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| [ NE PAS LIRE ] L'enfer c'est les oeufs. | |
| Auteur | Message |
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Pensionnaire Kurogane
+ Pseudo Hors-RP : DD (DarkD) • Age : 30 • Pouvoir : fuuuusiiiiooon ! • AEA : Un faucon rouge • Petit(e) ami(e) : Pourquoi se contenter de ça alors qu'on a carrément un harem à sa disposition ? Messages : 2068 Inscrit le : 08/02/2007
| Sujet: [ NE PAS LIRE ] L'enfer c'est les oeufs. Dim 9 Oct 2011 - 21:33 | |
| En entrant dans la salle à manger :
" CASSE TOI "
Et tous les oeufs éclatèrent.
On en fit des oeufs brouillés.
C'était délicieux.
Mais partager c'est pas son fort.
Alors il finit tout tout seul.
Miam.
Dernière édition par Kurogane le Mar 11 Oct 2011 - 16:46, édité 1 fois |
| | | Sectaire iguano-stellairienne Petra Traümer
+ Pseudo Hors-RP : Mooney • Age : 29 • Pouvoir : Persuasion • AEA : Marmotte la Marmotte • Petit(e) ami(e) : EMRYS SULWYYYYYYN <3 RP en cours : LA VIE EN ROSE (Claris Linden) Messages : 1647 Inscrit le : 09/11/2008
| Sujet: Re: [ NE PAS LIRE ] L'enfer c'est les oeufs. Dim 9 Oct 2011 - 21:36 | |
| Au milieu de la rue Saint-Denis, presque au coin de la rue du Petit-Lion, existait naguère une de ces maisons précieuses qui donnent aux historiens la facilité de reconstruire par analogie l’ancien Paris. Les murs menaçants de cette bicoque semblaient avoir été bariolés d’hiéroglyphes. Quel autre nom le flâneur pouvait-il donner au X et aux V que traçaient sur la façade les pièces de bois transversales ou diagonales dessinées dans le badigeon par de petites lézardes parallèles ? Évidemment, au passage de toutes les voitures, chacune de ces solives s’agitait dans sa mortaise. Ce vénérable édifice était surmonté d’un toit triangulaire dont aucun modèle ne se verra bientôt plus à Paris. Cette couverture, tordue par les intempéries du climat parisien, s’avançait de trois pieds sur la rue, autant pour garantir des eaux pluviales le seuil de la porte, que pour abriter le mur d’un grenier et sa lucarne sans appui. Ce dernier étage était construit en planches clouées l’une sur l’autre comme des ardoises, afin sans doute de ne pas charger cette frêle maison.
Par une matinée pluvieuse, au mois de mars, un jeune homme, soigneusement enveloppé dans son manteau, se tenait sous l’auvent de la boutique qui se trouvait en face de ce vieux logis, et paraissait l’examiner avec un enthousiasme d’archéologue. À la vérité, ce débris de la bourgeoisie du seizième siècle pouvait offrir à l’observateur plus d’un problème à résoudre. Chaque étage avait sa singularité. Au premier, quatre fenêtres longues, étroites, rapprochées l’une de l’autre, avaient des carreaux de bois dans leur partie inférieure, afin de produire ce jour douteux, à la faveur duquel un habile marchand prête aux étoffes la couleur souhaitée par ses chalands. Le jeune homme semblait plein de dédain pour cette partie essentielle de la maison, ses yeux ne s’y étaient pas encore arrêtés. Les fenêtres du second étage, dont les jalousies relevées laissaient voir, au travers de grands carreaux en verre de Bohême, de petits rideaux de mousseline rousse, ne l’intéressaient pas davantage. Son attention se portait particulièrement au troisième, sur d’humbles croisées dont le bois travaillé grossièrement aurait mérité d’être placé au Conservatoire des arts et métiers pour y indiquer les premiers efforts de la menuiserie française. Ces croisées avaient de petites vitres d’une couleur si verte, que, sans son excellente vue, le jeune homme n’aurait pu apercevoir les rideaux de toile à carreaux bleus qui cachaient les mystères de cet appartement aux yeux des profanes. Parfois, cet observateur, ennuyé de sa contemplation sans résultat, ou du silence dans lequel la maison était ensevelie, ainsi que tout le quartier, abaissait ses regards vers les régions inférieures. Un sourire involontaire se dessinait alors sur ses lèvres, quand il revoyait la boutique où se rencontraient en effet des choses assez risibles. Une formidable pièce de bois, horizontalement appuyée sur quatre piliers qui paraissaient courbés par le poids de cette maison décrépite, avait été rechampie d’autant de couches de diverses peintures que la joue d’une vieille duchesse en a reçu de rouge. Au milieu de cette large poutre mignardement sculptée se trouvait un antique tableau représentant un chat qui pelotait. Cette toile causait la gaieté du jeune homme. Mais il faut dire que le plus spirituel des peintres modernes n’inventerait pas de charge si comique. L’animal tenait dans une de ses pattes de devant une raquette aussi grande que lui, et se dressait sur ses pattes de derrière pour mirer une énorme balle que lui renvoyait un gentilhomme en habit brodé. Dessin, couleurs, accessoires, tout était traité de manière à faire croire que l’artiste avait voulu se moquer du marchand et des passants. En altérant cette peinture naïve, le temps l’avait rendue encore plus grotesque par quelques incertitudes qui devaient inquiéter de consciencieux flâneurs. Ainsi la queue mouchetée du chat était découpée de telle sorte qu’on pouvait la prendre pour un spectateur, tant la queue des chats de nos ancêtres était grosse, haute et fournie. À droite du tableau, sur un champ d’azur qui déguisait imparfaitement la pourriture du bois, les passants lisaient GUILLAUME ; et à gauche, SUCCESSEUR DU SIEUR CHEVREL. Le soleil et la pluie avaient rongé la plus grande partie de l’or moulu parcimonieusement appliqué sur les lettres de cette inscription, dans laquelle les U remplaçaient les V, et réciproquement, selon les lois de notre ancienne orthographe. Afin de rabattre l’orgueil de ceux qui croient que le monde devient de jour en jour plus spirituel, et que le moderne charlatanisme surpasse tout, il convient de faire observer ici que ces enseignes, dont l’étymologie semble bizarre à plus d’un négociant parisien, sont les tableaux morts de vivants tableaux à l’aide desquels nos espiègles ancêtres avaient réussi à amener les chalands dans leurs maisons. Ainsi la Truie-qui-file, le Singe-vert, etc., furent des animaux en cage dont l’adresse émerveillait les passants, et dont l’éducation prouvait la patience de l’industriel au quinzième siècle. De semblables curiosités enrichissaient plus vite leurs heureux possesseurs que les Providence, les Bonne-foi, les Grâce-de-Dieu et les Décollation de saint Jean-Baptiste qui se voient encore rue Saint-Denis. Cependant l’inconnu ne restait certes pas là pour admirer ce chat, qu’un moment d’attention suffisait à graver dans la mémoire. Ce jeune homme avait aussi ses singularités. Son manteau, plissé dans le goût des draperies antiques, laissait voir une élégante chaussure, d’autant plus remarquable au milieu de la boue parisienne, qu’il portait des bas de soie blancs dont les mouchetures attestaient son impatience. Il sortait sans doute d’une noce ou d’un bal ; car à cette heure matinale il tenait à la main des gants blancs ; et les boucles de ses cheveux noirs défrisés, éparpillées sur ses épaules, indiquaient une coiffure à la Caracalla, mise à la mode autant par l’école de David que par cet engouement pour les formes grecques et romaines qui marqua les premières années de ce siècle. Malgré le bruit que faisaient quelques maraîchers attardés passant au galop pour se rendre à la grande halle, cette rue si agitée avait alors un calme dont la magie n’est connue que de ceux qui ont erré dans Paris désert, à ces heures où son tapage, un moment apaisé, renaît et s’entend dans le lointain comme la grande voix de la mer. Cet étrange jeune homme devait être aussi curieux pour les commerçants du Chat-qui-pelote, que le Chat-qui-pelote l’était pour lui. Une cravate éblouissante de blancheur rendait sa figure tourmentée encore plus pâle qu’elle ne l’était réellement. Le feu tour à tour sombre et pétillant que jetaient ses yeux noirs s’harmoniait avec les contours bizarres de son visage, avec sa bouche large et sinueuse qui se contractait en souriant. Son front, ridé par une contrariété violente, avait quelque chose de fatal. Le front n’est-il pas ce qui se trouve de plus prophétique en l’homme ? Quand celui de l’inconnu exprimait la passion, les plis qui s’y formaient causaient une sorte d’effroi par la vigueur avec laquelle ils se prononçaient ; mais lorsqu’il reprenait son calme, si facile à troubler, il y respirait une grâce lumineuse qui rendait attrayante cette physionomie où la joie, la douleur, l’amour, la colère, le dédain éclataient d’une manière si communicative que l’homme le plus froid en devait être impressionné. Cet inconnu se dépitait si bien au moment où l’on ouvrit précipitamment la lucarne du grenier, qu’il n’y vit pas apparaître trois joyeuses figures rondelettes, blanches, roses, mais aussi communes que le sont les figures du Commerce sculptées sur certains monuments. Ces trois faces, encadrées par la lucarne, rappelaient les têtes d’anges bouffis semés dans les nuages qui accompagnent le Père éternel. Les apprentis respirèrent les émanations de la rue avec une avidité qui démontrait combien l’atmosphère de leur grenier était chaude et méphitique. Après avoir indiqué ce singulier factionnaire, le commis qui paraissait être le plus jovial disparut et revint en tenant à la main un instrument dont le métal inflexible a été récemment remplacé par un cuir souple ; puis tous prirent une expression malicieuse en regardant le badaud qu’ils aspergèrent d’une pluie fine et blanchâtre dont le parfum prouvait que les trois mentons venaient d’être rasés. Élevés sur la pointe de leurs pieds et réfugiés au fond de leur grenier pour jouir de la colère de leur victime, les commis cessèrent de rire en voyant l’insouciant dédain avec lequel le jeune homme secoua son manteau, et le profond mépris que peignit sa figure quand il leva les yeux sur la lucarne vide. En ce moment, une main blanche et délicate fit remonter vers l’imposte la partie inférieure d’une des grossières croisées du troisième étage, au moyen de ces coulisses dont le tourniquet laisse souvent tomber à l’improviste le lourd vitrage qu’il doit retenir. Le passant fut alors récompensé de sa longue attente. La figure d’une jeune fille, fraîche comme un de ces blancs calices qui fleurissent au sein des eaux, se montra couronnée d’une ruche en mousseline froissée qui donnait à sa tête un air d’innocence admirable. Quoique couverts d’une étoffe brune, son cou, ses épaules s’apercevaient, grâce à de légers interstices ménagés par les mouvements du sommeil. Aucune expression de contrainte n’altérait ni l’ingénuité de ce visage, ni le calme de ces yeux immortalisés par avance dans les sublimes compositions de Raphaël : c’était la même grâce, la même tranquillité de ces vierges devenues proverbiales. Il existait un charmant contraste produit par la jeunesse des joues de cette figure, sur laquelle le sommeil avait comme mis en relief une surabondance de vie, et par la vieillesse de cette fenêtre massive aux contours grossiers, dont l’appui était noir. Semblable à ces fleurs de jour qui n’ont pas encore au matin déplié leur tunique roulée par le froid des nuits, la jeune fille, à peine éveillée, laissa errer ses yeux bleus sur les toits voisins et regarda le ciel ; puis, par une sorte d’habitude, elle les baissa sur les sombres régions de la rue, où ils rencontrèrent aussitôt ceux de son adorateur. La coquetterie la fit sans doute souffrir d’être vue en déshabillé, elle se retira vivement en arrière, le tourniquet tout usé tourna, la croisée redescendit avec cette rapidité qui, de nos jours, a valu un nom odieux à cette naïve invention de nos ancêtres, et la vision disparut. Il semblait à ce jeune homme que la plus brillante des étoiles du matin avait été soudain cachée par un nuage. |
| | | ♠ Miss Machiav(i)élique Helen Machiaviel
| Sujet: Re: [ NE PAS LIRE ] L'enfer c'est les oeufs. Dim 9 Oct 2011 - 21:37 | |
| Wouloulou Bonjour, excuse moi mais ton post n'est pas conforme aux règles du forum. En effet, il faut 8 lignes de RP minimum. Je te prie donc de m'éditer ça, sinon tu risques d'avoir un avertissement. ;) Désolée Wouloulou Wouloulou Wouloulou Wouloulou Wouloulou Wouloulou Wouloulou
Dernière édition par Helen Machiaviel le Dim 9 Oct 2011 - 21:42, édité 1 fois |
| | | Sectaire iguano-stellairienne Petra Traümer
+ Pseudo Hors-RP : Mooney • Age : 29 • Pouvoir : Persuasion • AEA : Marmotte la Marmotte • Petit(e) ami(e) : EMRYS SULWYYYYYYN <3 RP en cours : LA VIE EN ROSE (Claris Linden) Messages : 1647 Inscrit le : 09/11/2008
| Sujet: Re: [ NE PAS LIRE ] L'enfer c'est les oeufs. Dim 9 Oct 2011 - 21:47 | |
| VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON CHEWBACCA VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA PRON VIAGRA !
Petit jeu : combien de fois la lettre A est-elle utilisée ? ♥ Le gagnant aura le droit à un bisou de la Schtroumpfette. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: [ NE PAS LIRE ] L'enfer c'est les oeufs. Dim 9 Oct 2011 - 22:55 | |
| WOULOULOULOULOU LOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOU LOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOU LOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOU LOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOU LOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOU LOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOU LOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOU LOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOU LOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOU LOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOU LOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOU LOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOU LOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOULOU
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| | | ♠ Miss Machiav(i)élique Helen Machiaviel
| Sujet: Re: [ NE PAS LIRE ] L'enfer c'est les oeufs. Dim 9 Oct 2011 - 23:59 | |
| Avertissement Jay, je ne sais vraiment pas ce que signifie ce "wouloulou" mais ça commence à bien faire. La prochaine fois que je te reprends à polluer un topic de RP, tu auras une sanction ! Tu es prévenu ! |
| | | Wonderland's Obscene Psychopath Chess
| Sujet: Re: [ NE PAS LIRE ] L'enfer c'est les oeufs. Lun 10 Oct 2011 - 0:29 | |
| ALORS; je vais faire un post' dans les règles de l'art histoire de mettre un peu de bon sens dans ce désordre immonde que sont les oeufs. Melly Clumsy marchait lentement, oui très lentement, si lentement que ses pieds ne bougeaient pas du sol. En fait, elle se tenait immobile dans l'embasure de la porte glauque menant à la cuisine. Bois brun, oui oui comme du chocolat. J'ai faim les gens, j'ai pas encore mangé aujourd'hui et il est 18h. M'ENFIN, en fière québécoise dresseuse de castors albinos, elle pénétra l'orifice menant à la cuisine de tout son être. Oui. Je vous assure. Melly AHEM, Clumsy plongea ses membres à l'intérieur de la salle à manger. ( Qui équivaut à la cuisine, vous en conviendrez. ) Malheureusement pour elle, Augustin n'était pas présent. Nan, à sa place tronait Mif en costume de lamentin, chantonnant des WOULOULOU cantonnais sur une table basse ( qui n'avait rien à foutre dans la salle à bouffe ) et DD, travesti en homme viril plein de poils, qui éclatait des oeufs sur les bras . . . ÉLASTIQUES de Jay. Oui. OH. Et Mooney, pendant ce temps, étudiait son latin. Son histoire grecque, tout en étant poursuivie par une camionette blanche. Qu'est-ce qu'une camionette-vroum-vroum- foutait dans la salle à manger ? Bah, elle roulait. COMMENT FAISAIT-ELLE ? Demandez à Moo, c'est elle qui l'a ramener après tout. J'ai rien comprit à ton message, c'est magnifique * o * |
| | | Sectaire iguano-stellairienne Petra Traümer
+ Pseudo Hors-RP : Mooney • Age : 29 • Pouvoir : Persuasion • AEA : Marmotte la Marmotte • Petit(e) ami(e) : EMRYS SULWYYYYYYN <3 RP en cours : LA VIE EN ROSE (Claris Linden) Messages : 1647 Inscrit le : 09/11/2008
| Sujet: Re: [ NE PAS LIRE ] L'enfer c'est les oeufs. Mar 11 Oct 2011 - 19:48 | |
| À peine nous sortions des portes de Trézène, Il était sur son char ; ses gardes affligés Imitaient son silence, autour de lui rangés ; Il suivait tout pensif le chemin de Candylan' ; Sa main sur les chevaux laissait flotter les rênes ; Ses superbes coursiers qu’on voyait autrefois Pleins d’une ardeur si noble obéir à sa voix, L’œil morne maintenant, et la tête baissée, Semblaient se conformer à sa triste pensée. Un effroyable cri, sorti du fond des flots, Des airs en ce moment a troublé le repos ; Et du sein de la terre une voix formidable Répond en gémissant à ce cri redoutable. Jusqu’au fond de nos cœurs notre sang s’est glacé ; Des coursiers attentifs le crin s’est hérissé. Cependant sur le dos de la plaine liquide, S’élève à gros bouillons une montagne humide ; L'vortex approche, se brise, et vomit à nos yeux, Parmi des flots d’écume, un monstre furieux. Son front large est armé de cornes menaçantes ; Tout son corps est couvert d’écailles jaunissantes, Indomptable taureau, dragon impétueux, Sa croupe se recourbe en replis tortueux ; Ses longs mugissements font trembler le rivage. Le ciel avec horreur voit ce monstre sauvage ; La terre s’en émeut, l’air en est infecté ; Le flot qui l’apporta recule épouvanté. Tout fuit ; et sans s’armer d’un courage inutile, Dans le temple voisin chacun cherche un asile. Hippolyte lui seul, digne fils d’un héros, Arrête ses coursiers, saisit the amuleeeeette, Pousse au monstre, et d’un dard lancé d’une main sûre, Il lui fait dans le flanc une large blessure. De rage et de douleur le monstre bondissant Vient aux pieds des chevaux tomber en mugissant, Se roule, et leur présente une gueule enflammée Qui les couvre de feu, de sang et de fumée. La frayeur les emporte ; et, sourds à cette fois, Ils ne connaissent plus ni le frein ni la voix ; En efforts impuissants leur maître se consume ; Ils rougissent le mors d’une sanglante écume. On dit qu’on a vu même, en ce désordre affreux, Un dieu qui d’aiguillons pressait leur flanc poudreux. À travers les rochers la peur les précipite ; L’essieu crie et se rompt : l’intrépide Hippolyte Voit voler en éclats tout son char fracassé ; Dans les rênes lui-même il tombe embarrassé. Excusez ma douleur : cette image cruelle Sera pour moi de pleurs une source éternelle. J’ai vu, seigneur, j’ai vu votre malheureux fils Traîné par les chevaux que sa main a nourris. Il veut les rappeler, et sa voix les effraie ; Ils courent : tout son corps n’est bientôt qu’une plaie. De nos cris douloureux la plaine retentit. Leur fougue impétueuse enfin se ralentit : Ils s’arrêtent non loin de ces tombeaux antiques Où des rois ses aïeux sont les froides reliques. J’y cours en soupirant, et sa garde me suit : De son généreux sang la trace nous conduit ; Les rochers en sont teints ; les ronces dégouttantes Portent de ses cheveux les dépouilles sanglantes. J’arrive, je l’appelle ; et me tendant la main, Il ouvre un œil mourant qu’il referme soudain : « Le ciel, dit-il, m’arrache une innocente vie. « Prends soin après ma mort de la triste Charliiiiiiie. « Cher ami, si mon père un jour désabusé « Plaint le malheur d’un fils faussement accusé, « Pour apaiser mon sang et mon ombre plaintive, « Dis-lui qu’avec douceur il traite sa captive ; « WOULOULOUUU » À ce mot, ce héros expiré N’a laissé dans mes bras qu’un corps défiguré : Triste objet où des dieux triomphe la colère, Et que méconnaîtrait l’œil même de son père. |
| | | Pensionnaire Kurogane
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| Sujet: Re: [ NE PAS LIRE ] L'enfer c'est les oeufs. Mar 11 Oct 2011 - 19:57 | |
| Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Non je ne m'abaisserais pas à faire un message avec rien qu'une succession d'une même expression. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Ce topic tourne en rond. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Trop de gens. Il en avait la chair de poule. Jack tel un coq en pâte fouettait l'air d'un bâton ardent mais passa vite du coq à l'âne pour danser un tchatcha avec la grande poule aux oeufs d'or Helen. Les poulets poursuivaient Mooney pour plagiat. Mais qui est Mooney ? Chess quant à lui faisait la mère poule, tout simplement.
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| | | ♣ This Mother-Infected Fairytale William Mary Hufflestring
| Sujet: Re: [ NE PAS LIRE ] L'enfer c'est les oeufs. Mer 12 Oct 2011 - 1:36 | |
| Les oeufs sont rouges, bleus, jaunes et blancs. Tant qu'ils ne sont pas verts la populace est sauve. WHO DESIRES GREEN EGGS AND HAAAM ? Le Lamentin Mobile agitait sa nageaoire éthyllique grossièrement. Alors que l'administratice déguisée en homme remarquait qu'un cancer de la réticule froncière de la membrane gauche du cervelet droit pouvait être la cause de tels gestes. Melly Clumsy tuait le fruit des entrailles de la Prusse, c'est-à-dire les poulets qui importunaient cruellement la pauvre Mooney porteuse du fléau des camionettes blanches ! N'avait-elle déjà pas suffisemment d'ennuis ? Melly Clumsy se devait de venir au secour de son double aux goûts musicaux ariérés. Alors à mort les piaillements, Mr. Awesome me reniera. Aussi longtemps que l'Angleterre et les États-Unis terminent ensemble dans un lit. Tout va pour le mieux.
Jay pleurait, lorgnant le lamentait qui l'émouvait de sa danse bizarroïde, tandis que DoubleDarkDD l'imitait complètement renversée par la dévotion de Melly Clumsy. Mif le lamentin signifait toujours son désir de jouer le rôle du jambon dans 'Le Chat dans le Chapeau' en gigotant telle une truite fécondée sur une autoroute.
Et, moi, Melly, AHEMMM, CLUMSY, chialait comme une madelaine, ayant donné sueur et salive pour la sauvegarde de Mooney, car le marchand de sable était passé. Ça émouvoit un transgenre de sentir le viel homme du sommeil l'emporté vers le Stix de Charron.
L'oeuf ou la poule ? Considérant que les oeufs gisent dans nos assiettes et que Melly Clumsy s'est chargé d'exterminer les poules, je dirais AUCUN. Où des écureuils ont subis avec la sélection naturelle des changements si prononcés que les poules ont finalement pu voir le jour en 1878.
HO YAY. |
| | | Sectaire iguano-stellairienne Petra Traümer
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| Sujet: Re: [ NE PAS LIRE ] L'enfer c'est les oeufs. Jeu 13 Oct 2011 - 22:30 | |
| Charlie you look quite down With your big sad eyes And your big fat frown The world doesn't have to be so gray Charlie when your life's a mess When your feeling blue Or are in distress I know what can wipe that sad away All you have to do is Put a banana in your ear (a banana in my ear?) UP ON BOARD THE TRAIN CHARLIE ! IT'S GONNA TAKE US TO THE BANANA KING ! I don't see any train... All I see is a giant snicker. |
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| | | | [ NE PAS LIRE ] L'enfer c'est les oeufs. | |
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