Y'a Quelqu'un ?! [Privée - Raoul Duke & Zveltlana Allesandrino]

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L'inévitable arrivât, le trou... Ou plutôt un trou noir. Une chute sans fin. Voilà ce que pensait Raoul, mais après une minute de chute libre, une idée lui vint comme un dé-clic, l'arrivée. Le sol, la terre, du béton, des pierres, des pics, un piège... Bref, tout ce que pensait Raoul lui faisait froid dans le dos, un seul miracle pouvais le sauver ce pauvre enfant en chute libre, mais bien sûr, ce serais impossible, sinon, pourquoi avoir creusé un trou. Non, Raoul le savais. Il allait mourir. Il repensait à tout et n'importe quoi, même au moment où il mit la tête dans les toilettes d'un garçon qui l'énervait au plus haut point. Il commençait à regretter le moment où il incendiât son collège, si cette vengeance ne lui était pas passé par la tête, il n'en serait pas là. S'il ne l'avait pas brûlé, il ne serait pas allé en prison pour mineur, il n'aurait pas connus ses bandits, il ne se serait pas évadé et il ne serait pas tombé dans ce trou, où une mort certaine l’attend. Après trois minutes de chutes, Raoul sentit qu'il allait tomber sur quelque chose. Et cette chose était... Un matelas bien confortable. Une petite larme coulais de ses yeux.

- Je suis en vie ! Et c'est confortable.

Des figures de gymnastique sur ce matelas, suivirent de sa chute. Il aimait la vie, oh cela oui il l'aimait. C'est terminé, pensait-il, il ne ferait que le bien et l'humour autour de lui. Mais un corbeau vint couper ses saut artistiques. Pourquoi un corbeau tournait-il autour de lui ? Serait-ce un signe, un signe de mors. Bien sûr que non, ce corbeau déféquât sur le mal-heureux.

- Ah... Merci, il ne manquait plus que ça !

Cela ne l'empêchât pas de rigoler. Il en rit. Il en rit jusqu'à en mourir. Il voyait la vie en rose.

Mais une étrange tâche d'un blanc mystérieux lui coupât son fou-rire. Il voyait une porte blanche, mais pas n'apporte qu'elle porte, une porte d'un style gothique, avec les vielles sonnerie comme on appelle maintenant, des magnifique mais terrible symboles et gravures étaient représentée dessus, il s'approchât comme tout humains curieux de connaitre la raison de se pourquoi et de contempler ses gravures. Plus il s'approchait de cette porte, plus sa vision s'éclaircit. $$$$$Le blanc laissa soudain la place à un environnement plus dégagé. Un lac visible au loin. Des jardins et des pelouses. Un belvédère. Et apparut le plus grand de tous : Un pensionnat, ou du moins, ce qui ressemblais d'un pensionnat. Il s'élevait fièrement, imposant, surplombant les autres constructions au alentour, dominant le panorama, avec ses deux ailes qui encadraient une cour de graviers et son entrée principale grande ouverte comme pour souhaiter la bienvenue. Raoul était émerveillé. On aurait dit une de ces demeures gothiques d'il y a des siècles miraculeusement transposée dans le présent. Il s'attendait en entrant dans le bâtiment, à voir un clocher au grand complet, avec Quasimodo en train de se balancer au bout d'une corde. C'était un bâtiment qu'on n'imaginait pas sans pièces dérobées et passages secrets, sans caves humides et aventures mystérieuses.
Il était sur le seuil de la porte, il levait la tête comme si il regardai le ciel pour voir la fin de la porte. Il prit la poignée de la pote et les portes s'ouvrirent automatiquement.

*Comme c'est original*

Il entra et se retrouva dans un petit hall d'entrée, d'où partaient dans toutes les directions des couloirs lambrissés de chêne, face à un grand panneau d'affichage. Il lisait tout haut ce qui était inscrit.

-Si vous lisez ces lignes déposées sur ce misérable bout de papier, c’est que vous venez de commettre une grossière erreur, certainement la plus grosse de votre vie.

*Et comment je pouvais savoir qu'il y avait un trous pauvre cloche.*

-Je vous souhaite la bienvenue, en tant que pensionnaire, dans votre nouvelle et éternelle demeure.

*Hein ! Quoi ! Comment ! Quesqu'il a dit ?!.*

-Ceci n’est nullement une farce de mauvais goût, je n’ai aucunement le temps de plaisanter, ni l’envie de rire. Vous allez bientôt vous rendre compte que cet endroit maudit vous retient prisonnier.

*J'ai déjà réussi une fois à m'évader, alors pourquoi pas une deuxième.*

-Est -ce de la magie ? La réponse à cette question est oui. Si vous ne me croyez pas, tentez d'ouvrir la porte, n'hésitez pas, j'ai comme vous, désespérément tenté de sortir des centaines de fois, en vain.

Après avoir lu ses quelques lignes, il courut vers les portes. Il essayait de les ouvrirs mais en vain. Il tapait sur ses portes faites d'acier et de métal. Ses poing se brisèrent, comme une vague qui se brise sur les rochers.

-Alors ? Convaincu(e) ? Bien...

-Pour éviter une perte de temps colossale, je vais retracer pour vous les grandes lignes de votre nouvelle existence. Sachez que ce pensionnait étant magique, il va falloir vous résoudre a croire à tout, même aux faits les plus invraisemblables.

-Ne paniquez pas si jamais vous faites vous-même des choses inexplicables : en entrant dans ce pensionnat, vous vous verrez doté(e) d'un pouvoir qui vous sera propre.

De plus, vous allez retrouver dans l'enceinte de cette prison, un ami que vous aurez oublié depuis quelques temps déjà, n'ayez donc aucune crainte si un animal vous parle, cela ne sera que votre alter ego astral.

Il sautait les dernières lignes, car il ne pouvait plus lire ce texte, écrit par le diable en personnes. C'est bon, il était sur maintenant... Il était mort... Mais des bruits de pas vinrent lui ôter cette idée de la tête.

Des bruits de pas, des bruits de chaussures à talon... Une femme ! Un grand sourire marquât son visage jusqu'à l'arrivée de cette dernière.

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D'un pas joyeux, Lana quitta sa chambre. Lorsqu'elle s'engagea dans le couloir, la jeune femme croisa un jeune homme. En fait, elle n'accorda pas trop d'importance à ce dernier. Elle n'en avait pas eu le temps. Tout ce qu'elle avait vu de lui était sa grande taille et ses cheveux d'ébènes. Au moment où elle avait refermée la porte de sa chambre, l'inconnu s'était engagé dans un autre couloir , elle n'avait donc pas eu le temps de mémoriser son portrait ou encore de croiser son regard. Dommage, ça lui faisait un ami en moins... Quoi qu'il en soit, la jeune Canadienne semblait d'une excellente humeur aujourd'hui. Vêtu d'une short noir lui arrivant à presque la mi-cuisse - il était évident qu'elle ne le portait pas pour se réchauffer, mais bien parce qu'il était confortable...- , d'une tee-short d'un rose bonbon dont le devant était décoré de friandises en tous genres ainsi que d'une paire d'escarpin noire. À croire qu'elle essayait de compenser sa petite taille... Mais non! Ce n'était pas du tout son genre!!! Étant une jolie fille, il lui était bien plus facile d'être petite que de ressembler à une asperge... En fait, elle avait choisi d'enfiler ces escarpins afin de pouvoir grimper plus facilement sur les rampes d'escaliers. Une raison comme une autre. C' est donc ainsi, que la petite nouvelle partie à la recherche d'une quelconque source d'amusement.

La demoiselle arpentait les couloirs en se trémoussant légèrement sur une musique imaginaire. Bon d'accord, pas vraiment imaginaire... Disons plutôt que Lana était victime d'un mal vicieux qui se repend à la vitesse de la lumière. Ce matin, en se réveillant, une mélodie c'était logée dans son esprit et depuis, rien à faire, elle refusait d'en sortir. Lana avait donc décidée de vivre avec elle pour la journée et avait choisi d'en tirer un minimum de plaisir. C'est donc mentalement que la jeune Canadienne chantait la création d'un groupe du pays voisin au sien...

Somebody call 911

Shawty fire burning on the dance floor

Kingston
Lets Go
Hey, hey, hey
Red One
Hey Hey

Shawty got that super thing
Hotter than the sun of south in spain
Got me soon as I walked through the door
My pocket started tickle-ing
The way she dropped it low that thang
Got me wanna spend my money on her, her

ALors que les paroles défilaient les unes après les autres, Lana traversait les couloirs les uns après les autres, déambulant avec une étonnante agilité, quand on sait qu'elle ne porte pas souvent de soulier avec de tels talons... Lorsqu'elle parvint à l'étage donnant au hall, la demoiselle se mit à danser de plus belle. Elle dégageait la joie de vivre, malgré son emprisonnement encore si récent. En la regardant, les plus vieux diraient d'elle qu'elle est pétillante, comme ces petites bulles de savons qui s'envolent au gré du vent pour éclater on ne sait où de façon amusante. Les plus jeunes eux, la voudraient sans doutes comme babysiter, ceux de son âge par exemple... Ça dépendrait de leur humeur. Mais pour le moment et comme toujours, Lana se fichait pas mal de qui pouvait la regarder. Elle se donnait donc encore une fois en spectacle! Mais bon, n'avez-vous jamais eu l'impression, lorsque vous êtes seuls,ou que vous croyez l'être, qu'en écoutant de la musique, votre vie devient un clip vidéo? Pareil que lorsque vous marcher dans la rue, les écouteurs dans les oreilles, la musique à fond. eh bien, en ce moment, alors qu'elle chantait dans sa tête, Lana avait l'impression de jouer dans un clip. Après tout, en la regardant, il fallait avouer que si elle l'avait vraiment désirée...Elle aurait sans doute put faire partie de plusieurs distributions Canadienne. Ses jambes magnifiquement entretenue par le sport, son visage d'anche, sa chevelure lui donnant des air de croqueuses d'hommes et son regard bleu....Que dire de son regard...Mis à part qu'il était impossible d'en trouver un semblable dans le monde, phosphorescent, et profond. À croire qu'elle vous fouille la tête lorsqu'elle vous regarde. Certains pourraient trouver ça troublant de se faire regarder comme une simple fenêtre... Mais heureusement, lorsqu'elle vous sourit, son regard prend soudainement vie et vous donne l'impression d'être la personne la plus importante sur terre. Et ça, tout le monde apprécie. Surtout les hommes... Ceci explique probablement le fait que tous ceux qu'elle ait rencontrés l'ait appréciée? Mais bon, en temps ''qu'amie des garçons'', n'était-ce pas normale?

She get it pop it lock it drop it,
That birthday cake,
Got a candle, need to blow that crazy flame away
Now take my red, black card and my jewellery
Shawty is cool like the fire,
Cool like fire

Somebody call 911..

Au moment ou le refrain allait se répéter, Lana s'arrêta. Son regard venait de croiser le charmant escaliers dans lequel elle était tombé et s'était faite écraser par sa valise. Une fois ces souvenirs désagréables passés, la jeune femme porta attention à la rampe qui accompagnait ces marches. La petite Canadienne se mordit la lèvres inférieure. Son portrait ne s'en voyait que plus séduisant. Une idée venait de remplacer les paroles de la chanson qui s'était incrustée en elle. la petite gamine en elle refit surface et Lana s'approcha de la première marche. Elle posa les mains sur la rampe et passa ''sagement'' la jambe par dessus celle-ci. Comme dans tous bons films pour enfant, Lana se donna une petite poussée et glissa le long de la rampe. Bien sûre, ceci se fit sous le rire de la jeune femme qui prenait un malin plaisir à faire des choses de ce genre. C'est à dire, des gamineries pour lesquels elle se serait sans doutes fait punir dans son enfance. Une fois arrivée au bout, la demoiselle descendit de son perchoir en un saut. Ce qu'elle vit en relevant la tête la fit sourire. Un nouveau! Haha! Ce n'était plus elle la petite dernière! Évidemment, Lana perdit bien vite le sourire. Allez savoir pourquoi, ah si, elle est super gentille, la jeune femme culpabilisait de s'être réjouit de l'arrivée d'un autre prisonnier. Après tout, ne venait-il pas de perdre sa liberté?

T'es pas cool Lana, c'est pas sympa... Il a peut-être de la famille dehors qui va s'ennuyer de lui. Peut-être même des gens qu'il aime!

Zveltlana secoua faiblement la tête pour chasser ses pensées et sourit de nouveau. Il fallait bien qu'elle se présente! Après tout, n'allaient-ils pas vivre ensemble pour un bon bout de temps? Bonjour la galère s'ils s'ignoraient! C'est donc d'une hatitude la plus positive qu'elle put que Lana se dirigea vers le nouveau venu.
-Salut! Moi c'est Lana.
Son regard dévia quelques secondes sur le babillard.
-Je devrais peut-être y ajouter un mot moi aussi...La population aurait peut-être l'air un peu plus normale...réfléchit à voix haute la demoiselle.Bref! Bienvenue dans....Ta nouvelle maison on va dire? T'inquiète, ceux qui ont écris ces mots ne sont pas tous fous...
La jeune femme conclu son discourt par un autre sourire, de sorte à anticiper la réaction du nouveau.Il était hors de questions qu'elle reste là s'il sombre dans al folie. Ho que non! Des chances pour qu'il lui saute dessus!

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Cette fille, cette fille était partie. Elle avait laissé Raoul tout seul. Même pas un mot de politesse ne pensait Raoul. Il prit un des longs chemins qui présentèrent à lui. Une fois arrivé dans ce couloir, la porte se refermât encore une fois.

* C'est pas possible, dès que je vais prendre un porte elle vas se refermé à jamais. Et si je vais dans les chiottes, comment je fais ? *

Bon, il marchait pour voir où il arriverait. Mais une musique le fit sursauté. Il reconnaissais cette musique. C'était Bad boys de Bob Marley.

Yeeaah ! Celui qui as mis cette musique me connais bien.

Il marchait, dans ses couloirs interminables. Quand un escalier se présenta, sans hésitation il descendit. Lorsqu'une belle jeune fille l'interpela.

-Salut! Moi c'est Lana.

-Salut Lana. Moi c'est Duke... Raoul Duke.

La jeune fille avait des yeux aussi bleu que la mer, elle était très jolie. Surement très gentil aussi.

-Bref! Bienvenue dans....Ta nouvelle maison on va dire? T'inquiète, ceux qui ont écris ces mots ne sont pas tous fous...

-Je crois que si, ils parlent de magies et de prison. Je ne veus pas y aller une deuxième fois !

Pendant que la musique continuait à tourner, Raoul et sa nouvelle amie Lana, parlèrent durant une éternité, mais comme ils avaient le temps maintenant. Raoul demanda à Lana de lui faire visiter le tour du propriétaire.

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Heureuse de s'être fait un nouvel ami, le jeune homme et elle en pruntaire un couloir pour ensuite se mettre à discuter de plusieurs choses. Comme Lana était encore nouvelle, elle n'avait pas put répondre à plurieurs des questions qu'elle avait pu se poser et que sans doute Raoul se posait en ce moment. C'est pourquoi la demoiselle n'avait pas abordée quelques sujets tels que ''pourquoi la porte lui était apparue'', ''Est-ce que les gens étaient vraiment sérieux quand ils parlaients de magie?'' par contre, pour ce qui était des ''amis du passé'' elle serait ravie d'en parler. Elle qui avait rencontré Bilboquet! SOudain, une fois avoir épuisés tous les sujets banales, son interlocuteur lui demanda de lui faire faire le tour du proprio. Ils étaient donc face à un problèmes.

Le tour de...Ça va être difficile. Je sais même pas comment m'orienter ici. C'est tout juste si je reconnait des portes! Je marche et c'est tout! Encore heureux qu'hier j'ai réussi à retrouver ma chambre...

Elle glissa sa main sous sa chevelure afin de se frotter la nuque. Ses doigts délicats glissaient lentement sur la peua chaude de son cou, ils ne pesaient presque rien et pourtant ce léger contact lui faisait un bien fou. Non pas qu,elle eut mal quelque part , ou qu,elle ait froid, sinon elle n,aurait pas mit ce short... Ça lui faisait simplement du bien. Mais...Elle se demandait comment. Oui...Comment aborder le sujet? C'était pas évident, surtout qu'elle se disait que ce Raoul s'attendait sans doutes à ce qu'elle l'aide. De quoi elle aurait l'air s'il ne pouvait rien fair epour lui? Si elle lui disait que bien qu'elle vive ici depuis au moins deux jours, elle en sachant pas comment se rendre à un quelconque endroit? Questions stupide, elle s'en fiche de quoi elle peut avoir l'air! L'important c'est qu'elle dise franchement ce qu'il en est. La virité c,est mieux que rien. Elle continua donc de marcher tout en regardant Raoul.

-Pour être franche, je sais même pas comment j'ai fait pour arriver à la même place que toi. Tout ce que je fais c'est marché et je finis par aller quelque part d'intéressant. Pour le moment, j'ai réussit à retrouver ma chambre et la cuisine a temps.

La jeune Canadienne délaissa son sourire de bonne humeur pour un petit sourire en coin qui disait ''navrée''. ÇA devait bien faire trois jours qu'elle était ici, ou moins? Mais elle n'avait pas encore réussi à se faire des repères. Elle continuait à errer dans les couloirs sans aucune destination précise. Mais bon, ce n'était pas comme si elle était pressée! Elle avait toute la vie pour s'habituée à cet endroit., toute sa vie pour se faire des amis, toute sa vie pour apprendre les autres solos de Travis...Toute sa vie pour apprendre à faire du moon walk et toute sa vie pour apprendre toutes les statistique des joueurs de la LNH. C'est vrai, ne pas avoir été enfermée ici, elle n'aurait jamais eu le temps pour faire ces trucs! Peut-être pas les plus utiles au monde, mais c'étaient des choses que Lana voulait faire et maintenant, elle le pourrait.

-J'ai vraiment aucun sens de l'orientation... Mais bon, j'ai tout le temps devant moi! Mais si tu veux, on peut continuer a se promener...J'ai rien d'autre à faire de tout façon!

Lana avait dit cela en souriant. Elle préférait trouver le bon dans sa situation que de s'apitoyer sur tous les inconvéniants et trucs chiants qu'amenait leur emprisonnement. Autant s'amuser et s'accomoder que de sombrer dans une dépression longue et pénible qui ne servirait strictement à rien.

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