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| Urgence [PV Edward Lee Faber] | |
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Sectaire iguano-stellairienne Petra Traümer
+ Pseudo Hors-RP : Mooney • Age : 29 • Pouvoir : Persuasion • AEA : Marmotte la Marmotte • Petit(e) ami(e) : EMRYS SULWYYYYYYN <3 RP en cours : LA VIE EN ROSE (Claris Linden) Messages : 1647 Inscrit le : 09/11/2008
| Sujet: Urgence [PV Edward Lee Faber] Ven 5 Déc 2008 - 22:51 | |
| Petra descendit dans la salle à manger du… pensionnat. Elle avait du mal à utiliser ce mot pour désigner ce qui lui servirait désormais de prison. Mais que faire ? A part attendre que quelque chose se produise, rien. Alors autant profiter du confort qu’offrait cet endroit si particulier, si étrange, si effrayant. Et comme elle avait faim, Petra décida de descendre prendre son petit-déjeuner. Son tout premier petit-déjeuner en cet endroit… Cette idée lui donna des frissons dans le dos. Elle arriva donc dans la salle à manger, une grande salle très belle, avec d’épais rideaux ocres, où flottait une odeur pesante de friture, ou de graisse peut-être. Mouef… Niveau confort, déjà un point en moins. Cependant, sur l’une des nombreuses tables était disposé une sorte de buffet très appétissant, rempli de fruits, de laitages, de jus, de céréales joliment présentées dans des bocaux en verre. Les propriétaires des lieux se rattrapaient. La jeune fille saisit un bol, le remplit de lait et de céréales au chocolat –ce repas avait un petit côté rustique pour la demoiselle venue de l’avenir- et s’assit sur une table circulaire, à côté, en portant son repas dans une main, une clémentine dans l’autre. Ce fruit avait un petit côté de fête pour elle, vu qu’il était devenu dur de s’en procurer dans certaines régions du monde à cause des pénuries alimentaires et de l’assèchement des sols cultivables. Elle était donc ravie d’en avoir pris une, et d’avoir commencé à l’éplucher. Son regard fut alors attirer par, de l’autre côté, une fiche jaune couverte de graffitis. Toujours en préparant son fruit, elle se leva et regarda ce qui était inscrit. Elle mit un certain temps à déchiffrer les gribouillis que l’auteur du papier avait écrit –elle n’avait pas l’habitude de lire souvent des textes manuscrits, surtout de façon aussi… coeuresque ! En effet, il y en avait partout : sur les « i », sous les points d’interrogations… A croire que c’était la chose la plus à la mode du moment dans cet endroit clos. Les gens devenaient fous rapidement, ici… Mais revenons au sujet de la feuille : un bal de Noël… Petra ne croyait pas en Dieu –la religion, qu’est-ce que c’était ringard !- mais appréciait l’ambiance de Noël. Les cadeaux, les fêtes, les réunions familiales… Tout cela était très mignon, et c’était adorable de la part de certaines pensionnaires de vouloir organiser une soirée en cette occasion. Mais… il fallait avoir un cavalier ! Petra ne connaissait strictement personne, et elle n’avait plus qu’une vingtaine de jours pour en trouver un… La grosse dèche… Le prochain garçon acceptable qu’elle verrait, elle lui bondirait dessus en lui demandant s’il est libre. C’est culoté, mais c’est la seule et unique façon que la jeune fille aux cheveux roses -qu'elle avait d'ailleurs relevé grâce à une grosse pince noire- avait pour se trouver quelqu’un. Tout en se rasseyant, elle fit mentalement la liste des critères nécessaires : beau, bien habillé, pas trop macho, drôle, bien élevé, sympa, pas encore cinglé... Il y avait au final une sacrée série de détails, mais elle ne désespérait qu’à moitié. En effet, elle comptait sur le slim noir qu’elle avait trouvé dans sa commode pour l’aider à se trouver quelqu’un. Ce jour là, elle l’avait assorti à un haut à manches longues bleu électrique et d’un sautoir en grosses perles noires, ainsi qu’une paire de bottes noires. C’était simple, mais sympa. Moderne, pas trop vieillot sans être totalement décalé du style des autres habitants du pensionnat. Mais y avait-il encore des garçons libres ? Telle était la question. Elle commença à plonger sa cuillère dans son bol de céréales, l’air un peu morne, après avoir fini son agrume, quand la porte s’ouvrit et que quelqu’un entra.
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| Sujet: Re: Urgence [PV Edward Lee Faber] Sam 6 Déc 2008 - 10:38 | |
| Lamentable...C'était le meilleur qualificatif qu'Edward put trouver pour décrire l'endroit. Certes, la demeure était sublime et les décorations étaient d'une rare qualité, mais quelle piètre idée de vouloir enfermer des gens en ce lieu et les forcer à dire que c'est simplement "un pensionnat". Et puis quoi encore ? Heureusement qu'on avait un accès sur un jardin sinon son voyage éternelle risquait d'être d'un ennuie...mortel. Après avoir fait un bref détour dans le château il trouva des chambres, et sans savoir si c'était à lui ou non, il entra dans l'une d'elle, se doucha, s'habilla avec les vêtements les plus potables et sortit, tout cela en un coup de vent. En traversant il regarda ses vêtements, si on pouvait appeler ça "vêtements" c'était plutôt des guenilles, mais il s'y sentait bien. Étrange pour un sang royale. Un pantalon aussi large que les chaussures qu'il avait mit, une chemise du même genre. Au moins, il pouvait pas se plaindre d'être trop serré, son jeans lui tombait sur les genoux, mais la chemise s'occupait de tout cacher.
Il vit une grande porte en bois qu'il n'avait jamais croisée auparavant. Peut-être la porte de la liberté ! Il s'approcha, tout de même lentement, puis la poussa. C'est ce qu'il pensait, la liberté n'était pas loin. Il se trouvait au Paradis même. La salle à manger. Un grand buffet y était installé, et, sans faire attention aux personnes présentes il y alla. Des fruits, des pétales de choses dont il n'avait jamais vu. Il avait fait un bond dans le futur, ce qui le mit mal-à-l'aise vu les circonstances. A chaque fois il lui arrivait des choses qui dépassait l'entendement. Par exemple, quelques heures avant d'être dans la salle, il était avait glissé dans le couloir et s'était ouvert la main, puis, juste après s'être relevé, la blessure était fermée et il n'avait aucune cicatrice. Et plusieurs choses comme ça se produisait en permanence, c'est d'ailleurs pour ça qu'il est un peu sceptique à l'idée de prendre une assiette ou une coupe en verre.
La main tremblante il se servit des fruits dans une assiette et partit s'assoir à une grande table. Quelques personnes mangeaient déjà. Quel manque de politesse, dans cette demeure c'était chacun pour soi, quel dommage. Le jeune homme s'assit donc peu après avoir remonté son pantalon. C'est alors qu'une longue réflexion fut. La pomme ou l'orange en premier ? On pouvait dire qu'il avait littéralement bloqué devant son assiette alors qu'un terrible combat intérieur faisait rage. Le vainqueur: La pomme. Edward la porta à sa bouche et mordit dedans sans chercher plus loin, pendant ce temps sa main se balada sur l'assiette...
Il murmura:
"Que vais-je pouvoir faire aujourd'hui ?...C'est bien beau de visiter, mais seul ça perd vite son sens..."
Il réflechit puis enchaina dans sa tête:
*Direction bibliothèque alors...que je cherche un moyen de quitter cet enfer...* |
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| Sujet: Re: Urgence [PV Edward Lee Faber] Sam 6 Déc 2008 - 12:04 | |
| Petra suivit du regard l’étrange personne qui venait d’entrer dans la pièce. Un jeune homme possédant une belle allure, une belle chevelure, un beau visage mais vraiment très mal habillé avec son pantalon trop large, sa chemise trop longue… Il ressemblait à un sac à patates qui tente de se faire beau pour pouvoir plaire. Toutefois après une petite leçon de style, peut-être qu’il serait présentable et plus si affinités. L’adolescente avait du mal à comprendre le système des commodes, qui donnaient des vêtements correspondants aux nécessités des gens –c’était ce qu’elle avait compris- mais peut-être que l’arrivant avait eu des difficultés à trouver ce qui lui fallait. Ou alors il avait vraiment des goûts dignes à partir vomir aux toilettes. Dans ce cas, elle pourrait s’amuser un peu… La jeune fille posa alors sa cuillère sur le rebord alors qu’elle n’avait pas même mangé la moitié de son contenu et se leva, pour partir en direction de Sac-à-Patates, qui hésitait entre manger une pomme ou une orange. Il finit par se rabattre sur le premier des fruits, mais le temps qu’il avait pris pour déterminer lequel il mangerait avait semblé disproportionné à Petra. Quel gars bizarre... Elle marcha vers lui, avec son habituel déhanché gracieux qui mettait en valeur ses hanches sans donner l’impression qu’elle n’était qu’une grosse dévergondée qui ne cherchait qu’à séduire –ce n’était pas entièrement faux, mais tout de même…-, une fois à sa haute, elle prit la chaise juste sur la droite de l’homme inconnu, la tira, s’y assit. Et ce très rapidement, sans lui laisser la possibilité de la refuser. Alors elle piqua son orange, et commença à l’éplucher d’un air nonchalant, comme si de rien était, et lui lança, sur un ton à la fois railleur et malicieux :
« Tu as trouvé tes vêtements dans la poubelle de qui ? »
C’était méchant, mais elle n’avait pas put résister, et elle s’était réellement demandée cela. N’empêche que c’était méchant. Marmotte lui avait fait parfois ce reproche : elle critiquait un peu trop les gens, un peu trop facilement. Mais à cette époque, Marmotte n’était qu’un animal issue de sa propre imagination, qui faisait ce qu’elle voulait, ce qu’elle avait envie, et la marmotte n’émettait aucune protestation vu qu’elle n’existait pas. C’était alors plutôt un reflet de son inconscient qui désirait lui faire comprendre que ce n’était pas superbe de sa part. Cependant, ce jour-là, elle n’avait pas réussi à s’en empêcher. Toutefois, elle le regrettait peu… Après tout, mieux vaut dire directement aux gens ce que l’on pense d’eux, non ? Et Marmotte n’avait pas reformulé sa pensée, alors qu’elle était devenue plus que réelle. D’ailleurs, où était-elle actuellement, cette petite boule de poils d’amour ? Très probablement en train de dormir ou de se promener dans l’immense parc qui entourait la propriété, le pensionnat, la prison. C’était étonnant comme ces trois mots, faisant apparaître dans l’esprit des gens des images très différentes, se ressemblaient par leur écriture. Le premier faisait penser à une belle demeure entourée d’un parc, où l’on fait des activités distrayantes. Le deuxième, lui, était associé à des jeunes gens réunis pour vivre ensemble dans un même endroit, où l’on s’entraidait, où l’on devenait complice.. Le troisième, lui, montrait clairement des images d’enfermement, de prison, de désespoir. L’endroit où se trouvait Petra et tous ses nouveaux « voisins » était en réalité un mélange des trois. Cette pensée, lui tira un frisson qu’elle cacha en plantant un regard rempli d’assurance dans les yeux de Sac-à-Patates.
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| Sujet: Re: Urgence [PV Edward Lee Faber] Sam 6 Déc 2008 - 12:59 | |
| « Tu as trouvé tes vêtements dans la poubelle de qui ? ». Cette voix phrase complètement inutile venait de sortir Edward de sa rêverie. Il se rappelait les matinées ensoleillées où il s'entrainait à Ian ou qu'il pourrissait la vie des femmes de chambres. C'était la bonne époque ! Alors que là...là il se coltinait une pauvre fille qui n'avait rien d'autre à faire que de critiquer des gens qu'elle ne connaissait ni d'Eve ni d'Adam...on croirait presque qu'elle était née pour ça.
Son style vestimentaire la gênait ? Tant mieux. Il ne voulait pas lui plaire. De surcroit, elle croyait l'embêter - et encore je suis gentil avec le terme- avec ses vieux sarcasmes. Nulle. La pauvre bête n'avait aucun talent pour ça, elle était inutile, c'est ça. Il le lui avait pas lancé un seul regard depuis le début de son introspection. Qui aurait envie de regarder une bête ?...
Il fut couper par l'ouverture des portes et l'arrivée d'un animal terrifiant, un animal qui l'avait suivit toute la journée dans les couloirs, un animal dont l'aura n'était pas étrangère au jeune homme, comme si il avait toujours là pour lui. Edward avait comprit que ce loup à poil noir était là et qu'ils resteraient ensemble. Apparemment tout le monde ici avaient des animaux comme ça. A chaque fois qu'il voyait quelqu'un suivit par l'un d'eux, il ne put s'empêcher de constater une flagrante ressemblance. Et lui ? Ressemblait-il à ce canidé sauvage ? Qui sait... La bête vint s'assoir aux pieds du jeune homme et grogna en fixant la jeune fille. Était-elle si laide que ça ? On lui a toujours dit que les "femmes" les plus moches sont celles qui se permettent le plus de choses. Pauvres filles...Paix à leurs âmes.
Il jeta le trognon de sa pomme qui atterrit droit dans l'assiette, puis lâcha un soupire las. Elle s'était pas gênée pour lui prendre son orange. La leçon était donc vraie... Un sourire forcé se dessina sur son visage et plongea son regard, un de ses fameux regards montrent bien qu'il était indomptable par une de ces personnes, dans celui de la fille. *oula...*, pensa-t-il. C'est quoi ces cheveux ? La pauvre veut tellement attirer l'attention qu'elle en fait souffrir ses cheveux. Quelle tristesse. Il posa sa main sur le loup qui cessa de grogner contre la demoiselle. Enfin, elle n'était pas si laide mais elle n'était pas belle. Un rictus le prit, comment pouvait-elle parlait de ses fringues alors qu'elle était dans un sale état. C'était clair, cette fille voulait attirer l'attention. A chaque mouvement de ses bras on aurait cru subir une attaque sonore tellement ses bracelets, moche, étaient bruyants.
Edward ravala son sourire et prit l'orange de ses mains pour poursuivre ce qu'elle avait commencée. Il prit une profonde inspiration avant de dire:
"Visiblement dans la tienne."
Le ton de sa voix trahissait son ennuie et sa pitié. Il leva les yeux au ciel, *Je hais ce genre de filles...* se dit-il comme si il n'en savait rien. Il avait l'habitude de ce genre de "pisseuse", c'était les mêmes qui venaient lui demander d'être sa femme pour régner avec lui sur le royaume. "Plutôt mourir", disait-il à chaque fois...
Dernière édition par Edward Lee Faber le Sam 20 Déc 2008 - 12:50, édité 1 fois |
| | | Sectaire iguano-stellairienne Petra Traümer
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| Sujet: Re: Urgence [PV Edward Lee Faber] Ven 19 Déc 2008 - 21:03 | |
| [Désolé du retard Et pour la taille aussi...] Petra enfournait un à un entre ses lèvres les morceaux de l'orange qu'elle avait piqué à Sac-à-Patates. Elle avait sauvé la vie de ce pauvre être aux goûts misérables en faisant cela : elle était infecte. Trop amère, peu fruitée... Berk berk berk. Cependant, elle se retint de tout recracher, afin d'éviter d'être vue comme une vulgaire paysanne du Moyen-Âge. C'est alors qu'un immense loup ténébreux fit irruption dans la pièce. La jeune fille aux cheveux roses ne put se retenir de frissonner, et tenta de garder le plus longtemps possible son sang-froid. Elle n'avait aucune envie de paraître gourde face à ce garçon stupide et mal fagoté. Toutefois une lueur de panique brillait dans ses yeux, et s'empêcher de hurler lui demandait toutes ses forces. Sac-à-Patates n'avait pas l'air d'avoir peur. Peut-être que c'était son... machin, là ! Son machin au nom super compliqué ! Bon, on va faire simple : sa Marmotte à lui, mais sauf que c'était un loup, un grand canidé [HS : Les loups de ne sont pas des félins, contrairement à ce que tu as mis ! ;) ] noir, terrifiant, en toute liberté. Son cœur battait de plus en plus vite, et tenta de se calmer au maximum, surtout que Sac-à-Patates la fixait désormais ardemment, avec un regard... Alors que la seconde d'avant, Petra était prête à s'enfuir en courant, elle avait soudain une forte envie de se jeter au cou de l'inconnu, de lui arracher ses horribles vêtements, de le chevaucher... hem ! Je passe les détails. Elle se ressaisit brusquement, réalisant ce qu'elle s'était mise à penser. Sûrement son... "pouvoir"... Ou alors avait-il déjà un regard si séduisant auparavant. Ses yeux semblaient sauvages, libres, indomptables... Des qualités qui attiraient rapidement les filles... Ce gars devait être un tombeur. Mais un tombeur vraiment très mal habillé. Sac-à-Patates posa sa main sur le loup -c'était donc bien son machin au nom super compliqué- qui se calma et cessa de grogner. La demoiselle ne put retenir un soupir de soulagement, et laissa l'individu à la tenue ignoble reprendre son immonde orange, et se préparer à la manger. Petra pensa, sur un ton fortement ironique :*Le pauvre malheureux... Niark niark niark...* C'est alors qu'il lui répliqua méchamment qu'il avait trouvé ses vêtements dans sa poubelle ! Sa poubelle à elle ! Le sale monstre ! Il était censé ne rien répondre, rester sur le derrière, s'énerver puis se résigner et se taper la honte de sa vie ! Et il avait réussi à déjouer ses plans ! Le fourbe ! Le sournois ! Le scélérat ! Le... Une fois que Petra eu usé de toute sa réserve de critiques dignes d'une belle châtelaine vivant dans un beau château fort, comme dans les livres qu'elle lisait quand elle était petite, son cerveau se mit à tourner très rapidement en quête d'une vengeance à la hauteur de l'affront qu'elle avait subit... Tout d'abord, elle ne prononça pas un mot, pour ne pas alimenter la source de railleries que risquait de lui faire Sac-à-Patates, et elle se leva, s'éloigna de son monstre à poils et de lui, et se rapprocha du buffet. Elle passa rapidement en revue ce qu'il contenait, et s'arrêta devant une coupe de fruits, et prit dans ses mains plusieurs oranges, les sentit, les tâta, puis en choisit une qui lui semblait bonne pour reposer les autres. Elle revint ensuite près de Sac-à-Patates et de son horreur de compagnie, se rassit là où elle se tenait auparavant, fit rouler l'agrume qu'elle avait prit vers lui et dit :"Tiens. En dédommagement. Celle-ci a l'air meilleure." Elle lui lança alors un immense sourire, montrant toutes ses dents joliment alignées, et continua :"Sinon... Tu es là depuis longtemps ?" Donner l'impression qu'elle voulait sympathiser avec lui... Technique simple, prévisible, mais superbe pour se venger. Elle comptait bien laver l'affront en l'humiliant plus tard. |
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