Divagation ou réalité ? [ Aérendir~ ]

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Une nouvelle journée venait de s’écouler. Elle avait encore parue interminable. Du moins pour Aérendir, cela faisait plus d’un moi maintenant qu’il avait atterrit dans cette bâtisse, et pour cause, le seul moyen qu’il avait pour regagner le monde qui lui était propre, consistait a trouver cette connexion dont beaucoup de livre parlaient. Cette connexion porte le nom de portail céleste. L’on raconte que ceux ou celles qui le trouvent peuvent passer d’un monde à l’autre. Peu de temps âpres son arrivée il avait commencé à retourner tout les ouvrage de la bibliothèque, histoire de se renseigné sur ce kil cherchait exactement. Apres quelques fours de recherches il tomba sur une fameuse description de ce portail. Ce dernier pour passé inaperçu au gens de ce monde avait prit la forme d’une simple carte. C’est donc cette carte qu’il cherchait depuis un mois. Il avait fouillé, retourné, ranger un nombre incalculable de pièces, il avait fait chou blanc. Plus il cherchait plus il avait l’impression qu’il y avait de plus en plus de pièces. Au cours de cette quête il avait rencontré des personnes qui venaient de mondes différents et qui s’étaient retrouvés coincés ici. Au fur a mesure il s’était construit sa propre hypothèse sur cet endroit. En lien tout les éléments il était arrivé a déduction que tout ce qui se passait ici était lié a la carte…et si cela se trouvait…en détruisant la carte, il n’y aurait plus cette force négative qui règne sur le pensionnat, empêchant quiconque de sortir. Mais pour l’instant avant savoir quoi faire de cette carte il fallait déjà la trouver. En regagnant ses quartiers, il réfléchit sur les endroits qu’il avait déjà visités et ceux ou il n’était pas encore allé.
Il n’avait pas encore visité l’aile Ouest du rez-de-chaussée. Il s’arrêta quelques instants. Il n’était pas encore trop tard, un rapide petit coup d’œil dans cet endroit histoire de faire le repérage du terrain pour le lendemain.
Il fit demi-tour et gagnant le grand hall, la ou partait les ailes annexes du bâtiment. Il arriva devant la porte de l’aile ouest.
Un peu du genre tète en l’air en se disant qu’il allait peu être trouvé la carte aujourd’hui, il se cogna contre l’encadrement supérieur. Pas facile d’être un semi-dragon et de mesuré 2.20 M dans un monde ou ce sont les humain qui y vivent d’autant plus que a certain endroit il devait plier ses ailes pour pouvoir passer. Il se bassa et franchir la porte tout en se frottant la tête pour essayé d’atténuer la douleur. Il parcourut le grand hall et passa plusieurs portes. Il s’arrêta devant une qui attira son attention.
En l’ouvrant il découvrit une cuisine… plutôt miteuse. Cela devait faire un moment qu’elle n’avait pas servit ou alors les cuisiniers devraient repasser la section hygiène de leur diplôme. Il eu un sourire en coin. Parfait ! Si c’était un lieu de faible affluence, il y avait de forte chance que sa carte se trouvent ici, il allait peu être rentré plus tard qu’a l habitude même. L’en droit était plutôt sombre. On ne voyait pas grand-chose.

"Va falloir mettre un peu de lumière ici"

Il tendit la main et claqua des doigts. Une longue flamme apparue au creux de sa main, éclairant une bonne partie des lieux. Il remarqua alors qu’il n’étai pas seul. Il y avait dans la pièce un humain en train de fumer ou du moins il ressemblait a un humain, ici on ne savait jamais trop ni sur qui ni sur quoi on pouvait tomber. Il leva son autre man en guise de salutation.

"Ne fais pas attention, je viens récupérer quelque chose."

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-"Va falloir mettre un peu de lumière ici."

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-"Wooooooh...!"

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-"Euh...Ouais, d'accord mais...Excuse-moi, mais t'es quoi au juste ?"

V

Apres avoir fait signe de salutation avec le jeune homme, Aérendir Commença a inspecter la pièce. Il s’avança. Il passa de l’autre copté du comptoir ou était assis le jeune homme. Ce dernier était en train de fumé. Décidément les humain étaient incorrigible en ce qui concernait la drogue, mais il faisait ce qu’il voulait, chacun est libre de ses choix.
Le semi-dragon fit glisser son doigt le long du mur, quand il l’enleva il était couvert de graisse noirâtre. Beurk ! il avait vraiment hâte de quitter ce taudis. Il devait trouver la carte au plus vite. Toute fois même sa flamme ne servirai pas a grand-chose, il fallait la rendre plus puissante. Son esprit fut attiré par le jeune homme qui l’interpella en lui demandant ce qu’il était. Un fois de plus cela ne faisait que se répéter, toutes les personnes qu’il avait croisées lui avaient déjà posé cette question.

"Tout le monde me pose cette question. Pourtant au vu de mon apparence il est facile de deviné que je suis semi-dragon. "

Il s’avança vers une cuisinière. Il espérait qu’il y ai encore du gaz pour que cela fonctionne. Il ouvrit les vannes et appuya sur claqueur. Des petites flammes bleues s’élevèrent des bruleurs

" Je vais finir par croire que vous les humain, n’avez jamais entendu parler de nous. "

Il tendit sa main vers les bruleurs et la leva dans les airs. Les petites flammes bleues se changèrent en grandes flammes jaunes orange, éclairant toute la pièce d’une couleur crépusculaire et d’une température douce. Maintenant que la lumière était faite les recherches pouvaient commencer vraiment. So regard rubis sa pointa sur le jeune homme

" Si tu as trop chaud n’hésite pas à me le dire "

Evidement lui il ne craignait pas ni la chaleur ni les flammes
Il se dirigea vers le premier placard qu’il vu et l’ouvrit. A son ouverture il respira une volute de poussière s’éleva ce qui le fit tousser à plusieurs reprises. Quand cela fut passé il se mit à inspecter l’intérieur de la commode. Il pouvait observer des ustensiles couverts de poussière. Des poêlons en cuivres complètement oxydée. Et certain couvert mal lavés, il se jura de ne jamais aller prendre ses repas dans la salle à manger. Un moins il y enviait Nina de ce coté la, pour ses repas elle n’avait pas besoin de sa casser la tète. D’ailleurs c’était lui se repas préférer. Au milieu de toute la vieillerie que contenais le placard il n’y avait pas de trace de la carte. Il referma les portes. A tous les coups c’était comme pours les poches : c’est toujours dans la dernière que l’on trouve ce que l’on cherche.

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