Je marchais, je n'étais pas d'humeur. J'avais perdue ma partie de Mario et j'avais mal.
La douleur dans ma jambe ne partais pas, même si j'essayais de l'ignorer. La douleur, n'existe que si on y croit, mais j'étais obliger d'y croire. J'avais mal.
Nous n'entendions que les bruits de mes pas, aucun murmure, aucun bruit.
Il devait être 00h00. Je me baladais dans ma longue robe rouge foncée, mes cheveux tombant sur mon dos. Je n'étais pas en pyjama, je voulais cacher ma blessure. Elle était hideuse , horrible à voir. Elle saignait encore un peux, mais pour autant la croûte ne s'était pas formé. Il ne restait qu'on trou rouge dans ma peau horrible à voir.
Je n'avais pas envie d'aller dans ma chambre, je m'y sentais enfermés, je ne suis pas claustrophobes. Mais l'air y était irrespirable, nous étions 4 dans une si petite pièce. Je ne supporte pas sa.Je errais donc à la recherche d'un endroit ou me poser.
Une porte, foncée et mal traitée. Elle était sale et poussiéreuse. Elle m'attirait. Personne n y allait sûrement. J'avais envie d y entrer. Comme si à l'intérieur un aimant y était. Je me sentais comme réconforté, et interrogé par cette pièce.
Je marchais donc vers elle. Mes pas étaient lourd, je ne faisait qu'être attirer.
Une fois entrée, j'ais descendu l'escalier, m'appuyant contre la porte. Fais quelques pas en avant. Je me suis ensuite reposé, m'appuyant contre un mur.
Je ne voyais plus la sortie, et sa ne me dérangeait pas plus que sa.

Voila maintenant quelques jours que j'étais enfermé en ces lieux, prisonnier à jamais d'après ce que j'avais compris avec aucuns liens avec l'extérieur super... Mais j'avais aussi apprit deux autres choses surprenante: j'avais retrouvé Gothique ancienne ami d'enfance et animal de compagnie. Une l'autre chose m'était encore inconnu: mon pouvoir au sein du pensionnat, ce qui encore plus m'intriguait. Machinalement et comme régulièrement je déambulai dans le pensionnaire en découverte et à la recherche surement d'une échappatoire.


Comme toujours elle était là avec moi, et je devais avouer qu'en son absence j'étais inquiet et pas rassurer, je lui répondis quelque chose rapidement marmonnant un truc du genre "Occupes-toi de tes affaires..." et comme toujours elle vint se faufiler entre mes jambes pour essayer de me faire trébucher afin de m'embêter pour me faire râler. Elle venait de réussir, je perdis équilibre m'appuya contre un mur et manqua de tomber à cause d'une porte ouverte je me retenus et me tourna vers ma compagnonne:


Je déteste tellement quand elle s'amuse à faire ça, m'ignorer et changer de sujet. Quel sale caractère mais malgré ça je la suivis m'allumant machinalement une cigarette et m'éclairant à l'aide mon zippo. Où elle m'emmenait encore... J'avançais encore un peu avant d'apercevoir quelqu'un, une jeune fille. J'étais surpris croiser quelqu'un ici on serait cru dans les entrailles de la terre. Elle là assise par terre et blesser à la jambe.

-Excuse-moi... Tu vas bien?

"- J'ais mal c'est tout. Assis toi."

Je me suis mise à le regarder longuement. Tant que je suis ici autant en profiter.
Pour l'instant je ne me sentais pas capable de monter l'escalier pour sortir, tout avait l'air d'une cave, j'ais descendu des escaliers, et vu que tout est sale ...
Une rumeur court comme quoi, on pouvait sortir du Pensionnat, il fallait trouver des lettres pour cela. Je l'ais entendu par les coloc' de ma chambre. Si je le trouvais, sa serait bien vu que je serais en quelque sorte. Dans l'histoire du Pensionnat, sa serait vraiment bien.
"- Tu dois être nouveau, alors je vais t'expliquer. Une rumeur court comme quoi il y a un moyen de sortir d'ici. La seule manière de partir est caché un peux partout dans les salles du Pensionnat. Si tu veux on va chercher. C'est un peux comme, une enquête. Bon, on commence par quoi ? "

Sa avait l'air amusant. Pour moi, mais faut dire que j'ais des goûts bizarres... Je restais là assise, attendant une réponse quelconque de sa part.

Je m’exécutais sans vraiment savoir pourquoi je l'écoutai, je m'installa à côté d'elle dans ce vieille escalier qui grinçait et craquait sous nos pas. Gothique elle était assise devant nous ne nous quittant pas des yeux. Je n'avais encore jamais croiser cette jeune fille au sein du pensionnat, elle devait être plus jeune que moi brune et à vrai dire plutôt mignonne. Je croisa son regard pendant un moment, sans rien dire nous nous regardions. Puis elle brisa le silence:


Elle avait tout bon j'étais nouveau ici... Malheureusement j'aurais préféré n'être rien ici, ne même pas avoir franchit cette grand porte dont l'image était gravée dans ma mémoire. Je l'écoutai buvant chacune de ces paroles, cette jeune fille m'attirait. D'habitude je l'aurai laissé ici seul et je ne l'aurai même pas écouter mais là c'était différent elle et ce qu'elle me disait me captiver. Quant elle posa sa question je ne lui répondit pas immédiatement, je reporta mon regard sur sa blessure, j'arracha alors un bout de tissus de ma longue veste et m'approcha d'elle.


Je vins noué le bout de tissus autour de sa blessure évitant ainsi quelle s'aggrave ou s'infecte. Puis mon regard se posa de nouveau sur son visage et je lui répondit:

Il été vraiment gentil...
C'était gentil de sa part d'avoir essayer de faire quelque chose pour moi...
Je fermais les yeux, la douleur s'estompait un peux. Je l’ignorais, j'essayais de l'ignorer cette douleur...
"-Fouillons un peux ici. Ensuite allons à la dernière salle, j'ais l'impression quelle cache quelque chose. On commence par quoi ?"
Je disais sa en me relevant, même si j'avais encore mal mieux valait bouger que rester là toute ma vie. J'ais descendue assez lentement les escaliers, je prenais mon temps. Une fois en bas, je me suis mise à regarder aux alentours.
"- Tu veux qu'on commence par quoi ? On devrait fouiller un peu par là avant d'aller à la salle du fond. Y a tellement de choses ... On doit être les premier ici, je ne vois pas grand chose de fouiller. Tout à l'air sale et poussiéreux..."
J'avais raison, la poussière était encore là sur les bouteilles, les étagères. Je n'avais pas tellement envie de me salir, mais si je ovulais m'amuser, fallait y mettre la main à la pâte. J'hésitais un peux, il y avait de tellement chose qu'on pouvait faire. Toute façon je lui avais demander son avis, autant qu'il choisisse.


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Holly descend l'escalier doucement u_u

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Je la regardai doucement se lever ayant l'air soulagé par rapport à sa blessure, je souri dans le noir me levant à mon tour. Je la suivi dans l'escalier l'écoutant parler et lui répondant par un simple "Oui". Une fois en bas je regardai autour de moi, nous étions dans une cave assez spacieuse composer de plusieurs pièce, dans celle où nous nous trouvions il n'y avait que des bouteilles et des étagères. Je m'approcha de l'une d'elle la prit dans main et l'éclaira à la lumière de la flamme de mon zippo. Elle avait raison nous étions les premiers à venir ici depuis longtemps, la bouteille entre mes mains avait déjà pas mal d'années, à vrai dire je l'aurai bien bu... Ni une ni deux je brisai le goulot sur le bords d'une étagère gâchant même un peu de vin. Je souri à la jeune fille:


Joignant le geste à la parole j'avala une gorgée de rouge me blessant au passage sur l'avant-bras gauche à cause d'un éclat de verre qui venait de me couper. Quel boulet! Bref ce n'était rien du tout, je laissais ainsi la blessure sans y apporter d'importance. Je continuai faire le tour de la pièce jetant mon regard par si par là sans rien vraiment remarquer avant de revenir vers elle non loin de la porte de la pièce suivante: la dernière.


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Oui j'ai honte ù.ù Je bois dans une bouteille!

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Qu'est ce qu'il a ? Il était en train de s’énerver contre moi ou bien ?
" - Ne me cherche pas. Je suis peut-être une fille mais sa change rien au fait que je peux me battre. "

Depuis quand je dit sa, moi ? Je me serais mise à fuir normalement. C'est peut-être la douleur qui me rend folle.
Je me suis demandée si une transformation pourrait pas évaporer ma douleur... Même si ça risque d'être impossible. De toute facon, j'étais seule à poursuivre les recherches. Sa me donnait pas envie qu'il fasse quoi que ce soit. En esperant qu'il ne se comporte pas comme un boulet, j'ai bien raison de ne pas boire.
"- Viens , allons voir ce qui y a au fond de la pièce. Tu touche à rien en chemin. "

Je l'ais pousser pour qu'il marche devant moi. En dirait que je le prenais comme un bouclier, chose puérile. Sa ne m'amuserait pas du tout. Si je le poussais c'est pour qu'il avance. Tout simplement. J'ais pousser doucement la porte, en laissant le jeune homme entrer en premier.


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Holly entre dans la pièce au fond du couloir

Les choses venaient de se précipiter et je venais seulement de reprendre mes esprits lorsque la porte vint se fermer devant mon visage. Après avoir bu j'avais manqué de me battre avec la jeune fille m'énervant à moitié... Quel con je n'aurais pas du boire je sais très bien comment à chaque fois sa fait. Je passais un certain temps à tambouriner contre la porte criant qu'on l'ouvre mais rien à faire la situation ne changea pas. Il se retrouvait maintenant seul avec Gothique dans cette pièce où il ne pouvait faire qu'une seule chose chercher:


J'agiter mon bras blesser dans tout les sens en parlant et je me rendis compte qu'il y avait un soucis quand j'eus du mal à le redescendre. En levant les yeux vers mon poignet je pus voir en sortir une lame rouge donc l'intérieur était semblable à la membrane d'une aile de libellule, elle devait faire une quinzaine de centimètres, je la regardais en descendant mon bras avant de regarder Gothique:


Je ne lui répondis même pas et puis soudain je repensa à la jeune fille et me mit à fouiller partout dans la pièce. Retournant tout, fessant tomber plusieurs bouteilles, je fouillais entre les étagères, sur les étagères partout! Je mettais tout simplement la pièce sans dessus-dessous espérant trouver quelque chose qui pourrait m'aider.

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- Fouiller les bibelots de la 1ère pièce

Je suis sidérés, c'est donc sa être proche de la famille du pensionnat ? Ils savent tous de nous ? Jusqu'au moindre détail.... J'en ai bien peur ... Vu ce que j'ais entendue à l'intérieur, avec l’Assassin. Ils nous connaissent, depuis qu'ils ont décider de nous faire entrés ici...
Je suis sortie maussade, le dos courbé, quand j'ais aperçue le jeune homme en train de fouiller et trouver un papier.
"- Ouuii, on en a un ! Si c'est pas super sa ! T'es tout pardonné , oh lala ! Je voulais tellement qu'on en trouve un. Si sa c'est pas de la chance ! Allez lève toi ! "
Je me sentais joyeuse, finalement il suffit d'ignorer le souvenir de cette salle maudite et tout allait bien ! Je l'ais pris par la main, sans me rendre compte du geste, et je l'ais lever. J'étais, vraiment, vraiment, toute excitée. C'est surtout grâce à lui, mais bon, on est coéquipier. J'ais le droit un peux de gloire.
Ce n'est pas que je sois égoïste, c'est juste que je l'ais supporter bourré et que j'ais du aussi supporter l’Assassin. Fallait savoir ce qui y avait sur le papier aussi. Je me suis mise à le lire, doucement mot par mot. Comme si y avait une phrase secrète...
Au moins on sait, qu'il a découvert une véranda. C'est déjà bien, mais il nous aide pas trop au sujet de sortir du pensionnat...
"- Bon coéquipier ! Partons au QG ! Tu sais, le GGL ? Ha, oui, tu es nouveaux. Je vais te montrer le chemin. Franchement, merci, vraiment merci ! "

Je luis ais pris la main et je l'ais emmener jusqu'au GGL..

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( Sujet Fini, pour moi )

Sans même avoir le temps de réagir je me laissais prendre par la main et me releva la suivant. Je ne savais pas où elle m'emmenait mais je la suivis j'avais maintenant confiance en elle. J'aurais voulu lui demander ce qu'il c'était passer l'autre pièce, ce qu'elle avait vu ou entendu mais surtout si elle allait bien. Je n'en aurai pas l’occasion pour le moment.
Nous remontons ensemble les escaliers retournant enfin vers la lumière et l'extérieur, et nous ne repartons pas les mains vides... Nous avons avec nous la preuve que nous avions enfin retrouver l'espoir de pouvoir sortir d'ici et retrouver une vraie vie et nos proches. Après la lecture de ce fragment une nouvelle idée trottait dans ma tête et j'étais sur qu'elle la partagerait.


Je n'eus pas le temps de terminer ma phrase que je la stoppa net une fois en haut de l'escalier de nouveau dans le couloir. Je m'étais habitué à l'obscurité de la cave et je me retrouvai maintenant éblouis par la lumière dont j'essaya de me protéger avec ma main. Sans même marquer un temps d'arrêt la jeune fille m'emmena à travers les couloirs du pensionnat jusqu'à ce fameux QG...

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C'est fini pour moi aussi ^^