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 Krahan - "Groumpf"

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"HONK HONK HONK"
Krahan
Krahan

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Masculin Pseudo Hors-RP : Mooney
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RP en cours : Blood, toil, tears, and sweat

Messages : 6
Inscrit le : 07/01/2013

Krahan - "Groumpf" _
MessageSujet: Krahan - "Groumpf"   Krahan - "Groumpf" Icon_minitimeLun 7 Jan 2013 - 22:39



* Krahan, fils de Skarom


*Le nom de famille – C'est une invention moderne conçue dans les sociétés de grandes tailles où plusieurs individus peuvent avoir le même prénom. Ce qui n'est pas le cas de Krahan.
*prénom – Krahan, ce qui signifie dans notre langue « La foudre qui s’abat sur le bison vaillant que l’on croyait invincible. » Oui, la langue des hommes de Néandertal permet de dire bien des choses en très peu de syllabes.
*age – Dix-huit ans.
*né(e) le – Trois jours avant le solstice d'été.
?

Pouvoir
A chaque fois que Krahan fait un cauchemar, un animal préhistorique apparaît dans le parc. (Et si vous vous inquiétez d’une éventuelle surpopulation de mammouths aux abords du lac, sachez que Krahan est un excellent chasseur.)

Alter Ego Astral
Durant son enfance, lorsque Krahan se promenait à la lisière de la forêt de la montagne sacrée, il s’imaginait être accompagné de l’un de ses habitants, Broho, un ours noir d’environ deux mètres. C’est un grand protecteur qui défend farouchement son compagnon ; il lui sert accessoirement de monture.

Passions
Chasser, sentir le vent fuser autour de lui quand il court aussi vite que la foudre qui frappe les hauts rochers, soutenir le clan et écouter les anciens raconter les mythes fondateurs aussi vieux que la nuit des temps.

N'aime pas / Phobies
L'inconnu, le nouveau, l'inquiétant. Le Sapiens par dessus tout. Le non respect des traditions. L'homme qui arrache un arbre sans raison. L'homme qui tue un animal par pur plaisir sans le manger.



« Lorsque l'homme civilisé a peur, le sol se dérobe littéralement sous ses pieds et le fait retomber dans les profondeurs de la préhistoire, des millénaires en arrière. »

Histoire

Un paléontologue se tordra de douleur. Mais je m’en moque, Krahan il déchire et il mange des humains.

28 000 ans avant notre ère.

La Montagne
Tout commence au pied d’une montagne. Toute une dynastie a commencé au pied de cette montagne. C’est la plus belle, la reine de ces vallées, pic fier et majestueux tombé du ciel au milieu du néant des plaines. Et c’est à son pied que la vénérait le clan du Roc Vert. L’air y était bon, la nature prolifère, la faune y était abondante et les rives du lac étaient riches ; on n’y manquait de rien.
Le clan était installé dans les cavernes en bas de la montagne, juste sous la lisière d’arbres qui marquait le début de la forêt. Jamais ils n’osaient pénétrer les bois profonds de cette montagne d’un vert mystique. Elle était sacrée, propriété des ours gigantesques qui y naissaient et mourraient. Tant qu’on honorait la montagne, ces géants de muscles et de fourrure laissaient les hommes tranquilles. Et tout allait au mieux ainsi.
Dans les grottes la nuit, on peignait les parois à la lueur des flambeaux, tandis que la Vieille Veuve, tel était le surnom de la doyenne du clan, contait aux plus jeunes les légendes de leurs ancêtres. Parmi ces plus jeunes se trouvait Krahan, fils de Skarom, chef du clan, petit-fils de feu Norgal, ancien chef du clan, arrière-petit-fils de Loki, ancien chef du clan. Loki était celui qui avait découvert la montagne sacrée et décidé d’y installer les siens, après que leur ancien territoire ait été ravagé par un tremblement de terre. C’était une lignée sans fin qui semblait alors inachevable, à la tête du clan de génération en génération. Tout le monde leur faisait confiance et les respectait. Ils dirigeaient les chasses, la défense du campement et les rares conflits avec d’autres clans, tandis que les femmes honoraient la montagne.
Tout allait au mieux. Mais ce texte est au passé. Krahan n’est pas n’importe quel homme des cavernes. C’est un homme de Neandertal : dans mille ans sera morte son espèce.

Pre-hysteria
Krahan était le second fils de Skarom. Très proche de celui qui était son aîné de deux ans, Qila, les deux garçons faisaient tous ensemble. Ensemble ils rêvaient de chasse et jouaient aux fiers héros dans le campement. Destinés à devenir des héros. Ils vivaient leurs plus grandes joies ensemble, mais aussi leurs pires épreuves, comme ce blizzard terrible qui s’installa autour du clan lorsqu’ils avaient huit et six ans ; lorsqu’il repartit, il emporta avec eux leur petite sœur de quatre ans, Flaya, comme une fleur arrachée par la bourrasque.
Aveuglé par le voile de l’enfance, il ne se rendait pas compte des tensions extérieures qui mettaient en péril son clan. Il ne pouvait voir que les papillons et les fleurs multicolores, les rongeurs dans les racines des arbres et le soleil qui réchauffait sa peau. Régulièrement, il observait ses aînés partir chasser le mammouth, puis quand il fut suffisamment grand et fort, il put les rejoindre dans une grande allégresse.
Mais très vite, il prit conscience que la chasse n’était pas un simple jeu comme ceux des enfants qui restent au fond des cavernes : un jour, un bison particulièrement imposant piétina Fahror, l’un des plus robustes du clan, le modèle et idéal de Krahan. La nature est bien puissante face à l’homme si petit. La mort est omniprésente, la vie n’est pas que plaisirs.
A l’âge de treize ans, devenu l’un des chasseurs les plus prometteurs de sa génération, Krahan prit Chilassa, robuste et sage jeune fille de son âge pour épouse – c’était accessoirement sa cousine, mais dans les clans de petite taille, l’endogamie et l’inceste deviennent inévitables ; et ouais, c’est jeune, mais ce sont des hommes des cavernes alors je fais ce que je veux. A quatorze ans, il devint père d’une fillette qu’il nomma Flaya en l’honneur de sa défunte sœur.

Homo Sapiens
Tout allait au mieux. Puis ils sont arrivés, plus terrifiants que l’hégémonie de la nature. Ils ressemblent aux hommes du Roc Vert sans en être tout à fait. Ils sont plus longs et plus minces, leurs mâchoires sont moins proéminentes, de même que leurs sourcils. Plus rapides, plus vifs, les archers peinent à les atteindre. Les messagers qui voulurent les rencontrer eurent du mal à nouer de véritables conversations : leur langage, bien qu’il prenne des racines communes avec celle du Roc, est bien plus développée et complexe ; leurs rites ne sont pas les mêmes ; leurs valeurs sont différentes. Qui sont-ils, ces hommes qui n’en sont pas ?
Le pied de la montagne était l’un des plus beaux endroits de la région. Alors ces hommes non-hommes l’ont désiré, sans comprendre les forces maléfiques qu’ils déclencheraient en y mettant un pied.
La première fois que Krahan en vit un, il avait cinq ans. A l’époque, ils venaient d’arriver dans la région et n’osaient pas venir troubler le clan du garçon. Ils s’étaient installés plus loin dans la vallée, venaient parfois échanger quelques biens durant les temps les plus durs, les relations entre les clans n’allaient guère plus loin. On les voyait peu. Krahan et son frère n’en entendaient pratiquement jamais parler, on tenait écartés de ces êtres les enfants comme si cela ferait disparaître ceux que l’on ne pouvait comprendre, une menace effacée envers ceux qui sont trop fragiles.
Et puis les années passèrent et les tensions montèrent : un jour, c’étaient les territoires de chasse des deux tribus qui se chevauchaient ; l’autre, c’était deux guerriers qui s’étaient entretués sur un malentendu. Et ces hommes nouveaux regardaient avidement la forêt sacrée des ours…

Feu et chair humaine
Un jour, une femme en pleurs s’arrachait les cheveux alors qu’elle rentrait au village, furie de cri et d’agitation : il fallut des heures pour la calmer et comprendre ce qui la tracassait. « Ils sont entrés dans la forêt, et ils ont tué un ours. »
Ce fut un ours d’abord. Puis deux, et trois, et tous les rois de la forêt peu à peu décimés. Déclaration de guerre. Les combats se multipliaient, et le clan de Krahan se réduisait. Ses compagnons, ses frères se faisaient abattre. Les hommes nouveaux étaient moins forts physiquement, mais plus agiles, mieux organisés, mieux armés. Il était difficile de résister à leurs assauts. Alors quand on arrivait à leur arracher une courte victoire, on la célébrait de la manière la plus sordide et terrifiante possible.
Un jour, pour effrayer ces impies venus d’ailleurs, on exposa les crânes de ceux d’entre eux que l’on avait capturés à l’entrée des cavernes ; on mangea leurs dépouilles en l’honneur des ours tués, effroyable festin cannibale comme cri de guerre. Cet acte fut réitéré, rituel martial des plus violents et jouissifs que Krahan connaissait.
Qila et Krahan, de chasseurs, étaient devenus guerriers aux muscles puissants d’une vaillance inégalée – en tant que fils du chef, ils se devaient d’être irréprochables. Et puis un jour, alors que Krahan avait quinze ans, son frère fut tué d’un javelot dans la tête ; à ce drame déjà insurmontable s’ajouta la mort de sa fille, prise pour cible lors d’un assaut des étrangers quelques semaines avant.
Skarom, en apprenant la mort de Qila, exigea immédiatement un armistice. Le clan du Roc Vert fut chassé de ses terres.

Errance
La montagne fut abandonnée, les plantigrades abattus comme le moral du jeune homme et le corps de son défunt frère. On a laissé la montagne à ces monstres infâmes… Krahan avait comme un silex dans le cœur. Et commença l’errance.
Durant des mois on chercha un nouveau campement où s’installer. Le clan n’était pas exigent : sa taille considérablement réduite par la guerre, il ne lui fallait pas de vaste vallée riche et fertile, tout lieu pouvait être considéré comme acceptable. Tout était bon à prendre après le massacre terrible rencontré au pied de la montagne. Mais ces hommes nouveaux étaient partout, des dizaines d’autres tribus de ces êtres fascinants et inquiétants qui chassaient ceux semblables au jeune guerrier. Avec eux aussi les conflits éclataient. Un jour de printemps, Chilassa se prit une hache dans le crâne au cours d’un combat. Krahan ne s’en remit jamais.
C’était la fin d’une ère, la mort d’une espèce et le début de la suprématie de l’homo sapiens.
Krahan a tout perdu, fratrie, femme, enfant et territoire si chéri. Son père était trop vieux pour diriger le clan, il a dû prendre la relève malgré lui. Désormais, lui et les siens erraient sans fin, désolés et désespérés, en quête d’un espoir, d’une terre accueillante. Parfois, ils croisèrent d’autres tribus d’hommes comme eux, eux aussi en déperdition. De peuples sédentaires et puissants, ils étaient réduits à l’état de nomades mourants.

Ca se termine par une chasse. Krahan ne veut pas rater ce bison, pas celui-là, ce serait celui de trop. Les siens commencent à mourir de faim. Il court de plus en plus vite. Qui ? L’animal ; et l’homme derrière lui. Plus vite, encore et encore. Le bison sème les chasseurs du clan, alors Krahan les sème aussi : il aura ce bison. Plus vite plus vite encore. Et il trébuche. Il roule au sol, perd le contrôle. Il n’arrive pas à se relever, continue de glisser, aveuglé par la terre, le long d’une pente et… une surface lisse et glacée. Il secoue son visage, enlève la terre de ses yeux. Il ne comprend pas ce qui se trouve autour de lui, c’est comme une caverne mais en plus grande, mieux éclairée. Qu’est-ce ? Et le « clac » d’une porte derrière lui l’enferme à jamais.



Caractère

Krahan, c’est le futur patriarche.
Depuis sa jeunesse éduqué dans le plus grand respect de son père, Skarom, modèle de sagesse selon le clan, puis destiné à reprendre la tête du Roc Vert lorsque Qila fut sauvagement tué par les hommes nouveaux, Krahan a dû apprendre à avoir un fort sens des responsabilités. Son père vieillissant, il doit gérer de plus en plus les problèmes de la tribu, ses migrations, son approvisionnement, ses rapports avec les clans voisins, les combats qui éclatent parfois…
Il est donc devenu un homme d’un grand sérieux, austère et rustre, qui fait passer les priorités des siens devant les siennes. Le plus important, c’est la survie du clan, la survie de ses hommes, la survie de ses pratiques, de ses traditions. Ah oui, Krahan est un homme très attaché aux traditions, aux rituels comme aux ours sacrés. Les rangs, les fonctions doivent aussi être respectés au sein du clan : les hommes chassent et protègent, les femmes nourrissent, soignent et enfantent, les anciens éduquent les plus jeunes. Tout est réglé, rien ne doit changer.

Krahan, c’est aussi le super-prédateur qui voit son règne s’éteindre.
Son espèce s’éteint. Il a encore du mal à le comprendre, ce concept est trop grandiose et terrible pour qu’il soit à sa portée. Mais il a saisi que ces hommes nouveaux, ces tribus venues d’ailleurs à la fois si similaires et différentes, chassent tous ceux qui sont comme lui. Ils sont plus forts, plus nombreux, plus intelligents et ils vont progressivement les supplanter. C’est la fin d’une ère, le début du règne éternel d’une autre espèce, et cela se fait au détriment du Roc Vert.
A défaut d’une fin du monde, c’est la fin de son monde à lui, il le sens, il arrive plus ou moins à le comprendre. Le voilà donc qui développe des angoisses terribles. La peur de voir ses proches mourir ; la douleur en repensant à Qila, Chilassa, Flaya ; les souffrances causées par l’exil. Il devient dépressif. Il devient peureux, même s’il ne peut le montrer – position de patriarche oblige. Rien ne l’effraie plus que ces êtres étranges, créatures de cauchemar.

Krahan, c’est le chef sanguinaire.
Alors en réaction, il est devenu très agressif. Plus de pitié envers ces êtres qui lui ont pris ceux qu’il aimait. Quand on capture un opposant, on ne lui fait pas de quartier, on le mange. Littéralement. Une grande partie du clan n’a pas envie de manger cette chair trop proche de celle des Neandertalis, mais Krahan fait partie de ceux qui se réjouissent de ce repas, non pas pour son goût mais pour le symbole qui s’en dégage. On mange l’ennemi, on absorbe sa force. Quand son clan s’installe quelque part et qu’une étincelle de conflictualité jaillit avec une tribu ennemie voisine, Krahan n’agit pas avec modération, il en appelle directement à la guerre. Les victoires sont trop souvent passagères, et si Skarom n’était plus là pour contrôler ses ardeurs, la folie démesurée de son fils aurait sûrement mené le Roc Vert à l’extermination.
L’homo sapiens ne peut apporter que du malheur, il en est convaincu. Alors autant l’abattre avant qu’il ne nous abatte. Mais au fond de lui, Krahan commence à comprendre que son rêve n’est qu’une illusion inaccessible.

Krahan, c'est la fin de la préhistoire.
Les autres deviennent rationnels, rusés. Dans quelques millénaires, ils inventeront l'écriture et naîtra la civlisation ; lui ne connaît que les passions violentes de la nature. Krahan est à cheval entre culture et nature sauvage, entre l'homme tel qu'on le conçoit de nos jours et l'animal, tiraillé entre deux avenirs possibles, celui de la bête féroce et celui de l'homme sage ; une victime du destin aussi qui ne supporte plus la mort des siens.

Physique

« Les Néandertaliens sont de corpulence souvent très massive et robuste : 90 kg et 1,65 m en moyenne pour les hommes et 70 kg et 1,55 m pour les femmes (des individus auraient atteint 1,90 m). L'ensemble de leur structure (os épais avec corticale développée) et leurs attaches musculaires laissent supposer une grande force physique. »

Krahan est l’un des plus massifs de son clan. Vaillant chasseur réputé pour sa force, il mesure environ un mètre soixante-dix – un géant, vous dis-je ! – et pèse près d’une centaine de kilos de muscles. C’est un homme trapu, fait pour combattre les féroces lions des cavernes et protéger les femmes de son clan des menaçantes hyènes qui rôdent parfois dans les plaines. Parfois, quand il traque – que ce soit un animal ou un sapiens -, on ne peut plus l’arrêter, il semble aussi imbattable que l’avalanche qui s’écroule du haut d’une montagne, aussi invincible que l’aigle royal qui fonde sur sa proie. C’est le trappeur idéal, capable de traîner des proies sur des kilomètres pour les ramener au campement, apte à endurer les pires conditions météorologiques – on remercie par ailleurs la forte pilosité qui recouvre ses bras, ses jambes et son dos, ça aide beaucoup lors des blizzards – et incroyablement endurant - ; un salut pour un peuple essentiellement carnivore. Même s’ils consomment parfois des végétaux ou des crustacés, Krahan et son clan se nourrissent presque exclusivement de viande.

Cependant, ce n’est pas du reste de son clan que le jeune homme se démarque le plus. Les hommes nouveaux sont incroyablement différents de lui, et plongé au milieu d’un millier de ces étrangers, on repérera toujours Krahan en l’espace de quelques secondes. Contrairement à eux, il n’a pas un front lisse et droit, mais un bourrelet osseux qui surplombe ses yeux bruns et ronds, suivi d’un front fuyant. En bas du visage, son menton ne fait pas une protubérance comme chez ces fléaux inconnus, mais plutôt un retour rapide vers le cou. Ses fortes mâchoires sont très avancées, tout chez lui semble plus massif et épaté – son nez, ses orbites, ses membres… Même leurs boîtes crâniennes sont fondamentalement différentes, celle du Neandertalis étant plus allongée, plus grande dit-on ; pourtant, cela n’empêche pas celle du Sapiens d’être, malheureusement pour Krahan, mieux remplie.

Et puis on peut l'avouer : Krahan est moche. Ouais, ça y est, vous avez bien compris : Mooney a fait un personnage moche. Je peux maintenant mourir.



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Avez-vous bien lu les règles ? Même pas en rêve.
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Because Alice was a whore
Alea Miller
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Féminin Pseudo Hors-RP : Loeva
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• Age : 29
• Pouvoir : Hocus Pocus
• AEA : Petit chat noir supposé etre mort calciné en 1692 répondant au nom de Cheshire.
• Petit(e) ami(e) : Officiellement, Baek In Ho, mais en fait, je suis amoureuse d'une ombre.

RP en cours :
- Des camélias[...] (Helen Machiaviel)
- FLIP THE TABLE (Ralph)
- La désobligeance[...] (Zack Fea)


Messages : 395
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Krahan - "Groumpf" _
MessageSujet: Re: Krahan - "Groumpf"   Krahan - "Groumpf" Icon_minitimeMer 9 Jan 2013 - 10:18

Alors, non, je trouve que ton perso fait un peu Garry-sue et puis //mur//

Moo je t’adore, ta fiche et trop cool, j’ai rien à redire (genre, de toute façon comme tu es modo, tu connais super bien P.I. donc je vois mal comment t’aurais pu te planter.) Et non, ôte toi cette idée de la tête, Alea ne couchera pas avec lui.


Ça me rappelle Les enfants de la terre de Jean M. Auel, c’est trop bien. Je suis contente de n’avoir rien trouver d’incohérent ( je suis pas pro de l’homme du Neandertal, mais j’ai lu quelques vieux livres, genre Les enfants de la terre, déjà cité ou encore les Ma mère la terre[...] de Sue Harrison, alors je suis quand même un minimum familière).

De récentes recherches (fin des années 2000) ont montré que l'homme de Néandertal était polygame et ne pratiquait pas le cannibalisme. 8D


Le cannibalisme c'est du cas par cas. Sinon pour les femelles, OSEF. Les gens s'épousent aujourd'hui, et pourtant sont souvent loin d'être monogame pour de vrai. ♥


Bref, t'es validée ( Encore ) . Bizou.
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Krahan - "Groumpf"

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