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 Al Whelan [fini]

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Al Whelan [fini] _
MessageSujet: Al Whelan [fini]   Al Whelan [fini] Icon_minitimeMar 14 Aoû 2012 - 3:39



* Al Whelan


*nom –De Galles
*prénom – Alexander
*age – 19 ans
*né(e) le – 12 décembre
?

Pouvoir
Utiliser le pouvoir caché dans les cartes : à son arrivé au pensionnat, il va se mettre à retrouver des cartes de tarot ou de jeux qu’il a faites dans le passé, mais pas aussi fréquemment qu’il pourrait le vouloir. En chacune d’elle est enfermé un pouvoir qu’il devra apprendre à maîtriser. Le dessin ou le nom de la carte est un bon indice de son pouvoir, mais l’effet peut aussi être imprévisible. Mais, pour libérer la puissance d’une carte, Al doit utiliser sa propre énergie. Mal de tête, fatigue et fièvre sont trois des effets secondaires possibles. Il se peut aussi que le jeune homme se mette à cracher du sang ou s’effondre littéralement à bout de force s’il abuse trop de son don. La seule carte qui ne lui prend pas une seule goutte d’énergie, c’est c'elle qui renferme son AEA.

Alter Ego Astral
Al a pour Alter Ego un beau serpent doré de… 171 cm précisément, sans la langue. Donc, ne venez pas trop l’embêter! En fait, le serpent est, la plupart du temps, bien confortablement caché dans sa carte. Il est doué de parole et aime bien sortir des proverbes ou des phrases philosophiques.

Passions
Al adore l’art et est remarquablement doué en ce qui concerne les domaines du dessin et de la peinture, mais il aime aussi jouer aux cartes ou en fabriquer. Il affectionne la lecture autant qu’il aime la découverte et adore essayer de nouveaux styles, de nouvelles choses.

N'aime pas / Phobies
Jamais (ou alors très rarement) il ne montrera une œuvre inachevée, justement parce qu’il déteste ça. Il a également horreur que quelqu’un agisse de façon supérieure juste parce qu’il a eu la chance d’être de noble naissance. Sa plus grande peur reste toujours de perdre un être cher et il répugne à briser des promesses.



« Un art qui a de la vie ne reproduit pas le passé ; il le continue»


Histoire

Al, ou plutôt Alexander De Galles est né un 12 décembre dans le petit château du comte Victor De Galles, dans le royaume du même nom, en Grande-Bretagne. Et oui, un jeune noble. Il connut une petite enfance heureuse et toutes les servantes de son père chantaient ses louanges, ce qui n’était pas vraiment pour plaire à son aîné, Sébastian. Pourquoi une telle adoration? Il était un bébé calme, jovial, assez intelligent et, surtout, il ne donnait pas du fil à retordre à ces dames dévouées comme le faisait son frère aux tendances de garnement. Bref, un vrai petit ange. Le seul hic était son apparence : ses cheveux étaient roux, non plutôt tirant sur le rouge, or ses deux parents avaient de beaux cheveux… bruns. On mit cette étrange anomalie sur le fait que la mère avait plusieurs ancêtres Irlandais. De plus, il ne ressemblait pas vraiment à son père.
Bref, le petit grandi heureux et son grand frère cessa vite d’être jaloux de son cadet. Les deux compagnons de jeu s’entendaient assez bien. Mais, Alexander préférait toujours la bibliothèque, où sa mère se plaisait à lui lire tous les livres de son choix, au cours d’escrime que leur imposait leur père. Lorsqu’il eut un peu plus de 5 ans, le petit Alexander fit la rencontre de Rodan Whelan, un peintre qui venait fréquemment dans le château et dont les œuvres venaient embellir les murs de la riche demeure, œuvres qui avaient su attirer autant le regard que l’admiration du jeune garçon. Le peintre, voyant l’intérêt du gamin, prononça une phrase qui allait marquer la vie de ce dernier : souhaites-tu que je t’apprenne?
Depuis ce jour, le petit est devenu comme un apprenti pour le peintre, non même bien plus, comme un fils. Pour l’enfant, cet homme replaçait son père trop souvent absent. Alexander se révéla assez doué comme apprenti et le peintre aux cheveux rouges vint à lui apprendre plus que la peinture. Il lui inculqua des valeurs, des principes de vie, lui parla des autres contrées et lui apprit à se conduire en gentleman. Mais, surtout, il lui parla de l’Irlande et lui enseigna même un peu le gaélique.
Mais, il y avait une autre raison à leur bonne entente outre le simple partage d’une passion : si on les regardait ensemble, on aurait pu remarquer leurs si frappantes ressemblances, le jeune étant presque le portrait craché de l’adulte. Malheureusement, cette ressemblance n’était point fortuite. En effet, le véritable père d’Alexander était Rodan.
Al avait 8 ans à peine quand son père le vit pour la première fois aux côtés du peintre, peintre qu’il engageait depuis environ 10 ans. Leurs ressemblances le frappèrent tellement qu’il comprit : sa femme avait eu une aventure avec cet homme. Fou de rage, il fit enfermer l’homme dans le donjon et l’enfant dans sa chambre. N’y croyant pas tout à fait d’abord, il demanda à sa femme des explications, ou plutôt, la força à avouer. Exaspéré (sa réputation allait en prendre tout un coup si on apprenait qu’il n’était même pas capable de se faire respecter par sa femme), il fit en sorte que le jeune adultérin ne sorte pas trop des limites du bâtiment et essaya de cacher l’affaire. Quant au peintre, jamais Alexander ne le revit. Il avait supposément été relâché avec l’interdiction de revenir dans ce comté. Mais, comme tout et malgré les efforts du comte Victor De Galles, l’existence de la trahison et de l’enfant finirent par être connues. Les seules raisons qui empêchèrent l’enfant de 8 ans de se faire mettre dehors furent les pleurs incessants de sa mère et son talent incroyable de la peinture, qu’il avait su développer grâce à son véritable père. Il était nourri comme un simple serviteur de caste inférieure et devait peindre pour le compte de celui qu’il avait toujours cru être son père, mais ne fut point jeté à la rue comme le comte aurait volontiers fait avant les supplications de la mère, qui malgré sa trahison, gardait une place dans le cœur de son mari. Cette femme, qui à l’aube des 11 ans de son fils s’était éteinte. Dès lors, le veuf fut plus sévère avec l’orphelin, mais décida de ne point se passer de ses services.
Et Sébastian? Il n’eut plus jamais le droit de voir son demi-frère.
Mais, à 12 ans, le jeune homme à la chevelure si distincte en eux assez. Assez de cet homme qui ne pensait qu’à ses profits, à sa réputation et à le tenir caché comme s’il était une chose effroyable. Assez de devoir peindre des portraits à l’effigie de cet homme grassouillet ou des œuvres sans avoir l’espoir d’être reconnu un jour. Assez d’être cloîtré dans ce château sans pouvoir voir le monde. Assez de ne pouvoir que rêver à des rencontres. Assez de ne pouvoir point utiliser les enseignements de son véritable père sur le monde. Alors, il partit. Peut-être serait-il resté si sa feu mère n’avait point été tué par la maladie, mais elle était morte et avec elle, l’une des seules personnes qui l’aimaient sincèrement. Une nuit, avec la complicité d'une vieille servante qui veillait sur lui depuis sa naissance et qui les avait toujours adorés, lui et sa mère, il vola un peu de nourriture à la cuisine, de quoi se vêtir et un peu d’or aussi, puis se sauva de cet endroit qui ne représentait plus qu’une prison pour lui. Avec son nécessaire de peinture, il partit dans un autre comté et se fit artiste errant. Son « père » voulut d’abord le faire pourchasser lorsqu’il découvrit sa disparition, mais sous les conseils d’une vieille servante "loyale", celle-là même qui avait aidé l’enfant, mais ce détail resta cachée dans l’ombre à tout jamais, il se ravisa. À quoi bon ramener au jour un scandale qui avait fini par sombrer dans l’oubli? De son côté, le jeune artiste vit ses œuvres appréciées de tous et il réussit à gagner suffisamment d’argent pour subvenir à ses besoins. Il changea également de nom puisqu’il voulait laisser complètement son ancienne vie derrière lui, mais aussi parce qu’il ne tenait pas à ce que l’on sache qu’il était un enfant illégitime. Il prit le nom de son père, puisque c’était celui-là qu’il aurait dû porter, mais ne se résignant pas à abandonner complètement son prénom, qui lui fut donné par sa mère, il choisit d’utiliser le diminutif de son nom de baptême comme premier nom. Ainsi entra dans sa nouvelle vie Al Whelan, n’ayant comme seuls moyens de survivre dans l’adversité que son talent et ses connaissances.
Alors, il partit, d’abord à pied, s’arrêtant dans les villes et les villages pour vendre ses œuvres. Si au début, il devait trouver à même la nature les plantes dont il avait besoin pour ses couleurs, il réussit cependant plutôt vite à avoir de quoi s’en procurer dans les commerces lorsqu’il lui en manquait. Grâce à son talent et à ses bonnes manières, il lui arriva même de vendre certaines de ses œuvres à quelques riches marchands, seigneurs et nobles. Mais, il ne travaillait pas uniquement pour les riches gens. Il faisait également profiter de son talent des gens du peuple. Quand ceux-ci l’hébergeaient gentiment, il n’était pas rare qu’il les en remercie en leur donnant une toile.
Puis, il commença à diversifier sa marchandise. Il entreprit de créer des jeux de cartes. Il commença par ceux qu’on a coutume de voir puis, à la demande d’une dame et sous ses indications, il commença à confectionner des jeux de tarot. Ainsi s’écoulèrent trois ans de sa vie où il rencontra des gens de toutes sortes. Puis, en échange de quelques-unes de ses créations, un pêcheur consentit à l’embarquer et à le déposer en terre d’Irlande, où son équipage devait se rendre. C’est durant cette traverser qu'il trouva l’inspiration pour réaliser la carte qui entre toutes c’elles qu’il eu jamais faites, lui plaisait au point où il pouvait affirmer qu’elle était sa préféré. Elle représentait un serpent doré, dresser et prêt à fondre sur sa proie. The death. Non seulement, il avait fait un beau travail au niveau artistique, mais elle avait une certaine signification pour lui. La carte de la mort n’est pas qu’un mauvais présage, c’est aussi un symbole de changement, de la fin d’un cycle. Al avait désormais 15 ans, il était un homme. Mais, cette carte, il la devait en partie à un jeune homme sur le navire. Le jeune homme en question avait une imagination fertile, voir débordante et la manie d’utiliser des proverbes dès qu’il le pouvait. Le premier soir qu’il passa à bord du navire, la veille du départ, ce jeune homme du nom d’Arthur lui avait fait remarquer à quel point le soleil couchant faisait ressembler les vagues au loin à des serpents dorés. « La mer est bel et terrible, elle nous permet autant de vivre qu’elle peut causer notre perte à nous matelots » avait aujouté ce jeune homme dont l’éducation était très remarquable pour un simple matelot.
C’est du haut de ses 15 années de vie qu’Al arriva en Irlande, réalisant ainsi l’un de ses souhaits : voir la terre de ses ancêtres.
Pendant deux ans, il explora cette contrée continuant à vendre ses œuvres à tous et chacun, mais il ne retrouva point celui qu’il aurait tant aimé revoir en ces lieux : son véritable père. Il reconnut son style dans les peintures qui ornaient certains châteaux et manoirs qu’il avait eu la chance de visiter, des tableaux signés au nom de Rodan Whelan et non uniquement des initiales R.W. comme les toiles qu’il avait vues en Angleterre. Al savait que son père avait choisi de ne signer de son nom complet que les toiles qu’il destinait à sa propre patrie, mais n’en connaissait pas la raison. Mais, chaque fois qu’il questionnait les propriétaires des œuvres sur leur auteur, ils lui répondaient tous qu’ils n’avaient points revu cet homme depuis longtemps. De 6 à 5 ans en fait. Puis, il arriva chez un comte qui lui répondit l’avoir vu il y a 4 ans.

- Ha, oui, Rodan Whelan, c’était un peintre talentueux et un précieux ami à moi! Vous semblez vous intéresser à cet homme, vous le connaissiez? C’est vrai que vous portez son nom de famille… Qui était-il pour vous? Un mentor? Ou peut-être votre père aussi? Avait dit l’homme richement vêtu.
-Oui, effectivement je le connaissais et c’est bien celui qui m’apprit à peindre et qui me donna la vie, mon Seigneur, répondit le jeune homme, croyant avoir trouvé quelqu’un qui pourrait lui permettre de retrouver son père.
- Il me semblait bien que je reconnaissais l’influence de son art dans vos œuvres et son visage sur le vôtre! Vous lui ressemblez beaucoup et je m’étonne de ne pas avoir reconnu en vous le jeune homme qu’il fut jadis, renchérit le comte.
- S’il est un bon ami à vous, alors peut-être savez- vous où je pourrais le retrouver?
-Hélas, jeune ami, Dieu a requis ses services il y a de cela près de quatre ans déjà, je suis peiné de vous l’apprendre. La maladie vous voyez. Mais, avant de rendre l’âme ce cher Rodan, m’a dit que peut-être un jour son apprenti, que son fils viendrait et il m’a demandé de vous remettre quelques-uns de ses biens, suivez-moi je vous prie.

C’est ainsi que ce cher Al hérita d’une belle petite somme, mais aussi du matériel de son père et d’un petit livre aux pages vierges à l’exception de la première écrite par son père. C’était pour qu’il y tienne un journal.
Le jeune homme se décida à poursuivre son chemin, de continuer à remplir son esprit de paysage à peindre plus tard, de légende dont il pourrait s’inspirer, mais surtout d’expérience, de découverte pour satisfaire sa curiosité envers le monde.
Ce voyage, marqua fortement sa vie et le jeune homme en appris beaucoup non seulement sur la contrée de ses ancêtres, mais aussi sur lui-même. Effectivement, c’est lors de ce long voyage qu’il commença véritablement à remettre en question une chose qui avait toujours été omniprésente dans sa vie : la religion. Mais, c’est aussi durant ce même grand périple en terre d’Irlande qu’il se rendit compte qu’il était davantage attiré par les hommes que par les femmes. Mais, il n’avait personne avec qui partager ses craintes. Certes, il s’était fait des amis un peu partout, mais d’aucun il ne se sentait assez proche pour se confier. C’est empli d’incertitude qu’il poursuivit son chemin, mais de ces hésitations, il ne laissa rien paraître.
Puis, un jour, Al décida de repartir vers les côtes anglaises après un peu plus de trois ans passées dans la contrée qui avait vu naître son père. Il avait beaucoup aimé l’Irlande, mais sa patrie à lui c’était davantage l’Angleterre, le royaume qui l’avait vu naître, lui.
Quelques mois après son retour, le jeune artiste décida de rechercher un peu de stabilité, lui qui ne faisait que voyager. Il avait besoin de s’établir. Avec l’or qu’il avait reçu de son père, il s’acheta une belle, mais petite maison et un étal dans une ville portuaire du comté de Devon. C’était une ville marchande et donc le damoiseau pourrait y vendre ou y échanger ses œuvres. Il avait bien choisi sa place et ses manières le firent vite aimer des passants.
Ainsi donc, le jeune homme fit son entrée dans la bourgeoisie. Il n’avait certes pas une vie d’aristocrate, ou de riche bourgeois, se contentant d’une petite vie aisée. Il aimait cette ville et il prévoyait y rester pendant un moment. Et par commodité, il engagea une domestique qui se chargeait de faire le ménage et de cuisiner tandis que lui allait vendre ses œuvres ou les créait.
Puis, un jour où le soleil semblait narguer les mortels comme bien souvent, mais où la température était clémente et une brise chargée des embruns de la mer soufflaient paisiblement, une jeune dame et son costeau de père s’approchèrent de l’étal, intéressés. Il y avait quelque chose dans l’homme qui imposait le respect et il ne possédait point le ventre gras si souvent observable chez les riches marchands. Mais, de l’or, cet homme et sa fille en avaient incontestablement. Tous deux richement vêtu, ils avaient fière allure. Un homme aux allures de dur les suivait, portant leurs achats. Comique tout de même! Tous deux, ou plutôt, les trois, s’arrêtèrent devant son étal. L’homme commença à inspecter d’un regard critique les œuvres et offrit à sa fille, qui semblait s’émerveiller devant les peintures, de lui acheter ce qu’elle désirait. Un beau sourire aux lèvres et en bon gentleman doublé d’un assez bon vendeur Al s’inclina tout en proposant galamment :
« ― Si vous le désirez, belle demoiselle, je puis faire de vous un portrait. Et permettez-moi de vous dire que votre image saura effacer même le plus beau et travaillé des cadres, le surplombant totalement de sa splendeur. »

Effet réussi, la jeune femme avait rougi, elle avait aimé le commentaire. Son père cependant réagit autrement.

« ― Nouvelle technique de vente jeune homme ? Z’avez intérêt à pas lui briser le cœur, m’sieur le tombeur ! »

C’était presque dit sur le ton de la menace, mais ce devait être à moitié feint. Ha! Les pères qui s’inquiètent pour leur progéniture! Du tac au tac, l’habitué rétorqua :

« ― Briser le cœur d’une si belle créature ? Loin de moi cette idée. Certes, il faut bien que je vende quelques-unes de mes œuvres si je veux survivre dans ce bas monde, mais je n’ai point inventé la pure beauté de votre fille. »

Al avais dit la vérité, la jeune femme était très belle, et il ne se doutait point encore que cette rencontre allait donner naissance à une amitié franche entre lui et la si belle créature, comme il disait.
Il avait rassuré le père en parlant ainsi et en toute franchise. Ce dernier sourit et dit :

« ― Toi j’t’aime bien p'tit ! Faudrait quelqu’un comme toi pour veiller sur elle, son vieux loup d’mer de père ne pourra pas toujours s’en occuper …
―Vous me voyez là bien surpris mon seigneur, une si jolie femme qui n’a point de mari!? »

La principale intéressée vint se joindre à la conversation et son commentaire fit naître un grand sourire sur les lèvres de l’artiste et un éclat amusé dans ses yeux :

« ― Pour l’instant, mes voyages en mer me suffisent. Je n’ai point besoin d’époux, dit-elle avant d’ajouter en voyant le sourire d’Al : trouvez-vous cela si ridicule ?
― Non, loin de moi cette idée gente damoiselle! Je ne fais que comprendre la raison pour laquelle vous n’avez point de mari. Il n’y a que peu d’hommes qui sont prêts à avoir une épouse qui pourrait leur tenir tête. Mais ce n’est point un défaut que d’avoir du caractère, si vous voulez mon humble avis. »

La damoiselle finit par choisir de faire peindre un portrait d’elle et le père acheta un jeu de cartes. Normalement, le peintre se serait déplacé chez ses clients, mais l’homme préféra que le travail ait lieu dans le port, prétextant qu’il n’avait pas de demeure dans cette ville et que les remous de leur navire auraient probablement empêché le travail du peintre. Puis, l’homme laissa les deux jeunes gens afin que le peintre puisse portraiturer sa fille. Et lui avait d’autres achats à faire. Après lui avoir demandé ce qu’elle désirait avoir comme arrière-plan (un bateau et la mer bien sûr!), l’artiste ferma la devanture de l’étal comme il avait coutume de le faire pour aller dîner chez lui ou lorsqu’il recevait un contrat et devait s’absenter comme c’était le cas. La jeune femme du prénom de Alice eu tôt fait de le guider dans le port jusqu’à un beau grand bateau d’un bois sombre, quoi que vieillit et d’offrir son aide au peintre pour transporter son matériel, aide qui, bien sûr, fut refusée poliment. C’était avec ce bateau, celui de son père, en arrière-plan qu’elle souhaitait qu’il fasse d’elle un portrait, quoique ledit bateau soit tout de même à une certaine distance. Donc, il se mit au travail. Al tenant la conversation active pour qu’Alice ne s’ennuie pas trop dans son rôle de modèle, les deux jeunes gens virent rapidement à parler de voyage. Alice en était passionnée, en particulier ceux en mer. Donc, évidemment, elle demanda au jeune homme s’il avait déjà pris la mer et lui se fit un plaisir de lui parler des quelques rares voyages qu’il avait faits sur ces grandes étendues liquides, précisant bien sûr que cela devait être bien différent dans un bateau de la trempe de celui de son père.
Al ne pouvait point peindre des heures d'affilées, non parce qu’il en était incapable, mais parce que son modèle avait aussi quelques obligations. Après un rapide consensus, il fut établi que la demoiselle viendrait une heure ou deux pratiquement tous les jours jusqu’à ce que la toile soit terminée. Lorsqu’elle voulut voir où en était rendu le travail de l’artiste, elle se heurta cependant à son refus :
-Veuillez me pardonner cher damoiselle, mais je préférerais ne point vous montré mon ébauche. Pourriez-vous me faire cette faveur?
-Euh… ha, si cela est votre volonté, soit… Et demain serez-vous au rendez-vous?
-Pour vous, gente demoiselle, je serais toujours là, toujours au rendez-vous.
Il venait de lui faire une promesse et s’il y avait bien une chose qu’Al détestait, c’était de ne point honorer une promesse. Il serait là. C’est ainsi que commencèrent à s’établir les bases de leur amitié, une amitié qui s’annonçait être très forte. Donc, jour après jour Alice venait et Al l’attendait. Pendant une heure, le jeune homme peignait, s’il le pouvait, mais aussi discutait avec sa cliente. Mutuellement, ils apprirent beaucoup sur l’un comme sur l’autre, même s’il restait bien des zones d’ombres autant du côté de la demoiselle que du damoiseau. Parfois, le soir, tous deux se promenaient dans le port, discutant tranquillement. C’est durant l’une de ces promenades, huit jours après leur première rencontre qu’Al demanda à la jeune femme de confirmer ses soupçons quant à la véritable identité du père de celle-ci :

-Si vous le permettez, puis-je vous poser une question quelque peu indiscrète?
-Je vous écoute, répondit-elle.
-Votre… père, si je ne m’abuse, n’est-il point un pirate? Demanda enfin le jeune peintre d’une voix sensiblement plus faible, évitant ainsi qu’une oreille mal intentionnée puise entendre leur conversation.
-Mais ... mais non, voyons, il ne peut l'être... répondit la jeune femme d'une voix presque fausse.

Elle venait de le lui confirmer, sans le savoir. Mais, dans le but de la rassurer, il lui dit :

-Vous savez ma demoiselle, je n’ai points l’intention de révéler mes observations à quiconque. Mais, sachez que ce n’est guère le seul que j’ai pu voir durant mes voyages et votre ô combien magnifique vaisseau a su faire parler de lui dans maintes et maintes villes.
-Vous connaissez le nom du navire de mon père ? Demanda-t-elle avec une pointe de fierté et de joie dans la voix.
-The Reaper, l'ange noir qui sème la terreur chez qui ose s'opposer à lui.
-Oui ! The Reaper ! N'est-ce pas là le plus beau des bateaux ? Dit-elle, peinant à dissimuler son excitation et toute sa fierté malgré son ton bas.
-Vous ne pouvez plus nier maintenant, fut la réponse d’Al qui avait un petit sourire amusé aux lèvres.
-Je ... je me suis faites avoir ...

Elle avait l’aire un brin décourager, alors il lui fit l'un de ses sourires dont lui seul avait le secret et dit à Alice :

-Mon amie! Ne faites donc pas cette tête. Cette soirée est belle et ne laisser pas quelques-unes de mes paroles vous décourager ainsi!
- Vous êtes vraiment d'une agréable compagnie, vous savez ?

Et la conversation reprit sur d’autres sujets. Maintenant, Al en était sûr, sa nouvelle amie avait comme père un pirate. Et il se doutait fortement que cet homme devait être le capitaine. Pourquoi n’avait-il pas pris la fuite malgré ses soupçons confirmés ? Non seulement, il ne voulait point briser sa promesse, mais il ne voulait pas faire de la peine à Alice. Et de toute façon, pourquoi aurait-il pris la fuite? Il n’était pas en danger.
Quelques jours s’écoulèrent encore et certains d’entre eux, se déroulaient sans que le travail du peintre puisse avoir lieu, Alice devant s’absenter. Mais, l’œuvre était presque terminée : elle serait prête pour le départ de la damoiselle. Puis, au onzième jour, Alice annonça à son ami que le lendemain serait la dernière journée où elle pourrait venir le voir avant son départ. Il lui dit qu’il l’attendrait, comme toujours. Lorsqu’elle partit rejoindre son père, lui resta un instant devant sa toile. Il ne manquait plus que quelques infimes détails sur cette toile qui avait mis un peu plus de neuf heures à réaliser. Tranquillement, il continua sa toile sans son modèle, voulant lui faire la surprise d’une toile terminée. Alors, il la finit et la signa de son nom, Al Whelan. Puis, il la laissa sécher. Un peu plus tard, il vint écrire à l’endos de la toile : Alice Wolf, fille de la mer. Le damoiseau savait qu’elle allait aimer cette petite inscription.
Avant de retourne chez lui ce soir là, il ferma son étal, mais oublia de fermer à clé sa petite arrière-boutique où il avait laissé le portrait qu’il allait remettre le lendemain. Il avait la tête ailleurs.
Il leva les yeux au ciel et regarda le soleil… il aurait probablement le temps d’aller chercher dans la forêt la plante qu’il convoitait et de revenir avant que la nuit envahisse le ciel. Alors, il se dirigea vers sa destination. Cette plante qu’il voulait acquérir ne figurait pas dans les étals des marchands avoisinants. Elle n’était pas très utilisée, mais lui en avait besoin pour une de ses couleurs et elle n’était pas trop difficile à obtenir dans la forêt en périphérie de la ville. Cependant, il mit plus de temps que prévu à trouver ladite plante et se fit surprendre par la noirceur. C’est alors qu’il remarqua un étrange et immense manoir qu’il ne se souvenait point avoir vu. Mais, il faisait si sombre que cela aurait été bien ardu de le dire. Se croyant égaré, chose qui l’étonnait énormément puisqu’il connaissait assez bien la région, il alla frapper à la porte. Aucune réponse. Doucement, il l’ouvrit et elle ne résista pas. C’est à peine si elle émit un son en bougeant. Il entra. Sans le savoir, il venait de commettre une erreur, une grosse même.
Caractère

Vous voulez en connaître plus sur le caractère de ce jeune artiste? Menteur, stupide, profiteur, arnaqueur, méchant, démoniaque, fou, traître, couard… toutes ces caractéristiques ne sont pas siennes. De lui, on retient davantage son sourire charmeur, son langage assez soigné, sa gentillesse et son honnêteté, mais aussi le courage dont il peut faire preuve et sa générosité envers ceux qui ont besoin de son aide. Il n’est pas du genre à s’épuiser à aider les autres, non, mais il est prêt à aider quelqu’un si c’est en son pouvoir. Il a une patience immense (il faut dans son métier!), une grande politesse qu’il est prêt à abandonner si besoin se fait sentir, une imagination fertile et une joie d’apprendre, une curiosité envers le monde.
Comme dit précédemment, c’est un artiste, un peintre, un artisan. Mais, il répugne à montrer une œuvre inachevée, disant que seul le fini avait le droit d’être reconnu comme étant une œuvre, une démonstration du talent d’un artiste.
Il a également une mémoire incroyable des choses, des paysages qu’il a vus. Grâce à cet autre talent, il est capable de reproduire fidèlement une image qu’il aurait conservée dans ses souvenirs.
« Tes promesses, tu ne dois point trahir » cette simple petite phrase vaut beaucoup pour lui, car il y a peu de choses qu’il déteste plus que de rompre une promesse, un serment. C’est pourquoi il ne promet jamais rien à la légère. Mais, allons un peu plus loin dans les méandres de son esprit.
Al prend certes plaisir à la vie, mais derrière ses airs joyeux se cachent aussi des remises en question et des peurs. Il est attiré par les garçons. À son époque, c’était une chose inconcevable, un pécher. Alors, il est bien normal pour lui de se demander si Satan n’essayerait pas de l’attirer dans ses filets. Si on parlait un peu de religion? Effectivement, le jeune artiste remet en question même ses croyances, mais en remettant en question plusieurs principes de sa religion, il craint aussi de s’attirer le courroux de Dieu. Il craint un peu d’en parler, car il a peur de la réaction des gens. Mais, sa foi faiblit et il ne sait si cela est une bonne ou mauvaise chose.


Physique


Miroir, miroir, que reflètes-tu donc? Un jeune homme aux cheveux d’un rouge peu commun qui, lorsque laissé libre, atteignent sans peine ses deux épaules plutôt frêles pour un représentant de la gent masculine. Un jouvenceau aux traits bien dessinés aux yeux d’un beau vert foncé et à la carrure de celui qui n’est point habitué au dur labeur des champs. Miroir, tu reflètes un être à la peau ni trop blanche, ni trop basanée, à la musculature légère, résultat de quelques périples, au corps qui n’accumule ni gras superflu ou souvenir de bataille sous forme de cicatrice. Un jeune humain qui n’est ni très grand, ni petit pour son époque avec son mètre soixante-six. Mais, pourquoi t’obstine-tu as cacher les défauts de ce garçon cher miroir? Allez, laisse nous remarquer les quelques petites et pâles taches de rousseur qui viennent ponctuer son visage épargné par l’acné, laisse nous nous apercevoir que s’il ne la coupait pas, il pourrait avoir une barbe. Toi, simple objet inanimé, remarques-tu que ses mains douces portent aussi quelques peu nombreuses, mais tout de même présentes marques de fines coupures faitent par de quelconques maladresses? Et… oui, il y a aussi ses yeux, de beaux yeux certes, mais si celui qui dresse un tableau de lui est bon observateur, il se peut qu’il souligne leur léger manque de symétrie.
Oui, maintenant tu reflètes bien le portrait d’Al Whelan, le peintre artisan.


Informations Hors-RP

Avez-vous bien lu les règles ? [Code validé par Loeva]
Où avez-vous trouvé ce forum ? Bin, Sarah est assez bonne pour rameuter ses amis(moi en particulier) sur les fo’ et comme Pensionnat Interdit me permet de laisser libre cours à mon imagination… vous n’en avez pas fini avec moi!
Est-ce votre premier perso...
♦ ...Dans un forum RP ? Non
♦ ...Dans ce forum ? Le deuxième! Nashquibi Anora était mon premier


Question! Est-ce qu’Al peut reconnaître certaines toiles de son père biologique dans le hall?


Dernière édition par Al Whelan le Jeu 16 Aoû 2012 - 2:29, édité 7 fois
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Because Alice was a whore
Alea Miller
Alea Miller

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Féminin Pseudo Hors-RP : Loeva
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• Age : 29
• Pouvoir : Hocus Pocus
• AEA : Petit chat noir supposé etre mort calciné en 1692 répondant au nom de Cheshire.
• Petit(e) ami(e) : Officiellement, Baek In Ho, mais en fait, je suis amoureuse d'une ombre.

RP en cours :
- Des camélias[...] (Helen Machiaviel)
- FLIP THE TABLE (Ralph)
- La désobligeance[...] (Zack Fea)


Messages : 395
Inscrit le : 03/07/2011

Al Whelan [fini] _
MessageSujet: Re: Al Whelan [fini]   Al Whelan [fini] Icon_minitimeMar 14 Aoû 2012 - 6:35

Pouvoir :Et bien…Je dois t’avouer que ce pouvoir est très puissant et que je ne sais pas trop comment le gérer...
Personnellement je le trouve plutôt intéressant….
Et franchement pas si over-puissant en comparaison avec le mien 8D

Le fais que tu ais un contrecoup est bon. Alors au risque de me faire taper sur les doigts je te le laisse tel quel si tu m’assures que tu n’abuseras pas, mais attention, je suis la stalkeuse la plus active de PI et donc si tu abuses quand même en Rp, je m’arrangerai avec toi, c’est bon? ♥

AEA :Ton AEA me perturbe.

Il n’est mentionné nulle part dans ton histoire, j’aimerais que tu y remédies.
Je devine, si tu respectes le truc bidon d’ami imaginaire, (détrompes moi, si je me trompe) que ton personnage à dû le dessiner et de là lui imaginer une personnalité.

Quoi qu’il en soit, glisse moi le quelque part dans ton histoire.

Passions/Phobies : Rien à redire.

Histoire :

Le seul problème que j’ai vraiment :

Citation :
‘’Alexander préférait toujours la bibliothèque au cours d’escrime. Puis, lorsqu’il eut 5 ans’’

J’ai un peu de mal à concevoir qu’un enfant de moins de 5 ans puisse lire et faire de l’escrime…

Autrement, il n’est nulle part mention de ton AEA( Comme je l’ai mentionné plus haut), tu crois que tu pourrais le mentionner au moins à un endroit? ♥

Sinon je n’ai rien à redire pour le corps de l’histoire.

Caractère :Bon, je dois t’avouez qu’au début, sans l’histoire, je trouvais ça un peu trop tout blanc.

Avec le contexte historique et l’époque, c’est par contre un peu plus normale (époque ou les hommes devaient s’évertuer à être de gentilshommes calmes, généreux et toujours en contrôles de leurs émotions).
Et le fait qu’il soit religieux est, en en soit, d’après moi, un défaut de taille.

Physique : Oh joie, des défauts autant que des qualités. Bon petit.


~Sinon le code est bon ♥

►Avertis moi d’un post, d’un Mp ou d’un petit message sur la Cb quand tu auras fait les retouches,


Loeva ~ ♥
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Al Whelan [fini] _
MessageSujet: Re: Al Whelan [fini]   Al Whelan [fini] Icon_minitimeMar 14 Aoû 2012 - 18:33

Loeva, ne t’inquiète pas pour le pouvoir. Disons simplement que les effets secondaires vont le dissuader de faire des abus… (Oui, oui tu as le droit de dire que je suis cruel avec mes personnages) De plus, compte sur moi pour rendre l’acquisition des cartes plutôt difficile.

Pour le bout de l’histoire, j’ai fait les modifications. Pour l’escrime, à cette époque je pense que c’est possible. Moi je considérais ça raisonnable à côté de Louis 14 avait 5 ans quand il est devenu roi et vu que c’est plus ou moins la même époque… mais si tu veux que je change, je peux le faire ^.^

Et pour pas que tu aies à chercher, voilà les modifications dans l’histoire :

« Mais, Alexander préférait toujours la bibliothèque, ou sa mère se plaisait à lui lire tous les livre de son choix, au cours d’escrime que lui imposait son père. Lorsqu’il eut un peu plus de 5 ans,… »

« Puis, en échange de quelques-unes de ses créations, un pêcheur consentit à l’embarquer et à le déposer en terre d’Irlande où son équipage devait se rendre. C’est durant cette traverser, il trouva l’inspiration pour réaliser la carte qui entre toutes c’elles qu’il eux jamais faites, lui plaisait au point où il pouvait affirmer qu’elle était sa préférer. Elle représentait un serpent doré, dresser et près à fondre sur sa proie. The death. Non seulement, il avait fait un beau travail au niveau artistique, mais elle avait une certaine signification pour lui. La carte de la mort n’est pas qu’un mauvais présage, c’est aussi un symbole de changement, de la fin d’un cycle. Al avait désormais 15 ans, il était un homme. Mais, cette carte, il la devait en partit à un jeune homme sur le navire. Le jeune homme en question avait une imagination fertile, voir débordante et la manie d’utiliser des proverbes dès qu’il le pouvait. Le premier soir qu’il passa abord du navire, la veille du départ, ce jeune homme du nom d’Arthur lui avait fait remarquer à quel point le soleil couchant faisait ressembler les vagues au loin à des serpents doré. « La mer est bel et terrible, elle nous permet autant de vivre qu’elle peut causer notre perte à nous matelot » avait ajouté ce jeune homme dont l’éducation était très remarquable pour un simple matelot.
C’est du haut de ses 15 années de vie qu’il arriva en Irlande, réalisant ainsi l’un de ses souhaits : voir la terre de ses ancêtres. »


et merci ^.^
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MessageSujet: Re: Al Whelan [fini]   Al Whelan [fini] Icon_minitimeMar 14 Aoû 2012 - 18:42


C’est vrai qu’il a été sacré roi très jeune mais il n’ pas vraiment régné avant bien plus tard. Il a été exilé là où se trouve désormais Versailles (qu’il a d’ailleurs fait construire hors de la grande ville de l’époque parce qu’il n’aimait pas les gens de la cours traductionnelle qui ont essayé de le tuer et qui l’ont forcé à s’exiler).

Quoi qu'il en soit, Tes modifications sont okay ♥

Attention aux fautes quand même, tu en as plusieurs mais bon,

Sinon je n’ai rien de plus à dire,

…Je crois que tu es validé ?

Ou pas, d'après Zaza.

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MessageSujet: Re: Al Whelan [fini]   Al Whelan [fini] Icon_minitimeMar 14 Aoû 2012 - 19:15

Hi there.

Sans plus d'introduction, voilà mon avis sur cette fiche.

Le pouvoir. J'aime pas spécialement la liberté prise dans le pouvoir. Mais faisons avec, ouais. Sauf pour un point. Voler les pouvoirs des autres, c'est clairement puissant et ça rend le don totalement polyvalent et abusé. J'suis contre un tel cumul. Les effets secondaires sont convenables, donc le reste va. Sinon, c'est quoi cette histoire d'épée dans l'AEA ? Non pas que ça n'ai aucun rapport, mais ça n'a aucun rapport. En soi, l'épée, on s'en fiche. Je suppose que, vu que ton pouvoir fait le café, il est aisé pour toi de l'obtenir. Mais ça reste hors sujet au niveau de l'AEA.

Passons à l'histoire. Il y a des fautes, de conjugaison, de où/ou, des lettres manquantes... Bref, tout un tas encore non corrigé. J'avoue m'être arrêté assez tôt dans l'histoire. Trop long, pas assez prenant, style maladroit.

Le reste passe.

Pour l'histoire du Roi, en effet, il n'était qu'un pantin à ses cinq ans.

Voilà. J'reste perplexe sur le pouvoir.
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MessageSujet: Re: Al Whelan [fini]   Al Whelan [fini] Icon_minitimeMar 14 Aoû 2012 - 21:29


-Je dois avouer que le vol de pouvoir me dérangeait un peu aussi…

Mais je me disais que de toute façon, s’il trouvait un pouvoir cool et était déterminé à s’en servir : il aurait pu tout simplement en faire un pareil. ET puis comme il ne peut se servir de cette carte qu’une seule fois (ou deux si c’est une paire)….

-Autrement pour l’épée, moi j’avais compris que l’épée était une décoration dans la carte, non ?
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MessageSujet: Re: Al Whelan [fini]   Al Whelan [fini] Icon_minitimeJeu 16 Aoû 2012 - 2:49

Ekzael, ce n’était pas vraiment voler les pouvoirs, d’avantage les copier pour une seul et courte utilisation, mais pas grave, j’ai enlevé cette facette du pouvoir.

Pour les fautes d’orthographes, j’ai corrigé du mieux que j’ai pu.

Et j’ai une question… est-ce qu’Al peut reconnaitre une toile de son père Rodan dans le hall?

Le manoir est un endroit louche, surement. Sur ce je te re-valide

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MessageSujet: Re: Al Whelan [fini]   Al Whelan [fini] Icon_minitime

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