'il le pouvait, il allait sur sa tombe pour s'excuser et pour pleurer. Ses parents lui firent voir tout un tas de psychologues, des médecins, de psychiatres, des radiesthésistes même pour ses douleurs psychiques mais rien ne fut vraiment efficace. Finalement la famille changea de région, et c'est vrai qu'il y eut une petite amélioration. Il ne pleurait plus à présent, ses nuits étaient moins agitées aussi mais le poids de la culpabilité pesait toujours sur ses épaules. Avec le temps, il finit par plus ou moins accepter la réalité mais il faisait surtout bonne figure pour faire plaisir à ses parents.

"Tous ces gens qui me disent ce que je dois penser ou ce que je dois faire pour aller mieux comme ci s'était quelque chose qui pouvait s'enseigner... En réalité ça m'électrise le cerveau et j'aimerais leur dire de se taire mais je ne peux pas à cause de mes parents... Ils s'inquiètent pas mal pour moi, c'est agaçant de les voir flipper pour rien. Si je m'entaille involontairement un peu le doigt, tout de suite ils pensent à la mutilation, c'est lourd. Comment leur faire comprendre que je ne redeviendrais jamais le gosse qu'ils ont connu autrefois ? Ils peuvent bien me faire consulter tous les psy' du monde, ça ne changera rien à cela. Et puis j'ai pas besoin d'un psychologue de bas étages pour me dire que je vais mal et que "ah là là c'est pas bien de broyer du noir" Sérieux ? Enfin du coup au lycée je me suis lié avec quelques personnes, histoire de paraître un peu plus normal. Il y a cette fille notamment, elle est dans ma classe et s'appelle Jordane. C'est un peu la bête noire des autres élèves, leur souffre douleur en gros. Au début je ne voulais pas m'en mêler, ça n'était pas mes affaires après tout mais au bout d'un moment ça m'a vraiment démangé et je n'ai pas pu m'en empêcher. Il faut dire que ça m'a tellement écœuré de voir toutes les filles de la classe s'acharner sur elle, surtout que Jordane fait partie de ces personnes qui n'osent pas répliquer, et qui se laissent faire sans broncher. C'est une proie facile pour les autres. Parfois j'ai envie de la secouer et de lui dire "putain mais réagis"... Enfin ça ne servirait à rien j'imagine. Bref, depuis ce jour elle s'est mise à me coller, se rattachant à moi comme à une bouée de sauvetage. Pourtant même avec moi elle n'est pas très bavarde... bon évidemment ça m'arrange car j'ai horreur des filles qui ne font que piailler, je n'entends que des blablabla incessants quand elles s'adressent à moi, et au moins avec Jordane, je n'ai pas de gros effort à faire. Je ne m'entends pas non plus trop mal avec les élèves du club de musique. La musique permet de communiquer différemment qu'avec des mots, et pour ma part, je préfère cela. Les notes de musiques sont mon remède secret contre la frustration et d'ailleurs je passe le plus clair de mon temps libre dans la salle réservée aux membres du club, au lieu d'aller aux récréations qui sont une perte de temps considérable. Surtout la longue pause entre 12 et 14 heures qui sont les heures de jacasseries par excellence, et la bouche pleine de surcroît car c'est aussi l'heure de la goinfrerie . L'horreur en définitive ! Avec deux garçons du club, on a monté notre groupe, les "Dragons de la zik", vraiment ce nom est trop débile. Je crois que c'est parce que Sacha, le batteur est fan d'un manga qui s'appelle Dragon Ball et "de la zik" bah je n'pense pas qu'il est besoin d'une explication là.. Bref, il a tellement insisté qu'avec Zacharia, le bassiste, on a finit par dire oui. Zacharia lui il voulait qu'on s'appelle les "Justiciers du Rock", ce qui me semble être tout aussi stupide. Mais bon, au final je m'en fous un peu donc je les ai laissé prendre la décision finale. J'ai intégré Jordane dans le groupe en tant que choriste, vu qu'elle ne sait pas jouer d'instrument. Je n'avais pas trop le choix, à chaque fois qu'elle se retrouvait seule, les autres en profitaient pour la harceler.

Cependant, malgré les gros efforts qu'il avait fait, personne ne pouvait nier que Judicaël ne ressemblait en rien au petit garçon joyeux et espiègle qu'il avait été. Physiquement, c'était lui, mais psychologiquement c'était une tout autre personne, une sorte de jumeau maléfique désireux de ne s'attacher à personne et que ça soit à la maison, ou à l'école, il semblait toujours absent, ailleurs, blasé, se désintéressant un peu de tout ce qui l'entourait. Pour cette raison ses parents prirent rendez-vous pour lui avec une psychologue qu'on leur avait recommandé. Alors c'est comme ça qu'il récompensait les efforts qu'il avait entreprit. Leur décision fut difficilement accepté par le jeune homme du coup, il avait décidé qu'il ne parlerait pas à ce thérapeute là. Il aurait beau lui poser des questions, il ne dirait rien. Il en avait plus que marre de remuer le passé, oublier Solène lui était déjà impossible, alors pourquoi le torturer davantage ? La psychologue en question était une vieille femme bizarre, qui semblait elle-même plus folle que lui. Elle lui posait toujours la même question "Veux-tu parler ?" Il répondait que "non". Alors elle sortait un jeu de cartes, et il jouait ainsi à la bataille durant une heure. Cela continua ainsi pendant quelques semaines. Pourtant un jour elle lui posa une question différente, qui lui glaça le sang : "Veux-tu mourir?" lui demanda-t-elle avec son calme habituel. Judicaël ne sut quoi répondre. Quoi... Mourir ? Peut-être... Non ! Non ! "NON! Je ne veux pas mourir !"... Il quitta précipitamment le cabinet de la vieille dame, il avait l'impression qu'une aura malveillante, pleine de haine et de douleur le poursuivait. Il récitait des prières dans sa tête pour que ça cesse, était-il devenu fou ? : "Solène arrête ! Je n'ai jamais voulu ta mort !" Il avait hurlé... mais pourquoi sur sa sœur ? Elle était morte ! Pourquoi devait-il encore tout rapporter à elle ? Encore une fois, elle était morte m*rde... et ce n'était pas de sa faute, on le lui avait déjà assez expliqué. Mais en fait, si ! C'était de sa faute. Oui, non, oui, non... la bataille faisait rage dans sa tête. Complètement perdu dans ses pensées, et sentant toujours la menace planait sur lui il fonça tête baissée dans ce qu'il pensa être une église. Là il serait en sécurité. Il poussa la porte et la referma derrière lui pour l'éternité...


Caractère : "T'as un problème ?" ou "mais je m'en fouuuuut~" sont des phrases qui font légion dans le vocabulaire du jeune homme. Son caractère est, vous vous en doutez bien du coup, peu commode. Ce qu'il le pousse à être aussi hostile envers les autres ? Eh bien lui-même ne saurait l'expliquer... Peut-être leur niaiseries, surtout les filles, certaines en ont à revendre et sont vraiment insupportables ! Enfin rassurez-vous, ça n'est pas pour autant qu'il passera son temps à mépriser tout le monde, il a mieux à faire quand-même et puis de toute façon la majorité des personnes le laisse indifférent. On le trouvera donc plus souvent dans un coin à l'écart, le casque vissé sur ses oreilles, avec un bouquin à la main plutôt qu'à s'adonner au plaisir de jacasser avec ses petites camarades d'infortune... Tss tu parles d'un plaisir d'ailleurs ! Tous ces gens, c'est comme-ci ils devaient à tout prix meubler les silences avec n'importe quelles conversations futiles de peur qu'on se désintéresse d'eux, et au final ils ont simplement peur de se retrouver seuls. Et pour Judicaël, il est hors de question d'avoir à ressentir ce genre de stress... Et puis pour quelles raisons se forcerait-il à se mélanger avec des gens qui ne l'intéressent pas ? C'est vrai qu'il n'a pas une foultitude d'amis mais cela lui convient parfaitement. C'est bien connu, on ne peut pas plaire à tout le monde et Judicaël avec son franc parler, et son air blasé n'est pas, aux premiers abords, une personne qu'on a vraiment envie de côtoyer non plus. Pourtant il peut être un garçon délicieux quand il le veut. Les personnes qui vont au-delà des apparences s'en rendent vite comptent et peuvent alors découvrir un jeune homme sensible, musicien à ses heures perdues... et quelque peu désemparé. Eh oui... on a beau jouer au fort, à celui que rien n'atteint, au fond personne n'est comme ça. On a tous notre part d'ombre, nos cadavres planqués dans les placards, nos petits secrets qu'on essaye de cacher aux autres derrière une carapace de gros dur. C'est ni plus ni moins que du refoulement comme nous l'a enseigné feu Freud (ou un autre, peu importe). Et il a beau l'avoir bien planqué, l'enfant blessé qu'il a été un jour, pleure toujours recroqueviller dans un coin de son esprit...

Physique : C'est un affreux épouvantail... Bon pas vraiment en fait ! Quoique, avec ses cheveux ébouriffés, on en est pas loin mais en réalité il n'est pas si vilain que ça. Si seulement il ne faisait pas cette tête de déterré aussi, ça serait nettement mieux mais enfin, il reste malgré cela un jeune homme tout ce qu'il y a de plus normal. Pour quiconque appréciant les mines renfrognées, les garçons froids et mystérieux, le jeune homme pourrait même avoir un certain charme. Plus sérieusement, il mesure 1m70, il n'est pas donc très grand mais se dit qu'il a encore le temps de poussé. Il n'a pas non plus une carrure très imposante, le sport n'étant pas une activité qui lui plaise des masses. Il ne boude pas quelques brasses dans la piscine quand le temps s'y prête, ou une partie de badminton de temps à autre, mais le sport à tendance à l'ennuyer en général. Pour ce qui est de son visage, ses cheveux de jais le dissimulent en partie, cependant on distingue tout de même ses deux jolis orbites en amendes, et ses iris sombre assortis à sa chevelure. Son regard reste agréable, bien qu'on puisse y lire une lassitude un peu trop prononcé pour un garçon de cet âge-là. Ce qu'on peut lire sur son visage ? Hum, pas grand-chose. Judicaël ne montre pas ses émotions facilement, et chez lui le maître mot est "contrôle de soi" ("un rond est un carré, un carré est un rond", "relativise" ouais enfin vous voyez, ce genre de choses débiles). Il est donc assez impassible voir même stoïque, pourtant le jeune homme dispose d'un sourire chaleureux, et s'y tenter que vous l’aperceviez un jour en train de sourire, vous pourriez vous-même vous en rendre compte... En ce qui concerne ses tenues vestimentaires, elles sont en générale soignées et élaborées avec soin. Il déteste en effet avoir l'air négligé, d'autant plus qu'il ne se désintéresse pas de la mode. Aussi faut-il noté que son casque quitte rarement son cou, quand il n'est pas scotché à ses esgourdes bien-sûr.

Pouvoir : Se métamorphoser en corbeau.

Alter Ego Astral : Un lapin nain nommé Alaska en raison de son pelage blanc.

Passion(s) : En le voyant, on penserait à tout sauf à ça mais Judicaël aime bien chanter. Il appréciait déjà cette activité-là quand il était enfant, durant les cours de musique à l'école, il était toujours le premier à lever la main pour participer, et il était également toujours surexcité à l'approche du spectacle de fin d'année car toute l'école devait apprendre une chanson et la chanter sur scène pour le final. C'est vrai qu'il avait été un petit bonhomme plein de vie autrefois, mais tout le monde change. Tout est en constante évolution, les choses, les gens... d'ailleurs, lui était tellement différent à présent. La tragédie qui avait chamboulé sa vie lui avait fait tirer un trait sur beaucoup de choses qui le reliaient trop directement au passé, mais le chant resta malgré tout une exception. Il a une voix éraillée plutôt agréable à entendre, et il fredonne parfois quelques airs en grattant sur sa guitare, ou sans elle aussi. Il a appris à en jouer tout seul, en regardant quelques tutoriels sur internet, il n'est donc pas spécialement doué, mais il n'a pas pour vocation de devenir musicien après tout. Dans ces moments-là il apprécie (passez-moi l'expression) qu'on lui "foute la paix". Armé de son casque audio et de son mp3, il écoute pas mal de musiques. Côté nourriture il craque complètement pour le chocolat, il ne peut pas s'en passer et s'il entame une tablette, il ne reste en général plus rien de cette douce friandise au bout de quelques minutes... éwè

N'aime pas / Phobie(s) : Tous les rongeurs en général, il en a une peur phobique et il a d'ailleurs honte de l'avouer. Autant dire tout de suite qu'il n'a jamais pu blairer Mickey Mouse quand il était petit. En grandissant il a réussi à modérer sa peur mais il ne faudrait quand même pas lui mettre un rat ou une souris sous le nez. Ses parents lui avaient d'ailleurs fait cadeau d'Alaska pour estomper cette phobie sous les conseils d'un psychologue... pas très concluant comme essai. Cette peur vient évidemment de son enfance, du temps où il rendait visite à son grand-père avec Solène et ses parents. Le vieil homme avait connu la guerre, et n'avait malheureusement plus toute sa tête mais il ne rechignait jamais à raconter des anecdotes au sujet de la guerre à ses petits enfants. Il y en a une qui marqua Judicaël plus que les autres, au sujet des rats qui affamés se faufilaient dans les tranchées pour grignoter le nez et les oreilles des soldats dans leur sommeil. Petit, il avait fait de nombreux cauchemars mettant en scène des rats assoiffés de sang, guettant sous le lit le moment propice pour venir lui grignoter le minois. Sa peur c'est ensuite étendu aux rongeurs en général.
Plus classiquement, il n'aime pas les jacasseries inutiles, les gens qui parlent pour ne rien dire l'agacent vraiment, en tout cas ce n'est pas dans son tempérament d'agir de la sorte, voilà pourquoi il est sans doute un peu solitaire et en général il déteste être contraint ou forcer à quelque chose. Mais qui aime ça de toute façon ?

► Informations complémentaires :

Avez-vous bien lu les règles ? Touuuut est tellement code Okay (by Kogenta) , fragile comme l'amouuuûûr (si on vous le demande j'ai jamais chanter c'truc...)
Où avez vous trouvé ce forum ? Par une personne de ma famille qui s'était inscrite sur ce forum, et qui n'y est plus d'ailleurs. Mais c'était il y a longtemps... genre deux ans, je ne faisais même pas de RP à l'époque xD En fait, je ne sais même pas s'il s'agit vraiment du même forum, mais je ne pense pas qu'il y ait 100 "pensionnat interdit". Et c'est le nom du forum qui m'avait marqué, je l'ai cherché, et je suis tombé directement ici. Voilà pour l'anecdote. ( J'ai essayé d'être précis comme cela a été demandé xD)
Est ce votre premier perso...
♦ ...Dans un forum RP ? No, Sir !
♦ ...Dans ce forum ? Yes, Sir !

Yosh ! Bienvenue !

Tu es parent avec un de nos anciens membres : Arriverais-tu à savoir qui il était sur le forum histoire de se faire un ordre d’idées ? =) En attendant j’ai décortiqué ta fiche, et en voici mon compte rendu.

L’histoire : Personnellement je la trouve assez simple, et j’ai plus l’impression qu’elle est plus centrée sur Solaine Judicaël. Bon ca c’est coutume dans les fiches, le petit Fère ou la petite sœur à tendance à disparaitre de façon tragique. Ce qu’il serait bien de retravailler serait qu’on en apprenne un peu plus sur lui par exemple les journées scolaire (tu parle souvent de sa sociabilité donc faudrait détailler un peu plus le avant et après traumatisme) et je pense qu’il doit avoir des amis non ?

Caractère et physique : R.A.S, ca tout est bon !

Le Pouvoir : Il y en avait un autre qui t’intéressait ? Ils ne sont pas forcément « Pris et bloqués » tu peux disposer d’un déjà existant mais pour cela il me faut l’accord du joueur concerné pour pouvoir l’utiliser. Tu me dis et je fais le nécessaire auprès de la personne !

Les gouts : Alors les gouts, il faut qu’il y ait quand même une référence avec eux pour la cohérence avec l’histoire, il faut que tu en parles un moment. La phobie des rongeurs peut être expliquée dans l’histoire par exemple pour l’étoffer, de même que les goûts.

Voilà en gros les petites remarques que j’avais à te faire, maintenant c’est à toi de jouer et d’y retravailler, préviens-moi dès que ce sera fini et je repasserais te voir. Pour toutes questions, n’hésite pas non plus, je suis à ta disposition !

Bon courage !

Hello !

Merci de l'attention porté à ma fiche. C'est vrai que l'histoire n'est pas très originale xD Bon bah les fiches ce n'est pas mon point fort on va dire mais j'ai fais de mon mieux pour corriger ce qui n'allait pas (c'est ce qui apparaît en souligné).

Pour le pouvoir je vais encore y réfléchir un peu aujourd'hui, je n'aimerai pas avoir le même qu'un autre personnage (le relou éwè). Mais au cas où je te préviens ici.

Ah et sinon j'ai essayé de parler un peu à ma cousine pour savoir si elle se rappelait de son ancien compte et beh non, et comme elle avait ses contrôles pour la fac, ou je ne sais trop quoi, elle n'est pas très coopérative. Pour ma part deux ans ça fait trop loin pour ma petite mémoire, sorry.

EDIT : Pour le pouvoir, finalement j'aimerais changer. Mais est-il possible de se métamorphoser en animal ? En fait j'aimerais que Judicaël puisse se changer en volatile. (ça lui irait bien je pense, il pourrait observer les autres de son perchoir sans se faire voir, mais surtout il pourrait voler. C'est la classe quand-même.)

J’ai juste le temps de repasser sur ta fiche avant ton départ. ^^

Tu as bien pris en comprit et prit en compte les remarques que je t’ai fait, et tu as fait au mieux dans tes modifications. Cela donne un résultat bien plus long et bien meilleur de la première version de ta fiche donc je dirai que tu as bien travaillé. Bien avant de valider ta fiche je te laisse éditer les soulignés.

Le pouvoir par contre il faudrait que tu cibles sur un animal en particulier

OY, merci !!!

J'ai ciblé mon pouvoir sur le corbeau, et j'ai enlevé le soulignement bah du coup je pense que j'ai tout bon ! =)

effectivement, c'est bon je te valide donc

Bienvenue dans PI !

tu peux des maintenant commencer à rp dans l'entrée soit en créant ton topic soit en répondant un qui n'a pas encore de réponse.

N'oublie pas de passer déclarer ton pouvoir dans la partie concernée.

Enjoy !