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 d'HELM Anaximandre ▬ « Turn your horse for home, Sir Knight - your hawk and hounds are waiting »

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Chevalier Servant
Anaximandre d'Helm
Anaximandre d'Helm

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Masculin Pseudo Hors-RP : Nii'
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• Age : 28
• Pouvoir : Statufication.
• AEA : Anelyse, une Oie blanche.
• Petit(e) ami(e) : Pimprenelle de Saint Kastell.

RP en cours : Toi et moi, nus dans le lac. B)

Messages : 10
Inscrit le : 07/03/2013

d'HELM Anaximandre ▬ « Turn your horse for home, Sir Knight - your hawk and hounds are waiting » _
MessageSujet: d'HELM Anaximandre ▬ « Turn your horse for home, Sir Knight - your hawk and hounds are waiting »   d'HELM Anaximandre ▬ « Turn your horse for home, Sir Knight - your hawk and hounds are waiting » Icon_minitimeJeu 7 Mar 2013 - 14:30



* Anaximandre d'Helm


*nom – d'Helm.
*prénom – Anaximandre.
*age – 18 ans.
*né le – 13/11/870.

Pouvoir
Statufication de sa bien-aimée.

Plus qu'un pouvoir, c'est d'une malédiction dont Anaximandre s'est vu affublé en entrant au Pensionnat. Effectivement et dès les portes franchies, il lui deviendra impossible de ne serait-ce que communiquer avec sa dulcinée ; car sitôt l'un vivant et capable de mouvements, l'autre se verra statufié et aussi immobile que les pierres. Quand il est statufié, seul un baiser de Pimprenelle saurait le réveiller : mais, et c'est bien là que réside le problème, embrasser l'autre pour le délivrer de son immobilité revient invariablement à prendre sa place en tant qu'élément du décors. Alors quand bien même sa Princesse l'embrasserait pour lui permettre de se réveiller, il ne saurait faire autre chose que veiller à son tour sur sa statue pour s'assurer que rien de mal ne lui arrivera.
Quand transformé en statue, Anaximandre est comme plongé dans un sommeil aveugle et absent dont il ne se réveillera qu'une fois que Pimprenelle aura décidé d'intervertir leurs places. Il n'aura alors aucun souvenir de ce qui lui sera arrivé pendant qu'il était statufié ; peu importe ce que des idiots auront pu s'amuser à faire, il ne se rappellera de rien. Et franchement, heureusement pour vous.

Alter Ego Astral
Anelyse est une oie ; une très belle Oie Blanche qui, il faut le dire, mérite sa majuscule et une foule de regards admirateurs. Élégante et polie, ses plumes d'un blanc éclatant sont aussi douces qu'elles le paraissent ; quant-à sa démarche, délicate et noble, elle ne laisse aucun doute quant-aux origines de sa maîtresse. Ou de son maître, en l'occurrence, même s'il y a peu de chances que vous les voyez bavasser ensemble.
Ce n'est pas qu'Anaximandre n'aime pas Anelyse, non, très loin de là : cette oie, après tout, sort tout droit de son imagination. Seulement dans la mesure où il l'a créée avant tout pour Pimprenelle, rien d'étonnant à ce qu'il ne soit pas spécialement familier avec l'animal. Elle préférera donc suivre la demoiselle plutôt que le chevalier qui, de son côté, trouvera certainement plus édifiant d'aller occire le dragon de huit mètres de haut qui rôde dans le Parc du Manoir.
Du reste, Anelyse est une oie patiente et gentille, clairement féminine et plutôt effacée. Elle ferait un oreiller parfait pour quiconque déciderait de poser sa tête sur son corps dodu et ira régulièrement vérifier que Pimprenelle n'a pas d'ennuis, si elle n'est pas d'ors et déjà en sa compagnie. Amatrice de mets délicats, elle est également vite choquée et apprécie qu'on lui enroule un nœud quelconque autour du cou ou d'une de ses pattes palmées. Elle sait se tenir tranquille et se faire oublier mais – puisque c'est Anaximandre qui l'a imaginée, après tout – elle est aussi capable de donner de douloureux coups de becs en cas de danger. Ce n'est pas une technique de défense très efficace, soit, mais au moins c'en est une. C'est mieux que rien. Ça le rassure un tant soit peu.

Passions
Anaximandre est passionné par l'art du combat sous toutes ses formes ; il est de fait habile avec son épée, aussi lourde puisse-t-elle sembler, et sait parer avec un bouclier au bras. Il est par ailleurs très attaché à ses armes, qu'il tient en partie de sa famille, et entrerait dans une colère noire si quiconque osait les subtiliser ou essayer de les abîmer. Il est également passionné par les tournois et autres jeux du même acabit – qui étaient, pour lui, un moyen infaillible de se faire remarquer tout en s'entraînant.
Du reste, il adore entretenir son équipement et ses armes, est un fervent adepte de l'équitation et soutient toutes les vertus possibles et imaginables de ce monde – même si, et il en a conscience, toutes les respecter à chaque instant de sa vie relèverait de l'impossible. Il aime également la viande de manière assez globale, la musique, les légendes, avoir une certaine marge de manœuvre, qu'on lui confie des responsabilités, l'odeur et la chaleur d'un feu de cheminée, les grands espaces, les promesses, toutes les valeurs en lesquelles il croit, la plupart des fleurs, regarder des œuvres d'art.
Et, bien entendu, Anaximandre est follement épris de la belle Pimprenelle. D'un amour pur et romantique, cela va de soi – tout ce qu'il désire est la savoir heureuse et loin des dangers. Il se doit de la protéger et de veiller sur son bien-être, qu'elle soit de chaire et de sang ou statue de pierre.

N'aime pas / Phobies
Anaximandre n'a vraisemblablement pas peur de grand chose. Peur de perdre ceux auxquels il tient, sans doute – peur de mal faire, certainement. Comme n'importe qui il craint les erreurs et les mauvais jugements, d'autant plus s'ils peuvent lui coûter cher, mais c'est bien tout.
Tout sauf claustrophobe, capable de se promener à la simple lueur d'une bougie sans craindre qu'un monstre ne lui saute dessus et globalement peu impressionnable quoi qu'il en soit, le jeune homme ne voit pas non plus pourquoi il devrait avoir peur d'un animal quelconque. Dans la mesure où il n'hésite pas avant d'aller combattre un dragon, soyons honnêtes, il paraît ridicule de vouloir l'effrayer avec un chien ou un castor.
Cela dit, Anaximandre n'aime pas les toutes petites bêtes qui réussissent à se glisser sous les vêtements ou les protections – tout simplement parce que c'est extrêmement irritant de devoir tout enlever uniquement pour exterminer une si petite chose. Il est également assez frileux – quoi qu'il ne se plaindra jamais ouvertement du froid, jugeant que c'est un bien moindre mal – et n'apprécie guère les personnes vulgaires, tant dans leurs paroles que leur accoutrement. Les jeux de hasard lui plaisent jusqu'à ce qu'il perde (à savoir tout le temps, bizarrement) et le manque de ponctualité l'horripile. Globalement, il n'aime pas perdre. Il n'aime pas attendre, préfère l'ordre au désordre et déteste qu'une personne plus jeune que lui doive lui expliquer quoi que ce soit ; selon lui, c'est comme insinuer qu'on a raté son éducation. L'alcool en excès s'attire aussi ses défaveurs.



« There was a knight came riding by, in early spring, when the roads were dry ; and he heard that lady sing at the noon, two red roses across the moon. »

Physique

Anaximandre est beau ; du moins considère-t-il l'être. Ce n'est pas selon lui une qualité particulièrement notable dans le cadre de ses fonctions et, de fait, il n'en fait pas grand cas : il pense par ailleurs fermement qu'il n'a besoin de l'être que pour ne pas dépareiller cruellement avec sa dulcinée. Loin des standards de laideur communément admis par notre époque, donc, le chevalier a l'air et l'allure de tout jeune homme bien portant et sûr de lui. Ses foulées sont longues et décidées, son regard porté vers le lointain ; il regarde toujours ses interlocuteurs dans les yeux et donne l'impression d'un garçon droit et honnête, plutôt direct. Sa voix porte loin et se prête aussi bien au jeu des ordres secs et brefs qu'à celui des discours inquiets ou passionnés, vibrant sagement au rythme des sentiments qu'il lui impose. Avec ou sans armure, on sent rien qu'à le regarder que c'est un garçon mature, habitué aux responsabilités. Quelqu'un qui ne gaspille que rarement du temps en frivolités. Ce n'est pas tellement qu'il a l'air effrayant, non – puisque quoi qu'il en soit il reste un adolescent sur bien des aspects, mais plutôt qu'il inspire une forme de droiture. On ne l'imaginerait pas aller faire l'imbécile ; encore moins tendre une jambe pour faire trébucher qui que ce soit ou tirer la langue dans le dos des autres.
Son mètre soixante-dix-sept ne l'a jamais complexé, pas plus qu'il ne lui a causé de tort dans un sens ou dans un autre : cette taille lui va et lui convient. Quoi que de constitution plus fragile que forte à la base, Anaximandre a tant et tant tiré sur la corde et travaillé dur que, en définitive, son corps a cédé à ses exigences. Sa silhouette harmonieuse est taillée pour être agile malgré le poids de protections et d'armes ; il n'est pas frêle, certainement pas. Sec et capable malgré ses os un peu trop fins – détail qui lui a longtemps causé problème, malheureusement –, le jeune homme a suffisamment de force dans les bras pour manier son épée avec force et dextérité. Les entraînements à répétition l'ont rendu aussi apte que n'importe quel sportif acharné : et puisque son quotidien lui demandait plus d'efforts qu'il n'aurait pu en fournir s'il n'avait pas su se maintenir au mieux de sa forme, c'est un minimum. Il considère qu'il est normal pour un homme de faire en sorte de pouvoir exécuter des travaux difficiles ; ne sort pas des normes à ce niveau. Ne ni perdre du poids ni en gagner est un exercice auquel il est devenu imbattable, tant et si bien qu'il est probable que l'aiguille de sa balance dépasse rarement le kilos du dessous ou du dessus. Il ne mange pas plus que nécessaire, se force même s'il n'en a pas envie. On ne fait pas le difficile quand il s'agit de vivre.
Sa peau n'est ni pâle ni halée, un peu rêche et abîmée par endroits. Il porte quelques cicatrices auxquelles il ne prête guère plus d'attention qu'à des éraflures : elles font partie des risques du métier. Ses mains en particulier, malgré les gants, nécessitent souvent d'être bandées – mais avec soin, étant donné que ce sont deux des choses dont il juge avoir le plus besoin au monde. Que ferait-il sans mains ? Non, ce serait catastrophique, définitivement catastrophique. De fait, il fait attention à mettre des gants et des protections dès qu'il doit faire quoi que ce soit de potentiellement dangereux. Vous le verrez donc rarement sans.
Son visage est celui d'un garçon de dix-huit ans, parfois plus et rarement moins : il fait son âge et, spontanément, l'on aura tendance à tomber juste en tentant de deviner. Ses cheveux d'un blond or se glissent en mèches dociles sur son front et devant ses oreilles, caressant l'arrière de sa nuque sans pour autant le gêner dans sa vision ou ses mouvements. Il tient à les garder un peu longs mais refuse de les laisser l'ennuyer pour autant : cette longueur est le compromis auquel il est parvenu. Ni spécialement beaux ni atrocement laids, il en prend soin comme il prend soin du reste ; avec moins de patience et d'affection qu'il ne nettoie ses armes et son matériel, sans négligence pour autant. Ce n'est pas parce qu'il considère la beauté comme un facteur secondaire qu'il tient à ressembler à un vagabond. L'image compte malgré tout, ne serait-ce que pour être fier de soi et garder une hygiène de vie convenable. Or il tient à donner l'image d'un jeune homme travailleur et sûr de lui, quelqu'un qui veut et peut, se donne les moyens d'avancer et mérite qu'on lui accorde sa confiance. Il fait tout pour ça, quitte à avoir régulièrement l'air fatigué, les épaules écrasées par un poids trop lourd à porter. Il s'en accommode, sourit et lève la tête. Vous ne le verrez littéralement jamais marcher en regardant le sol. Ses yeux, enfin, sont d'une forme quelconque et extrêmement foncés : il n'y a guère qu'à la lueur d'une lumière très vive que l'on peut deviner des reflets bruns dans ses iris. Ordinairement ils sont à peine distinguables de la pupille et dans l'obscurité ou la pénombre, ils ne font tout bonnement plus qu'un. Si on vient à lui poser la question, il répond très simplement qu'ils sont noirs. C'est ce qu'on lui a toujours dit ; noir corbeau, noir ébène, presque noir, brun noir. Juste noir, pour faire simple.
Ses tenues sont toutes semblables, simples et utilitaires. Il porte des tuniques qui remontent sauf exception jusqu'à son cou, blanches ou noires et sans motifs inutiles ; par-dessus, il enfile une sorte de veste, une cape et/ou une capuche. Il peut également porter cotte de maille et surcot. Des protections légères viennent s'ajouter au niveau de ses épaules, de ses genoux et de son torse. Il ne les enlève que lorsqu'il se considère totalement en civile – ce qui correspond, dans son cas, aux moments où il est entre les murs de sa chambre ou bien encore chez lui. Anaximandre ne porte que des bottes, soit renforcées soit plus souples : des bottines, dans de plus rares cas. La complexité de ses tenues varient selon ce qu'il compte faire ; il ne s'habillait bien sûr pas de la même façon pour aller rendre visite à sa mère que pour partir en guerre ou encore participer à un tournoi. Quoi qu'il en soit, vous ne le verrez qu'exceptionnellement dans des couleurs autres que le noir, le blanc et le bleu.
Le jeune homme porte également une épée à sa ceinture ; il ne la quitte pour ainsi dire jamais, par peur que quelqu'un ne la brutalise. Il en va de même pour son bouclier et ses autres affaires.

Caractère

Anaximandre est un chevalier ; il se comporte donc comme tel. Ou du moins fait-il son possible en ce sens. Il met un point d'honneur à respecter les vertus et les règles qu'on lui a inculqué, et s'il les applique avec plus ou moins de justesse – s'il se trompe, parfois, et ne le reconnaît pas toujours, il n'en reste pas moins qu'il essaie de son mieux d'être quelqu'un de « bien ». Toute sa personne est centrée sur cet idéal qu'il cherche à atteindre.
« Je me dois d'être à la hauteur. »
Le jeune homme, malgré ses dix-huit ans, peut difficilement être considéré comme un adolescent. Il a un travail, des responsabilités, un rôle, un devoir : prend des risques, a déjà frôlé la mort et considère tout cela avec un sérieux parfaitement adulte. Il n'a jamais vraiment eu le temps ou l'envie de s'amuser, de laisser les grands faire pour lui et de profiter de sa jeunesse ; ce n'est pas une façon de penser qui lui est familière. A ses yeux, pour faire honneur à sa famille et ne pas être un poids mort, il est important de rapidement prendre sa vie en main et ne pas se laisser porter par le flot en attendant que les choses se passent. C'est un garçon volontaire, déterminé et travailleur. Quand il veut quelque chose et que ce n'est pas contraire à ses valeurs, s'il juge cela bien ou nécessaire, alors peu importe la difficulté – il ira jusqu'au bout de son idée sans se préoccuper des bleus au visage ou à l'ego.
L'expression « preux chevalier » lui sied à merveille : brave, hardi ou encore valeureux, Anaximandre croit en la justice et n'est que rarement encombré par ses propres intérêts. Se faire passer avant sa profession ou le plus grand nombre ne lui passe pratiquement jamais par la tête. Il croit fermement qu'emprunter le chemin le plus difficile et consentir à de nombreux sacrifice est un passage forcé pour atteindre la vérité ou encore ce qui est juste, les bonnes décisions. Agir par intérêt ou pour aller au plus simple, par fainéantise ou cupidité, ce n'est pas son genre. Certains pourraient aujourd'hui le traiter d'idiot idéaliste, de pantin serviable et bien dressé ; ça lui est égal. Il croit en ce qu'il croit. Sa foi en son Royaume et ses valeurs est aveugle et rien ne saurait l'ébranler. Quand il dit qu'il serait fier de mourir pour son drapeau et qu'un sourire de Pimprenelle serait une promesse suffisante à son bonheur, il le pense on ne peut plus sincèrement.
Franc autant que faire se peut, n'ayant que rarement eu à prononcer des mensonges qu'il aurait pu par la suite regretter, le chevalier se considère – à raison – comme quelqu'un de plutôt droit et fiable. Sa parole est donnée mais jamais reprise ; sa confiance acquise à quiconque en sera jugé méritant. Il a tendance à se méfier des personnes qu'il qualifierait de « douteuses », simples villageois ou enfants à l'allure de brigands : à force de généralisation, il reste persuadé que certains types de personnes seront plus à même d'être méprisables que d'autres. Et autant Anaximandre est le plus loyal des hommes, autant il ne fuit jamais une bataille et porte le plus grand respect aux autres chevaliers et nobles de tous rangs, autant il ne se considère pas comme « n'importe qui » et cela peut se ressentir parfois, de plus ou moins vague façon. Le jeune homme ne supporte que difficilement qu'on lui manque de respect, qu'on l'insulte ou qu'on le rabaisse – tout simplement parce qu'il pense valoir mieux que ça et que, tant qu'à faire, il est susceptible. Perdre l'agace, être en retard l'irrite et ne pas avoir le contrôle de la situation le fait grincer des dents : heureusement pour lui et les personnes à portée de sa lame, il est également capable de mesure et de contrôle. Maître de lui-même, fermement accroché à l'idée qu'un chevalier (ou tout homme bien élevé) se doit d'être sage, sensé et calme, Anaximandre prend sur lui et serre les dents au lieu de crier et de s'indigner. De là à baisser la tête et laisser couler, il y a des limites. Il n'est pas homme à laisser quiconque marcher sur sa fierté, fut-ce un paysan ou un autre chevalier ; son ego ne le supporterait pas. Quand on le cherche, on le trouve.
Il a donc appris, au fil des ans, à se calmer et réfléchir posément plutôt que de prononcer des paroles qu'il maudirait les minutes suivantes. Parfois, il lui arrive encore de s'emporter et de tout simplement vouloir assommer l'impertinent qui a aligné trop de paroles vexantes à son égard ; il essaie de s'en empêcher mais, c'est ainsi. Certaines personnes sont juste extrêmement douées pour vous faire sortir de vos gonds. Globalement, ce n'est pourtant pas un garçon méchant. Il n'est pas excessivement généreux mais n'hésite pas à aider quelqu'un tant que la tâche est dans ses cordes. Ne lui demandez pas de plier vos vêtements, par exemple. Il ne le fera pas.
Il a conscience de la valeur d'une vie, et s'il en accorde plus ou moins à untel ou untel, jamais il ne lui viendrait à l'idée de tuer pour le plaisir ou d'user de son statut pour intimider des gens. Il ne nie pas aimer être regardé ; toutes ces personnes dont il est le centre d'attention, évidemment, c'est grisant. Il n'en reste pas moins modeste dans sa façon de se comporter et de vivre, aussi ne l'entendrez vous que rarement se vanter. A moins, encore une fois, de ne piétiner sa fierté.
Courtois et romantique, Anaximandre considère l'amour comme une fleur aussi belle qu'elle est essentielle à tout jardin. De fait, il traite l'élue de son cœur comme elle se doit – c'est à dire en Princesse – et juge qu'il est du devoir de tout homme de traiter sa dame avec le même égard. Ce qui ne l'empêchera pas de considérer que le devoir et le but de la vie d'une femme du peuple est de coudre, faire des enfants, préparer à manger et masser les épaules de son mari. Il réfléchit de façon assez manichéenne, n'est pas de ceux qui aiment tout remettre en question et s'imposer des réflexions existentielles au moindre problème. Il va de l'avant et règle ses soucis comme tout homme se devrait de le faire selon lui : avec courage et détermination. Se prendre la tête cause bien des malheurs pour peu de résultats.
C'est un meneur autant qu'un suiveur, un jeune homme capable de s'adapter rapidement et de réagir face au danger. Quelqu'un qui mourrait pour son pays et sa Foi, fier et sans le moindre regret. Un chevalier têtu et optimiste qui aspire au bien des autres et de lui-même. Il est là pour défendre ; défendra. Ce sont ses raisons de vivre, et il ne les abandonnerait pour rien au monde.

Histoire courte
• Anaximandre nait premier fils d'une famille comptant déjà deux filles ; Blodwen a quatre ans de plus que lui, Clervie trois. Son père est chevalier et prend son travail très à cœur. Ils sont riches et ne manquent de rien.

• Ses deux cadets - Allore et Gildasine - naissent deux et cinq ans après lui. Il est plus proches d'eux que de ses aînées ; il aime se battre avec son frère et s'occuper de sa sœur. Blodwen est gentille, mais Clervie l'ennuie.

• Son enfance est calme, marquée par les absences fréquentes de son père et une éducation plutôt stricte à laquelle il ne trouve rien à redire. En tant que fils aîné, il a des responsabilités ; son jeune âge ne justifie pas de rester à se tourner les pouces. Il comprend. C'est un garçon obéissant et travailleur qui ne verrait pas les choses autrement.

• Très jeune déjà, il commence à accompagner son père au château. Les chevaliers le fascinent.

• Aussitôt qu'il a fêté ses sept ans, Anaximandre devient apprenti écuyer. Il apprend les bases de l'équitation ; s'initie au maniement des armes. Parce qu'il sera aide avant d'être chevalier - ce vers quoi il tend - il passe beaucoup de temps à apprendre comment entretenir le matériel et s'occuper des chevaux également. On lui apprend à lire, à écrire. On lui explique les règles et les conduites à respecter en société. C'est un élève appliqué et sérieux ; il apprend vite. Son père est fier de lui.

• Au château, dans lequel il passe tout son temps, il rencontre la fille du roi. Pimprenelle est une petite fille adorable ; ses grands yeux bleus sont les plus jolis qu'il ait jamais vu. Elle est plus belle que la plus belle des fleurs. Il n'oserait jamais la taquiner — ça ne se fait pas — alors il lui parle ; s'en fait une amie. Il est plutôt solitaire, trop concentré sur ses tâches pour vouloir passer du temps avec les autres garçons, mais Pimprenelle est différente. Il lâche râteau et obligations pour la noyer de compliments et de gentils sourires dès qu'il la voit.

• Décider que la princesse est la femme de sa vie ne lui prend pas beaucoup de temps. Son père n'y voit pas d'inconvénients et à priori, le roi non plus ; c'est un gentil garçon. Qu'il décide de la courtiser n'engage à rien.

• Anaximandre se sent très engagé, lui, et redouble d'efforts pour impressionner Pimprenelle. Il doit être digne d'elle. Ce qui est très difficile, il en convient. Elle est parfaite.

• Les années passent ; Anaximandre s'éloigne de sa fratrie, et notamment de son frère. A douze ans, il n'a que peu de temps à lui accorder et préfère passer celui qu'il a libre à conter fleurette à la princesse. Allore le vit mal. Leur relation en souffre.

• A treize ans, il devient l'écuyer d'un chevalier prénommé Josserand. Il est plutôt discret — trop au goût de l'adolescent — mais le courant passe malgré tout ; de toute façon, il le respecte trop pour vouloir faire le moindre commentaire. Il le suit et l'aide à se préparer, que ce soit pour des missions ou des entraînements (et les quelques tournois auquel il consent à participer).




Informations Hors-RP
Avez-vous bien lu les règles ? Je refais ça, c'est cringy.
Où avez vous trouvé ce forum ? LOL HAHA.
Est ce votre premier perso...
• ...Dans un forum RP ? And I'll never...
• ...Dans ce forum ? LEAVE YOU ALONE.


Dernière édition par Anaximandre d'Helm le Mer 14 Aoû 2019 - 1:39, édité 2 fois
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