Personnage: Victoire Egoïne
Nom : Egoïne
Prénom : Victoire
Age : 15 ans
Date de naissance : 15 juillet
Histoire :
Commençons par le nom de famille "Egoïne". Pas besoin d'aller bien loin, l'égoïne est une petite scie. Les ancêtre de Victoire sciaient les sentiments. Rien de magique là-dedans, juste une famille de poète traitant les mots comme des aiguilles, épinglant les passions. Des espèces de fous des métaphores, obsédés par les rimes. La légende dit que leurs mots étaient si bien choisi qu'ils en devenaient vivant. un prince, ayant lu le poème d'un des Egoïne sur lui, se poignarda de désespoir tant le poème montrait toutes les laideurs de son cœur.
Les Anciens disparaissent. Les traditions s'oublient, et il n'en reste plus rien excepté dans ce nom de famille...
Ensuite le prénom. Pourquoi Victoire ? Une lubie de son père à moitié fou, hurlant à qui mieux mieux que sa fille ne s'appellerait pas autrement, riant dans la maternité. Elle, sa fille unique, symbolisait sa victoire sur le bon goût et la norme. La victoire d'un pauvre fou qui, avec ruse et patience avait réussi à séduire une jeune noble italienne
Elle avait 19 ans, sa futur mère elle était futile, volage, provocatrice. Son seul rêve était de devenir actrice. Séduite par la beauté et la folie d'Octave Egoïne, tombée enceinte par jeu, elle avait abandonnée l'enfant à sa famille.
Amère victoire en vérité. Son éducation fut confié à son oncle maternel, un comte droit, sérieux et bien pensant. Elle eut une enfance sans histoire, de petite fille bien élevée, sans particularité. Pas dans le genre enfance maltraitée. Elle a toujours su la vérité sur sa famille. Ses parents ? Elle les voit de temps en temps, sa mère qui rate sa carrière d'actrice, son père enfermé dans ses divagations. Elle a mal évolué avec l'adolescence, en quelque sorte. Prise de dégout pour "la rébellion", elle est devenue trop sage, trop renfermée... Une enfant modèle trop précoce. Beaucoup trop. Ses amis ne lui parlaient plus, quand aux garçons, ils l'évitaient soigneusement. Elle était à part et ne s'en rendait même pas compte. Elle ne désobéissait pas, ne contredisait personne, était d'une sagesse effrayante. Son oncle finit par ne même plus lui parler, sa mère pâlissait à son seul nom, quand à son père satisfit, il riait de son rire de dément. Il avait réussi, pensait-il, à recréer sa folie.
Mais Victoire n'est pas sa folie. Elle est elle.
Caractère : Forcément, ses gènes de "scieuse de sentiments", la folie de son père, le caractère volage de sa mère ont eu un impact sur son développement moral. Mais son éducation de jeune noble italienne joue aussi son rôle.
Au final, Victoire est calme, polie, craintive. Mais elle a fréquemment des sautes d'humeurs, se montre parfois passionnée, ou même violente. Son caractère est instable. Elle fait preuve d'humour, mais il est généralement incompréhensible. Elle a également beaucoup d'imagination, parfois trop ce qui se révèle encombrant.
Elle n'est pas vraiment sociable. Elle est très silencieuse, elle se tait quand elle n'a rien a dire. Elle écoute beaucoup.
Physique : Petite, gracile, pas exactement jolie, elle a les cheveux noirs, qui lui tombent jusqu'en bas du dos, seul héritage des Egoïnes. Lachés, ils mettent en valeur son charme particulier, mais elle préfère les attacher en chignon pour plus de commodité. Elle déteste ses yeux, noirs également. Elle ne sait pas d'où ils lui viennent. On dirait selon elle deux tunnels noirs qui s'enfoncent jusqu'à ses entrailles. Son visage est régulier, mais sans grâce particulière. Elle a cependant hérité des traits italiens de sa mère, et son visage est très expressif. Elle porte souvent des robes où des jupes façon uniforme de vieille école. Elle se considère elle-même comme "transparente". Elle a l'air calme et doux, et en abuse parfois pour gagner la confiance des gens. Mais il est impossible de lui donner un âge, car, si son corps pourrait être celui d'une fillette de 14ans, son regard et ses expressions témoignent d'une grande maturité.
Pouvoir : Mémoire surdéveloppée des mots et surtout des gestes : peut imiter quelqu'un à la perfection.
Alter Ego Astral : Mattiméo, un merle rouge et noir. Un poil raisonneur, il a une tendance nette au sarcasme. Elle l'a créé pour contrebalancer sa trop grande sagesse, et l'imaginait toujours faire les bêtises qu'elle ne voulait pas faire.
Passion(s) : l'écriture, escalader les arbres (même si elle refuse de s'y abaisser)
N'aime pas / Phobie(s) : Les grandes scènes sentimentales. Les cris et les pleurs, le mélodramatique, le cucul la praline. Bref tout ce qu'elle appelle "la confiture de sentiment".
► Pour avoir le personnage :
Avez-vous bien lu les règles ? on m'a dit de les lire, j'les lit, j'suis pas ********* moi. Et c'est très bien è_é (Aphie)
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