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 Laissez-moi partir [Libre]

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Laissez-moi partir [Libre] _
MessageSujet: Laissez-moi partir [Libre]   Laissez-moi partir [Libre] Icon_minitimeLun 18 Juin 2012 - 20:22


Et l'on serpente à la surface, 
Négligeable bagatelle, 
Candidate forcée à l'hécatombe perpétuelle, 
Ouvrons la chasse aux mécréants qui n'ont jamais goûté l'opium, 
Sensé faire de nous des hommes et des mères pour nos enfants, 
Alors on brûle on brûle on brûle, on accumule autant d'émules, 
De peuple en peuple, de ville en ville, pendant que les théocrates dealent. 



Il faisait beau ce jour-là. Le soleil brillait dans le ciel, malgré quelques nuages. Une brise fraiche parcourait les rues, chatouillait les feuilles des arbres et finissait sa danse tranquille dans les cheveux d'Aly.
Les oiseaux chantaient leur chant mélodieux, mais la jeune fille ne les entendait pas. Elle préférait écouter sa musique et lire le dernier livre que sa mère lui avait offert.

On était samedi. Cela faisait deux mois que l'accident était passé. Les souvenirs étaient toujours à vif, ainsi que la douleur, tant moral que physique. Elle pleurait tous les soirs, ou pendant la nuit.
Maman...

L'astre solaire caressait la peau pâle de l'adolescente, pendant que les mots s'inscrivaient dans sa tête et que les paroles se mélangeaient à ceux-ci. Quelquefois, elle chantait un texte en mélangeant des paroles, aussi naturellement que l'on aurait pu croire que la jeune fille connaissait une parole par coeur, mais son fou rire à la fin nous apprenez que ce n'était qu'invention.

Je n'sais plus qui je suis
Je tremble un peu, je prie
On m'aimait bien dans ma rue
On me juge dans mon pays


Comme avant... Non, rien ne sera plus jamais comme avant, mais ne t'inquiètes pas Maman, je continuerais ma vie, même si vous me manquez cruellement. Je t'aime. Je vous aime.
Aly adressait souvent, une de ses prières muettes à sa mère, rarement à son père qu'elle n'avait pas connu.
Elle soupira et referma son livre, en le marquant d'une brindille d'herbe.$
Elle avait réussi à s'asseoir à terre, entourée de cette herbe verdoyante, de fleurs et adossé contre un bel arbre. Son fauteuil était juste à côté d'elle.
La musique déferlait toujours dans ses oreilles.


Comme à son habitude, elle joua avec sa chaîne, son regard dans le vide. Elle sourie, seule.
Jasmine était allée à son cours de danse et Alice n'était pas en France. Quant à Etienne, il était parti aussi. Aly avait hâte de le revoir.

Quelques gouttes de pluies arrivèrent et s'écrasèrent dans le creux de sa poitrine. Elle releva la tête. Une autre s'écrasa près de son oeil.
Il va falloir que je rentre...

Aly s'aida de l'arbre et se remit debout. Ses jambes tremblèrent. Elle ne dû faire qu'un pas pour se laisser tomber dans son fauteuil. Avant de lire, elle avait travaillé longtemps et maintenant, une fatigue c'était emparé de ses membres inférieurs.
Elle laissa le livre sur ses genoux et se mit en chemin, tranquillement. Ce n'était pas deux trois gouttes qui lui feraient peur !

Mais bientôt, ces quelques gouttes se transformèrent en une terrible averse. Aly était trop loin de la Résidence pour s'y réfugier, mais tenta quand même d'y parvenir. Elle protégea le livre en le glissant sous son T-shirt

ça limitera les dégâts

Aly regarda le paysage qui changeait. Les oiseaux avait cessé de chanter. La nuit avait couvert la ville de son manteau noir et un orage grondait au loin.
La brise était devenue un vent violent qui soufflait, criait, hurlait des mots, des songes incompréhensibles.
Des gens courraient sous la pluie. Des amoureux mains dans les mains, une mère de famille criant sur ses enfants pour qu'ils se dépêchent de rentrer au lieu de jouer dans les flaques d'eaux, un papy qui essayait de s'abriter dans un magasin, feignant le besoin urgent d'acheter une nouvelle paire de talons pour sa femme.
Il y avait aussi elle, essayant tant bien que mal d'avancer, malgré ses mains glissantes et le froid qui pénétrait dans sa peau.
Elle baissa le torse pour essayer de protéger son livre et son MP3, rangeait sagement dans la poche de son jean.
Quelle idiote, si je n'avais pas oublié mon portable, Pascal aurait pu venir me chercher !


Elle n'avait pas non plus d'argent pour prendre le bus. Il fallait donc continuer.
Au détour d'une rue, la jeune fille se trompa de direction et continua sa route, sans remarquer son erreur
Ce ne fut que quand elle se retrouva devant une grande bâtisse qu'elle vit qu'elle n'avait pas pris le bon chemin. Elle n'était pas de nature tête en l'air pourtant.
La pluie ne cessait de déferlait. Il y eu bientôt des ruisseaux qui traversaient la ville pour finir leur course dans la rivière.
Elle resta quelques instants devant le portail rouillé qui fermait la propriété, puis y rentra, en poussant tant bien que mal ce portail.

Arrivée à la porte, elle toqua trois fois puis attendit.
Rien. Le silence.

Elle frappa de nouveau
Aucun son. Aucun bruit.

Elle finit par entrée dans l'étrange bâtiment, aux allures presque terrifiante, sordide et froid, sans doute à cause de l'orage et de la soudaine obscurité.
Quel ne fut pas sa surprise en découvrant un immense escalier et des tableaux, un peu partout. Une décoration soignée, de grandes fenêtres.

La porte se referma lentement, dans un grincement sonore et lugubre. Le dernier bruit qu'entendit Aly fut un « clac ».
Elle ne se retourna pas pour autant. Son casque était posé sur ses épaules, la musique éteinte.
-Il y a quelqu'un ? demanda-t-elle.
Personne ne lui répondit.
L'adolescente continua d'avancer, laissant derrière elle une trace plus foncée. La trace de deux roues.
Elle ne fit guère attention et en moins d'une poignée de seconde, se retrouva à terre, sonnée, son fauteuil s'étant renversé sur le côté, elle-même sur le dos, se frottant la tête.
Il y avait un plis dans le tapis, qu'elle n'avait pas vu et qui avait provoqué sa chute.
Si quelqu'un me trouve comme ça...
Elle se dépêcha et rampa jusqu'à son fauteuil, essayant de se rassoir...
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Sectaire iguano-stellairienne
Petra Traümer
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MessageSujet: Re: Laissez-moi partir [Libre]   Laissez-moi partir [Libre] Icon_minitimeDim 1 Juil 2012 - 13:43

"Oui, maître, oui maître, mes cheveux redeviennent roses."

L'Iguane lui a demandé de reprendre son ancienne couleur de cheveux. Petra ne sait pas pourquoi ; elle a juste obéi, heureuse de suivre les commandements du maître ; et aussi de retrouver sa chevelure couleur bonbon. Durant des mois, ça lui avait manqué. Tant de chagrins dans sa vie, Morgan, la Mort, sa disparition dans les infernaux couloirs du pensionnat. Et puis un jour, il était arrivé dans sa vie, le Grand Iguane Stellaire. Il lui a parlé, il lui a révélé la vérité.
Malheureusement, personne d'autre ne l'entend, et encore moins de monde la croit lorsqu'elle explique que c'est le créateur du monde qui lui parle. Il ne parle qu'à elle seule, il en a fait sa messagère pour apporter aux hommes la révélation. Elle est son élue. La Valkyrie Fuchsia de l'Iguane Stellaire.
C'est pour lui qu'elle se tortille dans sa salle de bain pour rendre à ses cheveux blonds fades leur lustre rose d'antan, celui qu'ils avaient avant l'accident. C'est aussi pour lui que hier, elle a déchiré les vêtements d'une fille dans la salle à manger en hurlant "L'IGUANE VIENDRA TOUS NOUS SAUVER !" Et la semaine dernière, elle a dressé un grand bûcher dans le parc du château, où elle a tenté de brûler les alter ego astraux qui lui tombaient sous la main. C'est grande joie. L'Iguane est son guide, l'Iguane est son phare. Grâce à lui, elle reprend une place honorable dans le pensionnat.
Durant des mois, tout le monde la croyait morte. On pensait qu'elle avait fait une overdose d'alcool dans la cave ou qu'elle s'était noyée dans le lac au cours d'une beuverie. Ils ignoraient qu'on avait voulu la tuer. Et ça, même aujourd'hui, maintenant que la terreur qui régnait dans sa vie a cessé, elle ne le dit pas. Ce qu'elle dit, c'est la révélation de l'Iguane. Les gens n'aiment toujours pas ça ; elle les entend marmonner : "C'est Petra ? Elle est encore là ?" "Elle a l'air encore plus timbrée qu'avant." "Ça faisait au moins un an que je ne l'avais pas vu. Elle ne s'est pas arrangée."
Elle rinçe une dernière fois ses cheveux pour enlever tous les restes de shampoing. Roses. C'est fait. Roses, à nouveau, comme avant. Elle les sèche, elle s'habille d'une mini-robe en cuir noir et de tons violettes à fleurs jaunes et elle part dans les corridors du manoir.


"Que dois-je faire, Grand Iguane Stellaire ?"


Elle attend quelques minutes devant sa chambre en fixant le plafond. Elle semble écouter une réponse. Puis, en murmurant à voix haute ses pensées, elle arpente les couloirs. Elle suit les indications de la voix qui résonne dans sa tête.

"D'accord, grand maître. J'y vais. Je suis maintenant dans les escaliers. Ça y est, je suis devant la cuisine. J'y entre. J'en ressors ? D'accord. Voilà la bibliothèque. J'y entre. Quel livre dois-je prendre ? Dans quel rayonnage se trouve-t-il ? Je vais voir. Je l'ai trouvé. Tchoupy à l'école des sumos, c'est bien lui."

Les autres pensionnaires effarés présent dans la pièce peuvent alors l'admirer en train d'arracher une à une les pages du dit-bouquin et de les enfourner dans sa bouche. Elle les mâche bruyamment, elle les avale. En une quinzaine de minutes, elle a mangé le livre.

"Ce livre ne vous portera plus atteinte, maître. Où dois-je aller maintenant ? J'y vais de ce pas. Je pousse la porte. Je suis de nouveau dans un couloir. Oui, je vois la porte dont vous voulez parler, excusez-moi de mon erreur. D'accord. Je l'ai trouvé, maître. J'entre."

Et la voilà dans le hall d'entrée. Il y a une miss par terre, allongée sur le côté, visiblement perturbée. Une sorte de chaise avec des roues est renversée près d'elle.

"Dois-je lui parler, maître ?"

Petra n'obtient pas de réponse. Lorsque le maître se tait, c'est qu'il lui laisse le choix. Ou qu'il est occupé à faire cuisiner des fajitas au concombre, ça lui arrive parfois. Dans l'absence d'ordre, la jeune demoiselle aux cheveux roses décide de s'approcher de l'inconnue.
Les yeux grandement écarquillés, elle plie ses genoux pour se mettre à sa hauteur et lui hurle :


"EST-CE QUE TOI AUSSI TU ENTENDS L'IGUANE STELLAIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIRE ?"
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MessageSujet: Re: Laissez-moi partir [Libre]   Laissez-moi partir [Libre] Icon_minitimeDim 1 Juil 2012 - 18:22



Aly avait essayé de ramper jusqu'à son fauteuil. Stupide fauteuil. Stupide jambes. Stupide accident. Stupide vie. Putain ! Qu'est ce qu'elle en avait marre de ramper tel un verre de terre. Elle ne pouvait pas ce mettre debout, elle n'avait plus de force.

Alors, elle resta là, à regarder autour d'elle. Personne n'arrivait, et elle avait une mauvaise intuition, comme un arrière goût négatif. Il allait ce passer quelque chose...

Au bout d'un petit moment, elle entendit des pas dans l'escalier, mais ne pouvait pas se retourner. Elle sourit bêtement et essaya de paraître naturelle.
Bientôt, une jeune fille à la chevelure rose bonbon se pencha vers elle. Avec sa robe en cuir, elle ne laissa pas indifférente la jeune fille, ce qui la fit rougir.

Maintenant une fille arrive à te faire rougir...
Elle ouvrit la bouche, quand cette jeune fille la coupa, et hurla dans son oreille :
EST-CE QUE TOI AUSSI TU ENTENDS L'IGUANE STELLAIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIRE ?

L'adolescente fit une grimace affreuse. Elle avait mal à l'oreille maintenant.
Et c'était quoi cette histoire d'Iguane Stellaire ? Elle était tombé dans une maison de repos ? Un hôpital psychiatrique ?
Elle se recula vivement et passa sa main dans ses cheveux
Euh... Non, je devrais ? Est-ce que vous pouvez m'aider à me remettre dans mon fauteuil ? Et où je suis ? Je ne voulais pas vous déranger

Tu es là pour toujours. Une éternité t'attends. Mais tu ne seras pas toute seule. Bientôt, je viendrais, et quelque chose d'autre aussi. Tu ne pourras plus sortir. Adieu ton ancienne vie. Bonjour Aly
Les paroles qu'elle entendit lui glaça le sang. D'où venait cette voix ? Avait-elle rêvé ?

La jeune fille étrange continuait à la fixer.
Soudain, un refrain d'une chanson se mit en marche, comme pour accentuer ce côté... Triste ? Mélancolique ? Colérique ? Étrange ? Bizarre ? Absurde ? Joyeuse ?

Le vent l'emportera
Tout disparaîtra mais
Le vent nous portera
Ce parfum de nos années mortes
Ce qui peut frapper à ta porte
Infinité de destins
On en pose un et qu'est-ce qu'on en retient ?
Le vent l'emportera


Trempée jusqu'aux os, affaiblie, ne pouvant pas s'enfuir. Qu'elle serait la suite ?
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MessageSujet: Re: Laissez-moi partir [Libre]   Laissez-moi partir [Libre] Icon_minitimeJeu 5 Juil 2012 - 19:25

La gamine n'a pas l'air de comprendre les paroles de Petra. Elle doitsans doute être folle. Qui d'autre qu'un fou se plairait à se rouler par terre après avoir renversé des fauteuils ? La jeune fille aux cheveux roses se mordille la lèvre inférieure : l'Iguane l'a guidé jusque là, jusqu'à cette fille, et voilà qu'il se tait, il n'accorde aucun indice, aucun code pour résoudre l'énigme qu'il a lui-même tendu à sa plus fidèle disciple. Quelle indication veut-il lui donner, quel signe lui offre-t-il à travers le corps de cette dingo dingue étalée au sol comme une peau de raton-laveur passée entre les mains d'un chasseur maladroit ? Malheur, malheur, Petra ne comprend pas.

"Euh... Non, je devrais ? Est-ce que vous pouvez m'aider à me remettre dans mon fauteuil ? Et où je suis ? Je ne voulais pas vous déranger"


Voilà une information. Cette flaque humaine serait-elle... une nouvelle venue ? Ouiiiiiiiiiiii. Voilà quelque chose de compréhensible.
Là, l'esprit de la petite Petra s'emballe : enfin elle comprend le signe. Cette fille amenée de l'extérieur, vers laquelle l'a conduit l'Iguane, elle doit avoir un rôle dans la grande prophétie multidimensionnelle des diplodocus qu'a évoqué à quelques reprises l'Iguane une nuit froide de début d'été. Elle a une fonction ! La miss en est certaine ! Et si elle a une fonction dans les programmes de l'Iguane, il est du devoir de Petra de l'aider à accomplir l'objectif de l'Iguane. C'est pourquoi elle s'exclame, toute enjouée :


"Bienvenuuuuuuue ! Tu es enfermée ici pour toujours !"

Petra attrape sur-le-champ la petite fraîchement arrivée par les bras et la traîne jusqu'à un fauteuil où elle l'assoit convenablement. Comme ça, elle pourra l'écouter confortablement.

"Moi, c'est Petra ! Ici, c'est le Pensionnat, on y est tous enfermés. Par tous, j'entends plusieurs centaines de personnes, dont certaines vraiment timbrées. Je t'indiquerai lesquelles il ne faut pas fréquenter, si tu ne veux pas crever, odieusement violée et égorgée dans le grenier. Mais je ne me fais pas trop de souci pour toi, parce que l'Iguaaaaane a un plan pour toi. Tu as une destinée ici ! Tu ne devrais donc pas mourir tout de suite."

C'est alors qu'elle se rappelle que l'handicapée a peut-être deux ou trois questions à poser. Cela leur arrive. Ca lui était arrivé, à elle aussi.

"Alors tout de suite je réponds à tes interrogations les plus profones, ma petite : primo, ceci n'est pas une blague -je suis moi-même ici depuis environ quatre ans-, secundo, tu vas acquérir un pouvoir -moi, je ne le connais toujours pas ; mais de toute façon, ça sert à rieeeeen-, tertio, les toilettes sont au fond du couloir à gauche. D'autres questioooons ?"
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