Image 1
Charles : J'avais treize ans et Ombeline dix-huit ans.

Image 2
Charles : Ombeline, c'était ma sœur, mais j'étais amoureux d'elle.

Image 3
Charles : Je ne sais pas comment, mais ça s'est fini de cette manière.

Image 4
Charles : Ça a duré deux mois. En fait, ça s'est arrêté à cause de ça :
Ombeline : OMG Sa fé 2 moi kjé pa eu mé ragnagna !!
OMGWTFBBQ ! Jeux ss en sainte !!

Image 5
Ombeline : Sérieu sa fé mâle dakouché ! Cass-toa é prends la goss ac toa !
Mais par-kontr jve kel sapel SAILOR MOON pk sé tro la klass, koa, lol, kikoomdr
Charles : Très énervée, elle m'a forcé de partir avec le bébé, sept mois plus tard.

Image 6
Charles : Bon, je l'ai appelée Lauralie et avec pour deuxième prénom Sailor Moon. J'ai vécu chez mes grands-parents en disant que j'avais trouvé le bébé.
La pauvre, elle était toute seule.
Grand-père : $4 MéT70n3 Pô. Y 4 k3 $4 5UR L4 R0ut3, J3n V04 TT L3 T3mp$.

Image 7
Charles : Et voilà.

Image 8
Perrin : Ok.

Image 9
...

Image 10
Perrin : Alors tu t'appelles Sailor Moon ? ...

Classé Confidentiel.


On me surnomme CI, je suis un homme…oui parce que C peut être le début de Clara …ou de Charles. Quand mon grand cousin et ami PI m’a demandé de venir jeter un coup d’œil a sa dernière invention, j’étais loin de me douter de ce qui allait nous arriver.

Jour X du mois de X

J’arrive de B***** ** , mon ami m’a dit que son château surplombait toute la foret, comme d’habitude il a exagéré... D’entre les herbes j’immergeai, mon chapeau sur la tête s’accrocha a une haute branche que j’arrachai a cet arbre.
Je frappai a la porte de l’immense bâtisse, en franchissant le seuil de cet ancien pensionnat je frissonnai. A peine j’eus posé mon pied sur le sol blanc nacré de l’entré que je perçus une immense course venant de l’escalier en bois de hêtre. Une touffe de cheveux blonds se jeta sur moi en sautant de la troisième marche.
-« C***** !!!!! Je sursautai au plafond en reconnaissant ma jeune cousine qui se blottissait au creux de ma poitrine. Elle avait ce visage d’ange farceur qui m’avait toujours fait rire….un jour comme les autres.
-« Hey …ma cousine comment allez vous ?
Avant que L **** n’eut répondu je me tournai vers sa mère, Ombeline, femme superbe qui m’embrassa chaleureusement. Son odeur sucrée me fit vibrer.
-« Alors mon ami ! Te voilà enfin ! Gronda mon cousin du haut de l’escalier imposant , la main posée sur la rambarde.
On m’invita a boire le thé, au coin du feu je portais ma tasse trop sucrée a mes lèvre sans vouloir boire le sirop que m’avait servit ma cousine farceuse…boisson imbuvable.
-« Alors j’ai une chose a te montrer veux tu ?
Sur ces mots sans attendre mon affirmation mon cousin P***** sortait sans m’attendre. Je le talonnait de près et tandis qu’il montait les marches du second escalier.

Le Grenier

Je fut agréablement surprit de voir a quel point le grenier ressemblait a celui de nos grands parents. Mon esprit vil et taquin me fit revenir sur nos espiègleries d’enfants. Le temps de me tourner vers la fenêtre que mon ami avait disparut dans la poussière étoilée de la douce lumière où baignait les objets vieillis.
-« Où êtes vous ?
Le plancher couvert de mouton grinça pour toute réponse. J’avançai doucement et avant que je n’ai put crier, je tombai dans un trou que je n’avais pas vu précédemment.
-« …..OUF ! Je me relevai, regardant autour de moi, j’étais a coté de mon cousin, dans une sorte de véranda illuminée de toutes parts.
-« Mais …qu’est-ce ? Demandai-je soufflé par la beauté des lieux.
-« Le début d’une nouvelle vie, et d’un nouveau monde.
Un pas léger se fit entendre au dessus de nous, ma cousine sauta dans le trou et me sauta dessus en riant.
-« ….c’est cela que tu voulais me montrer ?
-« Pas exactement….
J’avais l’impression de ne rien pouvoir saisir de cet homme aujourd’hui .
-« ….pourquoi m’as tu fais venir ? Lui demandais-je .
La Véranda

-« As tu peur mon bon C**** ?
Je frissonnai, sa voix était si calme et posée. Ma cousine était en train de se balancer dans une chaise a bascule, ses cheveux blonds ondulaient dans l’air frais et ressemblait a de l’or rayonnant.
Ombeline finit par arriver, elle déposa une plante auprès de la vitre, ses superbes formes gracieuses se dessinèrent quand elle se baissa. Puis elle vint enlacer P*** par derrière. Je vis l’expression de mon cousin passer du calme a la rougeur de l’envie.
-« Moi peur ? ….vous rigolez ! Articulai-je bêtement.
-« Alors …acceptes-tu de nous suivre dans ….notre projet ? continua mon cousin.
Je donnai alors ma réponse, incertain…mais après tout, les I étaient ma famille…la seule, peut importe ce qu’il allait arriver.

Ma cousine éclata d’un rire cristallin heureux.

~Un monde plus juste selon nos règles, des enfants …en sécurité, Oh mon Ombeline ….que ton rêve est doux et beau ! ~