Une sentinelle en pays étranger

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Des arbres, que des arbres tout autour. Pas la moindre trace de neige, de glace ou de toute autre matière froide aux alentours. Seule chose remarquable dans cette immensité verte un portail, isolé, tâche au milieu de flou vert. Autre point l’obscurité, le soleil peine à traverser les frondaisons de ces géants végétal. Mais malgré tout il fait chaud, un léger vent frais parcours les alentours rafraichissant à peine cet univers étrange.
Azekiel tel un mort en sursis se dirige vers ce portail, cette porte plus précisément. L’obscurité semble cacher ce qu’il peut y avoir derrière. Peut lui importe la curiosité l’emportant sur la morosité il se dirige vers elle. Peu lui importe que miraculeusement qu’il ait guérit de ses blessures qu’il soit en vie alors qu’il était à un doigt de la mort.
Tout se qui l’importe à présent c’est de pousser cette porte. Tel le papillon de nuit qui se rapproche continuellement de la flamme, peu lui importe ce qui arrivera à ce moment, qu’il meure ou vive importe peu.

Voila il y’est. Les mains sur la porte, une étrange sensation le parcours. Comme un équilibriste prêt à s’élancer, la mort l’attend surement cette porte.
La porte bouge sous la poussée, une partie de son esprit –cette partie perpétuellement rationnelle que rien n’affecte- note qu’il penserait l’effort de pousser plus dur.
La porte est grande ouverte, un hall d’entrée se dresse derrière. Sur un des murs une sorte de panneau d’affichage. Il s’avance avec la conviction que ce seront ces derniers pas. La porte se referme derrière lui. Il n’essaye même pas de voir si elle peut se rouvrir. Que lui importe s’il est enfermé.

Un bruit, léger mais persistant. Un bruit de pas sur le sol carrelé du hall. Son ouïe exercée de sentinelle reprend le dessus, réflexe de son subconscient. Le bruit provient de pattes, animal sans aucun doutes, vu la fréquence, quadrupède, félin surement.
Ainsi voila donc le visage de la mort. Azekiel se dresse fièrement. Dernier réflexe du condamné devant son bourreau.
Le bruit se rapproche … plus près, encore plus près … il va sortir du couloir de droite…maintenant.

Un seul mot sort de sa bouche à se moment « Bektas ». Si ses yeux froids habitués à la neige pouvaient pleurer, sans doute toutes les larmes de son corps auraient coulé à ce moment.
Même avec le recul il ne sait toujours pas comment il arriva au contact du tigre.
Son premier souvenir de ce moment est le contact avec la fourrure soyeuse et si douce de son Compagnon. Et puis l’impression de redevenir quelqu’un. Avant il n’était qu’une part, un être morcelé. Là il est complet, enfin les deux moitiés sont réunies.
C'est donc blotti contre elle, comme au bon vieux temps, lorsque le blizzard criait sa rage autour qu'il s'endormit près d'elle à même le sol.

Un jour, un de plus, et des plus banal qui plus est. Il c’était bel et bien trompé sur le compte de cet endroit, il commençait a fermement s’ennuyer, Il avait beau chercher parcourir le pensionnat en long en large et en travers. Il n’avait rien à faire. Au début c’était amusant, mais a la longue, c’était vraiment devenu répétitif… la seule distraction qu’il avait c’était combattre contre sa rivale-amie fétiche, mais a chaque foi le match se résolvait pas le même résultat : Match Nul…. La seule chose qu’il avait a faire pour ne pas sombrer dans l’ennui total c’était : dormir. La vie simple n’étai pas faire pour lui, Normal pour un esprit de combat.

Il avait passé son après midi dans le parc, dans l’espoir de trouvé ce fameux « gardien de la foret » dont on lui avait parlé. Aprement il y avait quelque chose a ce sujet la sur le panneau dans l’entrée qui avait un caractère très offensif dans les propos. Le seul ennui c’est qu’il ne comprenait pas l’écriture humine. Mia sis cela pouvait aboutir a un défit de taille contre cette créature au final, inutile de s’en priver.

Une nouvelle fois donc il allait et venait dans les couloirs de cette immense bâtisse sans rencontrer me qui vive. Et pourtant pour une fois c’était en pleine journée, vraiment chose curieuse, dommage pour une fois il était de bonne humeur et n’aurait pas toisé les humains comme a son habitude, On pouvait l’entendre arriver si on prêtait une oreille attentive, a cause du gros grelot qui bougeaient selon les mouvements de sa queue.
Il arriva enfin dans le couloir qui menait au hall, même si il était sur de ne rien comprendre a l’écriture humaine, il allait essayer de faire son possible pour déchiffrer et percer même le moindre petit in indice. En arrivant en fin dans la hall d’entré il remarqua que quelque chose était affalé sur le sol a l’étage inférieur.

"Allons bon…"

En fait en regardant de plus prêt c’était deux choses. L’une avait l’air d’être un animal, mais de la ou il était il ne distinguait pas bien de quoi il s’agissait, et pourtant il avait une impression familière.
Quand il regarda l’autre ses yeux a la teinte couleur rubis s’écarquillèrent. Pas possible ! Il avait pensé a quelque minute a sa rivale fétiche Selenda, et la il se retrouvait face a un autre elfe dans le même genre qu’elle. Un elfe aux cheveux blancs. Sauf que contrairement à elle il ne possédait pas de bras mécanique. Il descendit les marches pour les observer de plus prêt. Il comprit alors d’où venait cette expression familière concernant l’animal, il s’agissait d’un tigre blanc. Il esquissa un sourire, même si il était un Shikigami ( un esprit de combat) il avait lui même clairement les attribut d’un tigre blanc humanoïde, et la preuve en était fait avec le nom de la famille auquel il était assigné, « Byakko » pouvait que le prouver… et pourtant on le prenant souvent pour un chat ce qui l’excédait au plus au point. C’était tout de même pas difficile de faire la différence. Il préféra les laisser se reposer tout les deux, il avait l’impression qu’ils venaient de loin. Et devaient certainement avoir besoin de repos.
Il les contourna et se dirigea vers le panneau d’affichage ou il se pencha pour regarder de plus prêt. Il y avait plusieurs notes mais toutes en écriture humaine… le voila bien avancé, la traduction allait s’avérer difficile…très difficile.

"Pour une fois je ne regretterais pas la présence d’un humains… "

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Comme toutes les sentinelles ou guerrier de sa trempe Azekiel même au plus profond de son sommeil ne dort toujours que d’un œil. Déformation professionnelle on pourrait dire, surtout en territoire étranger comme ici. Aussi le son du grelot le réveilla quasi instantanément.
Surtout ne rien laisser paraître. Les yeux toujours fermé l’elfe suivit mentalement le parcours de « l’intrus ». Tous d’abord le son provient d’en haut, bien plus haut que le niveau du sol, un étage surement. Le bruit cesse légèrement, l’individu est à l’arrêt. Il le regarde, cette impression que l’on pose sur vous un regard perçant, très utile au milieu de nulle part ce « sixième sens ».

Citation :: "Allons bon…"

Il parle et je le comprends, le commun basique semble avoir lieu dans cette bâtisse.
Le mouvement reprend, saccadé, un escalier, l’escalier qui est dans son propre dos. L’être descend le pas semble régulier bien qu’étouffé. Pas étouffé, amorti par quelque chose. Un félin, c’est un félin qui descend. Un, deux, trois… trois ? Pas de troisième pas, la cadence est celle d’un bipède ?! Un félin sur deux pattes ? Qui en plus porte un grelot ?
L’individu passe à côté, bien un bipède. Le son de grelot est amené suite à un balancement, au bout de la queue surement. Donc le résumé : Un félin bipède, qui porte un grelot au bout de queue annihilant tout effort de la créature de rester discrète ?
Dans cette « maison » les créatures y habitant sont elles toutes aussi étranges ».
L’être le dépasse pour aller s’attarder sur …le mur à l’opposé.
Il semble y rester, ne plus en bouger en tout cas. Il l’examine surement.

Citation :: "Pour une fois je ne regretterais pas la présence d’un humains… "

Azekiel se leva lentement sans le moindre bruit tout du moins en essayant. Il détacha sa lance de son dos par précaution. L’être devant lui est effectivement un félin, un tigre blanc précisément. Habillé, bipède et effectivement avec un grelot au bout de la queue adjoignant à sa présence un constant bruit.
Cette créature ne l’ayant pas attaqué lors de son sommeil, il semblerait qu’elle soit vouée à de bonnes intentions. Aussi l’elfe s’efforça de ne pas lui passer sa lance à travers le corps.
Visiblement la créature qu’elle quelle soit souhaite lire les inscriptions du panneau. Toute parlante qu’elle soit, la lecture ne semble pas être son principal atout.
La langue sur le tableau d’affichage est effectivement un dérivé humain. Pas compliqué à lire mais les messages n’ont en soi que peu d’intérêts.
Bektas ! D’un mouvement de tête il regarda son immense tigre, harnachée comme en patrouille, les lignes magiques de son corps luisant comme si rien ne s’était passé. Ce n’était donc pas qu’un simple rêve, elle était bien là.
Son attention se reportant à l’être il rangea sa lance, prêt à dégainer si besoin est.

Que veux tu savoir ? Je lis la langue affichée sur ce panneau.

Que veux-tu savoir ? Je lis la langue affichée sur ce panneau.

Il fit volte face au son de la voix. L’elfe dormant part erre venait de se réveiller. Selenda l’avait prévenu, Les elfes avaient tendance a dormir d’où seul œil, comme les chats. Comme avant-il pu l’oublier ? Il était presque aussi grand que lui a quelques choses prêtes. Il ne semblait avoir l’air offensif bien que armé, contrairement à Selenda il avait les yeux complètement blanc, drôle de contraste entre les siens couleur rubis.

"Tu sais lire l’écriture humaine ? Enfin quelqu’un qui n’est pas inutile ici."

Il se recula d’un pas du panneau. Et le désigna d’un signe de la tête

"J’ai entendu dire qu’’’il y avait une créature, plutôt puissante dans le parc, apparemment y a des info la dessus, et ca m’intéresse."

Son grelot ponctuait d’un tintement la fin de ses phrases. Il se demanda qu’’elle tête pouvait avoir se fameux gardien, et de quelle niveau il pouvait être créature pour être redoutée par bon nombre de personnes. En tous cas lui il n’avait pas peur, il avait déjà défait des créatures bien plus grandes et bien plus fortes que lui, son secret, un mélange de ruse et de force. C’est pur ca qu’il n’avait jamais perdu un combat et était un des shikigami les plus convoité par les humains. Le rang 4 ce n’était pas n’importe qui pouvait se l’offrir. Mais que ferait-il une fois que la créature serait défaite ?... ah peu être une idée il n’avait pas encore sondé les tréfonds du lac. Il y trouverait certainement quelque chose d’intéressant. Et en y repensant il n’avait jamais été au plus profond de la cave. Voila qui l’occuperait pendant quelques temps ?

"Alors qu’est ce que ca dit ?"

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Drôle de créature. Un chat, une panthère même à en croire la taille et le pelage, capable d'être surpris. De toute sa vie jamais il n'avait vu un tigre blanc, ou bien une panthère des neige se faire "surprendre" par quelqu'un. Ses yeux si rouges semblent déplacer dans ce corps au pelage blanc. Un tigre bien étrange.

Citation :: "Tu sais lire l’écriture humaine ? Enfin quelqu’un qui n’est pas inutile ici."

Quelqu'un ? Ainsi tu n'es pas le seul être de ces lieux ? Intéressant, sont ils tous comme toi ?
Quant à tes messages ...

Citation :: "J’ai entendu dire qu’’’il y avait une créature, plutôt puissante dans le parc, apparemment y a des info la dessus, et ca m’intéresse."

Azekiel survola les messages sans leur apporter le moindre intérêt jusqu'à tomber sur le seul parlant d'une créature et d'un parc ou plutôt en réalité. Les autres écrits n'étant que de peu d'intérêts l'elfe ne prit même pas la peine de les lire à voix haute.

Voici donc ce qui est écrit dans ton message :

"Voyageur perdu, je n'ai que faire que tu sois enfermé ici.

J'écris ces mots pour vous apprendre ce qui se trame dans la forêt de ce pensionnat.
En effet, dans ces bois, se trouve un fantôme qui est devenu gardien de ce lieu mystérieux.
Ce fantôme n'est autre que moi-même. Je viens ici pour vous prévenir que si jamais vous vous en prenez a la moindre parcelle de ma terre ou a un de ses habitants, la dernière chose que vous verrez sera mon esprit en train de vous assassiner.
Que les choses soient claires : vous n'avez aucun intérêt à venir en ennemi chez moi.
Je vous indique aussi qu'il est fortement déconseillé de se balader dans la forêt en période hivernale, car si le reste de l'année, je protège les randonneurs des animaux de cette forêt, lors de ces périodes, j'autorise la chasse aux hommes.
Je pense avoir été clair et je vais donc m'arrêter d'écrire ici.

Le gardien de la forêt."

L'elfe se tourna vers l'être à fourrure pour voir ses réactions au message.

Quelqu'un ? Ainsi tu n'es pas le seul être de ces lieux ? Intéressant, sont ils tous comme toi ?
Quant à tes messages ...

“Je suis loin d’être le seul, la plus part son des humains."

Il se demanda si son interlocuteur avait comme Selenda, aussi un aversion pour la race humaine. Elle était farouchement militante contre. L’elfe lui récita a haute voix ce qu’il y avait d’écrit. A la fin de son récit il porta un de ses poing sous son menton, comme si il réfléchissait a quelque chose. C’était un message très direct. « La dernière chose que vous verrez sera mon esprit en train de vous assassiner hein » ? ca ca restait a voir. En quel honneur ce prétendu gardien avait le droit de vie ou de mort sur quelqu’un ? Et surtout avec le nombre de personne qui se retrouvaient injustement enfermées ici, ce ne serait que juste retour des choses de faire ce que bon semble.

"Mouais… je suis pas super convaincu… un tour dans cette foret, s’impose… n’étant pas humain, je ne vois pas ce que j’ai à craindre"

A vrai dire il n’avait jamais rien crains, tête brulée comme il est, il avait toujours réussi a se sortir des situations, mêmes les plus extrêmes. Ce n’était pas aujourd’hui que ca allait commencer. Son regard se posa de nouveau sur l’elfe

"Je te remercie pour ton aide."

Plus il le regardait plus il se posait de question a son sujet, et cherchait a faire d’éventuels rapprochement avec Selenda. Il s’avança un peu plus prêts de lui

"Tu est un elfe c'est bien ca ? Je connais quelqu’un comme toi ici, tu lui ressemble un peu, d’où tu viens ?"

Il ne savait pas d’où Selenda venait vraiment. Vu qu’avec son pouvoir de téléportation, elle allait sans cesse de monde en monde. Le seul indice qu’il avait c’était que leur sang étaient d’une teinte violette avec des reflets bleutés, Il l’avait vu lors de leur combat « amical » qui avait faillit mal tourner d’ailleurs. Une chose est sur quand il reverrait le jeune elfe, il lui parlerait de cette rencontre. Deux êtres de la même race non humain, certes peut être pas du même monde, devaient forcément se rencontrer. Il réalisa soudain, qu’il avait oublié quelque chose.

"Je manque à tous mes devoirs, mon nom est byakko no Kogenta"

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Citation :: “Je suis loin d’être le seul, la plus part son des humains."

Ainsi des humains se trouvaient même ici. Pas que l’elfe avait quelque chose les humains. La plupart pouvaient être aimable et l’élite raciale elfique que certains parmi son peuple prônait le faisait bien rire. Pour lui toute personne respectant le grand glacier où il vivait méritait du respect, peu importe sa race. Par contre honnis soit qui a le malheur de ne pas respecter la nature. Qu’ils soient humains où de n’importe quelles races, la vie sur le glacier à une règle simple, respecte ses souhaits et il te permet de vivre. Ceux qui ne savent pas entendre ses murmures et qui refusent l’aide de ceux qui le peuvent mérite leur mort enseveli sous les couches de neiges.

Citation :: "Mouais… je suis pas super convaincu… un tour dans cette foret, s’impose… n’étant pas humain, je ne vois pas ce que j’ai à craindre"

Il semble être le protecteur de ces bois, que tu sois homme où quoi que ce soit d’autres, celui qui défie la nature ou bien la martyrise ne mérite pas la survie. Si tu affrontes la terre ne t’étonne pas si tu perds.

Azekiel s’écarta de l’être et se mit à faire le tour du hall. De caractère assez calme il n’aimait pas les propos fanfaron et ouvertement agressif que pouvait dire les autres. Généralement tous finissaient par en payer le prix. Surtout ceux luttant contre la Nature. La Nature ne peut être battue, comment un seul être peut il vraiment espérer battre le sol qu’il foule ou l’air qu’il respire. Trop de gens qu’il considérait des amis ont un jour voulu affronter le glacier, chacun persuadé de sa propre force. Nul n’est jamais revenu clamer sa victoire.

Citation :: "Je te remercie pour ton aide."

"Tu es un elfe c'est bien ca ? Je connais quelqu’un comme toi ici, tu lui ressemble un peu, d’où tu viens ?"

Oui, il était bien ce qu’on appelait un elfe. Mais un autre, comme lui ? Un autre elfe provenant du glacier ? Etrange coïncidence. Lui qui d’habitude évitait la compagnie de ces congénères ici chercherait bien quelqu’un avec qui partager des souvenirs, la nostalgie du pays… jamais il n’aurait pensé en souffrir. D’une autre côté jamais il aurait pensé le quitter, surtout pour se retrouver …ici.

Citation :

Enchanté Byakko no Kogenta. Mon nom est Azekiel Mortdame. Je viens … je viens de très loin me semble t’il. Du monde des vivants peut-être ? Je suis mort, Bektas l’est aussi et pourtant …elle et moi sommes ici bien vivants. Et pour répondre à ta question je suis bien ce que les autres peuples appelez elfes. Nous nous désignons plutôt comme les serviteurs et défenseurs du Grand Glacier. C’est là d’où je viens, aucune idée de l’endroit où cela se trouve par rapport à ici. C’est un monde tout blanc, quelques arbres résistants dignement au froid se dressent de temps en temps, mais la glace recouvre tout. L’air y est frais, pas comme ici avec cette chaleur, le soleil est tout le temps là l’été, l’hiver est une nuit entière où personne n’entrave le sommeil de la terre.

Il semble être le protecteur de ces bois, que tu sois homme où quoi que ce soit d’autres, celui qui défie la nature ou bien la martyrise ne mérite pas la survie. Si tu affrontes la terre ne t’étonne pas si tu perds.

Il s'éloigna quelque peut juste après ces paroles. Le sens de ses paroles faisait un peu ce quelques humains catégorisaient comme « écolo ». Il croisa les bras sans le quitter du regard une seule seconde pendant que ce dernier faisait le tour du hall, avant de se présenter a son tour

Enchanté Byakko no Kogenta. Mon nom est Azekiel Mortdame. Je viens … je viens de très loin me semble t’il. Du monde des vivants peut-être ? Je suis mort, Bektas l’est aussi et pourtant …elle et moi sommes ici bien vivants. Et pour répondre à ta question je suis bien ce que les autres peuples appelez elfes. Nous nous désignons plutôt comme les serviteurs et défenseurs du Grand Glacier. C’est là d’où je viens, aucune idée de l’endroit où cela se trouve par rapport à ici. C’est un monde tout blanc, quelques arbres résistants dignement au froid se dressent de temps en temps, mais la glace recouvre tout. L’air y est frais, pas comme ici avec cette chaleur, le soleil est tout le temps là l’été, l’hiver est une nuit entière où personne n’entrave le sommeil de la terre.

Il hocha la tête sur le coté l'air perplexe , il avait du mal a le suivre. La seul chose qu'il avait bien saisit c'était son nom et le genre de monde d'ou il venait. Il arrivait s'imaginer un monde que de glace, bien qu'il n'avait connu que les simples montagnes da la terre chez les humains. Mais au moins il avait la certitude qu'il ne venait pas du même endroit que Selenda, en les comparant physiquement il faisait quand même plus sauvage qu'elle bien que les attributs étaient assez similaire. Mais pour le lui que les jours et nuit durent toutes une saison ou que quelques heures chez les humains, ca ne faisait pas de différence, il n'avait pas vraiment la notion du temps

" … je ne connait pas ce monde... jamais entendu parler... pourtant je vois très bien a quoi ca peut ressembler"

son attention se retourna pendant quelques secondes sur l'affichage dont il connaissait désormais le sens, il en eu un froncement de sourcil. Avant de diriger une nouvelle fois son regard sur l'elfe

"Alors selon toi je ne suis de taille ? Mpff Je n'ai jamais perdu un seul combat, et ce depuis plus de mille ans, et c'est pas aujourd'hui que ca va commencer... pour moi c'est une provocation"

il désigna le note sur le tableau d'un signe de la tête.

"cette baraque qui ne sert a rien, pièges des êtres de leur liberté, alors ce n'est qu'un juste retour des choses que d' éliminer la source du problème."

Il savais que que le clé au mystère de cet endroit se trouvait justement au fond de cette foret, on n'y met pas un sois disant gardien pour faire joli, il y avait une autre raison a tout ca.

"y a rien de naturel a tout ce qu'il se passe ici, et c'est un esprit qui te le dit... oui je suis un Shikigami."

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