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 A PILL TO MAKE YOU NUMB, A PILL TO MAKE YOU DUMB ( PV : Holly ) [ TERMINÉ. ]

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ZG -Zombie Gameuse
Holly Addison
Holly Addison

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MessageSujet: Re: A PILL TO MAKE YOU NUMB, A PILL TO MAKE YOU DUMB ( PV : Holly ) [ TERMINÉ. ]   A PILL TO MAKE YOU NUMB, A PILL TO MAKE YOU DUMB ( PV : Holly ) [ TERMINÉ. ] - Page 2 Icon_minitimeJeu 22 Déc 2011 - 21:20

Il y a eu un petit silence, j'étais comme absente, comme si moi aussi je m'étais envoler avec les oiseaux. Comme si je m'étais aussi envoler vers le ciel bleu de liberté. Mes yeux ouverts paraissait vide à ce moment là, j'étais comme un corps sans vie. Mon âme s'était peut-être éteinte un moment avant de raviver sa flamme telle une bougie. Je n'étais pas morte, ni évanouie, j'étais là, mais ma pensée autre part. C'était comme si ... Comme si j'avais besoin de réfléchir et que pendant ce temps j'étais partie en abandonnant mon corps. Mon âme était libre, échappé du Pensionnat mais elle a bien du revenir parce que sans corps, elle n'était rien. Petit oiseau a voulu sortir de sa cage. Sauf que le petit oiseau s'est fait rattraper.

L’âme est revenue doucement, sans aucun bruit, aussi silencieuse qu'un chat. Je me suis mis à fixer un point, puis j'ais regarder partout cherchant quelque chose sas savoir laquelle. Cette fois ci ce n'était en aucun cas la panique, ni la folie, ni la colère, ni quoi que ce soit. C'était .... C'était étrange et assez difficile à décrire. Puis j'ais acquiescé par rapport à l'infirmerie. Lentement je me suis mise à faire une mine assez déconcerté, comme si quelque chose n'allait pas. Je ne savais pas pour quoi il a fait tout sa. Je ne savais pas pourquoi il m'aidait, je suis qui pour lui ? Je ne suis peut-être rien mais j'en doute. Je n'accepterais pas sa après tout ce qui s'est passer.
Sauf que poser la question serait impolie. Peut-être ne voudra t-il pas me répondre. Lentement, je me suis levée en titubant malgré la douleur vers mon lit, telle une machine. Il faut que je sache. Je me suis assise sur le lit, je l'ais regarder longuement. J'avais peur de sa réponse, je ne voulais pas qu'il se sente obligée à me répondre positivement ou quoi que ce soit de gentil. D'abord me fallait-t-il poser la question.

Et si il me reposait la question ? Je lui répondrai quoi ?
Je ne pourrais pas lui répondre franchement, je me connais, j'en serais incapable. Sauf que je ne veux pas lui mentir non plus, je n'aurais pas le droit de lui faire sa. Je me suis mordue la lèvre, de telle mots sont impossible à dire. Il croira que je lui mentirais parce que je ne le connais pas assez, il croira que c'est une farce. Même si c'est vrai, je l'aime. Rien ne pourra le changer, même si tu as fait des choses horribles avant, je t'aime pour ce que tu es et non ce que tu étais. Peut-être suis je amoureuse d'un bandit ou autre, cela ne changerait rien.
Dans ce cas je pense que je ne lui répondrais pas, je me tairais jusqu'à la fin de ma vie, je m'évanouirais ou encore je me laisserais mourir sans bouger. Je ne peux pas te mentir William, je ne peux pas te dire que tu es juste un ami, je t'aime trop pour sa.

Je dois lui demander, quoi qu'il arrive. Je fonce, j'arête de réfléchir à de mauvaise chose. La vérité me tend les bras et je sauterais vers elle.

« William, je suis quoi pour toi ? Répond franchement s'il te plait, je ne supporte pas les mensonges. »

J'ais baisser la tête, comme si on m'avait punie. J'ais tremblé doucement, je n'avais pas froid, j'avais peur de sa réponse. J'aurais pue à ce moment lui crier de se taire, lui dire que je ne voudrais pas le voir, à cause de ma peur. J'ais serrer la couverture de mes mains moites pour les occuper, pour les empêcher de partir. J'ais fermer les yeux, je me suis calmer avant de les rouvrir.

« Je devrais arrêter de poser des questions comme sa, non ? C'est surement dérangeant à force oublie sa. Ne t'oblige pas à me répondre. Par contre sache que, si tu ne veux as rester tu peux partir William. Rester seule ici n'est pas si grave. »

J'ais tirer mes cheveux en arrière, pris un élastique autour de mon poignet et j'ais essayer de faire un chignon. J'ais essayer d'esquisser un sourire. Et puis c'est sortie tout seul, sans que je sache pourquoi. C'était peut-être le moment. Ou ... Je ne sais pas mais je l'ais dit. C'était comme si un poids était sorti de ma bouche. Comme si j'avais vomie des litres de poison. Le petit oiseau est bel et bien sortie de sa cage. Il s'est envolé parce qu'on n'avait plus besoin de lui. Peut importe ce que tu me diras, sa ne changera rien à ce que je t'ais dit William. L'amour est indestructible, je ferais tout pour que tu m'aime. Mon amour est si forte pour toi que tu ne peux pas l'imaginer, tu es mon sauveur William.

« Sache que sa ne change rien au fait que je t'aime William. »

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William Mary Hufflestring
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• AEA : Alfred, le rat perspicace au mutisme éternel.
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MessageSujet: Re: A PILL TO MAKE YOU NUMB, A PILL TO MAKE YOU DUMB ( PV : Holly ) [ TERMINÉ. ]   A PILL TO MAKE YOU NUMB, A PILL TO MAKE YOU DUMB ( PV : Holly ) [ TERMINÉ. ] - Page 2 Icon_minitimeSam 31 Déc 2011 - 6:34

Et Holly tremblotait, une frêle feuille dans l’intimité d’un moment trop particulier pour être réellement agréable. Elle paraissait entremêlée dans une toile de pensées complexes que William n’osait pas brusquer. Sa main tomba, se nichant dans le creux de ses hanches étroites, alors qu’il laissait son regard couler curieusement sur la chevelure sombre de la jeune femme. Les paroles du noble héritier ne semblaient pas avoir été entendues, sa tentative de conversation laissant place à un silence étrange, répandant une sorte de malaise. Il n’appréciait vraiment pas cette infirmerie trop propre, trop stérile. Elle lui rappelait davantage un cabinet de torture, une salle de défiguration, malgré l’absence d’outils excessivement dangereux. Cet endroit, ce manoir tout entier, cette cage de bois désenchanté, lui fichait la chair de poule, répandait un venin asphyxiant au cœur de son être. Comment ferait-il pour survivre en ces lieux, daignerait-il faire l’effort de survivre ? N’était-il pas immortel, victime d’une potion de jouvence qu’il n’avait pas bue ? Devait-il se nourrir, dormir ?

Holly n’avait pas l’air très disposée à répondre à ses mille et une interrogations harcelantes. Le regard vague, presque absent, William se demandait presque si au final, elle n’était pas un androïde quelconque qui avait développé une cognition. Après tout, elle semblait exhaustivement proche de la technologie. Bon, oui, il exagérait, il divaguait mais soit, c’était simplement pour s’éviter de sombrer dans une nouvelle vague de panique et d’incompréhension. Il fallait garder la tête froide pour s’occuper d’un malade.

Après ce qui lui sembla être une éternité, Holly ouvrit la bouche, non pour gratifié William d’une réponse, mais pour envoyé elle-même une question à la figure. Il lui devait la raison, la vie et pouvait comprendre qu’elle ait les idées floues, alors ignorant le manque passable de manière, il esquissa un faible sourire et lui répondit en bon gentleman.

« Les mensonges ne se glisseront point hors de mes lèvres en ta compagnie. Et en ce qui concerne mes pensées à ton sujet . . . Tu m’as sauvé, je te dois la vie. Tu as tout ma reconnaissance et je suis sincèrement soulagé d’être tombé sur toi. Ou plutôt que tu sois tombé sur moi. »

La tête baissée de la geekette lui arracha une moue presque boudeuse, pourquoi n’arrivait-elle pas à le regarder en face, alors qu’elle lui posait une question si simple. Il arqua un sourcil, patient, faisant usage de la pratique que l’un de ses cousins l’avait forcé à acquérir. Puis, elle s’égara dans une nouvelle tirade rabaissée. Qu’importe ce qui lui était arrivé par le passé, les expériences qu’elle avait vécu semblaient l’avoir aigri, formé une coquille craquelée autour de Holly. Alors qu’elle tentait de rassembler ses mèches qui vaguaient légèrement en un chignon bien pressé, William s’approcha, lui debout, elle assise. Il attrapa les cheveux bruns et fignola un chignon plus élégant, laissant quelques mèches s’échapper de son chef-d’œuvre. Il adorait coiffer sa mère lorsqu’il était adolescent, avant qu’elle ne meurt. Vague de nostalgie qui le fit sourire.

« Voyons, te laisser dans un endroit aussi étrange et asphyxiant serait tout bonnement inhumain. De toute manière, je ne sais pas vraiment où aller . . . Je me donnerai pour mission d’explorer ces lieux lorsque tu ne me paraîtras plus à l’article de la mort. »

Puis, quelques seconde s’écoulèrent, presque sereines. William fignolant la tignasse de Holly, les rassurant certainement tous deux. Il n’était pas une personne très affectueuse d’ordinaire, mais la situation était unique, spéciale, incomparable. Les touché lui permettaient de savoir que tout ce décorum ne relevait pas du rêve, d’une méandre engendré par l’alcool ou la démence. Les mots de la Miss Addison, trop solennels pour relever d’une simple affirmation amicale figèrent le sang de William un bref instant. Puis, son esprit se chargea de rationnaliser les faits, de les simplifier et de prendre en compte les circonstances. Il soupira, un tantinet exaspéré, un brin touché. Au final, il ne savait pas vraiment quoi en penser, trop stresser, trop perturbé par tous les événements qui se produisaient en si peu de temps. Il venait d’arriver, s’était réveiller dans son lit ce matin.

« Bien évidemment. Une telle aventure ne peut que rapprocher les gens. Nous nous sommes mutuellement sauvés la vie après tout. Je dois admettre que si nous sommes bel et bien coincés ici pour l’éternité, que tu me seras probablement une amie de confiance. N’est-ce pas ? »

Il retira ses mains des cheveux de Holly et lui sourit.

« Ton chignon est nettement mieux ainsi. »
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MessageSujet: Re: A PILL TO MAKE YOU NUMB, A PILL TO MAKE YOU DUMB ( PV : Holly ) [ TERMINÉ. ]   A PILL TO MAKE YOU NUMB, A PILL TO MAKE YOU DUMB ( PV : Holly ) [ TERMINÉ. ] - Page 2 Icon_minitimeLun 2 Jan 2012 - 23:30



Un rire a résonné dans la salle blanche et immaculée. Un rire perçant, moqueur . Je rie, je rie de tous, de nous, de la situation, du monde. Tout cela n'est qu'une blague, la vie n'est qu'une blague. Tous les jours sont comme le premier avril. La Terre se moque de nous et nous on se moque de l'humanité, de notre propre humanité. Tout est foutaise, l'homme a inventer l'argent et on se tue pour sa ? C'est une blague. L'homme détruit la planète et met sa sur le dos de la Terre ? C'est une blague. On est amoureux et l'autre s'en fiche ? Ce n'est pas une blague.
Je me moque de tous, de ce qui se passe mais finalement les larmes montent et coulent lentement jusqu'au sol froid. Elles tombent et je les regardes tomber en riant, un rire perfide et tranchant. Jusqu’à que ce rire deviennent des sanglots, de longs sanglots. Je pleure, je pleure pour tout, pour la situation, pour le monde. Le sanglot ne s'arrête pas et je relève mes yeux mouillés par les larmes pour le regarder.

« Tu te moque de là moi ? Tu n'es pas sérieux ? Ou tu es juste en train de m'ignorer. »

La dernière phrase résonnait telle une évidence, comme si la vérité était là devant nous. Comme si chacun refusait l'autre, refusait l'avis de l'autre. Tout le monde croit et accepte ce qu'il pense mais pas ce que pense l'autre. William refuse, refuse le fait que je l'aime, que je l'adore. Comment faire pour que mon explication soit plus simple, facile à comprendre. Je ne peux surement rien faire, juste me taire.
Il ne l'accepte pas, peut-être que sa ne marcherait jamais ... Tais toi, je ne veux pas t'écouter, je divague là ... Je deviens folle ou je parle avec moi même ? Saleté de conscience de soi même et d'intuition nous menant par le bout du nez. Sans toi je serais pas là, j'aurais pu partir faire n’importe quoi. Je ne serais jamais au Pensionnat.
J'étais là, assise les larmes aux yeux, je me suis levée, mise devant lui et j'ai poser ma tête contre son épaule pour pleurer. J'ais pleurer un long moment, ma tête enfouie dans son épaule. J'ais ensuite balbutier des mots incompréhensible pour finir à pleurer encore plus fort qu'avant. J'ais relever un peux ma tête pour pouvoir lui parler.

« William, je t'aime, je t'adore. Je ne peux pas être plus simple. »

C'était simple, court et précis. Aucun truc superficielle, de rajout, de poésie. Là tu ne pourrais pas me dire des paroles n'ayant aucun rapport, des choses farfelues.
J'ais laisser retomber doucement ma tête sur son épaule. Je suis rester environ cinq minutes ainsi, silencieuse, la tête enfouie dans sa veste. J'ais ensuite reculer un peux, doucement. Je me suis assise sur le lit, la journée m'avait fatiguer et rester debout était assez difficile pour moi, surtout avec ma blessure.
Je t'aime William, ce n'est pas des liens comme tu dit, c'est l'amoure juste l'amour. Il n y a rien de cacher derrière. Aucune mauvaise pensée, aucun plan, aucun rêve. Rien que de l'amour pur, un mélange homogène de bonheur, de joie, d'espoir et de respect.
Je l'ais embrasser encore une fois sur le front, un baiser frêle et furtif. Je l'ais pris dans mes bras et je l'ais serrer le plus fort possible.

« Ne m'abandonne pas William. Ne me cache pas la vérité par de belle parole. Même si tu ne m'aime pas. »



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MessageSujet: Re: A PILL TO MAKE YOU NUMB, A PILL TO MAKE YOU DUMB ( PV : Holly ) [ TERMINÉ. ]   A PILL TO MAKE YOU NUMB, A PILL TO MAKE YOU DUMB ( PV : Holly ) [ TERMINÉ. ] - Page 2 Icon_minitimeDim 15 Jan 2012 - 16:28

Elle pleurait, elle riait. Avait-elle fini par craquer sous la pression m’étant encore inconnue qu’imposait ce pensionnat. Rester ici longtemps devait détruire le mental, enchaîner les prisonniers à une déchéance sans précédant, sans moyen d’échappatoire. Son sourire, celui que ses cheveux, que son chignon, avait tâché de l’aider à faire naître en lui rappelant la douceur des après-midi passés en compagnie de sa mère, s’estompa. La voir ainsi, brisée et craquelée l’emplissait d’une compassion, d’une incompréhension toute particulière. Entre l’hypocrisie et l’honnêteté, il se tenait bien droit, tâchant de décider quelle approche serait la plus digne de son statut. L’acceptation ou le refus ? Il lui fallait penser normalement, ignorer les événements, s’armer de courage face à ces lieux souillés d’horreur lancinante. Holly l’accusait, alors qu’il l’avait sauvé, alors qu’elle l’avait sauvé. Ne pouvait-elle pas comprendre que le moment ne se prêtait pas à de telles discussions, qu’ils étaient tous deux trop émotionnellement instables pour s’encombrer de telles confessions. Non, il ne se moquait pas. Non, il n’ignorait pas. Que faisait-il alors ?

Il contournait, s’égarait dans la noirceur résidant au plus profond de lui, car s’accouplant avec la perspective de l’amour, un souvenir tortueux mettant en scène une longue journée de Thanksgiving passée en famille dans le manoir de sa famille. Les paroles de Lawrence, l’affirmation concrète de son secret. Sa mère. . .

C’était elle au final qui possédait tout de lui. Sa joie, son être et tout l’amour romantique qu’il pouvait concevoir donner. Mais il ne pouvait confier cela à Holly, qui, lorsqu’il s’arrêtait pour y réfléchir, malgré leur aventure trépidante, ne demeurait pas moins qu’une quasi-inconnue, qu’une sauveuse assidue et instable. Il tressaillit et posa sur elle un regard plein de condescendance. Touchant, la pureté de son affection l’était assurément et l’idée de reprocher à qui que ce soit leurs sentiments amoureux, leurs désirs, n’osait pas traverser l’esprit calculé de William. Il ne connaissait que trop bien l’agonie qu’imposait l’affection déviante, mais il ne s’attarderait pas non plus à retourner des sentiments qui n’étaient pas siens.

Il fixa longuement Holly, son adjuvante, alors qu’elle lui proférait son adoration, son amour, immobile et rigide, presque froid. Ses traits affichant une sévérité paternelle, il attendit qu’elle termine sa tirade, patient, gracieux. Les larmes cristallines qui ruisselaient le long du visage de la jeune femme l’émouvaient quelques peu, mais il tut sa compassion, la dureté ayant toujours prouvé être une facette de lui-même plus simple à endosser. Sans artifices, sommant aux autres de lui accorder la quiétude qu’il convoitait tant. Un livre à la main, en boule dans un coin d’une large bibliothèque, un thé fumant posé sur une table basse non-loin. Quel paysage paradisiaque. . . que fermeté et antipathie lui avait souvent apporté.

Iris améthyste insondable, il entrouvrit cette bouche se mouvant agilement entre les dunes théâtrales de l’hypocrisie. Elle déposa un baiser furtif sur son front, second touché porteur de souhaits prononcés, le serra aussi fort qu’elle le pouvait définissant des rides sur la surface de ses vêtements.

« Les belles paroles, Milady, sont les seuls fragments de la réalité qu’il me soit vraiment aisé d’aimer et de posséder. Tu profères un amour, mais de quelle manière le mesures-tu ? L’amour est vaste et grand, se construit au fil des années, tissé par le tissu soyeux confectionnant une écharpe intime se perdant parfois dans l’infini. L’amour est complexe, tiraillant, douloureux, et je ne crois pas en sa spontanéité. Pas le moins du monde. Désolé Holly . . . »

Pure. Elle se devait d’être pure pour entretenir une telle cognition. Intouchée telle une créature immaculée, perdue telle une enfant abandonnée. Qu’y avait, au final, de magnifique à l’amour, car la séparation inévitable que causait la mort, qu’engendrait la vie, se chargeait de le contraindre à prendre fin. Il tût le rire sardonique, ironique qui menaça de se glisser hors de ses lèvres, damnant la vie de l’avoir conduit ici, de l’avoir laissé pour vivant dans un milieu aussi grotesque.

« Si tu me le permets, je passerai la nuit, ici, avec toi. Je suis perdu dans cette dimension nauséabonde. Seul, je craindrais de me jeter par cette fenêtre pour pouvoir m’échapper. »
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MessageSujet: Re: A PILL TO MAKE YOU NUMB, A PILL TO MAKE YOU DUMB ( PV : Holly ) [ TERMINÉ. ]   A PILL TO MAKE YOU NUMB, A PILL TO MAKE YOU DUMB ( PV : Holly ) [ TERMINÉ. ] - Page 2 Icon_minitimeDim 15 Jan 2012 - 18:02

Briser, envoler. Il lui avait répondu, franchement, directement mais ... Bam, elle n'as pas tenue. Elle est tomber, assise sur le lit. Comme si un vent l'avait frapper. C'était la fatigue, ou bien le choc mais ... Elle est tomber, assise sur le lit d'un coup. Les yeux grands ouvert, elle ne pleurait pas. Elle a eu un choc. C'est pas qui ne l'aimait pas selon ses paroles mais que non ... Il n y avait pas de place pour elle. Holly n'avait pas le droit d'entrer dans son " cercle ". Elle devait juste l'admirer de l’extérieur. Attendre son tour, jusqu'à sa mort. Parce que non, elle n'aura sûrement jamais de place. Et Holly devra attendre car non, elle l'aime juste lui.

Elle n'as pas bouger, un long moment. 10, 15 minutes. Son souffle devenait de plus en plus fort. Puis il s'est arrêter. Ses paroles était rentré dans sa petite tête vide. Elle n'est pas du genre à réfléchir avant ses actes. Elle réfléchit après. La jeune fille a souri, libérée. Elle oubliera tout, elle ne veut se rappeler de rien. Elle ne veut plus l’aimer mais sa marche pas. PUNAISE ELLE VEUT PLUS L'AIMER ! Mais non, sa ne marche pas bordel. Elle l'aime, elle l'aime trop.
Holly ne pleure toujours pas, ne pas se laisser aller, ne plus pleurer. Holly a titubé jusqu'à la fenêtre puis s'est posé sur le rebord, regardant le ciel bleu foncé. Mais la jeune fille voulait surtout cacher ses larmes de William, puis elle les as essuyer. S'est retourner en souriant vers William.

« Ce n'est pas grave. »

Elle était blanche et ses yeux étaient humide et rempli de cerne.
Ce n'est pas si grave mais Holly t'aime toujours mon pauvre petit William. Holly ne l'oubliera sûrement jamais, non pas sûrement, elle ne l'oubliera jamais. La jeune fille a fermer la fenêtre grande ouverte, la nuit devait se finir rapidement, elle ne voulait plus le voir, l'oublier, ne plus l'aimer. Son amour si grand ne disparaîtra jamais.
Holly s'est assise sur le lit, même poser sur l'accoudoir rester debout était douloureux et fatiguant. Holly a pris sa couverture, s'est rouler en boule sur le lit. La jeune fille ne voulait plus rien entendre, plus rien voir, juste dormir. Dormir, partir, oublier. Comment pouvait-elle l'aimer, elle l'adorait après tout sa. Mais là Holly ne voulait rien.

La couverture la recouvrait entièrement, le noir. Le noir devenait pour elle, un pays, un pays rempli d’arc en ciel, d'oiseau qui chante, de poney et de licorne. De joyeux lutins qui venait déposer des fleurs. Sur sa tombe. Holly ne pouvait pas penser à quelque chose de bien. Inspire, expire. Puis elle a crier, un cri aigu et fragile presque inaudible. Un rêve, ce n'était qu'un rêve, un cauchemar. Un cauchemar tout comme la situation réelle. La vie été su dur envers la jeune fille, il fallait être forte. C'est fini les tragédies, elle n'en veut plus. Elle veut un bonheur partager.
La vie n'est qu'une blague n'est ce pas ? Pourtant ce n'est en aucun cas marrant.
Caché sous la couverture et en boule, elle se tut. La jeune fille été quasiment en transe. Les yeux était sans vie caché sous cette couverture. Puis Holly se calma. Il ne fallait pas penser négatif, penser, penser positif, positif. BORDEL POSITIF ! Bon, positif, ni de bordel, ni rien d'autre. Que des arcs-en-ciel, des poneys et des sourires.
Positif, juste positif. Un grand sourire s'arbora sur son visage.
Était-ce la folie qui la faisait sourire ainsi ? Ou bien la tristesse l'avait-elle autant anéanti. Finalement non, elle avait repris son calme, juste sa. Mais elle n'abandonnera pas William, elle l'aime trop pour l'abandonner. Holly l'attendrait toujours. Jusqu’à la fin, la fin de tout. Elle l'attendrait même si la mort venait.


« Raconte moi ton histoire, que je sache que je n'aime d'un amour si grand pas un inconnu. »


Elle a ressortie sa tête et a regarder William de yeux rêveurs.
On aurait dit un enfant demandant à son père de lui raconter une histoire. Ses yeux maintenant rempli d'étoile rivalisait contre son teint blanc.
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MessageSujet: Re: A PILL TO MAKE YOU NUMB, A PILL TO MAKE YOU DUMB ( PV : Holly ) [ TERMINÉ. ]   A PILL TO MAKE YOU NUMB, A PILL TO MAKE YOU DUMB ( PV : Holly ) [ TERMINÉ. ] - Page 2 Icon_minitimeJeu 8 Mar 2012 - 18:55

Should I feel sorry ? Should I feel something other than emptiness ?

Et il la regardait, encore, encore une fois, se désintégrer devant ses iris prune sans que les mots se manifestent dans leur bienséance coutumière. Il la fixait, interdit, tentant éperdument de cacher son malaise, le sentiment de vide que de voir la demoiselle se briser sous ses yeux lui insufflait. Bien sûr ce piètre résultat valait mieux que d’imposer à la réalité un malencontreux mensonge vu au travers de lentilles en forme de cœurs. Cœurs pur, cœurs naïfs. Elle alla vers la fenêtre, une seconde, une minute, démarche douloureuse à regarder, dure à observer. Mais que pouvait0il faire ? Mentir ? Succomber aux larmes piètrement dissimulées de son adjuvante alors que la transcendance hideuse de la situation lui martelait le crâne par l’intermédiaire de dizaine de marteaux piqueurs ? Déchiré, William l’était aussi, si soudainement propulsé dans la dimension d’un manoir empoisonné sans comprendre comment, pourquoi, avec pour seul fautif sa propre personne en quête d’échappatoire. La vie extérieure lui avait semblée si vide, la lumière et la joie ayant paru avoir délaisser sa réalité depuis le décès destructeur de sa mère. La luminescence de l’écho des rires agaçants de Lawrence n’avait pas suffit, car un sourire ne fourni pas le bonheur nécessaire, ne donne pas un sens à une vie. À moins d’être celui de sa mère.

Holly redirigea sa personne vers l’immensité du lit, se camouflant sous la lourde courtepointe tachée, cherchant certainement un semblant d’équilibre, de quiétude. Comme les bras d’une mère se faufilant autour du corps de son bambin chéri. Ils restèrent dans un silence suintant de contemplation mentale et de malaise de longs moments. Moments durant lesquels William s’adonna à s’approcher de l’évier sommaire de l’infirmerie dans le but de nettoyer le sceau rempli de la poisse crémeuse de la jeune geek. Ce ne serait pas noble de laisser l’endroit sale lorsqu’il partirait. Se préoccuper de sa noblesse, de sa convenance et de ses manières l’aidait à ne pas succomber à la panique, à ne pas se laisser dévorer par la peur. Cet endroit . . . embaumait le monde d’une aura malsaine. Comme une enfant qui se brisait, Holly criait, aigu, frêle, William demeurait droit, frottant l’intérieur du sceau avec un linge de lin clair. Impuissant, il ne pouvait rien faire et, malgré toute cette aventure, le voulait-il vraiment ? S’encombrer de chair, s’encombrer de relations, car il la reverrait, s’ils étaient réellement coincés, il la reverrait. Assurément. Le voulait-il ?
Peur. Peur. Doutes. Doutes. Incompréhension, aliénation. La cerise sur la gâteau horrifique de l’horreur.

Ses prunelles percutèrent, hâtives, craintives, la vitre par laquelle il avait aperçu l’oiseau, espérant un signe, une chanson, un peu de chaleur lumineuse pour éclairer le chemin tortueux dans lequel il avait foutu les pieds à la manière d’un accablant idiot. Lèvres craquelées entrouvertes, yeux écarquillés dans une stupeur momentanée, il n’avait plus vraiment envie de passer la nuit ici. Il voulait comprendre, il devait trouver quelqu’un pour lui expliquer ce qui se passait. Il devait sortir, aller déposer des fleurs sur la tombe de sa mère, jouer dans la prochaine pièce de théâtre de son université et succéder honorablement à la compagnie de son paternel aux côtés de Lawrence, son cousin volage.

Il devait, il devait . . .

Mais il y avait Holly, il y avait cette femme menue qui l’avait extirpé de sa comatose effrayée, qui l’avait inconsciemment sauvé. Il ne pouvait la laisser là. . . Mais d’un autre côté . . . Une nouvelle volée de paroles émanant de la jeune femme le tirèrent vers la réalité, laissant ses pupilles se re-concentrer sur un objectif distinct, perdant l’aspect flou qui les avait habillé durant les dernières minutes.

Une histoire . . . Son histoire.

L’idée de dévoiler sa vie à une inconnue, aussi utile se soit-elle montrer, aussi précieuse pourrait-elle devenir, ne se dévoilait pas telle une possibilité envisageable aux yeux de William. Le riche héritier força un sourire, délaissant la fenêtre et le sceau, maintenant relativement propre, pour se rapprocher de Holly. Elle parlait d’amour, d’un amour totalement inexistant à ses yeux améthyste. Seule sa mère possédait les membranes fragiles de son cœur d’une poigne doucereuse, de la main froide et austère de la mort.

« Mon histoire est d’un ennui qui t’accablerait certainement, Holly. »

La tête de son adjuvante dépassait d’entre les replis de la courtepointe et William lui jeta un sourire désolé. Encore, il s’excusait mentalement, sans rien dire, car il ne dirait rien, rien sur lui. Toujours un brin méfiant, loin de la possibilité de parler de lui à une parfaite inconnue dans un contexte aussi étrange. Elle lui avait parlé d’elle, de ses passions, de ses intérêts, mais . . . l’histoire d’une vie ne se relatait pas. Trop vaste, trop grande, trop secrète.

« Tu ferais mieux de dormir, cela profiterait à ta jambe. »

Et il se promettait de ne pas partir tant que sa respiration ne se ferait pas profonde, tant qu’elle n’aurait pas fermé les yeux. Il lui devait bien cela.
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MessageSujet: Re: A PILL TO MAKE YOU NUMB, A PILL TO MAKE YOU DUMB ( PV : Holly ) [ TERMINÉ. ]   A PILL TO MAKE YOU NUMB, A PILL TO MAKE YOU DUMB ( PV : Holly ) [ TERMINÉ. ] - Page 2 Icon_minitimeMar 13 Mar 2012 - 22:06

Tout était fini, fini. William ne voudrait plus la voir, elle était devenue bizarre à ses yeux. A quoi cela servirait de faire semblant ? La situation était gênante, affreusement gênante. Personne n'arriverait surement à briser le silence. Ce silence était moche, juste moche. Même le briser serait moche. Elle était dans une impasse, sa question était peut-être gênante ? Avait-elle était trop audacieuse ? Elle aurait peut-être du se taire. Ou bien elle aurait du partir, ou ils auraient du partir. Peut-être allait-il partir ? Holly n'aimerait pas dormir pour ensuite se réveiller seule. Autant qu'elle parte mais si elle part, elle aura du mal à marcher et devra dormir dans sa chambre qui n'est pas une chambre. Mais si elle reste la situation sera de plus en plus gênante. Il faut trouver une idée, une solution et vite. Partir en première serait-il moins lâche ? Surement, elle fera le sale boulot mais elle le fera bien et rapidement.
Voudrait-elle le revoir ? Visiblement oui, mais elle était redevenue comme avant avec son sourire. Elle était redevenue la Holly enthousiaste et guillerette. Celle que les gens aimaient bien, celle que les gens trouvaient normal et sympathique. La confidente, l'amie, la superficielle, Holly. Il faut dire qu'elle n'est jamais vraiment elle-même sachant qu'elle n'est personne. Elle n'est qu'une fille perdue dans ce château de carte qu'on appelle réalité, dans de monde absurde. Elle a été lâché et s'est faite emprisonner lors des quelques secondes de son arrivée au pensionnat. Ensuite il y a eu tant de rencontre, ensuite il y a eu William et ensuite il y en aura surement d'autres. Revenons en aux faits, Holly n'est personne elle ne peut dont pas être elle même. Holly ne peut-être qu'une de ses vastes personnalités, elle enfile celle-ci comme des habits par rapport à la situation. Le problème c'est qu'avec William les habits sont toujours mal choisis, mal organisé. Le papier à musique ne marche plus. Rien n'est organisé, tout est déréglé. La mélodie devient moche, absurde. William devient alors l'élément perturbateur.
C'est peut-être pour sa qu'elle l'aime ou pour autre chose, pour lui. Pour tout ce qu'il est,pour tout ce qu'i. A fait. Holly le regardait, s'asseyant maintenant sur le lit montrant que non elle ne dormirai pas. Elle restera réveillé. Tant que personne n'aura avouer, tant que personne ne sera parti. William tu attends qu'elle dorme pour avoir la fierté sauve mais sa ne fait qu'aggraver les choses. Si tu aurais osé le faire, elle t'en aurai voulu pour longtemps. Même si elle t'aurait pardonné.
Les murs restait de leur blanc immaculé et l'ampoule pendait à son fil sans rien pour la cacher en éclairant la pièce. Les flacons semblaient être rangés, tout paraissait si normal, tout avait l'air d'être une infirmerie comme les autres alors que non, ils étaient bloqués dans le pensionnat et dans le château de carte qu'on appelle réalité pour toujours, TOUJOURS. Ce mot faisait froid dans le dos. On devrait le bannir du dictionnaire. Puis là tombé sur le sol, une vielle canne en bois, elle ferait l'affaire se disait-elle. En tout cas pour le moment. Le problème c'est qu'elle n'était pas sûre de son choix. Si William le prendrait bien ou non. Mais le silence a duré trop longtemps, cela faisait pratiquement 10 minutes que William avait parlé et tout cela devenait de plus en plus gênant, de plus en plus insoutenable. Ce silence était vraiment moche. Tout avait l'air moche tout à coup. Tout lui semblait si loin, si petit. C'était toujours ainsi lorsque Holly réfléchissait. C'était comme si elle partait pour un moment et le seul moyen de la réveiller et de lui parler assez fort. Sauf que William ne parlait pas et que le silence continuait encore et encore. La canne était si proche, si facile à attraper mais paraissait loin, trop loin.
La question restait , se répétait dans son cerveau mais Holly restait muette incapable de répondre. Devrait-elle le faire ? Devrait-elle partir en première ? Pour : Cela arrêterait le silence et rendrait William moins gêné. Contre : Cela risquerait d'être perçue comme mal poli et engendrerait un gêne peu perceptible dans leur relation amicale quasiment inexistante. Le pour est bien juste pour William et le contre n'est pas sûr mais dangereux pour Holly.
Sa main, elle tendait sa main hésitante vers la canne, elle était prête. Prête a y aller. Prête à partir sans retourner la tête, sans hésiter. La canne se rapprochait, de plus en plus, elle avait l'air si accessible maintenant, si proche. BAM. Elle ne l'as pas prise et a remis sa main le long de son corps de manière rigide. Elle avait eu une vision d'horreur.
William, cherchant à la fuir, à l'éviter, il la regardait gêné, dégoûté. Dans sa vision elle se voyait si laide dans les yeux de William., si horrible. William lui parlait gêné, tentant de mettre fin à la discussion. Si elle le faisait, si elle partait, est ce que ... Est ce que sa deviendra comme sa ? Est-ce qu'ils se haïront toute leur vie ? Mais si elle reste là, sa pourrait devenir pareille.
Ou peut-être que dans tout les cas, William l'avez trouvé définitivement associable, bizarre. Une fille à qui on ne devrait pas parler, à mauvaise réputation. Peut-être que tout ce qu'elle fera ne changera rien, que sa y est, c'était fini, pour de bon. NON ! Sa ne pouvait pas se finir ainsi, pas maintenant.
Sa main repart en direction de la canne, elle était décidée, impassible, personne ne la ferait changer d'avis. Sa main furtive et rapide serra la canne de ses mains moites. Sa y est, elle l'avait. Mais elle ne pouvait pas partir ainsi, sans rien dire. Si elle partait ainsi William lui en voudrait. Pour toujours. Sa lui faisait froid dans le dos.

Elle a arboré un de ses grands sourire dont elle a le don.

« Tu es gênée, tu ne veux pas rester, c'est aussi claire que de l'eau de roche. »

Holly soupira, se préparant à sortir un de ses longs discours dont elle a aussi le don.

« Tu me trouves bizarre ? Si je serais toi je me trouverais bizarre mais je ne suis pas toi donc je ne peux pas savoir. Sérieusement, j'aurais aimé te rencontrer dans de meilleure circonstance. »

Il y eut un de ces petits silences, légers et fragile, magnifique tout simplement. Ces petits silences là il faut les admirer et les préserver. Ces petits silences là c'est un petit moment pour réfléchir, à des pensées, des questions.

« Restons amis, tu me dois au moins sa. En faite c'est moi qui te devrait sa vu que tu m'as sauvé la vie. Mais ce n'est pas moi qui choisit. Encore merci pour sa, perdre un genou n'aurait pas été très pratique. Je me répète mais restons juste amis. Je suis encore désolé, j'aurai aimé ne pas t'aimer. Mais l'amour peut être ignoré, enterré. Même si elle existera encore dans un coin elle ne sera que peux perceptible. »

Elle disait sa mais finalement c'était juste pour qu'il la croit. L'amour est toujours existant, il persiste et ne veut jamais partir.
Elle serre sa canne de ses mains moites, raidit ses muscles, prépare sa jambe qui est en bon état, elle peut y arriver., elle en est capable. Voilà, Holly se lève, se retient de pousser un minuscule cri de douleur en se mordant la lèvre. Elle ne se retourne pas, avance vers la porte, s'appui contre le mur. Holly est face au couloir, elle voit les quelques personnes précipités de rentrer dans leur dortoirs à cette heure ci. Elle les voit et ce dit qu'elle doit les rejoindre. Puis elle se répète, avec sa voix nostalgique lasse et fatigué.

« Désolé William, désolé. »


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MessageSujet: Re: A PILL TO MAKE YOU NUMB, A PILL TO MAKE YOU DUMB ( PV : Holly ) [ TERMINÉ. ]   A PILL TO MAKE YOU NUMB, A PILL TO MAKE YOU DUMB ( PV : Holly ) [ TERMINÉ. ] - Page 2 Icon_minitimeVen 1 Juin 2012 - 19:16

A PILL TO MAKE YOU NUMB.


« Je ne suis pas gêné. Simplement . . . »

Soupirs acerbes projetaient des ombres maladives sur la surface des murs à l’immaculation malsaine, laissant William contempler un ballet sordide de ses prunelles améthyste. Gêné ? Était-il gêné par la présence de Holly Addison, menue, frivole, blessée, adjuvante dans cette horrible adversité que lui imposaient les lieux ? Non. Non. Absolument pas. L’infirmerie dégageait simplement une atmosphère fétide qu’il donnait mal au cœur de respirer, transparaissant un mal d’être odieux et lancinant, renforçant ce désir contradictoire qui lui insufflait à la fois l’envie de sauter par la fenêtre et l’envie de s’aventurer dans les profondeurs du manoir. L’horreur rampant dans ses veines avec un sourire narquois, opinant du chef en dénigrant ses inquiétudes d’un détour de cou. Non, il ne voulait pas rester à l’intérieur de cette pièce inquiétante où seule la fenêtre découvrant l’extérieur laissait filtrer un brin de chaleur, un brin d’espoir. Les armoires alignées et bourrées de médicaments dont il n’avait point connaissance des effets semblaient picorer sa peau de leurs regards aigus, acérés. Pourtant, c’était bien connu, des étagères ne pouvaient posséder de consciences et encore moi de regards. Ce bâtiment, après à peine quelques heures passées dans son enceinte lui faisait déjà tourner la tête. Horriblement, affreusement.

Soupirs. Soupirs. Éreintés, horrifiés. Soupirs pour la canne serrée dans la main de Holly, canne qui vacillait et éraflait avec sonorité le plancher trop clair de la pièce. Figé dans une inertie conservatrice de calme, William demeurait en apparence placide. Holly lui jettait un discours aux phrases tournicotantes de sa petite voix fragilisée et chantonnante, mèches de cheveux sombres relevées encadrant son visage fin. William ne pouvait que l’écouter s’absorbant dans un mutisme contemplatif de ses paroles. La trouvait-il étrange ? Elle qui sautait du coq à l’âne sans la moindre réserve, arpentant la largesse de l’alphabet rien qu’au travers de ses émotions. La trouvait-il étrange ? Elle qui racontait la totalité de son existence à un parfait inconnu, ingénue. Comment pouvait-il apposer un jugement correct lorsqu’il prenait conscience de la situation horriblement inusitée dans laquelle il se trouve. Enfermé à triple tours dans l’abode de démons enflammés. Il relevait de l’impossible de déterminer la signification exacte du mot ‘étrange’, car cette situation s’égosillait à redéfinir la vision concrète et morne qu’il s’était fait du monde jusqu’à présent.

Et les paroles de Holly ne faisaient que renforcer cette sensation d’irréalisme profond qui s’appropriait son corps, illumination d’épouvante dansante dans les confins des ses rétines. Elle se perdait dans l’élocution d’une amitié tangible, d’un amour infranchissable et William n’y comprenait absolument plus rien. Que se passait-il à la fin ? Comment pouvait-elle affirmer de tels sentiments sans le connaître. Il était vrai qu’ils s’étaient mutuellement sauvés la vie, mais de-là à en venir à ce genre d’aveux passionnels. Mary ne pouvait se résoudre à accepter de telles déclarations, valsant dans l’hypertension de ses artères, dans le déboulement mental de son cerveau. La folie qui rampait le long de son bulbe rachidien. Il se sentait certainement aussi malade que son adjuvante, contenant de peine ses propres hauts de cœurs, sa propre aliénation. Dépassé par tout ce qui évoluait, rattrapé par sa peur. Comment tout ceci était-il possible ? Pourquoi Holly ne se montrait-elle pas plus paniquée ! Ils étaient coincés. Ils étaient coincés. Comme des rats dans une petite boîte sombre rapetissant lentement. Ils étaient coincés.

Coincés. Coincés. Coincés. Coincés. Coincés. Coincés. Coincés. Coincés.

Pris au piège.

« Je . . . Je . . . »

Et elle se relevait, sanguignolant sa lèvre inférieur de sa douleur, clopinant posément jusqu’à la porte, doucement, sûrement. Il ne pouvait lui répondre, les mots mourant dans sa gorge avant même de naître, il ne pouvait que la regarder partir de son regard effrayé, lapereau désorienté et déboussolé.

A PILL TO MAKE YOU DUMB.


Elle s’appuyait contre un mur, l’air hagard. William ne pouvait se résoudre à la laisser lui filer de la sorte entre les doigts, sans la moindre élocution pour expliquer son manque de responsivité. Ses jambes flageolantes le portèrent jusqu’à la jeune femme qui, avec le temps, pourrait certainement devenir une amie, le laissant effleurer l’épaule de cette dernière avec ses phalanges tremblantes. Sa voix se fit incertaine, contemplative, perplexe. Il craignait ce qu’il allait dire, ne sachant réellement comment définir l’ampleur de ce qu’il ressentait, ne désirant point fournir d’explication à cette dame lui tournant le dos. Mais il le lui devait . . . c’était la moindre des choses. Soupir. Soupir d’agonie, soupir d’atrophie.

« Non . . . Je crois que c’est moi qui est désolé, Holly. Tu ne t’imagine pas à quel point le monde tourne rapidement en ce moment, laissant les parois de cet horrible manoir me paraître translucides dans leur horreur. Je . . . Je ne sais quoi te dire, quoi te répondre. Je n’arrive pas à comprendre un iota de ce qui s’est produit aujourd’hui . . . Éveillé dans le luxe de mon lit pour finir dans la poussière des draps d’une chambre inquiétante Je . . . »

Et il ne savait plus trop ce que ses murmures signifiaient, laissant couler le velours de ses paroles aléatoirement, se perdant dans ses pensées tout en s’expliquant. Il devait se ressaisir, se retirer pour mieux organiser le charabia infernal qu’était devenu sa matière grise. Il devait comprendre ce qui se passait, devait laissé ses pas le guider ailleurs. Regarder Holly et sa douleur intensifiait le malaise et les gens, d’autres âmes prisonnières, qui défilaient devant l’embouchure de la porte pourrait certainement l’aider.

Soupir de mal aise, soupire de mal de vivre, soupir d’incompréhension totale.

« Je suis désolé, Holly. Je ne pourrai pas tenir ma promesse et rester avec toi jusqu'à ce que le sommeil t’empoigne. Je dois . . . Je dois . . . Je dois réfléchir. Merci de ton aide précieuse. Je . . . »

Il mordilla sa lèvre, dépassant la jeune femme pour aller se perdre dans le couleur, affrontant des visages qu’il ne connaissait pas, affrontant une réalité qu’il n’arrivait pas à intelliger.

« I-I’m so sorry. »

Il venait de jeter, momentanément, ses valeurs de noblesse et de bienséance à l’eau, laissant l’être humain prendre le dessus sur la coquille contenue aux manières de gentleman placide. William ne se retourna pas, s’engouffrant dans le labyrinthe des couloirs avec une ferveur trop hésitante, laissant Holly derrière pour disparaître, sans s’en rendre compte, parmi les ombres.

Il la reverrait. Il se rattraperait.

Éventuellement. Lorsque tout ceci aurait réussi à prendre forme dans sa tête, lorsqu’il l’aurait accepter.

Plus tard. Il la retrouverait.

FIN POUR WILLIAM.


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