| .:: Le Rez-de-Chaussée ::.* * * * * |
Passage obligatoire pour entrer dans le pensionnat. Il est aussi déconseillé de venir par la magie.
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Clac ! La porte se referme, et vous êtes piégé.
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Un hall magnifique. Un escalier particulièrement haut et esthétique. Il y a un tableau à droite de la porte d'entrée punaisé de feuilles manuscrites par les Prisonniers, lassés d'expliquer aux entrants ce qu'ils ont à leur apprendre. On ne peut qu'être subjugué et attiré par cette pièce... L'appât du piège. Vous y êtes entré ? Vous ne pourrez plus en sortir... Ce manoir sera désormais votre tombeau.
| | * * * * * | Couloirs | • • • Sujets : 8 | Messages : 64 |
“Bon dieu de bois ! Ce couloir serait-il sans fin !?”
Vous aurez beau parcourir pendant des heures et des heures ces maudits passages, vous n'en verrez probablement jamais le bout... Mieux vaut rebrousser chemin. Une multitude de portes s'étale sur votre route. Certaines mènent aux autres pièces du manoir, d'autres s'ouvrent sur des pièges dont vous devriez vous méfier.
| | * * * * * | Cuisines | • • • Sujets : 13 | Messages : 145 |
Une cuisine lugubre dans un lieu tout autant lugubre... Cela pousserait presque à ne plus manger. Comptoirs sales, réfrigérateurs poussiéreux, tout inspire la monotonie, la nostalgie et, bien sûr, l'envie de partir. Bien que votre langue soit couverte d'un tapis d'amertume, vous vous efforcez de manger ce que d'autres ont laissé sur la table. Si vous savez cuisiner, libre à vous de vous faire maître des fourneaux. Il suffit de trouver de quoi fricasser.
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La salle à manger est une assez grande pièce, directement rattachée aux cuisines. Elle embaume toujours d’une odeur parfois désagréable de friture ou de cuisson, qui semble s’être accrochée aux lourds rideaux ocre qui parent les fenêtres, donnant sur le lac et son parc. Il y a une multitude de tables carrée, rectangulaires ou rondes en bois, aux pieds de torsades et aux chaises droites. Il y a des tables de deux, quatre, voire six personnes, en plus d’une grande et longue d’une dizaine de convives sur le côté gauche.
| | * * * * * | Cave | • • • Sujets : 3 | Messages : 41 |
C'est obscur, c'est humide, c'est infesté d'insectes non répertoriés...
La cave est un véritable labyrinthe souterrain, vous risquez de vous y perdre et d'errer, seul, plongé dans une nuit totale. Les dédales d'étroits passages auront tôt fait de vous faire perdre la tête... voire plus. Qui sait ce qui peut se cacher en des lieux aussi sombres et glauques ? Le risque est là de finir par oublier qui vous êtes et ce que vous veniez faire ici...
| | * * * * * | Salon | • • • Sujets : 6 | Messages : 72 |
“En mémoire d'Ombeline”
Cette salle élégante est certainement une des salles les plus belles et attirantes du manoir : douce, chaleureuse, comme une représentation du cœur du bâtiment. Contrairement au reste du Pensionnat elle ne présente que confort et bienvenue... Serait-ce un vestige du passé des Fondateurs ? Un piano à queue devant valoir très cher trône devant de larges fenêtres aux rideaux sombres, une cheminée toujours entretenue datant sans doute de la Renaissance orne le mur latéral, et les nombreux services à thé, tous frappé d'un "I." nous plonge parfaitement dans l'ambiance délicieuse de ce petit coin de paradis.Une pièce vraiment sublime.
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La plus grande du Pensionnat Interdit ; les baies vitrées donnent une vue incroyable sur l'entièreté du parc. Le plafond ridiculement haut n'est justifié que par la présence du lustre immense qui illumine par ses larmes de cristal et de feu le décor simple et discret de la pièce. Une épaisse tapisserie aux motifs d'inspiration byzantine contribue, par ses couleurs, à rendre si radieux le sol de marbre. Trois tables de buffet sont nécessaires pour couvrir la longueur d'un mur, et il est à remarquer que les nappes qui les recouvrent jusqu'aux pieds sont toujours d'un blanc immaculé. Enfin, on compte deux canapés de part et d'autre de chaque porte, finalisant la symétrie qui rend la salle de bal à la fois impressionnante et attirante.
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« Glossy Gloomy Lovyou... » Nom débile, n'est-il pas ? En tout cas, il s'agissait de la charmante trouvaille de la dénommée Toya Rikaashi, pour son petit café.
Un café un peu étrange, puisqu'il se trouvait au milieu d'un pensionnat sombre et lugubre. Étrange aussi parce que la déco' était plutôt composée de fleurs roses et de cœurs, bien que la majorité du mur reste sombre et sobre, ce qui lui donnait un aspect pour le moins incongru, mais pas déplaisant pour les esprits les plus tordus. Et étrange en dernier lieu, car plutôt qu'un café, ce devait être le mélange entre un petit restaurant, une cafétéria, un pub et un bar. Bah, après tout, c'était plus drôle ainsi.
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“Non, toujours rien à signaler de ce côté...”
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“Eh, venez voir ! Il y a du nouveau par là !”
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“Laissez tomber : ici, tout est fermé à clé.”
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