AccueilAccueil  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le deal à ne pas rater :
Cartes Pokémon 151 : où trouver le coffret Collection Alakazam-ex ?
Voir le deal

Partagez | 
 

 May Ellenton

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Invité
Invité


+

May Ellenton _
MessageSujet: May Ellenton   May Ellenton Icon_minitimeSam 8 Oct 2011 - 22:07



* May Ellenton


*nom – Ellenton
*prénom – May
*age – 21
*né(e) le – 21 novembre
?

Pouvoir
  Contrôle de la mémoire sensorielle d'une personne par le regard. Cela a pour effet de faire resurgir psychiquement une douleur physique ou émotionnelle vécue.
Contraintes : Demande beaucoup de concentration et d'énergie.
Effet secondaire : le lien créé avec l'autre personne étant très instable et intime, mal contrôlé et en cas d'instabilité émotionnelle, l'effet peut se retourner contre elle-même.

Alter Ego Astral
 Marcel, un jeune bulldog anglais blanc et caramel à la mâchoire proéminente qui lui donne un aspect de gros bébé boudeur.
Dans l'univers intérieur de May, certains personnages qu'elle créait petite fille étaient inspirés de proches. Marcel était un vieil oncle comique et attachant que May appréciait particulièrement.
Il est capable de parler et de se faire comprendre. Il s'exprime d'une voix grave et ronchonne. D'un humour graveleux et persifleur, il peut choquer ou blaser. Maladroit et spontané, il a le don de se mettre dans les situations les plus ridicules et improbables. Il bave beaucoup, parle beaucoup et, au contraire de May, cherche toujours le contact sociale (surtout avec les jeunes filles en fleur.)
Il obéit au doigt et à l’œil aux ordres muets de May. Ils ont un code précis qu'ils sont les seuls à connaître.

Passions
  Une passion secrète pour le chant et les instruments à vent l'anime sans qu'elle n'ai jamais osé y toucher.
Elle adore Shakespeare depuis qu'elle a assisté à une représentation de «Mcbeth» à ses 17 ans.

N'aime pas / Phobies
  Une haine pour les brocolis.
Déteste le bruit en général, les personnes qui parlent forts, la musique trop criarde, tout ce qui provoque un son régulier et agaçant.



« Pour leurrer le monde, ressemble au monde ; ressemble à l'innocente fleur, mais sois le serpent qu'elle cache.
William Shakespeare »


Histoire


XVI siècle, ère élisabéthaine, Londres.

May est venue au monde sans cris, sans pleurs.
Elle est sortie, simplement, doucement, sans déchirer sa mère, sans lui arracher de larmes. Malgré les fessées de l'accoucheuse et les secousses du père, aucun son ne sortit de sa bouche. Longtemps on l'a crue muette.
Longtemps on l'a cru retardée. « Spéciale » préférait dire la mère. Parce qu'elle ne parlait pas, parce qu'elle ne pleurait pas, ne riait pas, ne s'attachait pas, ne semblait pas comprendre. Ses grands yeux clairs semblaient comme voilés, pas tout à fait là, pas tout à fait perdus, comme tournés vers l'intérieur.
"Comme ce monde est laid..."

Jusqu'au jour où sa voix résonne, pour la première fois.
A l'âge de cinq ans, à table, naturellement, comme si elle avait toujours parlé, comme si c'était normal, elle ouvre la bouche pour dire
"non
D'un petit geste de la main, elle refuse de manger un plat qu'elle n'aime pas. La mère, surprise, crie au miracle, en avertit le père. Il s'en réjouit, un peu, sans excès, avant de lui fourrer un brocolis de force dans la bouche. Ces premiers mots étaient un refus et on lui cloua le bec sans autre forme de procès.
"Comme ce monde est dur..."
Alors May ne refuse plus jamais rien, et s'en retourne s'isoler à l'intérieur d'elle-même, revenant parfois à la réalité pour dire quelques mots, souvent détachés, parfois désagréables ou décousus et s'en retourner aussitôt.

Issue de la bourgeoisie Londonienne,
Elle passe son enfance dans la riche demeure familiale, où pendant quinze années interminables, professeurs et éducateurs se succèdent pour l'instruire, la civiliser, la former à son futur statut de femme. May apprend les bonnes manières, à s'occuper d'un mari, entretenir une maison, élever un enfant, se tenir en société. On lui apprend à se contrôler, à faire semblant, à obéir. On lui apprend surtout à se taire.
"Comme ce monde est chiant..."
Mais entre deux cours forts ennuyeux, elle peut souffler grâce aux visites de son Oncle. L'oncle Marcel, un grand homme sec aux grosses moustaches. Un ancien soldat brisé par la guerre qui, malgré ses septante années bien vécues, se tient toujours fièrement debout. Marcel possède une grosse fortune qu'il dépense sans compter depuis des années au poker et dans les courses de chevaux. L'humour ravageur et son œil coquin choquait souvent les assemblées hautaines mais ravit la petite May qui idolâtre cet homme qui n'a peur de rien. Comme lui, elle rêve de refuser avec autant d'habilité et d'adresse, comme lui, elle rêve pouvoir fumer des cigarettes avec autant d'élégance, comme lui, elle rêve de respirer la joie de vivre et d'avoir une répartie ravageuse, comme lui, elle rêve de parier une fortune et de tout perdre et puis d'en rire aux éclats comme si tout allait bien. Mais elle est une fille, et les filles n'ont pas le droit d'être drôle, n'ont pas le droit de répondre, n'ont pas le droit d'être fière et encore moins de fumer et de parier.
"Comme ce monde est injuste..."

A seize ans son père lui présente son futur mari.
Un vieil aristocrate lubrique qui transpire l'alcool et empeste le cigare. Elle ne le trouve ni laid, ni puant, ni dégouttant. Elle n'a pas d'avis. Ou elle préfère ne pas le donner. Elle baisse la tête comme on lui a appris et elle se tait.
"Eeerk..."
Ils se marient après deux rencontres fugaces. La nuit de noce est un véritable calvaire pour la jeune femme. Mais elle se tait. Pendant une année, May se comporte comme une épouse modèle, obéissante et réponds aux attentes de tous, comblant d'honneur son mari et sa famille. Et May accomplit ses taches, robotisées, totalement détachées de toutes émotions, d'envies ou d’intérêts, sans éclat, sans âme. Son mari la sort dans la grande société, l'emmène partout à son bras, dans les bals et les réunions d'affaires. Fière de sa jolie plante parfaite, il expose sa poupée silencieuse au monde comme un trophée avec orgueil et arrogance. Depuis le mariage, l'Oncle Marcel ne lui rends plus visite, un jour il ne donne plus de nouvelles, il disparait simplement de la surface de la terre. Certains disent qu'il est mort, d'autre qu'il à fuit le pays, coursé par ses créanciers. May espère qu'il débarque un jour avec fracas dans sa demeure et la fasse rire, comme autrefois.

C'est lors d'un repas d'affaires que May rencontre Nora.
Nora, juste Nora, une courtisane magnifique et ravagée par le temps et les coups durs. Par pitié ou pour se divertir, elle se met en tête de décoincer la petite May, de la sortir de son univers et d'en faire une femme de poigne et de poids. May reconnait en Nora cette étincelle qui animait son Oncle Marcel alors elle s'attache, elle la suit. Elle a 17 ans lorsqu'elle découvre les plaisirs qui lui avaient depuis toujours été interdits. Les secrets de la nuit, les sorties, les rencontres éphémères, la musique et les grosses chanteuses d'opéra, le théâtre et les pièces de Shakespeare, le poker, la cigarette.
"Comme ce monde là est lumineux, exaltant!"
Le sentiment de liberté que lui offre Nora lui est devenu indispensable. Enfin, elle se sentait vivre.
Quelques semaines d'exaltation et d'épanouissement mais à quel prix...
Rapidement, des rumeurs amères et injurieuses arrivent jusqu'au oreilles du mari qui, humilié de la réputation de son épouse, l'enferme dans la résidence, l'interdisant d'en sortir et de revoir Nora. Cadenassée à nouveau entre de riches murs, l'oisillon recommence à errer dans sa prison dorée, comme un fantôme, perdue dans ses pensées.

Elle tombe enceinte à l'âge de 19 ans.
D'une ravissante petite fille que son mari nomma Éléonore en souvenir de sa vieille mère cancéreuse. May s'occupe de cet enfant comme d'un étranger. Elle n'en pense rien, n'éprouve rien. Elle est incapable d'aimer son propre enfant. Seulement un sentiment d'exaspération qui grandit un peu chaque jour. Elle ne supporte pas les cris du nourrisson, ses pleurs, se sent incapable de combler ses besoins et ses attentes.
"Comme ce monde est bruyant!"

Un an plus tard, les affaires vont au plus mal.
Le mari croule sous les dettes, ne trouve d'autre solution que de noyer ses soucis dans l'alcool. Il s'écroule un soir au pieds de May qui le regarde mourir sans réagir alors qu'il lui hurle de lui venir en aide.
"Tu l'auras mérité, pourriture..."
Elle ferme à clefs toutes les portes de la demeure et se taire chez elle comme un petit animal fou, totalement effrayée. Elle ne sait pas quoi faire du cadavre, elle ne sait pas quoi faire d'elle-même, elle n'a jamais appris.
Deux semaines durant May reste près du corps de son mari qui commence à sentir la pourriture. Les mouches envahissent la maison de toute part. Mais May reste cloitrée chez elle, la folie et la perdition la gagnant doucement.
Il y a juste assez de nourriture et de vin dans les réserves du viel aristocrate pour trois semaines et au bout d'un mois, la faim commence à déchirer les entrailles de la jeune femme, elle se met en quêtes de restes de nourriture. Elle monte à l'étage et tombe sur la chambre d’Éléonore. Elle se souvient alors qu'elle avait un enfant. Pourquoi avait elle oublié?
"Comment ai-je pu oublier..."
Une brève lueur d'inquiétude traverse son visage et elle se précipite vers Éléonore. Le corps de la gamine n'est pas là. "Où est-elle? Où est mon enfant?" Elle cherche avec ardeur et frénésie dans toute la maison, dans le parc qui leur sert de jardin, dans le petit lac derrière la maison, dans les placards, partout sans le moindre résultats. Éléonore n'est pas dans la maison...
May, pour la première fois de sa vie, à l'estomac retourné. Pour la première fois de sa vie, elle ne contrôle plus rien. Elle ignore si c'est la douleur de la faim ou des remords. Cette douleur aiguë la brûle si fort qu'elle laisse un long cri rauque et déchirant s'échapper de sa gorge, vomissant les années de restrictions, de frustrations et de colère amassées depuis sa naissance, May, ce jour là, affirme son premier cris.

Et c'est un être perdu, difforme et déboussolé qui vint au monde.
Affolée, la gorge serrée de nouvelles émotions, elle court à travers les couloirs de la résidence, elle tâtonne les portes qu'elle avaient scellées, rampe sur les tapis aux couleurs criardes pour finalement tomber dans l'inconscience. Un long cauchemar peuplés de souvenirs...
"Quel monstre suis-je devenue..."

Elle se réveille quelque jours plus tard.
Le corps vidé et fatigué, les souvenirs et les pensées embrouillées. Elle se relève difficilement. "Où suis-je..."
Elle est toujours dans son couloir mais une atmosphère lourde et étouffante la terrasse. Il fait étrangement sombre et les murs semblent plus étroits.
Elle se lève doucement. Elle avance dans le couloir, ses pas rythmés des froissements de sa robe et des os et des muscles encore endoloris. Elle s'accroche aux poignées pour ne pas tomber. Quand une porte s'ouvre doucement face à elle, sans un bruit. May traverse rapidement le couloir en titubant, entre sans hésitation et la porte se referme, silencieusement, sur la jeune femme...

"Éléonore, mon Éléonore".

Caractère

Elle semble inapte à la vie sociale et hermétiques aux liens affectifs mais ne vous y tromper pas.
L'on voit dans son maintient qu'elle est issue d'une famille de la haute bourgeoisie.
Elle n'est pas timide ni effarouchée et ne respire pas la joie de vivre. Elle donne l'impression d'être là sans en être pleinement consciente, elle se veut effacée malgré sa présence parfois oppressante. Son regard insistant et perçant peut mettre mal à l'aise. Elle réponds parfois à côté.
Elle ne sait pas s'y prendre avec les enfants malgré qu'elle apprécie leur présence. Franche et crue, avec un penchant pour l'humour noir, elle ne cherche néanmoins jamais à provoquer par plaisir ou méchanceté.
Ses gestes sont mesurés, élégants, nets et précis. Elle ne bouge uniquement ce qui est nécessaire, quand c'est nécessaire. Lorsqu'elle est dans une situation qui provoque une tension et lui demande une grande maîtrise, ses doigts de la main droite tremblent et se contorsionnent. Elle parle peu et n'aime pas ça. Elle se sent très vite agressée et en danger lorsqu'elle se trouve au milieu d'une foule. Elle se révèle difficilement et peu s'avérer très instable. Lorsque l'on prends le temps de creuser son épaisse carapace de givre, elle se révèle n'être qu'une fillette déboussolée et morte de trouille qui n'a besoin que d'être rassurée. Elle s'attache parfois sans raisons évidentes à une personne, un animal ou à un objet. Elle aime les arts et apprécie en entendre parler. Elle aime la compagnie des personnes qui ont de l'humour et respire une certaine joie de vivre. Elle cherche, inconsciemment, à ressembler à son Oncle ou a Nora. Elle aspire à devenir une femme forte et indépendante, capable de s'affirmer et qui n'a peur de rien.

Physique

Fine et pâlichonne, elle ne fait plus d'une quarantaine de kilos pour un mètre soixante.
Ses deux grands yeux bleu-verts sont encadrés de longues et épaisses boucles rousses qu'elle aiment coiffer de fines pinces et bijoux argentés.
Elle porte une longue robe rouge souple ornée de lacets et brodée avec soin, légèrement salie et devenue un peu trop grande. Hissée sur deux petits souliers rouges à talons hauts, elle se tient droite, pleine de prestance.
A première vue, elle transpire la froideur et l'antipathie. D'une beauté froide et envoutante, son visage reste la plupart du temps de marbre, ses traits bougent rarement sauf quand elle sourit. Seul son regard est capable d'exprimer des émotions avec intensité. Sa voix est légèrement cassée et cristalline. Parfois emprunte de mimiques ou expressions enfantines, elle peut inspirer de la tendresse.




Informations Hors-RP

Avez-vous bien lu les règles ? Code Okay (by Kogenta)
Où avez vous trouvé ce forum ? sur google
Est ce votre premier perso...
♦ ...Dans un forum RP ? non
♦ ...Dans ce forum ? oui


Dernière édition par May Ellenton le Dim 9 Oct 2011 - 14:55, édité 5 fois
Revenir en haut Aller en bas
Shikigami
byakko no Kogenta
byakko no Kogenta

+
Masculin Pseudo Hors-RP : Kog
-
May Ellenton Empty0 / 1000 / 100May Ellenton Empty

• Pouvoir : Incantations de combat
• Petit(e) ami(e) : C'est quoi ?

Messages : 704
Inscrit le : 20/05/2009

May Ellenton _
MessageSujet: Re: May Ellenton   May Ellenton Icon_minitimeDim 9 Oct 2011 - 0:43

Hey bienvenue !

Alors j'ai dans un premier temps validé le code et dans un deuxième temps passé ta fiche au peingne fin ^^

Histoire :
Alors … euh, je serais tenté de dire qu’il faut avoir les trippes bien accrochées, parce que c’est très sordide et un peu choquant quand même… peut être certains détails un peu trop poussé quand même. Sinon euh… le niveau est très bon. Je ne pensais pas qu’on pouvait se marier si tôt.

Physique :
Okay ^^

Caractère :
À encore les écrit elle pourrait presque passer pour une coquille vide. Bon après avoir lu l’histoire il était évident que le caractère celui-ci.

Pouvoir :
Bon alors le pouvoir, il faudrait focaliser soit savoir si elle peut faire revivre une douleur physique où une douleur émotionnelle car ce sont deux choses différentes. Et à savoir que la seconde partie est déjà utilisée par le personnage Clarence. Donc dans un premier temps cible soit l’un ou l’autre, en fonction de ta réponse je te dirais quoi faire.

Aea :
Alors d’après la description l’Aea a l’air d’avoir un rôle important, mais toute fois tu n’en parles pas dans l’histoire c’est étrange

Gouts :
Concernant le contenu il n’y a pas de soucis, mais toutes passions et tout dégout ont des origines mais là comme précédemment (à part peut être les brocolis) tu n’en fait pas mention dans l’histoire


Bon très bonne fiche dans l’ensemble avec un bon niveau, justes quelques petites incohérences, avec des précisions bien que minimes soit elle a ajouté dans l’histoire concernant les points cités ou tu ne fais pas mention mais qui a l’air d’êtres important. Après reste à cibler sur le domaine d’action du pouvoir. Je reste à disposition si tu as des questions, surtout n’hésite pas, je te laisse revenir vers moi dès que tout sera ok

courage !
Revenir en haut Aller en bas
Pensionnaire
Kurogane
Kurogane

+
Masculin Pseudo Hors-RP : DD (DarkD)
-
May Ellenton Empty0 / 1000 / 100May Ellenton Empty

• Age : 30
• Pouvoir : fuuuusiiiiooon !
• AEA : Un faucon rouge
• Petit(e) ami(e) : Pourquoi se contenter de ça alors qu'on a carrément un harem à sa disposition ?

Messages : 2068
Inscrit le : 08/02/2007

May Ellenton _
MessageSujet: Re: May Ellenton   May Ellenton Icon_minitimeDim 9 Oct 2011 - 8:06

Bonjour et bienvenue !
Désolé de m'incruster mais personnellement je ne pense pas que le pouvoir ait besoin d'être modifié. Il y a des contraintes, donc je ne vois pas vraiment de soucis. Certes ça semble être deux pouvoirs différents dit comme ça, mais quand on a quelqu'un qui a les 6 sens surdéveloppés on lui dit pas qu'il a six pouvoirs. ^^
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité


+

May Ellenton _
MessageSujet: Re: May Ellenton   May Ellenton Icon_minitimeDim 9 Oct 2011 - 12:02

Bonjour et merci de vos réponses rapides :):

Alors, concernant certains détails choquant de l'histoire, je peux comprendre oui, je les allègerais donc sans soucis.
Pour ce qui est de l'aea, je m'en occupe aussi.
Et si, malheureusement les femmes à cette époque (et même encore aujourd'hui dans certains pays) sont mariées très jeunes, voir même parfois dés l'âge de 13/14 ans No

Par contre pour les passions et phobies, il y a des liens à faire avec l'histoire, parfois subtiles je l'admets, mais ils sont bien là.
Par exemple pour les mouches, ce sera forcément modifié car cela résultait de la vision de l'enfant sous les œufs.
Sa passion pour les arts vient de ses sorties avec Nora...etc

Concernant le pouvoir, il faut savoir que la mémoire sensorielle est une mémoire liée aux 5 sens. En partant du principe que tout le vécu d'une personne s'inscrit dans son corps (comme les traumatismes, ou les mécanismes de défenses,etc qui modifient avec les années la démarche, une façon de se tenir particulière ou une crispation dans le visage par exemple), en faisant appel aux souvenirs, on peut en général comprendre certains blocages du corps qui induisent des blocages émotionnelles. Bref, c'est un peu technique ce que je raconte mais si tu n'es toujours pas convaincu, je peux rajouter une contrainte ou supprimer une partie comme tu le suggérais.

Si vous relevez des incohérences après mes modifications, n'hésitez pas à les relever, si petites soient elles. Quand on a le nez dessus, ça ne saute pas toujours aux yeux Razz
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité


+

May Ellenton _
MessageSujet: Re: May Ellenton   May Ellenton Icon_minitimeDim 9 Oct 2011 - 13:20

Voilà, les modifications sont faites !
Revenir en haut Aller en bas
Shikigami
byakko no Kogenta
byakko no Kogenta

+
Masculin Pseudo Hors-RP : Kog
-
May Ellenton Empty0 / 1000 / 100May Ellenton Empty

• Pouvoir : Incantations de combat
• Petit(e) ami(e) : C'est quoi ?

Messages : 704
Inscrit le : 20/05/2009

May Ellenton _
MessageSujet: Re: May Ellenton   May Ellenton Icon_minitimeDim 9 Oct 2011 - 17:00

Effectivement vu sous cet angle la le pouvoir semble plus clair, je vois ce que voulais dire DD, donc okay laissons le tel quel.

Ey bien tout cela me semble bien retravaillé c’est parfait tout concorde, d’ailleurs j’ai décelé qu’une petite touche de Belgique dans cette fiche.

Bien donc ce cas je te valide

Bienvenu au PI !

Tu peux désormais commencer à rp dans le hall d’entrée, en créant ton sujet ou en répondant à un sans réponse.
N’oublie pas d’aller déclarer ton pouvoir dans la section concernée, et si le cœur t’en dit de passe dans le topic de présentation en zone Hors-Rp afin de nous en dire un peu plus sur toi.

Enjoy !
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé


+

May Ellenton _
MessageSujet: Re: May Ellenton   May Ellenton Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 

May Ellenton

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
xX || Pensionnat Interdit || Xx :: .:: À lire avant tout ! ::. :: Registre :: Fiches des disparus-
Sauter vers: